Véhicule Motorisé, Au Chalet, Chapitre 3 Volet 1
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Véhicule motorisé,
Au chalet.
Chapitre 3 volet 1
L'entrée est étroite et le chemin sinueux de sorte que de la route secondaire, personne ne puisse voir le chalet situé au bord du lac.
Le chalet qui me semble très grand, est construit sur pilotis : même les crues des eaux exceptionnellement hautes du printemps ne peuvent l'endommager.
À l'arrière du chalet, il y a un garage permettant de camoufler le motorisé de sorte qu'il ne puisse être vue par d'éventuels regards en provenance du lac.
Richard stationne le véhicule à coté du chalet.
Par la vitre avant du motorisé, je remarque la présence d'une Cadillac stationnée devant le chalet.
Je supoose qu'il s'agit de l'automobile du propriétaire.
Charles me dit :
« Vous allez rester dans le motorisé pendant que je vais aller voir le Doc. »
« Je peux retirer les agrafes que vous m'avez fixées dans les talons? »
« Non, le Doc va s'en charger! »
Charles quitte le motorisé : il se dirige vers le chalet et y entre.
Au bout de plusieurs minutes, Charles revient vers le motorisé en compagnie d'un autre homme.
Les deux hommes pénètrent dans la motorisé.
Je me retourne veurs eux
Charles s'adresse à moi :
« Roger, je vous présente Maurice. Il est médecin et propriétaire d'une clinique privée à Trois-Rivières. »
Maurice, tout en s'approchant de moi pour me tendre la main, il dit à Charales :
« Félicitations pour ton choix! »
Puis en me tendant la main, il s'adresse à moi :
« Charles m'a beaucoup parlé de vous et de votre soumission extrême. Il m'a également informé de vos craintes concernant certains supplices que nous pourrions vous faire subir. Charles et moi, nous nous rencontrons régulièrement pour satisfaire nos fantasmes sur des hommes tel que vous et nous savons comment nous y prendre pour vous faire souffrir sans que vous atteingniez vos limites et que vous perdiez connaissance.
« Surement! »
« Richard m'a informé que vous préféreriez ne connnaitre ce que nous vous réservions qu'une fois innstallé dans le chalet et en position de soumis? »
« Je préférerais! »
« Vos souliers à talons hauts sont magnifiques : ce qu'ils dissimulent doit être aussi beau et appétissant. Charles m'a informé qu'il vous avait fait subir la des agrafes : c'est douloureux? »
« Oui, mais supportable! »
« Je vais m'occupez de vous les retirer car je réserve à vos pieds des supplices excessivement plus douloureux. »
« Vous allez me les mutiler? »
« Oui, en quelque sorte! »
Le Doc s'agenouille entre mes jambes :
« Je veux, à partir de maintenant, que vous m'apppeliez Docteur, lorsque vous allez vous adresser à moi! »
« Bien compris, Docteur! »
« Abaissez le dos de votre fauteuil et encantez-vous. »
Je m'exécute.
« Vous avez suivi toutes les recommandations de mon confrère? »
« Oui, Docteur! »
« Vous vous êtes donc donné un lavement? »
« Un lavement hier soir et un Fleet ce matin. Docteur, lors d'un arrêt à une halte routière Charles m'a introduit un plug anal dans le cul! »
« C'est vrai, j'oubliais et votre pilosité? »! »
« Je me suis fait épiler les parties génitales de même que mon entrefesse tel qu'exigé sur la liste que Charles m'a remise.
« C'est de la poudre que vous avez sur le dessus de vos pieds? »
« Oui, Docteur! »
« Vous vous poudrez souvent les pieds? »
« Assez souvent, et particulièrement dans des circonstances telles qu'aujourd'hui. »
« Vous portez souvent des souliers à talons hauts? »
« Seulement quand je pense que ça va exciter les hommes avec qui je vais être. »
« Vous voulez donc m'exciter en portant des souliers à talons hauts? »
« Oui, Docteur, et je crois que c'est déjà fait! »
« Intéressant, très intéressant comme répoonse! »
Le Docteur s'adresant à Charles :
« Notre client semble répondre à tous nos critères?!
