Premier Week-End
Minette Smart est mon vrai nom, croyez-le ou non. C'est sur mon certificat de naissance. Mes cheveux sont naturellement roux et tout le reste est naturel aussi, mes gros seins et mes fesses potelées.
Je n'ai pas toujours été riche. Je viens d'un trou perdu au milieu de nulle part, dans le bayou. Ma mère était une pauvre cloche, mon père et toute ma famille aussi. J'ai passé mon enfance dans une vieille caravane. Pas un mobile-home ou un préfabriqué. Juste une vieille poubelle de caravane. Je suis née et j'ai grandi dans le sud de l'Alabama, chez les bouseux. Les bouseux d'ici plaisantaient à ce sujet en disant que l'homme le plus riche du patelin était une pauvre cloche, mais c'était très exagéré.
L'homme le plus riche du patelin c'était Charles Millas. Tout le monde par ici lui appartenait. Tu ne pouvais rien faire ici-bas sans que ça lui rapporte du fric. Charles Millas était propriétaire de ce putain de bled et de ses environs. Ce bâtard possédait la supérette, le garage et ses pompes à essence, le café et tous les commerces de la commune. Dans la campagne environnante, il y avait trois usines. Toutes les trois lui appartenaient. Tout le monde par ici travaillait pour lui, pour une de ces entreprises ou dans un de ses commerces.
C'était un vieux bonhomme tout sec, à la peau ridée et halée. Mais ses yeux bleus pétillaient de vivacité et d'intelligence. En réalité, c'était le pire fils de pute que la terre ait portée. Le diable en personne aurait eu peur de lui.
C'était le début des vacances scolaires et j'avais obtenu une place de serveuse pour les tables en terrasse au café du coin. Je venais de finir mes années de collège et je ne savais pas quoi faire à la rentrée. J'étais l'aînée de la fratrie avec cinq autres à la traîne après moi. Il me fallait de l'argent de poche et pour ça il me fallait un petit job pour les vacances. Serveuse en terrasse c'est pas terrible, c'est là que tu cavales le plus et que tu gagnes le moins, mais j'ai du me battre pour l'avoir.
Un jour, Charles Millas s'installa à une de mes tables et je lui servis un hamburger et des frites. Quand je lui ai servi sa commande, je me suis intentionnellement penchée et j'ai frotté mes seins sur son épaule. Être une grande fille rousse à la peau laiteuse avec de gros seins et un cul rebondi a toujours intéressé les gars. Millas ne faisait pas exception.
"D'où viens-tu, fillette?" il m'a demandé. "Je pensais que je connaissais toutes les jolies filles de cette ville."
Je pense en effet que c'était possible. La rumeur par ici racontait que Charles Millas était un putain de vieux cochon vicieux. Chaque fille qu'il croisait, il fallait qu'il la baise, d'une manière ou d'une autre. Aucune ne lui résistait. Autrement, les représailles sur sa famille étaient terribles. La rumeur prétendait qu'il avait dépucelé toute les femmes du patelin. Mariée, fiancée, âge légal ou pas, si une fille lui plaisait, il la mettait dans son lit, de gré ou de force. La rumeur disait aussi qu'il avait plein de bâtards dans le patelin et qu'il avait sûrement dû coucher avec une de ses propres filles. De toute façon, à qui aller se plaindre?
Il avait la soixantaine quand j'ai fait sa connaissance. Pour moi, c'était un vieillard.
Se faire remarquer de Charles Millas était soit un bon plan, soit un terrible malheur. J'étais assez jeune et peu expérimentée, mais j'étais assez salope pour savoir exciter les garçons en leur laissant croire qu'ils pourront obtenir ce qu'ils désirent, sans leur donner. Par ici, il y a beaucoup de garçons qui m'ont reniflé les fesses, mais qui n'ont rien eu de moi. Je flirtais avec lui chaque fois qu'il venait, et pendant une semaine ou deux, il venait de plus en plus souvent.
"J'ai une petite baraque dans la baie de Mobile" m'a-t-il dit un jour. "Tu devrais y faire un tour. C'est juste sur la plage."
"Je suppose que c'est quelque chose qu'il faut voir" me suis-je moquée.
"Que dirais-tu de ce week-end? Je viendrai te chercher vendredi après-midi et nous irons dans ma nouvelle voiture. Nous nous amuserons beaucoup à jouer dans l'eau et tout et tout
"
Soudain, ce n'était plus un jeu. Son regard vif sous ses paupières plissées me scrutait attentivement. Mon flirt et mes badinages m'avaient mise dans de beaux draps. Je relance ou je me couche. Pas d'autre alternative. Je n'étais pas assez forte pour résister au vieux satyre. Si j'avais su ce qui m'attendait, je me serai retirée du jeu et je me serai enfuie loin, très loin. Au lieu de fuir, j'ai dit que je l'attendrai vendredi après-midi.
