Collection Zone Rouge. Belle-Maman (1/2)
Jhabite Paris, je suis fiancé à une Roubaisienne, nous nous voyons épisodiquement, en juillet, nous nous marions, elle est professeur des écoles, elle a demandé sa mutation, à la rentrée prochaine, elle débute dans lécole à cent mètres de chez moi qui va devenir notre chez nous !
Mon propre travail, je suis itinérant pour une société, je vends des machines-outils et jétablis des diagnostics en cas de panne ou de malfaçon, je fais même des réparations en cas durgence, je suis tout à fait qualifié pour cela.
Jai de bons revenus, boursicotant un peu, jaurais pu travailler dans ce secteur, mais les voyages forment la jeunesse, cest le soir quand je suis dans les hôtels que je vais améliorer mon ordinaire.
Jai trente ans, pour certains, cest vieux, pour moi qui mentretiens, jai de longues années devant moi, si Dieu me prête vie.
Ces derniers mots, ce sont ceux que prononce le commun des mortels, aucune panique, je vais vous raconter mon aventure et non celle dune bonne sur, priant dans son couvent, quoi que dans certains, les nones et les curés sen donnent à cur joie.
Jai lu une histoire ou des nones pour aider les petits Africains, travaillait en Suisse dans un bar à pute.
En France, ce genre de lieu existe, mais cest grâce au bouche-à-oreille que vous aurez ces bonnes adresses, jen connais à Paris et dautres en Belgique, sans oublier lEspagne et bien sûr, la Suisse.
Suis-je bête, tous les pays nous touchants ont leur prostitution, à de nombreux endroits, seul le racolage est interdit ?
Revenons à ma fiancée, Magalie, je suis loin de lavoir rencontré dans un bordel, elle sortait peut-être du couvent des oiseaux, ses parents lavaient envoyée étudier en Suisse, elle me roule de magnifique pelle, mais pour ce qui est de la baise, je la noterais, peut mieux faire.
Elle ma avoué que si elle savait bien embrasser, cest quelle avait appris avec une copine de pensionnat sans pour autant aller jusquà se gouiner.
Cest dans un cinéma que je lai rencontré, elle était avec une amie, jai horreur de me prendre la tête, cétait le dernier Dany Boon que jétais allé voir.
Nous avons tellement ri quà un moment malgré le noir, nous nous sommes regardés, nous avons eu le coup de foudre, ce soir-là, nous avons pris un verre place du Général ou encore grande place de Lille.
Je lai raccompagné, malgré ses 20 ans, moi qui en temps normal suis prompt à les ramener dans mon hôtel, jai mis plusieurs semaines à lui compter fleurette.
Cest chez ses parents que je lai dépucelé, elle mavait donné rendez-vous lors dun de mes passages pour que je rencontre ses parents avec mon accord bien sûr, quand nous sommes arrivés, son père était encore à son travail à la mairie de Lille.
Elle a appelé sa mère qui sest excusée, elle avait pris du retard, elle faisait ses courses, elle ma fait visiter sa chambre, une chambre il y a un lit, un lit, fait pour sallonger, mais pas spécialement pour dormir.
Nous nous sommes embrassés une nouvelle fois, je lai couché tout en lui dégageant les seins, fort beaux dailleurs, je les ai sucés, léché allant même jusquà les mordiller.
Arrête, tu me fais mal, tu sais, je suis vierge, je veux bien, ce sera la première fois.
Cest ainsi que simplement le pantalon à mes pieds, sa petite culotte écartée sur le côté pour que je puisse passer, que jai dépucelé celle qui deviendra ma femme dans quelques semaines.
Jallais lui apprendre à se faire baiser en levrette, quand on a frappé, la porte souvrant dans le même temps.
Pardon, les s, je vous cherchais, jai appelé, personne pour me répondre, jai frappé, mais jai été trop vite pour ouvrir.
Cest le premier contact que jai eu avec belle-maman, mon cul, placé comme je létais, je devais lui montrer mon beau postérieur, mes fesses sont incontestablement, avec mon visage harmonieux, les parties les mieux équilibrées.
Le sport que je pratique tous les jours en semaine là où je suis, en faisant trente minutes de jogging ont permis à mes fesses de présenter deux fossettes.
Jai rempli ma capote, nous devions faire notre contrôle sida, dans les jours prochains et belle-maman devaient lui faire voir un gynéco pour lui prescrire la pilule.
Nous nous sommes rajustés après être passés dans la salle de bains attenante à la chambre de Magalie.
