Nina
Je m'appelle Nicole et je suis brésilienne. Dans ma famille, on me surnomme Nina. Même si je suis née et j'ai grandi à Rio de Janeiro, mes parents sont tous les deux européens. Je suis à l'université actuellement. J'ai vingt et un ans et on me dit jolie. En réalité, je sais que je suis un peu dodue, mais j'ai de gros seins et c'est amplement suffisant pour attirer les gars! J'aimerais avoir un meilleur bronzage, mais ma peau est vraiment laiteuse. Mon abondante chevelure rousse, mes yeux verts, peuvent plaire, mais ce sont mes seins qui attirent le regard des hommes. Quand ils discutent avec moi, ils ne peuvent pas me regarder dans les yeux, mais il faut bien avouer que je sais mettre mes atouts en valeur.
Je vis hors du campus universitaire dans un complexe d'appartements pour étudiants. Un soir, en rentrant chez moi, je suis passée devant un appartement du rez-de-chaussée et, comme la lumière était allumée, j'ai jeté machinalement un coup d'il.
À l'extérieur, le soir tombait et mon regard a été inconsciemment attiré par la lumière de l'appartement. Comme les rideaux n'étaient pas fermés, j'ai pu voir un spectacle qui m'a fait frissonner.
À même le sol, dans la lumière, j'ai vu un couple avoir des relations sexuelles. Elle était blanche et lui était noir. Il était sur elle et je pouvais aussi voir sa bite entrer et sortir d'elle. À travers la fenêtre entrebâillée, je l'entendais gémir et le supplier de la baiser plus fort.
Je restais figée, comme hypnotisée, et je les regardais pendant plusieurs minutes. La décence me dictait de détourner les yeux et de partir, mais je n'ai pas bougé. Mes pieds semblaient enracinés dans le sol. Il est assez courant de voir des couples interraciaux au Brésil, mais mes origines européennes et mon éducation, très conservatrice, font qu'il ne me serait jamais venu à l'idée de sortir avec un noir. Au Brésil, on dit négro. Certaines de mes amies fréquentes des mecs noirs et j'ai toujours ce sentiment curieux que ces filles sont des salopes affamées de sexe.
Debout dans la lumière du réverbère, je savais que j'étais clairement visible si l'un d'eux regardait par la fenêtre. Même avec cette certitude, j'étais incapable de détourner mon regard. Cet homme noir baisant cette femme blanche, la taille de son manche qu'il enfonçait profondément dans la chatte distendue, les encouragements qu'elle criait, tout cela me bouleversait et me fascinait en même temps. En les regardant, je sentais mes tétons durcir et, au plus profond de mon ventre, une boule de désir se formait, provocant l'humidité de ma chatte.
Je regardais l'homme repositionner sa partenaire à genoux pour la prendre en levrette, la tête tournée vers la fenêtre. Maintenant si l'un des deux levait les yeux, j'étais en plein dans leur champ de vision. Cet acte de perversion, ce voyeurisme, ne me ressemblait pas parce que je suis fondamentalement une personne timide.
J'ai réalisé soudain que je triturais mon téton machinalement, excitée par la vision du couple en rut à l'intérieur. J'ai écarté ma main, mais elle est revenue comme si elle avait une vie propre. J'ai regardé de nouveau le spectacle et j'ai eu un choc en constatant que la jeune femme me fixait. Vue! Mortifiée, rouge de honte, je me suis éloignée précipitamment. Je suis rentré chez moi pour baigner d'eau froide mon visage brûlant. Je tremblais comme une feuille en me remémorant l'acte charnel dont j'ai été le témoin.
Impossible de chasser cette vision de mon esprit. La violence de la posture, à même le sol, la force dégagée par limpressionnante musculature du noir, de même que la taille démesurée de son chibre, l'extrême soumission de la jeune femme qui suppliait l'homme de la baiser plus fort et plus profond, sans parler du contraste des couleurs de peau, me bouleversait et échauffait mes sens.
Pendant plusieurs jours, impossible de m'endormir le soir sans penser à eux, et je me caressais en imaginant ce couple en rut baiser comme des animaux.
Mon appartement est à deux bâtiments de celui du couple. Même si je ne les connaissais pas, je me suis efe d'éviter ce bâtiment pendant près d'une semaine. C'est le week-end suivant que j'ai rencontré la jeune femme. J'étais à la laverie automatique. Je lisais un bouquin en attendant mon linge. Absorbée par ma lecture, je ne l'ai pas vu entrer.