« Absolument, Maurice, exactement comme vous l'avez toutjours exigé! »
« Voyons? »
« Vous allez baisser votre bermuda.
Je me soulève de mon fauteuil et je baisse mon bermuda dévoilant du même coup mon léger sous-vêtement qui cache à peine mon pénis.
« Monsieur veut me mettre hors de moi? »
« Je ne demande qu'à vous pousser à bout, Docteur! »
« Les conséquences peuvent être dramatiques pour vous! »
« C'est pour cette raison que j'ai acepté l'invitation de Charles! »
« Retirez votre bermuda de vos pieds! »
Je m'exécute.
« Vous semblez bien membré? »
« En demi érection, Docteur! »
« Laissez-moi le plaisir de baisser votre string! »
Je me soulève à nouveau de mon fauteuil et le médecin baisse mon string.
Mon pénis se retrouve presque à la verticale.
« Magnifique, vraiment magnifique : un beau membre propre, fraichement épilé et circoncis. »
« Vous êtes satisfait,Docteur? »
« Très satisfait, mais c'est malheureux pour vous, n'est-ce pas Charles? »
« Je vous l'avais dit que nous avions un prospect exceptionnel! »
« Relevez vos jambes que je vois votre plug anal. »
Je relève mes jambes et je pose le bout des talons de mes souliers contre le devant du fauteuil et j'écarte mes jambes.
Le Doc le prend du bout des doigts et tire légèrement dessus.
« Il est bien en place : Charles, c'est un de nos plugs les plus gros que vous lui avez enfoncé dans les intestins! »
« Oui, Maurice, et notre client s'est tordu de douleur et il n'a pu s'empêcher de gémir quand je lui ai enfoncé dans le cul. »
« Charles,tu t'en viens aussi sadique que moi? »
« Maurice, tu es mon modèle! »
« Charles, placez-vous derrière le fauteuil. »
Charles se positionne.
« Roger, relevez vos jambes. »
Je relève mes jambes.
« Charles, prenez ses chevilles et maintenez-lui les jambes en l'air. »
Charles s'exéccute.
« Charles, écartez-lui les jambes que j'ai un plein accès à son cul. »
Charles écarte mes jambes et il place de devant de mes pieds contre ses épaules.
« Roger, je vais retirer très lentement de votre cul le plug anal afin que ce dernier écartent le plus douloureusement possible les muscles de votre sphincter. »
« Docteur, mon cul est à vous : faites en comme bon vous semblera! »
« Ici, vous pouvez gémir et même crier de douleur : personne ne peut vous entendre : vous êtes prêt à souffrir? »
« Oui,Docteur! »
Je sens que mes muscles se dilatent sous l'effet du plug qui commence à sortir de mon cul.
« Le pire de la douleur reste à venir : vous souhaitez que j'extirpe le plug d'un coup sec? »
« Non, Docteur : allez-y lentement pour que ce soit le plus douloureux possible. »
« Vous allez me faire éjaculer dans mes pantalons! »
« Dans ma bouche, Docteur! »
« Je n'ai jamais rencontré un homme aussi pervers que vous! »
« Ce n'est qu'une de mes facettes de perversité : vous allez surement me poussez à bout pour vous rendre compte de mes capacités à vous satisfaire. »
« Une fois dans le chalet, je vais vous pousser poussé au seuil de votre résistance et possiblement plus. »
Le Doc tire à nouveau sur le plug.
Tous les muscles du bas de mon corps se raidissent alors que Charles maintient fermement mes chevilles
« Haaaaaaaaaa! »
« Vous saignez un peu mais je vais m'occupez de ça un peu plus tard »
Le Doc tire à nouveau sur le plug.
