Collection Histoire Courte. Balade En Forêt (1/1)
Les beaux jours revenus, je me prépare avec Lucette mon épouse pour aller pic niquer en forêt à côté dun étang où jallais pêcher dans ma jeunesse, le coin est calme à une dizaine de kilomètres de chez nous, la vue étant magnifique.
Nous prenons la route, cest elle qui conduit, jai épousé sa mère, du moins Lucette est comme elle, une femme qui sait ce quelle veut.
Jai épousé sa mère, car hormis son caractère en tout point identique, après dix-sept ans de mariage, la petite fille svelte est devenue la même grosse vache quelle.
Certes, notre fils qui a le même âge, ayant eu limpression quelle mait piégé en se faisant engrosser afin davoir la bague au doigt, y est pour quelque chose, sa grossesse sétant mal passée, jusquà un accouchement par le siège.
Je suis dhumeur champêtre, ce matin par ce beau soleil, Franck est parti en camps scouts, il est moniteur pour la première fois ayant passé son BAFA, nous roulons tous les deux vers notre destination.
La robe à fleurs de Lucette remonte sur ses cuisses massives, jy porte la main, jaurais fait cela à un autre moment, je me serais fait rembarrer, mais là, est-ce le climat qui sy prête, elle me laisse faire.
Fait attention Luc, tu me déconcentres, nous sommes dans des virages.
Comme je lai dit, elle me remet à ma place dune manière douce, à d'autres moments, elle maurait dit Luc enlève ta main, tu me fais chier.
Eh, oui, Lucette a un langage très châtié à ses heures, quelques fois, elle me fait honte, mais je ferme ma gueule, cest vrai, je dois reconnaître que je suis faible devant elle.
Sans refus franc, je laisse ma main, je remonte jusquà sa culotte XXL, je peux même dire 3XL.
Elle est humide, certes sans être obligé de la tordre, mais elle est humide, avec un peu de chance, je pourrais la prendre sur la couverture qui est dans le coffre avec le panier du pique-nique.
Tourne à droite, prends le chemin de terre, il est relativement carrossable, jusquà un petit étang.
Enlève ta main, nous entrons dans la forêt, je veux éviter de casser ma voiture dans les ornières, tu veux vraiment que je tourne ici.
Voilà toute Lucette, ma voiture, ma maison, mon salon, son fils, mon tout ce que vous voudrez, dans sa bouche tout est à elle, je suis une quantité négligeable dans notre couple.
Nous baisons de temps en temps, mais quand elle veut et toujours dans la position du missionnaire, elle me tolère un doigtage de mise en forme, de toute manière, je me verrais mal sous elle et son gros cul écrasant mes roubignoles.
Elle arrête la voiture là où je lui dis, dix mètres, la place est libre, jinstalle la couverture, elle savachit dessus, jai vraiment épousé une baleine, mais bof, même si je suis sans amour pour elle, elle reste ma femme.
Jai lair de la dénigrer depuis le début de cette histoire, mais il faut dire que je pèse la moitié de son poids, ce qui peut faire peur, un point positif, qui envenime ses problèmes de poids, sa bouf, elle pourrait ouvrir un restaurant.
Dailleurs, son embonpoint est en partie lié à ce quelle mange, elle adore le sucre, les viennoiseries quelle cuisine, embaume notre maison, pour arranger son problème, elle étale de la pâte à tartiner dune marque bien connue à lhuile de palme.
Hors de question de lui parler décologie, soda, boissons mondialement connues font partie de son quotidien.
Hier, cherchant du sel, car sous couvert de régime, tout me semblant fade, jen ai trouvé quatre pots dun kilo en stock, quand un jour, je lui en ai fait la remarque, elle ma dit que cest sa mère qui craignant les récessions, étant née pendant la guerre, faisait des réserves.
Il faut voir le panier de pique-nique quelle a préparée, quatre paquets de gâteaux deux au chocolat et deux parfums pralinés, jadore ceux à la vanille, mais je men fiche cela me permet de rester svelte.
Mes copains mappellent lablette, je les ai même surpris un jour où me croyant absent de la salle de repos où nous buvons un café dire que lablette frayait avec un thon, je me suis bien gardé de me faire voir.
Notre conversation est limite, mais je me souviens de ma main sur sa cuisse, je décide dattaquer, je me rapproche, elle se laisse tomber en arrière, je vais pouvoir essayer de lui brouter la chatte.
Situation exceptionnelle, manque de chance, sous la couverture une souche qui va savérer être mon salut, je laide à se redresser, la baiser dans la position où elle se place, les mains sur la carrosserie de la voiture, impensable pour moi avant ce jour faste.
Elle me tend son fessier en écartant les jambes, est-ce possible, jévite les questions, je sors ma bite, je descends sa culotte et je plante son énorme cul, la baiser debout est un rêve que je croyais inaccessible.
Je lui déchire presque le devant de sa robe sortant ses gros nichons qui sont libres, à part sa culotte, elle est nue, je les prends en main, tirant dessus en même temps que ma verge tape sur son joufflu.