Ce soir-là, j'ai dit à ma maman que je partais pour le week-end avec Charles Millas, dans sa villa, sur la côte. Elle a beaucoup pleuré et m'a suppliée de ne pas y aller. Je lui ai demandé pourquoi.
"C'est un homme mauvais", dit-elle en sanglotant. "Le mal à l'état pur. Il va te gâcher, ma chérie. Il va faire de toi une moins que rien et une souillon. Il n'y a rien de bon dans cet homme. Il ne veut qu'une chose de toi et tu devras lui donner. Quand il l'aura, quand tu lui appartiendras, tu ne vaudras plus rien à ses yeux et il te jettera comme une vieille chaussette. S'il te plaît, ne le fais pas. Je sais de quoi je parle."
Comme toutes les gamines de dix-sept ans, je n'ai pas cru ma maman. Lorsque le vendredi est arrivé, j'ai mis mes affaires les plus sexy et je suis montée dans la voiture de Charles Millas.
La petite baraque de Charles ressemblait à un manoir pour moi. Venant d'une caravane, presque n'importe quoi aurait de l'allure. Sa maison était ancienne, mais c'était une bâtisse avec une âme. Solide, conçue pour résister aux ouragans et posée sur une assise surélevée en pierre. Il y avait un large porche de style colonial tout autour du bâtiment. Lintérieur, pour moi, était tout simplement somptueux.
"Ici, ce sera notre chambre" dit Charles, en me faisant visiter. Nous n'avions pas discuté de cela, je savais ce qu'il attendait de moi, mais c'était quand même un peu abrupt de me l'annoncer ainsi.
"Les autres? Quels autres?" J'ai demandé. C'était encore une chose qui n'avait pas été évoquée. J'avais supposé que ce serait juste Charles et moi.
"Des amis qui viennent de Mobile pour le week-end. De vrais fêtards. Tu vas bien t'amuser avec eux. Viens, chérie, allons nous tremper dans la baie avant qu'ils n'arrivent. Je meurs d'envie de te voir toute nue."
J'avais apporté un maillot de bain, mais apparemment, cela n'était pas nécessaire.
Mes seins ont commencé à se développer tôt et ils ont continué à grandir.
En dernière année au collège, j'avais les plus gros seins de toute l'école, même en comptant les enseignantes.
Pendant mes années de collège, mes seins m'embarrassaient. Pour la gymnastique, pour les jeux, et pour l'attention que me portaient les garçons, surtout les noirs. Dans notre région, le KKK est très actif, et ce n'est pas bien vu une blanche avec un noir. J'ai essayé de cacher mes seins autant que possible. Ce n'est que depuis quelques mois que j'ai commencé à les montrer. J'ai cessé d'être embarrassée et j'ai commencé à apprécier ce que la nature m'a donné.
Les garçons que je fréquente semblent avoir beaucoup de désir pour eux.
Charles a attrapé des serviettes et m'a emmenée à la plage. C'était à quelques dizaines de mètres. Une fois sur la plage de sable, j'ai ôté ma robe. Sous le regard de Charles, je retirais mon soutien-gorge puis ma culotte et les déposais sur la serviette.
"Putain, la nana!" il a dit quand je fus nue. "Tu as de très beaux seins, tu sais. Et en plus, tu es une rousse naturelle!"
Ses yeux allaient de mes seins à ma chatte couverte d'un duvet roux.
Je l'ai laissé bouche bée et j'ai couru dans les vagues. L'eau était bonne. Je n'ai plus fais attention à Charles jusqu'à ce qu'il me rejoigne dans l'eau. Quand je l'ai regardé, j'ai été stupéfaite. Ce vieux gars était monté comme un âne! Je n'étais plus une vierge effarouchée, mais les garçons que je connaissais n'avaient rien de comparable avec ce qui lui pendait entre ses jambes.
"Ma bite te plait, n'est-ce pas, petite fille?" Charles a mis son bras autour de ma taille et m'a serrée contre lui. De sa main libre, il a attrapé mes seins, les palpant, les triturant, les soupesant. Il semblait fasciné par leur volume et leur fermeté.
"C'est bien, ça augmente tes chances, tu vas plaire ce week-end. Tu vas rencontrer des gens intéressants. Sais-tu pratiquer une fellation?" C'est quoi cette question? Qu'est-ce qu'il croyait? Bien sûr que je savais. La pipe et la branlette m'ont permis de garder mon hymen intact aussi longtemps que je l'ai souhaité.
