Un Conte Pour Adultes
Un conte déconseillé aux s
Préambule : Un conte présente souvent quelques invraisemblances. Celui-ci ne déroge pas à cette règle et jespère que vous ne men tiendrez pas rigueur.
Je vais vous conter lhistoire dune pauvre veuve Maria. Pendant de nombreuses années tout allait bien pour cette femme jusquà la mort de son mari suite à un accident. Depuis largent sest amenuisé pour cette femme, au point quil lui était difficile de se nourrir, de se chauffer et même de se vêtir. Elle habitait une maison qui dannée en année se dégradait. Cette toute petite masure isolée à lorée du bois de Jouy en Josette, ne comprenait quune seule grande pièce qui servait de cuisine salle à manger et chambre. Meublée succinctement dune table, quelques chaises, dun grand buffet bas qui soutenait un petit réchaud et enfin un grand lit. Il y avait aussi une cheminée à foyer ouvert qui permettait lhiver de brûler quelques buches ramenées de la forêt. Dans une alcôve ouverte sur cette salle on trouvait cote à cote un évier et un wc à la turc.
Il y a quelques années malgré ses difficultés financières cette veuve rencontrant plus pauvre quelle recueilli deux jeunes frères qui erraient dans le coin. Elle supplémentait lalimentation de ces jeunes en les allaitant. Elle avait depuis toujours exercé jusquil y a peu le métier de nourrice pour s fortunés et navait jamais cessé de leur donner le sein ce qui avait évité le tarissement de ses mamelles volumineuses, toujours bien gonflées. Les jeunes adoptés la tétaient goulument chacun accroché à lun de ses pis. Cétait un réel plaisir pour cette femme que douvrir généreusement son corsage (elle ne gaspillait pas son argent en soutien-gorge ni même culotte) de leur tendre ses mamelles, de sentir leur lèvres saisirent ses mamelons, quelle avait assez longs, et sucer, aspirer son lait toujours abondant. Actuellement lainé Jérôme allait atteindre ses 19 ans, le second Romain avait 18 ans mais ils prenaient, tous trois, toujours un extrême plaisir à perpé ce rite journalier.
Lors dun hiver très rigoureux cette famille ne pouvait que chauffer très parcimonieusement son logis. Romain fit une remarque : « jai entendu dire que les alpinistes perdus pour éviter le froid se déshabillaient et se serraient tous ensembles dans un même sac de couchage. Je propose que cette nuit nous fassions un essai ». Le soir venu malgré un peu de gêne ils se mirent totalement nus et sautèrent dans le lit, Maria bien serrée entre les deux jeunes. Cet essai fut très concluant et ils prirent lhabitude de toujours dormir de cette façon. Mais les années passant les jeunes s devenaient des ados et maintenant je lai dit de jeunes hommes. Lainé collé contre le dos de Maria, la bite coincée entre ses fesses plantureuses la sentait souvent se tendre et grossir. De même le second, visage contre les mamelles quil connaissait bien et sa queue enfouie dans les poils pubiens de Maria avait tendance à gonfler. Mais il fallait maintenir cette habitude plutôt agréable car lambiance du logis était toujours glaciale. Maria sentait bien ces changements de comportement mais ne pensait aucunement modifier ce rite qui leurs permettait de passer des nuits confortables.
Lainé se levait souvent le premier pour allumer leur maigre chauffage et son érection matinale ne pouvait passer inaperçue des autres, surtout quil ne prenait pas le temps de se couvrir et nu se précipitait pour allumer le foyer. Le frugal petit déjeuner préparé, ayant passé une courte veste polaire pour se protéger de lair encore frais il revenait vers le lit commun pour en avertir les occupants. Toujours en érection il surplombait Maria qui ne pouvait sempêcher de remarquer les changements survenus dans cette partie de son corps. Si le jeune homme avait grandi et forci, sa bite, surtout dans son état actuel bien gonflée épaisse montrant une belle longueur, sétait bien développée. Ses grosses couilles légèrement remontées par lérection pendaient malgré tout assez bas. Toute sa zone sexuelle était couverte de poils bruns.