« Hhhhaaaaaaaaaieeeeeeeeee.! »
« Respirez profondément, le plug est sorti de votre cul. »
« Vous allez me faire autre chose? »
« Et comment! »
« Vous allez m'enculer? »
« Non, je ne vais pas vous enculer mais....! »
« Vous n'allez pas me fister? »
« Oui, je vais vous fister! »
« Nooooooonnnnnnnnnn! »
« Si vous résistez le moindrement, vos testicules vont y goûter. »
« Vous allez les frapper? »
Le Doc se redresse. Je le vois étendre son bras et prendre quelque chose dans un tiroir. II se repositionne entre mes jambes.
« Vous voyez cette longue aiguille? »
« Ouiiiiii! »
« Si vous résistez, je vous transperce les deux testicules.
« Docteur, je ne vous résisterez pas, mais vous pouvez quand même me transpercer.......! »
« Charles, places les pieds de notre homme sous tes aisselles et maintient les fermement. »
« Bien Patron. »
Je vois mes pieds passer de sur les épaules de Charles à sous ses aisselles. Il ramène ses bras contre lui et emprisonne mes pieds de sorte que je ne puisse absolument pas les bouger
« Charles, baisse-toi un peu de sorte que le cul de notre victime soit bien dégagé du fauteuil. »
Charles prend la position demandée.
« Bien, notre homme est en position idéale pour ce que je lui réserve! »
« Maurice, avant que vous commenciez à le fister, j'aimerais que Roger baisse le fermoir-éclair de mon pantalon, qu'il dégage mon pénis et qu'il me masturbe. Quand je vais être sur le point d'éjaculer, je vais baisser ses jambes jusqu'à ce qu'elles atteignent son thorax et que je puisse faire pénétrer mon pénis dans sa bouche et éjaculelr dans le fond de sa gorge. »
« Roger, ça vous convient? »
« Je ne crois pas avoir le choix? »
« Non, évidemment! »
Je baisse le fermoir-éclair du pantalon de Charles puis je retire son pénis de l'intérieur de son caleçon.
Il est bandé.
« Laissez-moi le lécher! »
Charles érase mes jambes contre mon thorax et il se penche vers l'avant de sorte que son pénis soit près de mes lèvres.
Je sors ma langue et je lèche le bout de son gland.
« Suce-moi! »
Je tourne ma tête de sorte que son pénis puisse entrer dans ma bouche.
J'entrouve mes lèvres, je les humidifie avec ma langue et je laisse le pénis de Charles glisser dans ma bouche.
Je referme mes lèvres humides contre les chairs tendres de ce membre bandé.
« Roger, passe ta langue contrre toute la longeur de mon pénis. Je vais me retenir pour ne pas éjaculer dans ta bouche avant que le poignet de Maurice ne soit entré au complet dans ton cul. »
Le Doc prend un paire de gants en latex et les enfilent dans ses mains.
Il prend ensuite un lubrifiant et il en verse sur ses gants.
« Charles, entre ton pénis au fond de la gorge de notre homme de sorte qu'il ne puisse crier. »
J'entrouve légèrement ma bouche et je sens le pénis de Charles se propulser au fond de ma gorge.
« Roger, je vais vous faire très mal, mais vous n'avez pas le choix d'endurer ma main droite s'enfoncer lentement mais inexorablement dans vos intestins. »
D'une main, je frole sa main droite comme pour lui donner mon consentement.
« Si je vous fais trop mal, prenez votre pénis et masturbez-vous. »
« Pourquoi vous ne me masturbeirez pas de votre main gauche? »
« Ou, vous faire une fellation? »
Je sens le gand de latex se poser sur ma rosace.
Tous mes muscles postérieurs se crispent.
Je sens le bout d'un doigt se pointer contre ma rosace et lubrifiez mon sphincter.
Le doigt vainc la résistance de mon sphincter puis un deuxième doigt en fait de même.
