Le Début De Ma Dépravation

Cette histoire m’a été racontée par un lecteur de HDS qui préfère que je taise son nom. Il m’a demandé de vous la narrer à ma sauce et comme j’aurai très bien pu la vivre je l’ai transposée à ma vie. Si ça vous plait je vous raconterai la suite.


Quand j’étais marié je n’ai jamais pensé aux hommes sexuellement mais c’est vrai que quand mon couple à commencer à encore plus battre de l’aile et qu’en plus elle ne me laissait plus la toucher c’est vers les hommes que je me suis tourné (voir « La première fois que j’ai trompé ma femme »).

Ensuite j’ai eu pas mal d’aventures mais uniquement avec des femmes et ça à duré comme ça pendant encore deux ans. Nous avons quand même décider de nous donner une dernière chance à notre mariage mais ça n’a pas du tout marché.

Maintenant je vais au boulot uniquement à pied, ça me permet de retarder mon retour à la maison. Sur le chemin du retour, une envie pressante me fait accélérer le pas. Je réfléchis que dans deux minutes je serai devant la gare je vais y rentrer pour aller au toilette. Il y a un monde fou et pas que sur les quais.

Les toilettes sont grandes, il doit bien y avoir une douzaine d’urinoirs et je ne sais pas combien de cabines et pourtant il y a la queue. Je me balance sur place pour me retenir, personne ne bouge, je fixe l’un d’entre eux et je vois que sa main s’agite. Le mec n’est pas entrain de pisser mais de se branler. Merde! Il y en a qui ont vraiment envie!

Je regarde un autre pisseur et je vois immédiatement qu’il fait la même chose. Un urinoir se libère enfin, je ne pense plus qu’à une chose vider ma vessie. J’ouvre ma braguette, je sors mon sexe que je tiens avec ma main gauche et je commence à pisser. Je repense à ce que je viens de voir et je décide de jeter un petit coup d’oeil sur ma droite.

Je ne vois même pas l’homme mais seulement une bite plus grande que la mienne, complètement raide et une main qui va et vient avec une délicate lenteur.

Je n’arrive pas à détourner mon regard de ce magnifique sexe d’homme, malheureusement j’ai fini de pisser et je ne sais pas quoi faire. Pendant que je me secoue pour faire sortir les dernières gouttes, je jette un coup d’oeil à gauche.

Là c’est une bite noire encore plus grosse que la précédente autour de laquelle une main noire s’excite mais beaucoup plus énergiquement. Par contre il n’essaye pas du tout de se cacher, il est au moins à deux pas de l’urinoir, je ne sais pas comment je ne l’ai pas remarqué avant! Un peu trop troublé par le fait que je commence à bander, je range tout mon costume trois pièces, je me dépêche de faire ma braguette et je sors en vitesse.

Je me marche rapidement pour rentrer chez moi, mon érection ne se calme pas du tout. Une fois à la maison malgré toute la rancune entre nous je suis très câlins avec ma femme mes elle me repousse. Je vais prendre une douche et je me masturbe en repensant à toute ses bites dans les toilettes de la gare.

Très rapidement je jouis et finis de me laver, je me mets en pyjama et je pars rejoindre ma femme. Elle passe la soirée à me critiquer mais je m’en fous je n’ai qu’à fermer les yeux pour revivre mon expérience aux toilettes de la gare et être bien. Plus la soirée avance plus elle se calme mais la bouteille de vin se vide aussi rapidement.

Quand nous allons nous coucher je suis très étonné parce qu’elle se colle contre moi. Nos caresses deviennent plus intimes même si je ne la sens pas motivée, je m’en fous je me refait ma fin de journée et ça me suffit pour prendre un plaisir fou. Je jouis dans son sexe en la prenant en levrette alors que j’imagine que tous les sexes des toilettes de la gare se vident aussi sur nous.

Pendant la nuit je me sens coupable, ma femme à fait un effort et moi j’ai passé mon temps à penser à des sexes d’hommes. S’il y a un dernier espoir je dois le tenter alors je décide de tout faire pour ne pas repenser à cette fin de journée hors norme et je me concentre sur mon mariage.