-Allez debout il est lheure de prendre votre petit déjeuner
Maria, dit-il la voyant peiner pour se redresser tu peux taccrocher à ma queue
rigide comme elle est ce matin elle tassurera un bon soutien!
Mais plus rapide cest Romain qui agrippant lappendice de son frère enjamba Maria qui ouvrait la bouche pour répondre. Passant par-dessus elle le sexe du jeune homme glissa sur les lèvres et ses bourses emplirent à demi la bouche de la femme, la bite lui heurtant lil. Maria fit comme si de rien nétait mais ne put sempêcher de remarquer les changements sexuels survenus eux aussi chez Romain.
Après le petit déjeuner ils se précipitèrent tous trois dans lalcôve pour prendre une douche rapide.
Chacun des habitants à son tour se tenait debout dans le bac du wc à la turc pendant que muni dun arrosoir un second larron laspergeait parcimonieusement et que le troisième frottait vigoureusement toutes les parties du corps du premier. Maria profitait de cet instant, au moins une fois par mois, quand cétait à son tour de frotter lun après lautre les corps des jeunes hommes, pour contrôler leur état physique, décalottait les glands pour en vérifier la propreté, sassurer que leur prépuce coulissait facilement, tâtait soigneusement chacune de leurs bourses pour éventuellement déceler une anomalie, les faisaient se pencher et demandait au frère décarter les fesses ainsi présentées pour découvrir lanus et vérifier dun ou deux doigts inquisiteurs quil restait souple et ne présentait pas dhémorroïdes. Inutile de préciser que ces manuvres déclenchait pratiquement toujours une belle érection que Maria se sentait obligée de calmer en les masturbant ou en les suçant selon les envies. Quand cétait à son tour de se faire doucher elle sinquiétait bien un peu de linsistance des frères sur ses zones sexuelles.
Sil fallait tôt le matin dans le lit quelle calme leurs ardeurs elle prenait grand soin lors des fellations de bien tout avale,r pour éviter de salir le drap disait-elle. A ceux qui sétonnaient de ces pratiques elle répondait : je leur donne bien mon lait, ils peuvent bien me donner leur foutre !
Vu lexiguïté du logement tout se passait dans la plus grande promiscuité et lhabitude aidant, sans la moindre gène dautant plus que quand la température le permettait ils restaient tous trois totalement nus ou éventuellement passaient une veste polaire qui trop courte ne cachait pas grand-chose mais les réchauffait un peu malgré tout
Même lorsquelle devait uriner et saccroupissait cuisses écartées au-dessus du trou du wc elle ne soffusquait pas que sasseyant au sol en face delle ils regardaient le jet durine fuser entre ses grosses lèvres vaginales. Par jeu quelques fois, elle les écartait même de ses deux mains pour quils puissent voir au plus profond de son anatomie et bien repérer son méat urinaire sous un clitoris légèrement dressé par lémotion de la situation. « Il faut bien que jeunesse sinstruise ! » disait-elle. Elle est même allée ayant besoin de déféquer, jusquà leurs tourner le dos, saccroupir tenant de ses deux mains ses fesses écartées pour quils scrutent ses contraction anales jusquà ce quun long boudin brun sorte de ses entrailles. Mais très gênée par cette exhibition elle ne le refit quune seule fois malgré la demande pressante des frères.
Lorsque tenaillée par le besoin dune queue elle ramenait un ou deux hommes à la maison, elle demandait aux deux frères de se tenir tranquille dans un coin de la pièce pendant que les mâles la besognaient.
