La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1237)

chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode précédent N°1236) -

Sur ces mots, je m’installai dans les bras de Maitre et je m’endormis épuisée de la nuit que j’avais passée … Le lendemain matin à mon réveil deux larges plateaux étaient posés sur la table de la chambre, et je fis le moins de bruit possible pour ne pas réveiller Maitre. Je commençais à manger et au bout de 15 minutes, le Noble, à Son tour, se leva. J’allais m’installer au sol afin de me prosterner à Ses pieds quand Il me dit ‘non’. Et Il s’installa puis déjeuna. Une fois que j’eus fini de me sustenter, j’ai pu prendre une douche et me préparer pour le départ sans oublier d’obéir à Monsieur le Marquis d’Evans en lui suçant Sa noble Verge une dernière fois et d’avaler Sa semence, juste avant de me doucher… A l’heure prévue, Walter me conduisit jusqu’à l’aéroport de Saint-Exupéry à Lyon… J’étais triste de devoir partir aussi longtemps mais l’éventualité d’un contrat comme celui-là, je ne pouvais pas faire une croix dessus. Je me dirigeais vers l’enregistrement et une fois celui-ci effectué, je passais la douane puis j’attendais mon vol direct de Lyon à Dubaï que Maitre avait géré parfaitement et même du reste pour arriver jusqu’à chez l’Emir sans encombre. Quand je fus installée dans l’avion, j’envoyais un message au Châtelain pour le prévenir du départ imminent et comme retour, j’ai reçu ceci :

« Ma belle petite chienne, que ton vol se passe bien, Je viens d’avoir Mon ami au téléphone et il t’a fait envoyer à l’heure de ton arrivée, un chauffeur. Que ce mois rempli de surprise se passe bien et surtout Ma chienne, fait-Moi honneur. Le Maitre »

Le vol se passa bien et comme l’avait dit le Noble, le chauffeur de L’Emir m’attendait et je fus conduite au Palais de l’Emirat. Une immense demeure presque aussi grande que le Château du Marquis d’Evans, couverte de dorure et de sublimes tableaux orientaux. On me conduisit sans plus attendre jusqu’à lui.

L’Emir était assis sur son trône avec une de ses futures femmes à ses côtés. Elle aussi assise sur un trône et d’après le peu que je savais, ce serait elle, la favorite de l’Emir. J’étais très impressionnée par la prestance de l’Emir quand il prit la parole dans un français parfait, malgré un accent oriental évident :

- Bonjour à vous Crystal, qu’Allah vous protège. Bienvenue dans ma Demeure. Mon vieil ami Monsieur le Marquis m’a beaucoup parlé de vos nombreux talents. Je vous remercie d’avoir fait le déplacement pour finaliser un de mes mariages avec une de mes futures compagnes, ici présente. Mais tout d’abord, nous allons vous faire visiter et discuter préparatifs…
- Bonjour Votre Altesse (me courbant) et à vous aussi Madame, c’est pour moi un réel plaisir d’être accueillie ici dans votre Demeure. J’ai pu finir durant le vol, tout ce que vous m’avez demandé.
- Bien, nous allons nous installer ici…

Je m’assis et montrais à l’Emir et sa future nouvelle favorite, les plans de tables, la décoration du Palais, de la chambre nuptiale, etc… que j’avais établi selon les données que le Châtelain m’avait communiqué … Et ils étaient apparemment ravis. Le soir venu, je fus conviée au repas et nous nous trouvions dans la salle de réception seulement l’Emir accompagne de sa fiancée et moi-même. J’avais durant l’après-midi préparé avec l’aide des cuisiniers de l’Emir le repas qu’ils avaient choisi pour leur mariage. Et par la même occasion me dire les modifications à apporter. Tous leurs avaient plu sans exception, et à la fin du repas la favorite et future femme de l’Emir partie avec ses servantes, je me retrouvais donc seule avec lui et il me dit :

- Eh bien, Monsieur le Marquis ne s’était pas trompé en me parlant de vos talents de traiteur. Comme convenu durant le repas, ce sera ce banquet là que nous voulons servir à notre mariage. Mais maintenant, il est temps de parler d’autre chose et pour cela, allons dans votre chambre…

Je suivis l’Emir jusqu'à la chambre qu’il avait désignée pour moi.
Une belle chambre digne d’un palace…

- Maintenant que nous sommes seules, je vais pouvoir savourer avec plaisir le cadeau de mon cher ami. Donc dorénavant quand nous serons seuls, tu devras te comporter en bonne chienne docile et obéissante et faire tout ce que je t’exigerai. Mon ami, ce très cher Monsieur le Marquis d’Evans, m’a fait cadeau de toi, de ton corps à chaque fois que j’en aurai envie. Je connais la Grande réputation internationale du dressage qu’Il inculque à Ses chiens et chiennes pour faire appel à leurs services de temps à autres. En dehors des moments où nous serons seuls tu te comporteras comme une invitée vanille… Est-ce clair pour toi ? Une autre chose, les règles sont différentes de chez mon ami, tu as le droit à la parole des que je te pose une question.
- Oui Votre altesse, je ferai selon Vos exigences, je suis à votre entière disposition et prête à Vous obéir à Vos moindres Ordres.
- Ça, c’est une bonne petite chienne digne de Monsieur le Marquis, me dit-t’il en me caressant... Maintenant, je te veux entièrement nue, il est temps que tu me montres de quoi, tu es capable, petite salope de française... Quant à toi (il s’adressait à Sa future et nouvelle femme), tu te déshabilles aussi, te mets à genoux dans le coin de la chambre, les mains derrière le dos, la tête baissée et tu attends en silence, la chienne …