Elle semble aimer, aux cris quelle pousse, je voudrais bien faire une photo, jai vu un petit loulou blanc essayé de se coller à une chienne Doberman noir, nous devons présenter le même tableau.
Elle est revenue la grosse vache, tu pourrais me laisser un peu la place.
Je tombe des nues, lhomme sorti de nulle part semble connaître Lucette, sinon pourquoi avoir parlé de « la grosse vache. »
Reste où tu es, tu vas voir, elle adore être prise par plusieurs mecs en même temps.
Lucette le regarde, je vois son regard, il est trouble, jallais la porter vers mon but et la faire jouir, est-ce son état ou une habitude comme le dit le mec, mais quand il sort sa queue, deux fois plus grosse que la mienne, elle la saisi, se la fourre dans la bouche en lâchant la carrosserie de la voiture.
Faire une fellation, elle me la toujours refusée, elle a toujours été maître de nos jeux, la voir se faire soumettre par cet homme jamais vu alors quil semble la connaître, me remplit de joie autant que ma salope est remplie.
La grosse, je vais mallonger sur la couverture que tu as dû mettre là pour quon te baise, vient tempaler sur moi.
L'homme sallonge, ma queue quitte sa fente, elle se redresse pour exécuter lordre reçu, si on mavait dit quelle serait un jour soumise à ce bonhomme, jaurais signé des deux mains.
Viens lenculer, chaque fois quelle est là, il lui en faut deux ou trois, elle aime se faire remplir de partout.
Je suis les ordres moi aussi, je me place au centre de ma cible, la louper vue son ampleur, serais difficile, je pointe, je tire, cest serré et chaud et ça rentre sans grande difficulté.
Jignore ou jen suis, cest la première fois que je sodomise une femme, qui plus ait la mienne, certes sans aucun point de comparaison, mais que cest bon de sentir la verge du garçon de lautre côté de la paroi de la mienne.
Souvent du temps où javais plaisir à la baiser, je la faisais jouir, là cest un raz-de-marée surtout au moment où nos deux verges déchargent conjointement.
Pousse toi vieille salope, il est temps que je rentre, ma bourgeoise va se demander où je suis passé.
Lhomme disparaît comme il est apparu, sauf ma queue couverte de sperme, je pourrais croire avoir rêvé métant endormi sur notre couverture.
Nettoie ma queue, il va falloir que tu mexpliques !
Une femme refusant en temps normal de sucer la bite de son homme doit avoir quelque chose à cacher, sa bouche souvre, je me fais sucer divinement jusquà éjaculation.
Luc, que s'est-il passé, qui est cet homme, cest la première fois que je le voyais, pourquoi te tromperais-je, il a dû me prendre pour une autre.
Elle a recraché ma verge quelle masturbe tout de même dune main experte, impossible que ce soit la première fois quelle fasse cela à d'autres que moi, mais je sens que je peux en tirer avantage.
Tas récupéré la grosse pute, attends, on va taider, vu ton calibre, tu vas peiner tout seul.
Ils sont deux qui ont déjà sorti leur queue, je mécarte et massieds sur une souche darbre, il soccupe du cul de Lucette qui se laisse faire sans protester, jassiste à sa pénétration après quils lont placé en levrette.
Ma femme en levrette, jai bien des interrogations, mais quand elle se met à mugir sous les bites des deux balaises, lun dans lune de ses intimités, invisible de moi, lautre dans sa bouche, je suis certain quelle connaissait lendroit.
Comme le premier, ils disparaissent me laissant avec ma conscience, dois-je accepter dêtre cocu, jai la réponse quand elle se lève, enlève, le peu daffaires quil lui reste, elle va jusquà leau, sa cellulite tanguant de droite à gauche.
Cest sa figure à laquelle elle porte toute son attention, quand ils ont déchargé, cest sur son visage l'ayant visé, ils l'ont couvert de sperme, je ramasse la couverture que je mets dans le coffre.
Elle me rejoint, remet sa robe, sa culotte a disparu, elle semble sen foutre, je vais pour masseoir sur le siège passager comme chaque fois que je suis en voiture avec elle.
Prends le volant, je suis épuisée, tu sais, je te le promets, je te le jure même sur la tête de Franck, cest la première fois que je viens ici.
Tais-toi, tu me déconcentres, dans ces ornières.
Attention, après le virage, il y en a une plus profonde, je me tais, mais quest-ce que sétait bon, dit-on reviendra.
Une nouvelle fois, le doute me submerge, elle anticipe même les ornières, pourquoi avait-elle posé la question si cétait dans ce chemin que je voulais quelle entre notre voiture.
Je vois ce que tu peux penser, cette ornière, cest à laller que je lavais repéré.
Jignore lavenir, madame soleil, elle est décédée, ce quil y a de sûr, cest que Frank rentre avec un gros bandage au cuir chevelu après une chute dun arbre, mais il est encore vivant, ça laisse le doute.
Ce quil y a surtout de sûr, cest que lablette a aimé voir le thon se faire sauter par ce banc de maquereaux, lablette, va tout faire pour garder son avantage sur le thon, lavenir semble radieux cet été, je vais adorer venir faire des pique-niques, car dans ces deux mots, il y a nique.
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