Un jour Jérôme ramena dans leur maison une fille quil avait rencontrée près du bois. Transie de froid sous sa légère et très courte robe elle fut rapidement déshabillée et frictionnée sur tout le corps par nos héros. Pendant ces manuvres tous trois détaillaient son corps. La fille était de taille moyenne, assez maigre. Brune elle devait être métissée. Ses zones stratégiques ressortaient nettement sur sa peau peu halée : une bouche aux lèvres pulpeuses tirait sur le brun, tout comme les grandes et petites lèvres de sa chatte dont la fente placée assez haut attirait le regard, même cuisses serrées. Elle avait le clitoris un peu proéminant bien visible lui aussi car son pubis nétait couvert que de quelques rares poils et lorsque sa chatte baillait lintérieur rose du vagin tranchait nettement sur les lèvres génitales très sombres. Sa colonne vertébrale en hyperlordose basculait un peu son bassin faisant saillir ses petites fesses vers larrière, on aurait dit quelle les offrait en permanence. Peu joufflues elles restaient naturellement écartées proposant son sphincter anal plissé dune teinte très sombre. Je nai pas parlé de sa poitrine. Ses nichons peu développés mais bien fermes avait des tétons couleur caramel très longs, sans doute érigés par la fraicheur, entourés daréoles très brunes et très larges. On aurait dit que la nature cernant de brun soutenu tous ses orifices voulait attirer les regards ou même les bites vers ceux-ci. Cétait le type de fille que lon avait irrésistible envie de baiser.
Le trio mettant à exécution la méthode qui leur avait si bien réussi elle fut portée sur le lit, placée sur le côté. Tous se mirent nus. Jérôme se serra le plus possible contre son dos, pendant que Romain se plaçait de lautre côté. Gênés tous deux par une érection naissante ils lui demandèrent décarter légèrement ses cuisses et placèrent leurs mandrins entre elles. Ils purent ainsi lenserrer thorax ventres et fesses en étroit contact. Maria se coucha par-dessus le trio ramenant la couette sur leurs corps. Bientôt réchauffée la fille put répondre à leurs questions. Elle sappelait Câline, avait tout juste vingt ans et les remercia de leur accueille si particulier. Lorsquexcités par son jeune corps nos mâles au sexe de plus en plus gonflés lui demandèrent si elle était vierge elle pouffa : « Comment croyez-vous que jai survécu dans la rue ? Cest mon cul qui ma permis de gagner un peu dargent pour me nourrir ». Sans attendre Jérôme remonta son vit jusquà lanus de la demoiselle pendant que Romain enfonçait sa queue dans le vagin accueillant. Ils empoignèrent tous deux un des seins de Maria qui réchauffait toujours les trois jeunes pour la téter pendant que leurs bites pénétraient les trous de la fille. Prise en double Câline ne mis pas longtemps pour se réchauffer dautant plus que rapidement des jets de sperme chaud inondèrent ses entrailles!
-« Ce nest pas très gentil sécria Maria, vous pompez mon lait mais ne mavez pas craché pas votre jus de couilles au fond de la gorge. Retirez au moins vos queues que je puisse récupérer tout ce qui suinte des trous de votre belle, les draps vont être salis ». Elle se retourna en 69 au-dessus de Câline et dune langue agile lécha soigneusement les écoulements de toutes sortes qui suintaient des orifices de la fille. » Ah cest très gentil de ta part dit-elle à lintention de Câline, il y a longtemps que je nai pas senti une douce langue me titiller la moule et lanus! A ce jeu là tu es une vraie experte! Je vais apprécier ta présence.
Comme vous avez pu le constater du fait de ses aventures précédentes Câline neut aucun mal à sadapter aux habitudes de nos amis. La plupart du temps elle déambulait nue comme les autres dans le logis exigu, prenait la douche matinale comme eux et les deux jeunes hommes nhésitaient pas à la saillir très souvent seul ou ensemble. Un jour que Romain bourrait Câline allongée sur le dos Jérôme impatient fut attiré par le cul de Maria qui à quatre pattes nettoyait le dessous du buffet. Un besoin irrépressible le poussa à enculer à sec la femme qui sur le coup ne protesta pas, sembla plutôt apprécier cette violente sodomie. Mais elle reprit bientôt ses esprits: Jérôme tu as enfreint notre règle, tu sais quil vous est interdit de pénétrer dautres orifices que ma bouche, installes toi à plat ventre sur mes cuisses je dois te châtier. Sattendant à ce que Jérôme se mette à bander elle plaçât dune main sûre la queue du jeune homme entre ses deux cuisses lui permettant de se développer sans entrave et sous les regards attentifs des deux autres qui sur son invitation, interrompant leur coït sétaient approchés, elle commençât à le fesser. Câlin sétant t opportunément glissée sous les cuisses écartées de Maria pris en bouche le vît du jeune homme et subissait avec délice les secousses imprimées au sexe par la rude fessée.