Je me dépêchais de me déshabiller et me mis en position d’attente, prosternée à Ses pieds, mes bras allongés devant afin que mes doigts puissent à peine toucher Ses chaussures, Mon cul nu bien relevé développant ainsi ma croupe arrondi à son regard. L’Emir s’approcha de moi et s’accroupit, d’un geste qui me parut tendre, il me caressa tout le corps à m’en donner des frissons. Ses gestes étaient calculés pour savoir où se trouvaient mes zones sensibles et ses caresses ne me laissaient pas indifférente. Et petit à petit, je me laissais aller sous ses mains baladeuses allant même les chercher. C’était différent de ce que je pouvais vivre au Château mais j’avais reçu l’Exigence de Maître d’obéir et de profiter.
Il m’installa sur le lit et commença à me stimuler le clitoris de sa bouche, alors qu’une de ses mains me tripotait les tétons et de l’autre, il me doigtait délicatement tout en me léchant mon clito. C’était un pur bonheur. Puis au bout d’un moment, il délaissa mon clito et mes tétons pour soulager son érection de ses vêtements et j’entamais alors une fellation comme on me l’avait appris, alternant avec des mouvements plus ou moins rapides jusqu'à réussir à le prendre jusqu'à la garde. Puis l’Emir prit le total contrôle et me baisa la bouche avec force et vigueur durant de longues minutes sans me manager. De mon côté, je me concentrais pour lui donner du plaisir et aux divers râles qu’il émettait, je devinais que sa jouissance n’était pas loin. En effet, d’un coup il s’enfonça jusqu'à la garde pour jouir dans ma gorge tout en m’empoignant mes cheveux fortement afin de me plaquer ma tête contre lui tout en me lançant des mots en arabe que je ne compris pas, même si je supposais qu’ils voulaient dire ‘’bonne salope’’ ou quelque chose du même genre. Je savourais sa jouissance en avalant tout son sperme puis en le nettoyant consciencieusement avec le travail de ma langue devenue experte pour ce genre de pratique...

Puis L’Emir se coucha sur le dos et m’ordonna de sucer sa verge devenue molle, après son éjaculation, avec l’Exigence de la faire durcir de nouveau. Il m’octroya tout le temps qu’il fallait à cela et que je ne devais pas me préoccuper si sa verge restait molle ou pas, il fallait simplement le sucer jusqu’à une nouvelle érection. Alor je me mis au travail, lui léchant et gobant ses couilles, puis m’occupait de sa molle queue pour la rendre dure comme un bâton. J’usais de ma bouche, de mes lèvres, de ma langue avec le savoir-faire le plus poussé. Il me fallut environ une dizaine de minutes pour lui redonner de la vigueur. Quand il constata sa verge de nouveau en une belle et virile érection, il se leva, me retourna puis me positionna à quatre pattes et d’une vigueur insolente, il entra profondément et sans préambule dans mon antre ruisselante de plaisirs, cette fellation m’avait fait mouiller, je dois bien le reconnaitre … D’ailleurs, l’Emir me fit la réflexion que jamais il n’avait vu une chienne aussi trempée et que c’était un pur bonheur de me limer la chatte par de sauvages coups de boutoir et de coups de reins tout en me prodiguant des fessées sur mon cul.
Petit à petit, je sentais ma croupe rougir, chauffer et ma jouissance venir par ses puissants coups de queue. Je pense qu’il l’avait senti car au moment où j’allais exploser, il me lança :

- Que tu es bonne prendre, petite chienne de France… Sache que mon aïeul, jadis, a été l’Invité privilégié du Roi de France, Louis XIV au Château de Versailles et que depuis cette époque, le plaisir de posséder des femelles de France est resté bien ancrer au fil des générations… J’adore te sentir sur ma bite bien dure. Mon Cher ami ne m’a pas menti sur tes capacités à te retenir. Mais je vais t’accorder l’orgasme et sache que ici et durant tout ton séjour tu es autorisée à jouir quand je te prendrai quand tu en sentiras le besoin sauf ordre contraire de ma part et sache aussi que tu te soumettras uniquement à moi et à personne d’autre, compris, petite salope ?
- Oui, merci Votre altesse.
- Bien alors maintenant montre-moi le plaisir que je te provoque avec ma queue dans ta chatte de chienne car je sais que lors de tes orgasmes, tu es une véritable chienne fontaine, exécution, jouis maintenant, j’ai dit, me lança-t-il tout en me besognant à grands coups de reins puissants...

A cet instant, je me laissais donc submerger par l’orgasme dévastateur qui montait en moi pour exploser simultanément avec l’Emir qui lâcha de nouveau sa semence par flots saccadés au même moment. Ce fut une jouissance extrême car quand il se retira tout son sperme et ma mouille sortirent en un long flot fontaine du fait que mon orgasme continuait encore et encore sans discontinuité.

- Eh bien, ce cher Edouard a dit vrai ! Tu es une belle chienne fontaine, comme j’aime ça ! J’adore voir jaillir ton éjaculat, tu comprends maintenant pourquoi tu es autorisée à jouir autant que tu le désires, car j’aime voir les femmes fontaine en pleine action laisser gicler leur mouille… Tu es sublime durant l’orgasme... Bien, il est tard, et cette nuit, tu dormiras ici dans ta chambre mais avec moi, car si jamais j’ai encore envie de te prendre, que je ne me prive pas de la belle salope que tu es ...
- Merci Votre Altesse, c’est trop d’honneur que vous me faites.
- Je sais, aller maintenant, viens dans mes bras et dors, petite chienne de France...

Je fis ce que l’Emir me dit et m’installa en position fœtale dans ses bras et en 2 minutes, la fatigue aidant, je m’endormis, calme, sereine et apaisée…

(A suivre …)

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