Elle s'est assise à côté de moi, sans que je prête attention à elle.
"Salut, as-tu aimé le spectacle?" dit la voix à côté de moi. Il m'a fallu un moment pour réaliser qu'elle me parlait.
"Pardonne-moi," dis-je en la regardant. Je l'ai immédiatement reconnue, son visage rempli de désir était gravé dans mon esprit.
"Je t'ai demandé si tu as apprécié le spectacle, lundi soir" répéta-t-elle en souriant.
Je voulais fuir mais je ne pouvais pas faire un mouvement. Je me sentais rougir affreusement, prise de honte.
"Pourquoi n'es-tu pas venue nous rejoindre? Mike adore se donner en spectacle" a poursuivi la femme.
J'ai réalisé qu'elle n'était pas en colère contre moi et j'ai commencé à me détendre un peu. Pas beaucoup, mais un peu ...
"Je suis tellement désolée" j'ai réussi à prononcer. "Je ne voulais pas vous espionner. J'étais juste
"
"Hé, ne t'inquiète pas pour ça," dit la femme en posant une main sur mon bras. "Comme je l'ai dit, Mike aime baiser en public, surtout si c'est un public féminin" elle a ri, "je suppose que moi aussi sinon j'aurais fermé les rideaux. Je m'appelle Jody."
"Bonjour, Jody. Moi, c'est Nicole, mais on m'appelle Nina, et je ne suis pas une voyeuse perverse
d'habitude!"
"Hé, ne tinquiète pas à ce sujet," dit Jody en riant. "Peut-être qu'un jour je te regarderai baiser et nous serons à égalité."
Je ne savais pas si elle plaisantait ou pas, mais ses mots ont envoyé un picotement dans ma chatte. Je ne ferais jamais ça ...
"D'où viens-tu, Nina?" elle a demandé. Je lui ai dit que j'étais originaire du Brésil.
"Ah, le pays des mâles ardents et des femmes sensuelles.
"Je suppose que oui," marmonnais-je. "Je n'avais jamais pensé à ça,"
"As-tu aimé ce que tu as vu?" Je hochais la tête rapidement, mon visage sempourprant d'embarras.
"Ouais, je pensais que tu serais venue nous rejoindre," dit Jody en riant et en me donnant un coup de poing amical dans les côtes.
"Tu es restée longtemps, n'est-ce pas?" De nouveau, je hochais la tête. "As-tu déjà baisé avec un noir?"
Je secouais la tête négativement. Elle a ri de ma timidité.
"Mais tu y as pensé, n'est-ce pas?" Elle n'a pas attendu ma réponse. "Il n'y a rien de tel que d'avoir une grosse bite noire bien raide qui s'enfonce dans ta chatte. Mike n'est pas le seul homme noir avec qui je baise, mais c'est mon préféré. Je n'ai jamais rencontré un sexe noir que je n'aimais pas. En fait, je n'ai jamais rencontré de bite de n'importe quelle couleur que je n'aimais pas. Cependant, le noir est ma couleur de prédilection. Mike est mon préféré parce qu'il peut baiser pendant des heures."
J'étais gênée. Mon visage était rouge vif. Je voulais fuir cette personne qui parlait de manière si crue des choses du sexe. J'ai regardé autour de moi pour voir si quelqu'un était assez proche pour entendre Jody. Heureusement, nous étions les seuls dans la laverie.
"Pourquoi ne viendrais-tu pas chez moi ce soir vers huit heures? Tu pourrais voir Mike, de près et personnellement? Avec un peu de vin pour te détendre, tu pourrais ..."
Je n'ai pas répondu. Sa suggestion m'a presque mise en panique. J'ai murmuré une excuse à propos de mes cours, attrapé mon linge et j'ai fui, terrorisée par la manière abrupte de cette fille me proposant de les regarder baiser. Toute l'après-midi je me suis répétée à plusieurs reprises que je n'étais pas une perverse. Que je n'avais pas besoin de regarder les autres pour avoir des relations sexuelles. J'avais eu des copains et si je voulais du sexe, je pourrais avoir n'importe quel homme.