Deuxième contact avec belle-maman, javais enlevé mon pantalon par faciliter mon déplacement, cest en sortant quelle est sortie de sa chambre, belle blonde de 44 ans, son âge, je le savais, nous en avions parlé ensemble avec Magali un soir devant un verre quand nous nous sommes expliqué nos existences.
Rhabillé, nous les avons rejoints, Gustave, le père venait de rentrer, soirée sympa, le père bon vivant côté chaire et boisson, mais obnubilée par son travail, heureusement, il aimait le foot.
Et vous belle-maman, que faite vous, vous avez un travail !
Jai vu un certain embarras sur son visage avant sa réponse.
Je suis infirmière dans une clinique privée à Tournai en Belgique, je travaille avec ma copine Agnès, nous sommes voisines.
Ma femme est pleine dabnégation, ça fait 18 ans quelle exerce son sacerdoce la nuit dans cette clinique.
Pourquoi en Belgique, si vous aviez vos diplômes français ?
Quand jai commencé après la naissance de Magalie, cela avait deux intérêts, je travaillais la nuit, Gustave le jour, nous pouvions lélever à tour de rôle sans payer une nounou.
Là encore, jai senti quelle avait du mal à trouver ses mots, elle faisait un effort intellectuel pour raconter son histoire.
Agnès ayant suivi les mêmes cours que moi, est venue me faire voir lannonce dans notre journal local quune clinique privée de Tournai cherchait du personnel, même débutant, nous y sommes allées, rapidement, ils nous ont proposé ce travail de nuit mieux rémunéré, nous avons accepté.
Le repas se termine en parlant du futur mariage, Magalie me raccompagne à ma voiture, membrasse, je veux passer ma main là où je lui ai pris sa fleur.
Arrête, pas dans la rue, on pourrait nous voir.
Une nouvelle fois, jai vu toute létendue du travail à faire avec elle, mais, coup de foudre oblige, je laime et je continue à vouloir lépouser.
Passons rapidement à quelques jours de mon mariage, je suis près de Tournai dans un hôtel avec un copain avec qui je dîne de temps en temps, il a un travail semblable au mien, pour une autre société, il nous arrive daller faire une virée pute de temps en temps.
Sacha, jai récupéré des cartes dun bar à pute non loin dici, jaimerais y faire une petite virée.
Sans moi, Hugo, je vais me marier, je veux être fidèle.
Tu es con, ce bar à pute, contrairement à ceux qui ont pignon sur rue et qui ont des néons attirant le client et par là même le regard de personne que nous préférerions éviter de rencontrer est entièrement anonyme.
Même leur carte est lénifiante, tu es sûr de la tranquillité.
Sans moi, je reste sur ma décision.
Bonne branlette, tu peux garder la carte, jen ai une autre.
Je lai posé sur la table et je lai oublié, dans la nuit, jai regretté de lavoir laissé sur la table, je suis descendu, les cuisines étaient éteintes, mais ouvertes, jai fouillé la poubelle la carte était là, un peu salie, mais lisible.
Jétais dans le coin pour deux jours à 22 heures le lendemain, jai mis mon GPS, comme Hugo me lavait dit, la maison cossue était très discrète.
Seul un bruit de musique et de la lumière sous les volets fermés ma fait voir que jétais bien devant un bordel.
Une porte, une sonnette, un Judas doù un il vous scrute, la porte qui souvre, une femme dun certain âge vous laisse entrer.
Tout droit, jeune homme, cest votre première visite, jai la mémoire des visages, une belle gueule comme la vôtre, je laurais remarqué, hélas pour moi, je tiens cette maison, mais je reste derrière ma caisse.
Je vous présente les deux filles qui travaillent ce soir, Armelle la blonde et Angéla, la jolie métisse.
La blonde se retourne, jai failli dire.
« Belle-maman. »
Un moment de stupeur entre nous, je me reprends vite.
Mesdames !
Monsieur.
Tu moffres un verre.
Cest la jeune black qui veut maccaparer, je me vois mal passer devant belle-maman au bras de lautre pute, aller tirer un coup sans aucune explication et repartir comme je suis venu.
Vous êtes fort charmante jeune dame, mais jaimerais être en tête-à-tête avec madame.
Vous moffrez le champagne, Edwige sert nous dans le petit salon intime.
Tu es la meilleure Armelle, je vais te regretter.
Nous passons dans le petit salon, belle-maman reste imperturbable, quel sang-froid, le champagne arrive, jignore combien cela va me coûter, mais je suis dans lattente de savoir par quel hasard, cette femme, se prétendant infirmière, est une péripatéticienne travaillant en Belgique
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