À genoux dans les vagues, avec des vagues qui bondissent au-dessus de ma tête, pour sucer c'est pas terrible. J'ai découvert que le sexe sur la plage, bien qu'apparemment romantique, n'était pas pratique. Trop de sel et de sable. J'ai aussi découvert autre chose pendant qu'il me baisait sur la serviette. Les grosses bites sont plus voluptueuses, même avec tout le sable, que les petites bites.
Charles et moi sommes rentrés à la maison avant l'arrivée des invités. J'ai eu le temps de prendre une douche et d'essayer d'ôter le sable de ma chatte. Sur le chemin du retour, Charles m'a dit que je serais l'hôtesse ce soir-là. J'ai été ravie et honorée. Ouais, ravie avant qu'il ne m'explique ce que devait faire l'hôtesse. L'hôtesse devait approvisionner les convives en boissons, en charcuteries et en frites, me défoncer en les servant tout en ayant mes seins et mes fesses tripotés par un tas de vieux pervers. L'hôtesse avait d'autres devoirs, mais je ne les ai découverts que plus tard dans la soirée.
"Charles, où est-ce que tu as trouvé cette jolie jeune fille avec ces gros seins?" un type a demandé.
"Dans le bayou", répondit Charles avec un grand rire. "Jeune et fraiche comme la rosée du matin. Et elle adore baiser, n'est-ce pas?"
C'était vrai que j'aimais bien baiser, mais je n'aimais pas que Charles en parle à tous ces hommes. Il n'y avait que des hommes. Aucune femme ne les accompagnait, ce qui faisait de moi la seule femme de la maison. Une fille intelligente aurait été alertée, mais comme je ne brille pas par mon intelligence, je n'étais pas inquiète. Six vieillards ne me faisaient pas peur.
Au bout d'un moment, les hommes ont commencé à jouer au poker et ils jouaient gros. J'ai regardé assez longtemps pour comprendre que les jetons blancs valaient cent dollars. Je gagnais trois dollars de lheure plus les pourboires au café, cétait donc beaucoup dargent pour moi. J'ai vu un pot qui devait valoir trois ou quatre mille dollars. C'était stupéfiant pour moi de voir comment ils pouvaient être si désinvoltes avec autant dargent.
"Minette, je vais te donner ce jeton blanc si tu me montre juste un sein" dit l'un des hommes.
"Merde, Fred, ne soit pas si pingre!" dit Tom. "Donne un jeton rouge à la fille et elle montrera ses seins à tout le monde."
Cinq cents dollars juste pour voir mes seins? C'était incroyable! Fred a tendu un jeton rouge et je le lui ai arraché des mains.
"Tu as de beaux seins, Minette," dit Fred après avoir ouvert mon chemisier pour les montrer à l'assemblée.
"Sont-ils naturels?" Cette question! J'avais entendu parler de femmes qui avaient grossi leurs seins, mais pas dans le bayou. Je lui ai dit que tout ce qu'il voyait de moi était naturel.
"Minette sait aussi sucer une grosse bite bien raide", dit Charles en me faisant un clin d'il, ce qui augmenta mon embarras.
"Elle a astiqué mon nud dans l'eau cet après-midi. Je l'ai baisée sur la plage et sa chatte c'est du velours."
Charles jeta ses cartes et se leva de table en me demandant de le suivre. Il m'a conduite dans une chambre à l'étage.
"Je t'ai apporté quelque chose", dit-il en me tendant un sac en plastique. Je l'ai ouvert et j'ai vu qu'il s'agissait d'une sorte de costume. Je lui ai demandé ce que c'était. "C'est une tenue de femme de chambre française", répondit-il. "J'ai dû deviner ta taille, mais ça devrait t'aller. Enfile-ça et viens nous montrer."
J'ai enfilé la petite robe noire. Elle était un peu courte, et bien ajustée. Il y avait des bas noirs en résille et un porte-jarretelles. Je connaissais les jarretières des catalogues, mais je n'en avais jamais porté. Les talons aiguille étaient un peu trop hauts, mais je pouvais les porter. Après m'être équipée, je me suis regardée dans le miroir. Une partie de moi pensait que je ressemblais à une vraie pute, mais la plus grande partie pensait que ça m'allait vraiment bien. Mes seins étaient à peine couverts, mais cela ne m'inquiétait pas beaucoup. Ils avaient déjà vu mes seins.
Je suis retourné dans la pièce où ils jouaient aux cartes et quand ils m'ont vu, ils ont crié et sifflé comme des écoliers.