Je suis arrivée à l'appartement de Jody un peu après huit heures et j'ai sonné. La porte sentrebâilla et je vis l'il de Jody me regarder, puis la porte s'ouvrit largement.
"Je savais que tu viendrais," dit-elle en me souriant. "Je savais juste que tu en crevais d'envie. Entre et assieds-toi."
Je l'ai suivie dans le salon. Mes yeux se sont d'abord dirigés vers les fenêtres pour vérifier que les rideaux étaient fermés. Immédiatement après, j'ai regardé l'homme noir assis sur le canapé. Mike, je suppose, un homme athlétique, et massif. La lumière de la lampe se réfléchissait sur son crâne rasé. Malgré les cicatrices de son visage, il était beau. Peut-être pas si beau, mais intimidant ou dominant.
Jody est une jeune femme blonde à cheveux courts. Elle est plus grande et plus fine que moi, mais ses seins sont mignons. Je pouvais voir ses seins parce que sa chemise était ouverte. Ça, plus la bosse qui déformait le pantalon de Mike m'indiquait qu'ils ne m'avaient pas attendue pour commencer leurs ébats.
"Mike, voilà Nina. Nina, ce bâtard c'est Mike," dit Jody en se laissant tomber près de Mike. "Installe-toi, Nina. Pas de gêne entre nous. Je t'ai servi un verre de vin à côté de toi." J'ai vu le grand verre de vin rouge. Apparemment, elle était plus sûre de mon arrivée que moi. Les mains tremblantes, j'ai réussi à avaler une gorgée de vin sans renverser. Quand j'ai levé les yeux vers Jody et Mike, ils recommençaient leur étreinte serrée là où ils l'avaient laissée.
Mike fit glisser la chemise de Jody sur ses épaules et lui pelota la poitrine. C'était sans aucun doute la scène la plus érotique à laquelle j'ai assisté. Sa grande main noire sur sa poitrine pâle, caressant et triturant son mamelon de couleur corail, me rendait chaude. J'ai immédiatement commencé à mouiller et mes tétons se sont durcis comme des cailloux.
Avec une aisance due à la pratique, Mike dégrafa le pantalon de Jody. Elle l'a aidé en soulevant ses fesses afin qu'il puisse l'ôter complètement. C'était surréaliste de regarder ce grand noir malmener la poitrine et la chatte de la petite femme nue. C'était comme regarder un DVD de très haute résolution, mais en relief. Je me tortillais littéralement sur mon siège.
Quand Jody a ouvert son pantalon et sorti sa queue, je me suis assise complètement droite. Ce n'était pas le premier pénis que je voyais, mais c'était le premier pénis noir que je voyais de près. Il était beau! Dans la main blanche de Jody, sa bite paraissait encore plus grande que dans mon souvenir.
Jody caressa la beauté d'ébène qui devint encore plus grande et plus rigide. Quand elle se pencha pour prendre sa virilité dans sa bouche, j'ai ressentis la cruelle morsure de la jalousie. C'était comme si elle me prenait quelque chose qui m'appartenait et je la détestais. Cela ne dura qu'un instant et la raison me revint. Jody partageait quelque chose avec moi, pas l'inverse.
Pendant plusieurs minutes, alors que Jody léchait et pompait sa poutre noire, j'avais peur de cligner des yeux de peur de rater quelque chose d'important. Je caressais mes deux seins avec mes mains et je me fichais qu'ils puissent me voir. J'ai dû peloter mes mamelons douloureusement durs pour soulager les pulsations. Mon soutien-gorge gênait mon pétrissage et j'ai rapidement retiré mon chemisier et mon soutien-gorge pour avoir accès plus facilement à ma poitrine.
Je n'avais jamais rien fait de tel, je suis généralement plutôt prude, une "fille sage". Jamais je n'aurais pu imaginer m'asseoir chez quelqu'un d'autre, regarder un spectacle aussi érotique en me tripotant comme ça, mais cette nuit-là, cela me semblait juste ... hé bien ... normal ... naturel. J'étais trop enthousiaste pour y penser, tout ce que je voulais, c'était libérer toute ma bestialité originelle.
"Magnifique", j'ai entendu une voix masculine. J'ai vu que Mike me regardait caresser mes seins nus.
"Des seins magnifiques", dit-il. Jody tourna son regard vers moi, sourit et retourna à sa tâche de sucer la queue magnifique.