Le lendemain pour ne prendre aucun risque je décide de prendre un autre chemin pour aller au bureau, comme ça je ne passerai pas devant la gare. La journée se passe bien, sur le retour j’oublie de prendre l’autre chemin, en passant devant la gare je ne m’arrête même pas je suis curieux de savoir comment va se passer cette soirée à la maison.

Je ne suis pas déçu, elle rentre super énervée et tard. Le peu de temps que l’on passe ensemble on s’engueule et bien sur aucun rapprochement dans le lit. Les deux jours suivant c’est la même chose aussi bien pour les trajets que pour la situation à la maison. Je passe tout le week-end à réfléchir à nous. Je ne sais pas ce qui me retient de partir sauf que ce n’est pas évident de quitter son premier amour après 15 ans.

Le lundi je passe devant la gare mais je n’y rentre pas, je vais directement rejoindre les collègues au bistro pour un petit café. Le soir sur le retour je suis bien et même si je n’ai pas envie de pisser je décide de rentrer dans la gare. Les toilettes sont beaucoup moins bondés que la dernière fois, il y a même des pissotières de libre. Pourtant quelques hommes attendent.

Je prends place aux urinoirs entre deux mecs, un coup d’oeil rapide de chaque côté, tous les deux se branlent. La bite de gauche ne m’intéresse, le mec bande mou, mais celle de droite… bien raide, bien veinés, elle semble bien dure… ça doit être un régal. Je sens que le propriétaire de se magnifique sexe me regarde.

Je lève la tête et c’est bien le cas, ensuite il jette un regard sur ma queue qui a bien durci et que je branle moi aussi mais sans m’en être rendu compte. Il abandonne sa queue et se tourne vers moi en donnant des petits coups de bassin. Je remarque qu’il a aussi sorti ses couilles de sa braguette.

J’hésite un moment et je me décide à lâcher ma queue pour me tourner face à lui et attr la sienne. Je le branle tout aussi lentement qu’il le faisait mais en serrant encore plus sa queue que lui.
Je le tiens tellement fermement que son prépuces remonte un peu. Avec mon autre main je lui caresse les couilles alors que j’ai le sexe dehors.

Très rapidement je sens ses veines palpiter dans ma main, son sexe gonfler, je dirige ma main et donc sa bite vers l’urinoir dans lequel il envoie 4 grosses giclées de son jus. Je continue à le caresser même s’il s’est complément vidé mais rapidement l’homme repousse ma main. Il range son matériel et va se laver les mains avant de sortir.

Je me retrouve comme un con, la bite à l’air. Je retourne devant mon urinoir, je jette un nouveau coup d’oeil sur mon autre voisin. Je confirme son sexe ne m’intéresse toujours pas, lest même encore plus mou. Je reste encore un moment en position au cas quelqu’un s’installerai à ma droite. Rapidement j’en ai marre alors je range tout dans mon pantalon. Je me lave les mains et je sors.

En sortant de la gare je ne reste pas longtemps déçu car je tombe sur le mec que je viens de branler, en le voyant je repense à sa magnifique queue. Même s’il parle avec quelqu’un je suis content de le voir, il tourne la tête vers moi et me sourit. Juste quand j’allais retourner le regard il me fait signe de venir.

Quand je m’approche il me dit directement:
« Si tu n’es pas pressé je te paye un verre! »
J’accepte avec plaisir et je les suis tous les deux vers un café qu’apparement ils connaissent et qui est juste en face de la gare. Sur le chemin on fait les présentations. C’est Serge que je viens de branler, je peux mieux l’observer. Il est un peu plus petit que moi et à autour de la cinquantaine, il est très bien proportionné même si un petit ventre commence à naitre. C’est facile pour moi de parler je n’ai que 28 ans.