"Merde, cette fille a un beau cul bien joufflu!" Dit Fred à voix haute. "Tu as déjà été fourrée dans le cul, Minette?"
Je n'étais pas sûre de ce qu'il voulait dire exactement alors je lui ai dit non. Je pensais qu'il parlait de ce faire enculer, mais ce n'était pas son affaire. J'ai gardé ma virginité encore quelques mois en laissant mon petit ami me faire dans l'anus.
"Tu veux nous dire que tu n'as jamais été foutue dans l'anus?" un homme du nom de Roger a dit. Je l'ai ignoré et je suis allé leur chercher d'autres boissons.
"Minette," dit Roger à mon retour. "Que te faudrait-il pour être le premier à baiser ton cul?"
"Deux jetons bleus et un rouge", répondis-je. Les bleus valaient mille et les rouges cinq cents, alors je pensais que cela ferait taire sa méchante bouche.
"Combien pour ta chatte?" un autre homme a dit.
"Attendez!" cingla Roger. "Moi et Minette, sommes en train de discuter affaire ici. Nous négocions. Maintenant, Minette, ne pense-tu pas que c'est un peu raide. Je ne paie pas vingt-cinq cents pour un cul dans Mobile. Tu dois réduire tes prix."
J'ai jeté un coup d'il à Charles et je l'ai vu sourire. J'ai soudain compris que Charles leur avait fait croire que j'étais une pute.
"Et un bleu et un rouge?" Roger a insisté. "C'est beaucoup d'argent pour un cul. Même un aussi jeune et mignon que le tien."
Aussi énervée que j'étais, je devais prendre le temps de réfléchir. Quinze cents dollars pour laisser un vieil homme pénétrer dans mes fesses? Combien de temps devrais-je travailler pour gagner autant d'argent? Je ne savais pas. C'était une offre alléchante.
"Hé, calmez-vous!" dit Charles. "Pourquoi ne pas simplement mettre notre argent en commun? Disons que tout le monde balance quinze cents sur le tapis et nous pouvons baiser la fille où nous voulons."
"Pour combien de temps?" Fred a demandé. "On parle de toute la nuit? Et demain? Qu'est-ce que ça va nous coûter?"
Je calculais mentalement. Neuf mille dollars pour avoir des relations sexuelles avec eux? Six vieux pervers prévoyaient de me payer neuf mille dollars? Je ne pourrais pas gagner autant d'argent en toute une année ... ni en deux ans non plus!
"Que dites-vous de ça?" Charles a dit. "On fait ça pour ce soir et on pensera ensuite à ce qu'on fera demain. Qu'en dis-tu, Minette? Saurais-tu quoi faire de neuf mille dollars?"
J'avais tout juste dix-sept ans et je n'avais aucune idée de ce que ce serait de faire l'amour avec six hommes. Une fois, j'ai laissé deux garçons jouer avec moi, mais ils m'ont fait l'amour l'un après l'autre, et c'était ma seule expérience à plusieurs. Pour être honnête, ma seule pensée cohérente, c'était les neuf mille dollars et ce que je pouvais faire avec ce tas dargent. Je n'ai pas eu à y réfléchir très longtemps. J'acceptais leur offre. Ils ont placé chacun leurs deux jetons au centre de la table. Six jetons bleus et six rouges. Cela me semblait ridicule, jusqu'à ce que Charles les échange contre de l'argent réel. Je n'avais jamais vu autant d'argent; à aucun moment de ma vie ... Jamais
J'étais vendue!
Je supposais qu'ils m'emmèneraient dans une chambre, un à la fois, qu'ils me baiseraient, puis qu'ils redescendraient. J'avais tort. Ils ont tiré au sort pour savoir qui allait être le premier. Roger, le connard, a gagné. Je me suis dirigée vers la chambre, mais il m'a rappelée. Je suis venue vers lui et il m'a dévêtue, ne me laissant que les jarretières, les bas et les talons.
Ensuite, il m'a embrassée et caressée partout. Juste là, devant les autres. Étant donné que mes tétons sont très sensibles, il ne m'a pas fallu longtemps avant que je sois chaude. Je m'en foutais que les autres hommes regardent. J'étais tellement excitée que je l'aurais laissé me baiser sur la place, devant la mairie.
"Roger, prends cette chienne sur ce canapé," dit Charles. "Trempe ton chibre dans sa chatte. Garde son cul pour plus tard!"