"Jody, as-tu déjà vu une paire de seins comme les siens?" Mike a demandé. "Viens ici, petite, je veux les goûter."
Je suis restée assise, stupéfiée. Il voulait goûter mes seins et je ne pouvais même pas bouger! À la demande de Mike, Jody cessa sa fellation et se dirigea vers moi.
"Tu as une belle poitrine, Nina," dit Jody en s'asseyant sur le bras de mon fauteuil. Je tressaillis quand elle se pencha pour me caresser la poitrine. Aucune femme, pas même ma mère, ne m'avait touché les seins, depuis qu'ils étaient formés.
Je savais depuis quelque temps que j'étais curieuse de sexe saphique, mais c'était resté une simple curiosité. Sa main sur ma poitrine était merveilleusement douce et ferme. J'ai senti augmenter mon désir tandis qu'elle jouait avec mes tétons sensibles. D'abord un mamelon puis l'autre. Ma respiration était rapide et sifflante et j'avais peur de défaillir. Elle ne m'a pas laissé le temps de m'évanouir. Elle me fit lever et m'entraîna à travers la pièce jusqu'à l'endroit où Mike m'attendait. Elle a ôté ma jupe et ma culotte. Devant moi, Mike était complètement nu tandis que Jody jouait avec mes seins.
Je sais, j'aurais dû l'arrêter, mais c'était trop bon. Les yeux du mâle en rut sur moi m'excitaient. J'étais à des kilomètres de chez moi
personne ne le saurait, pourquoi ne pas faire quelque chose d'insensé dans mes années d'université? J'ai pensé que ce serait mon petit secret à l'avenir, pas de grand mal à ça, et j'ai laissé les choses continuer avec un gémissement d'approbation.
Jody m'a assise à côté du dieu noir. À peine assise, sa bouche s'est emparée de ma poitrine. J'ai joui au contact de sa bouche chaude.
Je subissais un mélange d'émotions contradictoires. Il y avait de la crainte, du désir, de l'embarras, et surtout je ne parvenais pas à réaliser que cela m'arrivait. Mon instinct me disait que je ne devais pas être là. Que je ne devais pas être nue dans les bras d'un étranger noir. Que ses lèvres et ses dents ne devaient pas être sur mes tétons, me causant une merveilleuse douleur.
La bouche de Mike abandonna mes seins meurtris pour prendre ma bouche, sa langue forçant le passage pour envahir la mienne, m'obligeant à l'accepter. Je n'avais jamais ressenti la pulsion de sentiments érotiques aussi puissants. J'étais brûlante de désir. Je voulais ... Je devais être prise par le puissant homme noir.
Jusqu'à ce que je sente ses mains sur mes jambes, j'avais complètement oublié Jody. Tandis que Mike dévorait ma bouche, Jody écarta mes jambes en les soulevant pour faciliter l'accès de la main de Mike sur ma chatte lancinante.
J'ai eu un frisson de bonheur quand ses doigts ont capturés mon clitoris. J'étais si mouillée qu'il n'a eu aucune difficulté à mettre ses doigts dans ma chatte. J'ai commencé à trembler comme si j'avais de la fièvre et j'ai senti venir un autre orgasme. Vaguement, j'ai entendu Jody dire à Mike de retirer ses doigts et quand il le fit je sentis sa bouche sur ma chatte.
Je voulais protester. Je voulais demander qu'elle s'arrête, mais je ne pouvais pas parler avec la langue de Mike dans ma bouche. Je ne pouvais que gémir alors que Jody écartait mes cuisses pour se donner un accès total à mes parties les plus intimes.
Quelles que soient les protestations que j'ai tentées, elles sont mortes en léchant, en embrassant et en mordillant ma chatte. Même si j'avais voulu, je n'aurais pas pu arrêter l'orgasme tonitruant qui s'est abattu sur moi.
"Baise la petite salope brésilienne, Mike," dit Jody à l'homme en soulevant son visage mouillé. "Donne-lui ce qu'elle est venue chercher. Défonce-la, fais-la crier." Elle me tenait toujours les jambes ouvertes et ils me firent pivoter sur le canapé.
Mike ne perdit pas de temps pour se mettre en position entre mes jambes, et présenter son membre viril à l'entrée de ma grotte humide.