L’autre gars, je ne crois pas l’avoir vu dans les toilettes, il s’appelle Bernard. Il est encore plus petit et bedonnant que Serge mais à l’air très sympathique. Je pense qu’ils sont à peu près du même age. Le café est bien plein, Serge salue le barman qui vient lui dire bonjour avec une grosse bise.
Il demande à Claude, le patron:
« La remise est libre? »
Claude lui explique qu’il est en travaux là haut donc c’est un peu le bordel mais qu’on peut y aller. Je ne comprend rien! Le patron nous demande:
« Des demis pour tout le monde? »
Je fais oui de la tête parce que ça au moins je comprends et je suis mes deux nouveaux amis.

Nous rentrons dans une arrière salle remplie de pots de peinture et d’échelles mais aussi d’autres bric à brac. Les deux hommes posent leurs affaires sur une table, j’enlève moi aussi mon manteau que je pose avec ma sacoche à côté des leurs. Quand je me retourne les deux hommes sont face à face et Serge dit:
« Maintenant! »
Bernard se rapproche et ouvre la braguette devant lui, il sort la magnifique bite de Serge et commence à le branler.

Avec ses vas et vient la queue commence à durcir, il la décalotte et la caresse de plus en plus vite. Puis Bernard se tourne vers moi tout en continuant de le branler et me dit:
« Elle est belle, hein! »
Son regard retourne sur son ouvrage comme s’il n’attendait pas de réponse. Je commence à bander dans mon pantalon et quand je pense à ce qui m’attend à la maison j’ai encore plus envie de rester. Bernard me regarde de nouveau et me dit:
« Tu veux commencer? »
Je ne suis pas sûr de ce qu’il attend par là mais je réponds positivement.

Je m’approche de Bernard alors qu’il se décale un peu toujours le sexe de Serge dans la main. Il appuie sur mon épaule pour que je m’agenouille et sans même avoir le temps de réfléchir je me retrouve avec la bite de Serge dans la bouche alors que la main de Bernard le branle toujours.

Rapidement je retrouve les bonnes sensations que peuvent me procurer une bite dans la bouche et je commence à m’exciter dessus même si elle a un arrière gout de pisse et de sperme que je n’apprécie pas. Je m’applique à bien serrer les lèvres autour de sa tige alors que je la fais rentrer et sortir de plus en plus vite entre mes lèvres quand j’entends la voix de Claude dire
« Trois demi, trois! »
Immédiatement je vide ma bouche et commence à me relever mais il me dit:
« Il ne faut pas s’interrompre pour moi! »

Pour la première fois de la soirée j’hésite vraiment mais je remets rapidement la bite de Serge dans ma bouche, j’aime trop ça. Le patron me regarde le sucer un petit peu avant de retourner dans son bar. Je suis de plus en plus vigoureux surtout que j’ai senti Bernard s’agenouille à côté de moi qui va me réclamer le bâton du bonheur.

Ca ne tarde pas puisqu’il pose sa main à la base de la bite de Serge et la fait sortir pour l’avaler à son tour. Je le regarde faire pendant que je sors ma bite pour me branler. Je me relève pour faciliter mes mouvements mais aussi mieux admirer le spectacle. Je fais courir ma main au même rythme que les lèvres de Bernard.

Rapidement Serge lui demande:
« Tu l’aimes ma bite? »
Tout en gardant la prise dans sa bouche il remue la tête de haut en bas puis il libère sa bouche et branle Serge en lui disant:
« Dommage qu’elle ne sente pas plus le sperme et la pisse! »
Et il se remet à sucer alors que c’est justement ce qui m’a dérangé. Serge à un sourire étrange et lui caresse la tête.

Il ouvre son pantalon qu’il fait tomber à terre en même temps que son caleçon. Il les retire totalement par des mouvements de jambes alors que Bernard le suce toujours avec grand plaisir et que je continue à me branler de bonheur. Serge interrompt cette séance en lui disant:
« Vas derrière »
Il pose ses mains sur ses fesses qu’il écarte et Bernard plonge la langue la première dans ses entrailles.