Après cette bonne correction Maria lui ordonna décarter largement ses fesses rougies. Elle entreprit de fourrager brutalement dans son anus, poussant Romain à faire de même jusquà ce quil éjacule dans la bouche de Câline. Maria exigea même pour parfaire la punition que Romain le sodomise à sec comme Jérôme lui avait fait. Toujours maintenu à plat ventre sur les cuisses de Maria celle-ci pour augmenter lhumiliation du jeune homme demanda à Câline de diriger et introduire elle-même la bite de Romain dans le cul offert. Cette rude leçon lui montra quil ne fallait pas transgresser les règles de leur communauté et il nosa plus recommencer à pénétrer Maria.
Par contre Câline était à la fête plus souvent quà son tour. Maria qui assistait à ces débordements sexuels leurs conseilla de se modérer un peu. Dautant plus que pour subvenir aux besoins financiers Câline amenait souvent de jeunes étalons qui la baisaient et profitaient même de Maria toujours prête à soulager quelque mâle en souffrance! Elles avaient vagins et culs en feu, sans parler de ce quelles devaient avaler ;
La vie de leur groupe se passait donc tranquillement mais toujours dans le dénuement lorsque Câline qui avait toujours rêvé de faire du théâtre leur proposa de se produire à la ville voisine dans de petites saynètes quils imagineraient. Ces sketches que certains qualifièrent de pornographiques rencontrèrent un franc succès, dautant plus que les spectateurs avaient la possibilité de les rejoindre sur scène pour pimenter le spectacle qui se terminait le plus souvent en gang bang, nos acteurs couverts du sperme et même de lurine de ceux qui voulaient bien participer. Dans certaines saynètes Jérôme et Romain durent à leur plus grand plaisir vous vous en douter copuler enfin avec Maria mais attention seulement durant les représentations! Ce fut la fin dune longue frustration. Le théâtre de la réalité crue fit leur renommée et toute la région ne parlait plus que de ces comédiens sans tabou qui donnaient le meilleur deux- même.
Cette réputation vint aux oreilles du prince de la région qui les invitât à se produire devant la cour en son château. Pour cette représentation connaissant la réputation sulfureuse du prince ils mirent au point les tableaux les plus osés possibles, Ils introduirent même une séquence dans laquelle un chien léchait, puis guidé par Câline pénétrait Maria qui prodiguait une fellation à Jérôme et Romain en même temps! Sous les acclamations, Maria la bouche encore pleine de sperme et les trois autres acteurs sinclinèrent devant la cour puis se retournant cuisses largement écartées, se penchèrent genoux à demi pliés, tête basse bouche ouverte afin que tous puisses se rendre compte que tous leurs orifices laissaient déborder les sucs de leurs prestations, ce qui prouvaient que tous les actes effectués nétaient absolument pas simulés.
Le prince enthousiasmé voulu participer à quelques représentations. Il montait sur la scène, une suivante baissait ses chausses pour que le Prince puisse saillir Câline en levrette. Maria avait demandé la permission de se glisser entre leurs cuisses pour jouir au plus près de la princière intromission et recueillir le surplus de semence qui sécoulait des sexes imbriqués pendant lacte. Cette séquence applaudie par le peuple heureux de voir la bite princière en pleine action fut renouvelée de nombreuses fois. Le prince envouté par les charmes et lhabileté de Câline les invitât à séjourner au château mais exigeât quen dehors des sketchs la science de Câline lui soit réservée. Jérôme et Romains durent accepter ces conditions mais purent se rattr en imaginant des sketchs qui leur permettaient de profiter au maximum des orifices de la belle mais aussi des appâts des dames de la cour qui se battaient presque pour être saillies par nos jeunes étalons.