"Je ... Ooh! Je
Mike ... Je ne
Jamais avec un noir ..." J'ai essayé de protester, de me plaindre. Ils m'ont traitée de pute, de salope, de chienne, mais je ne pouvais rien faire d'autre que gémir et bégayer tandis qu'il frottait son membre contre ma fente.
"Je tiens ses jambes" dit Mike de sa voix rauque. "Plante ma queue dans sa chatte. À toi l'honneur puisque tu m'as amenée cette femelle."
Jody a utilisé son pénis épais comme un gode. Elle l'a fait coulissé de haut en bas dans ma fente humide. Elle l'utilisait comme un marteau pour tapoter sur mon clitoris gonflé et enflammé. J'étais un chaudron bouillonnant de convoitise passionnée.
"Dis-moi ce que tu veux, Nina," exigea Jody.
"S'il te plait," pleurnichais-je.
"S'il te plait quoi?" insista Jody en me souriant largement.
"S'il te plaît ... mets-le ... mets-le moi
en moi" j'ai réussi à articuler en gémissant.
"S'il te plaît!" Je lui ai crié dessus. Je détestais être tourmentée comme elle me le faisait. J'ai soulevé mes hanches vers sa virilité triomphante.
"D'accord, puisque tu l'as si gentiment demandé," dit Jody. Elle a placé le gland monstrueux de Mike à l'orée de ma chatte. J'ai essayé de me soulever davantage, mais je n'ai pas pu. Je levais un regard suppliant vers Mike qui me regardait avec un sourire cruel.
Son visage était effrayant. Il avait le regard du chasseur qui, au moment de l'hallali, s'approche de sa proie pour lui donner le coup de grâce.
"Demande à Mike de te baiser," ordonna Jody.
"S'il te plaît, Mike, baise-moi!" dis-je d'une voix mourante. Je me suis raclé la gorge et j'ai répété plus fort. "Baise-moi!"
Quand il m'a pénétrée d'une seule poussée, j'ai vu un éclair de rouge vif passer devant mes yeux. Tout à coup, il était profondément en moi et le bourdonnement dans mes oreilles à couvert tous les autres sons. Le temps s'est arrêté et monde entier a disparu. Le monde entier était centré entre mes cuises, profondément planté dans ma chatte. Il n'y avait rien d'autre qui comptait.
"OUI! Ooh! OUI! Baise-moi, avec ton gros sexe noir!" J'ai crié, les mots sortant de ma bouche comme si ce n'était pas moi qui les disaient.
Mike était assez attentionné pour me laisser s'adapter à sa taille avant de commencer à me baiser durement. Ma tête reposait sur le bras du canapé pour que je puisse voir sa queue entrer en moi. Je pouvais la voir quand il l'a lentement retirée, brillante de mes jus. J'ai regardé fascinée, la poutre noire replonger en moi.
Soudain, au troisième ou au quatrième coup, le bourdonnement silencieux s'estompa pour devenir un kaléidoscope de couleurs.
Toutes les fibres de mon corps étaient à l'écoute de mes sensations. Il a fourré sa langue dans ma bouche et je l'ai sucée goulûment.
Pendant plus d'un quart d'heure, Mike m'a baisée sur le canapé. Alternant son rythme, parfois lent et souple et parfois rapide et furieux. Impossible de compter le nombre d'orgasmes, ils se suivaient l'un après l'autre.
Sans se retirer, Mike me souleva et me conduisit dans la chambre. Empalée sur son poteau noir, il m'a promenée à travers la pièce avant de me déposer sur le lit. Le choc de ses pas sur le sol m'a empalée plus profondément sur son chibre et j'ai cru qu'il allait m'ouvrir en deux. À peine sur le lit, il recommença à me baiser puissamment, faisant coulisser son sexe sur toute la longueur, se retirant lentement jusqu'au bord des lèvres, pour revenir se planter furieusement au fond de mon vagin. J'étais concentrée sur les sensations qui m'envahissaient, et je perdais pied peu à peu, devenant une poupée de chair sous les coups de boutoir puissants qui me défonçaient la chatte.
Je savais que Jody était entrée dans la chambre avec nous, mais je ne me préoccupais pas d'elle. J'étais trop occupée à me faire baiser comme jamais auparavant.
Je n'ai pas la notion du temps écoulé, c'est peut-être une heure plus tard que Mike s'est retiré de moi. Ma chatte dégorgeait de sperme chaud.