Mes muscles commencent à se distendre.
Un troisième doigt se joint aux deux autres.
Pour tenter de supporter un peu plus la douleur qui devient de plus en plus vive, je laisse ma langue glisser le long de morceau de chair qui va et vient dans ma bouche.
Je le sens grossir : je le mordille avec une force telle que j'entends Charles se plaindre : il ne tente rien pour m'empêcher de la mordre.
J'ai mal : j'ai extrêmement mal.
Les cinq doigts de la main droite du Doc sont maintenent dans mon cul mais il reste encore son poignet à pénétrer.
Je ne peux m'empêcher de donner de violents coups de rein à répétition.
Le Doc profite de mon dernier coup de rein pour faire passer son poignet et une partie de son avant bras dans mon cul.
Je ne peux m'empêcher d'ouvrir la bouche et de hurler de douleur :
« Hhhhaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrr! »
Je referme ma bouche avec force : mes dents s'incrustent dans les chairs du pénis que je savoure.
« Charles gémit de douleur :Doc, je peux? »
« Bien sur! »
« Ma main au complet est dans votre cul : vous allez maintenant devoir subir mes mouvements de va et vient à l'intérieur de vos intestins en plus de la que Charles va vous faire endurer pour lui avoir mordu le pénis.. »
Tous les muscles de mon cul se dilatent et se contractent selon les mouvements de la main du Doc dans mes intestins.
Simultanément à ces mouvements, je sens que Charles tout en maintenant fermement mon pied gauche sous ses aisselles, il prend mon pied droit entre ses mains : il retire mon soulier à talon haut et le laisse choir par terre.
Le dessous de mon pied droit est à la portée de sa bouche.
Le Doc continue à me pistonner le cul avec de plus en plus de violence.
Tout en maintenant mon pied droit par l'extérieur avec sa main gauche du bout du majeur de sa main droite, il pèse fortement sur l'agrafe qui est incrustée dans le talon de mon pied droit.
« Espèce de sadique, tu jouis en me torturant le pieds droit! »
« Patron, je peux lui mordre l'ongle de son gros orteil? »
« Il a les pieds beaucoup trop beaux pour lui faire tomber l'ongle de son gros orteil, par contre, il y a une paire de pince dans le coffre à coté de toi. »
Charles ouvre le coffre et en sort une paire de pince long bec.
« Je t'autorise à lui arracher l'ongle de son petit orteil : notre homme va quand même pouvoir continuer à porter des souliers à talons hauts. »
« Non, je vous en supplie, pas ça! »
Le Doc continu à me fister de plus belle.
Du bout de ses doigts, il presse ma prostate.
Un filet de liquide préséminale sort de l'urètre de mon pénis.
Le Doc me dit :
« C'est mon mêts préféré : j'adore me régaler de ce liquide visqueux. »
Avec sa main gauche, il dirige le gland de mon pénis vers sa bouche et suce le liquide qui en sort.
Mon érection est instantanée
Le plaisir que je resent ne camoufle pas totalement la sensation que j'éprouve à mon petit orteil du pied droit.
Je sens les machoires de la pince se fermer contre le dessus et le dessous de l'ongle de mon petit orteil.
De sa main droite, le Doc continue à comprimer ma prostate qui se traduit par un filet de plus en plus important du liquide qui sort de mon urètre.
Mon pénis est maintenant entièrement pénétré dans la bouche du Doc.
Il me suce avec de plus en plus de force au point d'en oublier ce que me réserve Charles.
Ce dernier serre fortement mon petit orteil entre ses doigts et il tire avec force sur la paire de pince.
Mon ongle résiste un moment puis je sens qu'il se déracine de mes chairs
« Nonnnnn, nooooooonnnnnnnn, nooooonnnnnnnnnnnn! »
D'un coup sec, Charles arrache mon ongle.
La douleur est trop vive : je perd connaissance.
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