Une Compagne Peu Respectueuse 2

La douche, très rapidement terminée, Jenny avait clairement envie de se vider les couilles. Cependant, Guillaume avait plus de difficultés de son côté. Jenny ne voulant pas perdre une minute pour le baiser en sortant de la douche, lui avait ordonné de garder sa queue dans la bouche jusqu’au bout. Il devait donc à la fois se laver correctement et résister tant bien que mal à contenir les va-et-vient violents que Jenny effectuait, avec son sexe dans sa bouche.

Sans même prendre le temps de se sécher, Guillaume, comme à son habitude, prenait la position favorite de Jenny sur le lit. À quatre pattes le cul en l’air, le dos bien cambré pour lui être totalement offert. Jenny posant son gland à l’entrée de son cul, histoire d’être bien orienté et pouvoir le défoncer d’un coup bien profond.


— C’est bien, tu es une bonne lopette obéissante, mais bon, tu vois dans la vie faut du changement parfois !


Elle saisissait les cheveux de Guillaume, pour lui tirer la tête en arrière et le relever, le dos à l’horizontale.


— En fait, ce n’est pas une question de changement, je n’ai juste pas envie que tu te foutes la gueule dans l’oreiller pour tes cris, je veux que tout le monde ici que tu te fais défoncer le cul comme une grosse tapette.


Le temps de poser les mains sur les épaules de Guillaume et Jenny rentrait sa queue sans aucune retenue jusqu’au fond de son cul. Guillaume ne pouvant s’empêcher de pousser un énorme cri, mélange de douleur et de plaisir. Pour ne rien arranger, elle ne lui laissait pas une seconde de répit. Elle enchaînait, avec la plus grande ampleur possible dans ses va-et-vient, les coups de reins. Le cul de Guillaume rebondissant dans tous les sens, tant l’acte était sauvage.

Malgré toute sa volonté, Guillaume n’arrivait pas à baisser l’intensité sonore de sa jouissance. Le pire dans tout ça, c’était ce qu’il ressentait. En plus du plaisir de se faire limer par l’énorme queue de Jenny, le plaisir de l’humiliation qu’elle lui faisait subir, ne faisait qu’accroître l’ensemble.

Elle prenait, elle aussi, ce malin plaisir de l’humilier, qui plus est devant sa famille.

D’ailleurs, cette excitation empêchait Jenny de faire durer son plaisir. Assez rapidement, par rapport à sa résistance habituelle, elle remplissait le cul de Guillaume, de son foutre chaud, lors d’un dernier coup de reins rageur.


— Putain ça fait du bien de se vider, ton cousin, il m’a tellement excité, il a intérêt à me défoncer ce connard maintenant ! N’oublie pas en sortant de bien regarder dans les yeux ta famille. Voir le regard de la honte et de dégoût, en ayant entendu tes cris de jouissance,


Pour continuer dans la provocation, Jenny enfilait une tenue très dénudée. Un shorty qui moulait totalement son cul, sachant qu’elle n’avait rien en dessous. Pour accompagner le bas, elle avait choisi un soutien-gorge avec un triangle ridiculement petit, cachant seulement le téton.

Pendant que Guillaume s’habillait, lui aussi, il entendait distinctement Jenny arriver sur la terrasse, elle n’était apparemment pas seule.


— Y pas à dire ça fait du bien, on se sent plus légère ! Même si c’est vrai que parfois, ce serait bien d’inverser les rôles, bon pas avec Guillaume, mais un vrai mec. Florent toi, tu es son cousin, tu pourrais lui montrer non ? Solidarité familiale.


Guillaume, n’avait pu entendre quelles réactions, ces paroles avaient provoqué, un chien ayant aboyé chez le voisin au même instant. En sortant pour rejoindre tout le monde sur la terrasse, il remarquait que tout le monde évitait son regard. Tous faisant semblant de rien, cette hypocrisie au fond l’arrangeant bien. Ce qui donnait un contraste assez ridicule, sur le père de Guillaume. Lui pourtant d’habitude si « masculin », avec une corpulence à l’opposée de son fils. Grand et large, les muscles façonnés par des années de travail dans le bâtiment.

La soirée se déroulait sans aucun autre événement particulier, si ce n’est le rentre-dedans, sans gêne de Jenny sur le cousin de Guillaume. Son cousin qui d’ailleurs, ne répondait quasiment jamais, excepté par un léger ricanement dont on avait du mal à distinguer la signification réelle.

Tout le monde allant se coucher peu après le repas. Même le cousin de Guillaume, qui avait apparemment envie de faire languir Jenny. Résultat, cette dernière, se trouvait énervée et frustrée par la situation.


— Fais-moi un thé ! Quand c’est fait, tu viendras me masser faut que je me détende, dit-elle en se levant bruyamment pour rejoindre la chambre


Sagement, en silence, Guillaume s’exécutait, préparant le thé pour sa compagne. En arrivant dans la chambre, Jenny était nue sur le dos, son sexe imposant reposant sur sa cuisse. Toujours sans un mot, il posait le thé, prenait l’huile de massage et commençait à s’affairer sur le corps de Jenny.

Elle marmonnait tout en buvant son thé.


— Putain il fait chier... famille de sans couilles...pas un putain de vrai mec pour me baiser...


Guillaume entendait ce qu’elle disait, sans faire spécialement attention, trop concentré sur sa tâche pour satisfaire Jenny. De longues minutes plus tard, Jenny ressentait l’envie d’uriner, certainement aidée par le thé. Elle se levait pour uriner dans la douche. Prenant bien soin de faire nettoyer son sexe par Guillaume, une fois sa petite affaire terminée.

Juste après elle se rallongeait sur le dos, pour que Guillaume puisse, comme presque tous les soirs, venir lécher et fouiller son cul, longuement, avec sa langue. Jenny, toujours frustrée par la tournure de la soirée, avait de nouveau besoin de purger.

Elle saisissait alors la tête de Guillaume, pour la retirer de son cul. En tirant ses cheveux sur le côté, elle l’obligeait à se mettre sur le dos. Elle lâchait sa tête pour le reprendre, cette fois-ci par-dessous, pour lui positionner la gueule juste en dessous de sa queue.

Dans cette position, elle était confortablement allongée, seul la tête de Guillaume venant servir de parking pour son sexe. Elle adorait rester comme ça laissant sa queue gonfler dans la bouche de son compagnon, l’obligeant finalement à lutter pour relever le bassin de Jenny. Tout ça pour ne pas s’ à cause du sexe qui commençait à s’approcher doucement du fond de sa gorge.