Roger me poussa vers un long canapé en cuir et me coucha dessus. Il a ouvert mes jambes et a planté sa petite queue trapue en moi. J'ai joui tout de suite sous les applaudissements des autres hommes. Roger a juté en moi et s'est retiré. Fred était le suivant puis chacun des autres tour à tour. Je ne sais pas combien de fois j'ai joui, mais c'était beaucoup. Quand le dernier homme m'est passé dessus, j'ai bêtement cru que c'était fini. Mince, j'avais tort! Ces vieux salauds venaient juste de commencer!
Ils m'ont niquée l'un après l'autre pendant un moment. Puis ils ont commencé à doubler sur moi. J'en suçais un alors qu'un autre me baisait. C'est la vérité de dire que j'ai adoré. Ils ont vidé des litres de sperme en moi et j'ai pensé que je ne maîtrisais pas la contraception et qu'il n'y avait pas de préservatif en vue.
Vers minuit, Charles m'a envoyée me nettoyer de tout ce sperme. J'en étais recouverte. Après une douche chaude, je suis revenue et ils m'attendaient tous. La baise a recommencé. C'était un peu différent. Roger a pris mon cul comme il le voulait. Il utilisait une sorte de graisse et ce n'était pas si douloureux. Tous ceux qui voulaient mes fesses les ont eu. Je ne suis pas une grande fan de la sodomie. Je veux dire que je peux le faire, mais six vieillards excités ça compte dans le cul d'une fille.
C'est devenu plus compliqué quand ils ont décidé de me prendre en doublette. Charles était dans mon cul et Fred dans ma chatte. J'ai vraiment pris mon pied sur ce coup-là. C'était la première fois que je baisais deux hommes en même temps, mais ce n'était certainement pas la dernière fois.
Ils m'ont finalement laissé seule, mais il faisait presque jour quand ils sont allés au lit. J'ai dormi sur le canapé, couverte de sperme. Quand je me suis réveillée, les six hommes étaient tous sous le porche en train de boire de la bière. Je suis allée me doucher pour laver tout leur sperme séché. J'en avais même dans les cheveux. J'ai trouvé du café dans la cuisine, je me suis servie une tasse et je l'ai bue à l'extérieur.
"La voici," annonça Charles. "Comment vas-tu, Minette?"
"Bien," dis-je. Ce n'était pas exactement la vérité. Ma chatte, mon cul et mes seins étaient un peu douloureux. Mais je pouvais survivre. "Je n'ai pas pu retrouver mon argent."
"Je l'ai réuni et rangé dans ton sac," dit Charles en riant. "Nous sommes des gentlemen et nous ne dépouillerons jamais une pute de sa juste récompense, n'est-ce pas, messieurs?"
Je n'étais pas très contente qu'il me traite de putain, mais je devais bien reconnaître que depuis cette nuit, j'étais sa pute!
"Qu'est-ce que tu comptes faire de tout cet argent, Minette?" Fred m'a demandé. Je n'avais pas vraiment envisagé ça.
"Tu veux en faire encore aujourd'hui?" J'ai hoché la tête. Je voulais plus, beaucoup plus, même si je n'avais pas de plan pour cela.
"Tu vas faire une promenade en bateau aujourd'hui", a déclaré Charles. "Ces messieurs doivent rentrer en ville, mais ne tinquiète pas dans ta jolie petite tête. Tu vas gagner encore un peu d'argent aujourd'hui. Va préparer un peu de nourriture pour toi et enfile ton maillot de bain."
Je suis entrée et compté mon argent, puis j'ai trouvé de la nourriture que j'ai mangé. En enfilant mon vieux maillot de bain une pièce je savais ce que j'allais acheter en premier. Je voulais un bikini rouge vif. J'ai trouvé du linge de table et je l'ai utilisé comme un paréo. Charles m'attendait sous le porche quand je suis sortie.
"Tu iras avec Abdul et Jawad aujourd'hui, Minette," dit Charles en prenant mon bras et en me conduisant vers la jetée. Il y avait un gros cabine cruiser amarré à la jetée avec deux blacks dessus. Deux grands hommes noirs.
"Charles, ils sont noirs," lui ai-je murmuré. "Je ne sors sur aucun bateau avec des noirs."
"Tais-toi, Minette," dit-il. "Nous vivons dans un âge éclairé maintenant. L'argent d'un noir est tout aussi bon que l'argent d'un blanc. C'est une belle journée et tu vas monter sur ce bateau pour prendre du bon temps. Tu feras passer à ces gars un bon moment ou je vais te fouetter le cul avec une antenne de voiture. Tu m'écoutes, Minette?"
Je l'ai écouté et je l'ai cru. Le gentil Charles Millas était parti, et celui-ci était le méchant fils de pute. Il m'a fait peur.