Allongée sur le lit, brisée, moulue, incapable de bouger, j'essayais de récupérer pendant plusieurs minutes. J'ai ouvert les yeux quand j'ai senti le lit bouger. Jody était agenouillée à côté de moi sur le lit.
"Est-ce que la pauvre petite Nina a eu sa chatte bien baisée?" demanda-t-elle doucement. "Est-ce que la chatte de Nina est remplie de sperme gluant?" Elle a pris mes deux seins et les a pressés ensemble. Elle posa sa bouche sur mes tétons. Avec ses dents, elle mordilla légèrement un mamelon puis l'autre. Je pouvais sentir le désir envahir à nouveau mon corps meurtri.
Jody posa sa main sur ma chatte contusionnée et planta deux doigts en moi tandis que son pouce masturbait mon clitoris. Mes hanches tremblaient involontairement. Elle redémarrait mon ardeur en train de refroidir.
"Maintenant, la petite Nina doit rembourser ma gentillesse," murmura Jody à mon oreille. "Nina va manger ma chatte, n'est-ce pas?" Elle a passé sa jambe au-dessus de moi et a posé sa chatte sur ma bouche. Je ne savais pas quoi faire. C'était tellement inattendu que pendant un moment je suis restée figée. Je restais immobile, essayant de ne pas respirer le parfum musqué qui s'échappait d'elle.
"Non ... s'il te plait
Je ne
jamais ... je ne mangerai jamais ta chatte!" J'ai répondu en montrant un visage dégoûté. Ce n'est que lorsque ses doigts ont pincé mon clitoris très fort que j'ai bougé. Mon cri était étouffé par sa chatte.
«Mange ma chatte, salope, ou je t'arrache complètement le clitoris», je l'ai entendu dire.
J'ai pressé mes lèvres contre sa chatte et, ouvrant ma bouche, j'ai commencé à la lécher. Jody a allégé la pression sur mon clitoris mais a gardé ses doigts dessus pour me rappeler mon devoir envers elle. Après quelques coups de langue, j'ai surmonté mes réticences et l'ai mangée aussi bien que possible. J'ai su qu'elle allait jouir quand sa chatte s'est mise à trembler sous ma langue.
Nous sommes allées ensemble sous la douche. Jody redevint gentille et m'aida à laver les fluides accumulés dans mon corps. Elle m'a lavée doucement, ses doigts abondamment savonnés dans ma chatte pour nettoyer le sperme de Mike.
"As-tu aimé ta première expérience multiraciale?" demanda-t-elle en me séchant.
"Ooh, oui ... j'ai adoré." J'ai rougi en disant les mots. C'était beaucoup plus que je pouvais avouer. C'était tellement fort, ma première véritable bonne baise et mon premier véritable orgasme avec un homme.
"Je suis si heureuse, Nina," dit-elle en serrant mon corps nu contre le sien. "Maintenant tu es à moi. Tu m'appartiens. Tu seras mon jouet sexuel et tu auras beaucoup de grosse viande noire dans ta petite chatte blanche. Ce n'était que ton dépucelage."
Je n'ai fait aucun commentaire, j'ai juste trouvé son affirmation très bête. Comment pouvais-je lui appartenir? En fait, elle avait tout à fait raison. Je suis devenue son jouet, sa chose. Je lui appartiens, toujours prête à obéir au moindre de ses caprices, pour mon plus grand bonheur, ma récompense, un gros morceau de viande noire dans ma petite chatte blanche.
Pendant la journée, je suis une étudiante normale, travaillant aussi dur que possible.
Mais la nuit, quand Jody m'appelle, je suis sa salope! Toujours pour des hommes noirs. Seuls ou à plusieurs. Beaucoup ne sont pas des étudiants. Je me suis rendue compte que Jody en faisait un commerce. Beaucoup d'hommes payent pour me baiser, mais je m'en fous. Je n'ai aucune volonté devant Jody. Je n'arrive pas à lui résister. Quand elle me dit de baiser un homme, je le baise. Quand elle me dit de baiser avec plusieurs, j'obéis. Si elle veut que je lui mange la chatte, j'adore ça. Elle est ma maîtresse, je suis sa soumise, et j'aime ça. Si j'étais passée devant la fenêtre sans regarder, je n'aurais jamais connu le plaisir extrême que procure un gros sexe noir ou le plaisir saphique qu'une femme peut procurer.
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