Evidemment leurs problèmes financiers nétaient plus quun lointain souvenir dautant plus que le prince avait décidé de se marier avec Câline. La cérémonie fut grandiose. Le prince seulement vêtu dun court pourpoint les couilles relevées par un anneau dor arborait déjà une belle érection. Il conduisait Câline totalement nue, têtons de seins ornés de pendentifs de perles et émergeant de son vagin une chaîne brillante pendante entre ses cuisses était introduite dans son anus et maintenue par un gros rosebud scintillant de milles feux. A cette chaînette étaient suspendues des boules dargent très fin qui tintaient à chacun de ses pas vers le lofficiant. Les lèvres vaginales de la belle étaient en plus porteuses de multiples piercings. Le cérémonial officiel accompli, les mariés furent invités selon le rite royal à immédiatement copuler à la vue de tous les invités pour sceller cette union. Ce fut le signal de mémoire dhistorien, de la plus grande orgie publique du royaume.
Six mois plus tard Câline vit son ventre sarrondir ses seins se gonfler. Daprès les trois mages qui lexaminèrent elle était engrossée. Ce fut une grande liesse dans le pays dautant plus que les représentations ne furent pas interrompues. Le public venait chaque fois plus nombreux pour suivre les modifications corporelles de la jeune femme et la voir malgré son état continuer à se faire prendre dans toutes sortes de positions. Participer au spectacle, couvrir en final ce gros ventre, ces mamelles développées, ce visage accueillant de mouille, sperme ou urine devenait le clou de la soirée.
Câline toute fière fut très heureuse de convier le peuple à son accouchement. Allongée nue sur la scène théâtrale, cuisses relevées tenues par Jérôme et Romain tous purent assister à la sortie vaginale du bébé princier et la liesse fut à son comble lorsque le Prince après avoir coupé le cordon ombilical du nouveau-né dun coup de dent, annonça que cétait un mâle! Les trois mages saccordèrent pour déclarer que le géniteur était bien le prince. En effet depuis le mariage chaque matin tous trois examinaient soigneusement létat du vagin, lodeur et le goût des sécrétions pour déterminer la période de fécondation de la princesse. Pendant cette période aucune personne nétait autorisée à éjaculer dans le vagin princier, même pendant les spectacles qui je lai déjà dit, avaient persistés jusquà laccouchement, seuls son cul et sa bouche étaient disponibles selon son bon plaisir. Deux gardes veillaient de près au respect de cette règle. Compte tenu de ces précautions le père ne pouvait être que le prince.
Quelques temps plus tard Câline incita le prince à promulguer un édit de totale liberté sexuelle qui permettait à toutes et tous de se promener au sein du royaume dans la tenue qui lui plaisait, en vêtements vaporeux, transparents, en jupe ultra courte sans aucun dessous et même totalement nus. La vente de bijoux sexuels tels anneaux de tètons, bijoux de clitoris, de bite, rosbud etc
devint un commerce lucratif. Les actes sexuels consentis pouvaient être effectués nimporte où, magasins, bars parcs et voies publiques. Les gays, bisexuels ou autres catégories pouvaient senculer où bon leur semble sans risquer les foudres de la loi. Le royaume devint le paradis de la liberté ce qui attirant beaucoup de touristes fit la prospérité du royaume. Hormis quelques pisse-vinaigre tout le peuple neut quà se louer des décisions initiées par nos amis. Mais la natalité augmenta fortement à tel point que létat incita les femelles à la sodomie plutôt quau coït classique.
La morale de ce conte exemplaire démontre que « ceux qui ne sont rien » lorsquils donnent deux-mêmes, avec un peu de chance, peuvent sen sortir haut la main (haut la queue oserai-je ajouter !) Il ne faut jamais désespérer de sa situation et ne pas hésiter à tout donner de soi, même son cul pour y parvenir. Une petite jeune fille sortie de la rue, qui a su sublimer ses talents érotiques a pu changer les murs de toute une région !
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