"Voici la petite chatte blanche que je vous avais promis" invita Charles lorsque nous nous sommes approchés du bateau. Les deux hommes noirs sont descendus et nous ont accueillis sur le quai.
"C'est une petite minette qui s'appelle Minette. Elle a une petite chatte toute douce et de gros nichons!" Charles leur a serré la main et m'a poussée en avant.
"Minette, je te présente Abdul," dit-il en montrant l'un d'eux. "Ce gars-là est Jawad. Vous allez sortir en mer et passer un bon moment. Je vous verrai quand vous reviendrez."
L'homme qu'il a appelé Jawad m'a aidé à monter dans le bateau et nous sommes partis juste au début de l'après-midi. C'était une belle journée avec un ciel bleu clair et seulement quelques nuages blancs vaporeux. La température dépassait 30°C.
Charles avait raison. Il faut voir la baie de Mobile depuis la mer. C'était beau. J'ai gardé mon paréo pendant un moment jusqu'à ce qu'Abdul insiste pour que je l'enlève. Puis il m'a suggéré de retirer le maillot de bain. J'hésitais mais l'avertissement de Charles me revint à l'esprit. J'ai enlevé le maillot. Je suis assez vaniteuse pour être sensible au souffle audible de Jawad et au regard d'admiration d'Abdul.
"Nous n'avons pas besoin de bronzer," dit Jawad en riant, "Alors pourquoi ne pas nous aider à mettre de l'écran solaire?"
Les gars se déshabillèrent entièrement et je les badigeonnais d'huile solaire. Ensuite ce fut mon tour.
"Prends le manche!" dit Jawad à Abdul. "Sois prudent. Je vais protéger cette belle poupée du soleil." Jawad a passé beaucoup de temps à m'enduire le corps d'écran solaire. Abdul lui a recommandé de bien protéger mes seins.
"Bien sûr, tu ne veux pas que tes jolis seins blancs brûlent, n'est-ce pas?" Apparemment, Jawad partageait l'inquiétude d'Abdul parce qu'il me répandait beaucoup de lotion sur tout mes seins. Mes tétons ont attiré son attention et les doigts de Jawad les ont triturés durement. J'aurais dû me sentir mal à l'aise d'être nue entre ces deux hommes noirs, mais je ne l'étais pas.
Jusqu'à ce que nous accostions, je n'avais aucune possibilité de porter quoi que ce soit.
Je n'avais pas peur des noirs parce que j'ai grandi avec les noirs. À l'école, il y avait plus d's noirs que de blancs, donc je n'étais pas totalement ignorante. Mais je ne suis jamais sortie avec un garçon noir. Je ne l'ai même pas envisagé parce que ça n'était pas envisageable dans le bayou. Même si je l'avais désiré, les garçons noirs ne sortaient jamais avec des filles blanches, parce que le KKK était bien présent dans cette région rurale.
Ils savaient tous les deux ce qu'ils voulaient et ils savaient pourquoi j'étais là. Jawad m'a emmenée sur le pont avant, m'a déposée sur les coussins et a commencé à me manger la chatte. Apparemment, il aimait ça, parce qu'il m'a mangée longtemps, jusqu'à trois orgasmes, dont deux véritablement grandioses. Puis il m'a baisée. Longtemps, tranquillement. Une fois, alors que je chevauchais Jawad, le bateau a croisé des vagues soulevées par un grand navire de guerre. L'action de la vague m'a fait plonger profondément sur le chibre noir de Jawad. Jawad appréciait cela et faisait des mouvements circulaires du bassin et changeait de rythme pour que le mouvement du bateau s'accorde avec mon rythme. Waouh, quel voyage! Le sillage me fit claquer la bite de Jawad encore plus profond en moi.
Se faire baiser par un homme noir n'était pas différent de se faire baiser par des blancs. OK, il y avait une différence. C'était mieux parce que Jawad et Abdul étaient énormes. De grosses et belles bites noires qui sont restées dures longtemps. J'ai tout oublié de mes appréhensions et la petite chatte blanche s'est soumise aux exigences des gros hommes noirs.
Après un moment, Jawad a repris les commandes du bateau et Abdul a pris le contrôle de la petite pute blanche. À force de regarder son ami me baiser, Abdul avait dû se branler pour tenir. Il m'a prise avec une force que je n'avais jamais connue auparavant. Pendant qu'Abdul plongeait sa belle queue noire au fond de moi, Jawad a dirigé le bateau dans une crique isolée où ils m'ont tous les deux baisée.
