Dégradation D'Une Bourgeoise 2
Deux à trois fois par semaine, mon téléphone sonnait : « Jarrive dans 10 minutes ; tu seras à poil à genoux derrière la porte ». Il arrivait, me baisait brutalement et partait, parfois sans rien dire. Je nosais pas protester de peur de faire savoir à ma fille comment sa mère était devenue une dépravée.
Un jour il arriva en disant « Prends ta voiture et ta carte bleue ; on va faire des achats ». Il me mena dans une boutique de lingerie osée et jen suis ressortie avec une collection complète de strings, plus petits les uns que les autres, de soutiens de couleurs, de guêpières, descarpins avec des talons sans fin, de bottes, cuissardes, etc
mon compte en banque fut sérieusement allégé ce jour-là.
- Désormais tu sais comment thabiller quand je viens. Devenue pute, il faut que tu thabilles en pute.
Javais honte, mais je nosais rien dire.
Un jour, le téléphone sonne : « Je suis là dans 10 minutes ; je veux te voir en guêpière derrière la porte ».
- Ce nest pas possible, le plombier est en train de réparer la chaudière.
- Je men fous, obéis
Malgré le fait que je savais que je serais punie, je restai habillée normalement. Lorsquil arriva, il piqua une colère épouvantable.
- Pardon Maître, mais le plombier est présent
- Va te foutre à poil et à quatre pattes sur ton lit et attend
Je nosai pas refuser et je me déshabillai en fermant la porte. La porte souvrit lorsque jétais nue sur le lit, la croupe tendue vers la porte. Gérard entra et je lentendis dire.
- Voilà, faites-vous sucer pendant que je la baise ; ne craignez rien ; cette pute est mon esclave.
Quelle dégradation ; être obligée de sucer cet homme qui avait bien 60 ans ; être exhibée nue devant cet inconnu
et ne pas pouvoir réprimer les cris de jouissance que la bite de mon Maître provoquait en moi. Vite ma bouche semplit de sperme ; lhomme lâcha tout en me disant « Avale salope ». Gérard déchargea son sperme dans ma chatte.
Le plombier se rajusta, termina son travail et sen alla sans rien dire.
- Maintenant, la punition. Mets une robe
une courte ; rien en dessous. Prends ta voiture ; je te dirai où aller.
Après un court trajet, nous nous arrêtons devant une boutique indiquant : « Tout pour le cheval ».
- Entre ici.
Un homme sapprocha de nous demandant ce que nous désirions.
- Je voudrais une cravache et un fouet.
- Cest pour quel genre de cheval ?
- Celui-là dit Gérard en me montrant.
- Dans ce cas, je vais appeler ma femme ; cest sa spécialité.
La femme arriva immédiatement. Cétait une jolie brune, vêtue dun pantalon de cuir, dun chemisier blanc et descarpins à talons assez impressionnants.
- Monsieur voudrait une cravache et un fouet pour Madame.
Elle sapprocha de moi en me toisant.
- Alors ma belle, on est esclave
jadore cela. Puis sadressant à Gérard : « Quel genre de cravache ? Dure ou souple ? Dure cest bien pour le dos ou les fesses ; souple cest pour le sexe. Voulez-vous une démonstration ?
Gérard fit oui de la tête. Elle me mena dans une pièce adjacente et mordonna dôter ma robe. Voyant que jétais nue, elle fit une moue dadmiration.
- Jolie la petite pute
des seins superbes, un ventre lisse
mon cher, je vous félicite, vous avez là une bien belle esclave et qui, en plus, semble docile.
Ventre contre la table et penches toi.
Tremblante, jobéis et je tendis ma croupe. Le premier coup me fit leffet dune décharge électrique ; le deuxième fut comme une brûlure intense. Jen reçus cinq sans aucun ménagement. Je me mis à pleurer en la suppliant darrêter. Cest alors que je sentis un doigt qui pénétra mon intimité.
- Voyez, elle mouille, une véritable fontaine. Elle aime ça la salope. On va la calmer. Couche-toi sur la table et tend ta chatte vers moi. Et obéis, sinon je te donne 25 coups.
Gérard ricanait en me voyant ainsi. Je fermai les yeux
la cravache sabattit sur mon clitoris provoquant une véritable onde de choc. Je hurlai.
- Pitié Madame, arrêtez, je nen peux plus.
Un second coup me fit me tourner de douleur ; je portai mes mains à mon sexe. Les larmes coulaient abondamment.
- Bon, on va arrêter là
vous avez vu comment il fallait sy prendre. Si vous voulez encore une leçon, nhésitez pas à venir me voir. Pour le fouet, je vous conseille ceci. Mettez la nue dans un espace clos, cave, grenier ou autre et poursuivez-la en la fouettant. Elle courra dans tous les sens pour éviter le fouet et vous aurez bien du plaisir en la voyant se trémousser. Et si un jour vous navez rien à faire, prêtez-là moi pour quelques heures
jaime moccuper desclaves.
Gérard me ramena chez moi, me disant que javais eu assez pour aujourdhui et que je pouvais me reposer.
Je mexaminai nue devant le miroir. Mes fesses étaient striées de ligne, mon dos était rouge quant à mon sexe, il était excessivement douloureux.
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Désormais javais droit à des séances régulières de fouet ou de cravache. Heureusement Gérard frappait moins fort que la dame du magasin, mais mes fesses et mon dos conservaient les traces du traitement qui métait infligé.
Je nosais presque plus me mettre une robe décolletée, encore moins me mettre en maillot. Quant à être nue, il nen était pas question.
Un jour ma fille me demanda de laccompagner avec Gérard pour passer un week-end à la mer. Jusai de tous les prétextes pour refuser à son grand désappointement.
- Il faut que tu te remues un peu ; tu sembles fatiguée ces derniers temps
viens, cela te fera du bien.
Je ne pouvais, bien entendu, pas dire à ma fille que je ne pouvais pas me montrer sur une plage et encore moins que la présence de Gérard me répugnait. Je refusai donc cette offre.
Le soir coup de téléphone de Gérard.
- Alors salope, on ne veut pas nous accompagner.
Je mentendis dire dans un murmure : « Oui Maître ».
Le voyage se passa sans mal, la soirée idem, puis il fut temps daller se coucher. Jétais soulagée, Gérard était charmant, ma fille très en forme et je fis semblant de partager leur bonheur.
Ma chambre était juste à côté de la leur. La paroi était mince. Je les entendis se coucher, puis des murmures, des gémissements, enfin des cris de jouissance de ma fille.
Ma réaction fut brutale : je ressentis un sentiment que je ne connaissais pas : la jalousie. Ma fille jouissait, était avec quelle vigueur, sous les coups de boutoir de mon Maître. Je sus, à ce moment, combien jétais tombée sous sa coupe ; combien cet homme que je détestais métait devenu indispensable. Je voulais quil me brutalise au lieu de caresser ma fille ; je voulais quil me viole au lieu de faire lamour à ma fille ; je voulais quil me au lieu de la faire jouir.
Je compris à ce moment là linsistance de Gérard pour que je les accompagne. Il voulait mhumilier encore plus et me faire sentir ma dépendance.
Ce nétait que le début de mon calvaire.
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