Je ne résiste pas longtemps à l’appel du sexe de Serge, je retourne m’agenouiller devant lui et je le suce avec toujours autant de plaisir. Il a une main sur chacune de nos têtes et régulièrement il augmente la pression d’un côté ou de l’autre. Au bout d’un moment il lâche nos têtes et dit:
« On échange »
J’ai un gros blanc mais Serge à déjà fait un demi tour. Ses mains sont de nouveaux sur nos têtes et j’ai le visage entre ses deux fesses.

Je reste un moment sans rien faire, pour arrêter la pression de sa main je sors ma langue et je commence à lécher. Je suis un peu dégoûté mais je me dit que c’est comme quand je le faisais à ma femme. Je commence enfin à me lâcher et prendre du plaisir quand Serge nous interrompt et dit:
« J’ai envie de jouir dans un cul. »

Il nous fait nous lever, tâte le mien en premier, je me contracte un peu puis il se tourne vers l’autre. Alors qu’il le pousse pour qu’il se mette à 4 pattes il se tourne vers moi et me dit:
« Ne t’inquiète pas je suis sur que l’on se reverra. »
Je ne suis pas inquiet mais plutôt soulager même si j’en ai très envie, ça fait longtemps que mon petit cul n’a rien pénétrer en lui.

J’admire Bernard les genoux et la tête contre terre alors que ses mains écarte ses fesses pour ouvrir son cul le plus possible. Serge enduit le trou pas si petit, à mon avis il a déjà beaucoup servi, de lubrifiant il en met aussi sur sa tige et sodomise Bernard très lentement.

Une fois qu’il est complément planté en lui, il s’immobilise un moment et commence à le ramoner très lentement. Mais ce traitement ne dure pas longtemps car Serge augment de plus en plus la cadence. Il le maintient même par la taille tellement que les mouvements sont violents.

Je les admire tout en me branlant mais ça ne dure pas assez longtemps pour que j’éjacule. Rapidement Serge se plante au fond des entrailles et son corps convulse de plaisir. Puis il retire son sexe très lentement et une fois qu’il a complément déculé, il retourne Bernard et lui att la tête en lui disant:
« Tu voulais un goût de sperme et bien voilà! »
Et il lui enfonce sa queue dans la bouche.

Bernard s’applique à tout nettoyer, jusqu’u’aux couilles qui pourtant n’avait aucune goutte de sperme. Une fois la bite totalement propre Serge lui demande de se déshabiller. Il le fait très rapidement et reprend le sexe dans sa bouche. Serge le fait un peu reculer et informe:
« Et voila celui de pisse! »

Immédiatement après un jet plutôt clair sort du méat de Serge et atterri dans la bouche de Bernard qui avale avec grand plaisir. Puis il dirige son sexe sur tout le corps de l’homme nu, il insiste un peu plus sur sa bite et ses couilles. Il le fait se retourner pour finir sa miction à l’entrée des entrailles de Bernard où du sperme coule encore.

Une fois qu’il a fini, il va chercher une serviette qu’il lance à Bernard qui s’essuie avec avant de se rhabiller. Je n’ai pas joui et j’ai même un peu débander pendant cette dernière scène mais comme tout le monde je range mon matériel. Puis nous allons tous boire notre bière.

Je me dépêche de finir mon verre et je m’excuse, avant de partir Serge me donne son numéro. En quittant le bar je salue Claude, on ne sait jamais puis je file chez moi. Je ne donne même pas d’explication à ma femme sur mon retard tellement que l’ambiance est pourri vu que dès mon arrivée j’ai eu le droit à un:
« Tu es encore allé picoler! »
Alors qu’elle sent plus l’alcool que moi!

Je prends le temps de me branler sous la douche pendant que je repense à tout ce que je viens de vivre. Au moment où je joui je m’imagine être dans le cul de Bernard. Je continue de me caresser la tige et je repense au numéro de Serge, je ne sais pas si je vais l’appeler mais en tout cas je vais l’enregistrer.

Quand ma femme a assez bu et qu’elle ronfle dans feu notre lit conjugal, je m’allonge dans le canapé et je me dis qu’il faut que je donne un nouveau tournant à ma vie et je m’endors sur cette bonne pensée…

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