J'étais tellement absorbée par mes sensations de tout ce qui m'arrivait que je n'ai même pas réalisé qu'un autre grand bateau s'était amarré contre notre bateau et que les passagers, deux hommes et deux femmes, regardaient le spectacle. J'étais montée à califourchon sur Abdul, face à lui, ma chatte empalée sur sa queue, et Jawad me baisait le cul par derrière. Si l'autre bateau n'avait pas dérivé et légèrement poussé notre bateau, je ne sais pas quand j'aurais remarqué les voyeurs.
"Chéri, je veux essayer ça" a déclaré l'une des femmes.
"Hé, poulette, ma femme veut savoir si tu partagerais tes étalons" a crié l'un des gars en riant.
"Non", j'ai réussi à articuler. "Va chercher tes propres bites. Laisse-moi les miennes!"
Cela a fait rigolé mes deux taureaux noirs, mais ils n'ont même pas changé de rythme.
En fin d'après-midi, ils ont cessé de me baiser assez longtemps pour déballer le diner. Nous avons mangé et ils sont revenus directement sur moi. Je ne me suis certainement pas plainte. J'ai été prise dans une frénésie sexuelle et j'ai adoré chaque instant. J'ai demandé à quelle heure on rentrait et ils ont ri: "Nous avons loué ton cul pour la nuit," dit Jawad.
OK, ça me convenait très bien. Je me suis bien amusée avec ces deux grosses queues noires. Cette nuit-là, nous avons dormi sur le pont. La nuit était fraîche, mais j'avais la chaleur générée par deux beaux mecs noirs collés contre moi pour me garder au chaud. Ils se sont relayés pour me baiser presque toute la nuit. Nous sommes rentrés le lendemain dans la matinée. Il y avait deux autres bateaux attachés à la jetée quand nous sommes arrivés. Je suis sûre que les gens sur les autres bateaux et sur le quai devinaient à la minute où ils me voyaient que j'avais passé la nuit à être bien baisée par les deux étalons noirs. Je m'en foutais parce que je n'en connaissais aucun.
"Comment était votre voyage?" Charles a demandé quand nous sommes arrivés à la maison.
"Un super voyage," répondit Abdul. "Tu avais raison. Minette est un sacré coup, on est d'accord. La meilleure baise que j'ai eu depuis longtemps. Combien veux-tu pour elle?"
"C'est une location seulement", dit Charles en riant. "Tu es prêt à discuter affaire maintenant?"
Pendant qu'ils parlaient, je suis allé me doucher et me changer. J'ai regardé dans la chaussure où j'avais caché mon argent et j'ai vu qu'il y avait encore plus d'argent là-dedans. Encore trois mille dollars! J'ai ris tout le temps je me douchais. J'ai gagné trois mille dollars pour baiser avec deux magnifiques étalons! Pour la meilleure baise de ma vie! C'était génial!
C'était tard le dimanche soir quand Charles m'a déposée chez moi. Cette vieille caravane toute rafistolée me semblait encore pire, après avoir été dans cette belle maison tout le week-end.
"Eh bien, tu n'as pas l'air d'être plus usée," dit ma mère en me regardant. "Il t'a eue, n'est-ce pas?" J'ai admis que j'avais couché.
"Est-ce qu'il t'a payé?" Encore une fois j'ai admis que c'était vrai.
"Et ça en valait la peine?"
"Oui, ça valait le coup, maman," répondis-je.
"Je suppose que tu sais ce que tu fais de tes fesses!" dit-elle l'air triste.
"Ouais, maman, j'ai vendu ce que jusqu'alors je donnais!" claquai-je. "Alors, cela fait de moi une pute. Mais je suis une pute riche. J'ai gagné douze mille dollars ce week-end!"
"Bon, mieux vaut en mettre une partie à gauche," dit ma mère. "Tu ne sais pas de quoi l'avenir sera fait, et tu ne sera pas toujours jeune et fraîche. Est-ce que Charles a invité d'autres hommes pour te ...? Oublie ça! Bien sûr qu'il l'a fait. Il le fait toujours ..."
Tout à coup, ça m'a frappé. Maman ne devinait pas. Elle savait
"Toi?" Je lui ai demandé. "Tu l'as accompagné à Mobile, chez lui?" Elle hocha la tête avec lassitude.
"Oui, chez lui à Mobile", a-t-elle avoué. "Quand tu étais bébé, ton père a été blessé à la scierie. Il ne pouvait plus travailler et on manquait d'argent. Je cherchais un boulot et Charles m'a proposé une sortie. J'avais besoin, j'ai pris. Je n'en suis pas fière, mais j'ai fais ce que je devais faire pour survivre. J'avais une famille à nourrir."
"Combien de temps es-tu allée chez lui, à Mobile?"
"Pas très longtemps," répondit-elle. "Quelques mois. Charles se lasse vite d'une femme et va en chercher une autre. Il va vite se fatiguer de toi. C'est pour ça que je te dis de placer ton argent. Qui était là ce week-end?"
Je lui ai dit et elle a souri, un petit sourire triste.
"Je ne les connais pas tous. Fred et Roger, je me souviens d'eux. Ils sont amis avec Charles depuis longtemps. C'est Roger qui m'a dépucelé le cul, la première fois. Les autres, je ne les connais pas. Ils doivent être nouveaux. Je suis surprise que Charles ne t'ai pas montrée en spectacle. Il a toujours aimé que deux nègres défoncent une femelle blanche devant ses amis. "
Ma mère ne pouvait appeler des noirs autrement que des nègres. C'est comme ça qu'elle a été élevée. Là-bas, même les riches hommes d'affaire noirs s'appelaient des nègres.
"Tu as couché avec des hommes noirs?" Je lui ai demandé.
"Ooh, oui!" répondit-elle. "C'était une des exigences de Charles. Toutes ses femelles doivent baiser avec des nègres. Celles qui refusaient en ont vraiment souffert. Le mari, le père, le frère ou quelqu'un dans sa famille a perdu son emploi. Parce que j'ai été une bonne fille et que j'ai fait tout ce que Charles a voulu, ton papa a gardé son travail au moulin. Il a même été payé quand il a été mis au chômage. Te souviens-tu des Smith qui vivaient sur les chemins? Mary était le nom de la fille aînée. Elle a été attrapé par une douzaine de nègres apprivoisés de la bande à Charles. Ils l'ont mise enceinte."
"Qu'est-ce qui lui est arrivé?" J'ai demandé.
"Oh, Charles la emmenée quelque part et la fait avorter. Puis, pour se rembourser, il la placée dans un bordel pour nègres pendant un moment. Une boîte d'abattage. Cinquante passes par jour. Quand elle est réapparue un an plus tard, elle avait vieilli de dix ans. Je ne sais pas ce qui lui est arrivé ensuite. J'ai entendu dire que Charles avait utilisé sa petite sur comme sa chienne pendant un moment. Je n'ai pas de preuves, mais j'y crois."
"Je ne me souviens pas des Smith," dis-je. "Je ne me souviens pas d'elle ni de sa sur."
"Ce que je voudrais que tu comprennes, peu importe ce qui arrive, ça ne va pas durer longtemps. Tu deviendras à coup sûr une pute ou tu reviendras ici au bayou pour vivre une vie de misère. Mon conseil, c'est d'épargner chaque centime que tu peux et quand le moment sera venu, tu partiras dans le nord pour t'éloigner de tout cela."
Puis elle a fait quelque chose qu'elle n'a pas fait très souvent. Elle m'a serré fort dans ses bras.
"Va voir le docteur Millet demain et prends la pilule. Fais en sorte que chaque homme utilise un préservatif quand tu le peux. Minette, dès maintenant, tu dois te protéger du mieux que tu peux, parce que personne ne te protégera"
"Je vais le faire," dis-je en essayant de ne pas pleurer.
"Quand est-ce que vous avez rendez-vous, Charles et toi?"
"Ce vendredi, il m'emmène à Mobile," répondis-je en me demandant ce qui m'attendait.
Avant mon départ pour Mobile ce vendredi, j'ai donné à maman la plus grande partie de largent que jai gagné. J'avais le sentiment que je ne reviendrais pas et j'avais raison. Je ne suis plus jamais retournée au bayou. Même pas pour une visite.
Charles m'a installée à Mobile et j'ai baisé avec tous les hommes qu'il m'a imposé. Charles était un homme riche et vicieux, mais autant il était pervers, autant il était généreux. J'ai écouté les conseils de ma mère et j'ai économisé mon argent. Je n'ai pas attendu que Charles se lasse de moi. Après quelques mois, j'ai fait mes valises et je suis partie à Atlanta. Je me suis prostituée à Atlanta puis en Californie. Après la Californie, je suis allée à Saint Louis. J'ai toujours travaillé dans des bordels pour hommes noirs. J'y suis restée plusieurs années. J'ai économisé chaque centime que je pouvais.
Comme que je suis encore jeune et toujours potable à regarder avec une superbe paire de nichons, j'ai finalement atterri à New York. J'ai utilisé mon argent pour lancer ma propre affaire d'escorte. C'est ce que je fais aujourd'hui. Je fournis de belles femmes blanches à de riches hommes noirs. J'ai un gentleman noir qui me rend heureuse, alors je ne travaille plus beaucoup.
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