Je N'Ai Pas Le Sens De L'Orientation ...
Depuis ce matin je suis hantée par ce que jai vu par inadvertance dans le parc où je passe souvent le matin pour faire mon jogging, et ça se traduit par de fortes souillures au fond de ma petite culotte
Moi une épouse modèle et fidèle depuis dix ans voilà que le démon dadultère se profile dans mes pensées jusque-là irréprochables, ce matin je suis passée de bonne heure dans ce parc réputé paisible, la seule faute que jai commise est de mêtre trompée de sentier, jai bifurqué dans une zone moins fréquentée, le chemin se réduisait considérablement, alors je me suis arrêtée pour faire le point et reprendre mon souffle lorsque des gémissements, apparemment féminins, me sont parvenus accompagnés dune voix rauque celle-là bien masculine
lorsque jen ai compris le sens je me suis sentie rougir jusquaux oreilles
- Tu la sens ma grosse bite espèce de trainée ?
- Oui-oui-oui-oui-oui- vas- y bourre moi le con, je vais jouir
- Tu vas le sentir passer
Là, sous le sous-bois un couple a demi dévêtu, elle, adossée à un arbre, dépoitraillée, la petite culotte accrochée à une cheville, vu que la jambe était relevée par lhomme qui lui-même avait le pantalon tirebouchonné a ses mollets, lorsquil sest mis à donner trois coups violent faisant décoller la femme avant de simmobiliser totalement dans un long râle, je connais bien ce phénomène lorsquau au bout de trois minutes mon mari geint ainsi affalé sur moi pour se vider les testicules ,stupéfaite, dans limpossibilité de bouger, jai vu un membre luisant de sécrétions se retirer du corps de la femme et battre dans le vide tandis quun paquet de sperme échappé du vagin sécrase à leurs pieds
- Si tu en veux encore vient demain matin, même heure même endroit, salut
- Demain ? je vais faire mon possible
Déboussolée je suis repartie en silence avant de me faire repérer, ce qui me turlupine depuis ce matin est, un tel sexe, existe donc ? moi qui croyais Hervé bien pourvu
jamais ma vulve navait réagi ainsi, des contractions, des pincements et pour finir la sensation de faire des gouttes de pipi dans ma culotte, a tel point que jai écourté mon footing pour aller me changer, sous la douche mes doigts ont réveillé la scène, ils vont remettre ça demain ? jai joui en trente secondes sur le pommeau de douche
- Tu vas encore faire un footing Noémie ?
- Oui, hier jai eu un point de côté qui ma obligée à abréger mon parcourt alors je vais compenser
- Tu es courageuse, bravo !
- Dans la vie ya des priorités
Ma priorité ce matin est daller me poster dans ce parc
mais pas en tenue de footing, pourquoi ? je veux avoir libre accès à mon entrecuisse au cas où je devrais me toucher
accroupie derrière un arbre jattends larrivée de lun ou de lautre
.
- Toutes pareilles ! que de la gueule, elle ne viendra pas la salope
Elle ne viendra pas ?
. Et si ?
je ne vais tout de même pas me lever et me faire apercevoir ? cest pourtant ce que je fais, restant accroupie dans la position dune femme qui fait pipi je tousse deux fois
- Cest toi ? tes là ? ne bouge pas jarrive
mais ?
- Pardon monsieur je ne voulais pas vous faire peur
- Me faire peur ? vous rigolez ? que faite-vous là ?
- Je me promène
jaime me balader le matin à la fraicheur, surtout dans ce coin du parc, on y fait parfois de drôles de rencontres, hier encore...
- Vous étiez là hier matin ?
- Oui
- Vous avez donc tout vus ?
- Oui
- Alors ce nest plus de la promenade cest du voyeurisme ou encore mieux ? tu es venue tencanailler ?
- Je vais repartir...
- Attend
ma copine ne viendra pas
relève ta jupe
- Monsieur ! pardon mais je ne suis pas une
- Tu es venue pour te faire du bien ? alors je vais taider, relève ta jupe
- Comme ça ?
- Plus haut, coince-là à ta taille
- Jai honte
- Mais ta culotte est tachée ? laisse-moi toucher, mmmmmuuuuummmmmm
écarte davantage les pieds
Le sang monte à ma tête mempêchant davoir les bons réflexes, plutôt que de partir en courant je mexécute, lhomme en profite pour me mettre sa main sur ma motte et la pétrir accentuant leffet dhumidité, par pudeur je ferme les yeux, lorsquil écarte ma culotte et cherche la faille parmi ma toison drue et bouclée, deux doigts senfoncent profondément en moi cest le paradis, mes jambes ne me portent plus, je vacille et me met à genoux, mon tourmenteur suit le mouvement, soudain il me prend un poignet et le dirige vers lui , sous mes doigts le phallus en pleine mutation, celui que jai vu sortant du vagin de la fille
- Branle-moi un peu avant de me sucer
- Vous sucer ?
- Tu nas quà te pencher en avant il tattend
- Mais vous allez cesser de me caresser ?
- Tinquiète ça ne va durer que quelques secondes avant que je ne tire sur ton slip et te mettre la moule a lair
- Dans ce cas
mmmmuuuuuummmmmmm que cest grroooooooooos !
- Lèche et aspire
Ce gland est deux fois plus épais que celui de mon mari, laspect est moelleux pourtant la hampe est bien raide et très lourde, je mégare sur les bourses pour en tester la similitude
deux couilles de taureau pleines de bon nectar, celui qui va bientôt fuser dans ma gorge , moi la bonne mère de famille transformée en fille de joie pour avoir aperçu un couple en pleine action dadultère ,ma chatte désormais sans protection est bruyamment visitée, au moment où je sens la verge se contracter dans ma bouche lorgasme me terrasse.
Rassasiée je recrache le dernier jet et en même temps la queue toujours aussi tendue, à genoux, en appuis sur les mains je réfléchis sur la suite à donner et jusquoù je suis allée pour satisfaire mon fantasme quand derrière moi un genou moblige à mouvrir, la queue frotte déjà fortement sur mes deux trous, affolée je ne sais que faire et sort une énormité qui lui donne lautorisation de me baiser
- Pas dans lanus !!
- Jai du savoir-vivre madame ! priorité à la vulve ! le petit auras sa ration ne ten fais pas !
- Non ! non !
- Plie les avant-bras et cambre toi, tu vas voir des étoiles, tu la sent ?
- OOOOOUUUUUUUUUIIIIIIIII !! pousse encore !
Telle une chienne en chaleur je me jette au-devant de sa matraque, à mon grand étonnement mon vagin accepte facilement ce mastodonte de chair qui frotte exactement là où il faut et se meut de façon régulière qui marrachent des feulements indécents, cest comme si je perdais a nouveau mon pucelage, pour finir de maffoler ses deux mains me plaquent quand il le faut à ses testicules puis repart de plus belle en vas-et vient plus ou moins puissants, je vais encore pisser de joie en pleine nature
- Si tu jouis ne hurle surtout pas, mord les feuilles mortes mais ferme ta gueule !
- Défonce-moi salaud, fait de moi une putain !
- Tu nes et ne sera jamais une putain, seulement une femme mal dans sa peau qui veut se donner du plaisir, attention je viens
rrrhhhhhaaaaaaoooooouuuuuuuiiiiiiiii !
- Pas déjà ! encore ! encore ! je jjjoooooouuuuuuuiiiiiiiiiiis !
- Ferme là bordel !
- Pardon mais cest si bon
- Tu en veux donc encore, garde la position, ton anus me fait signe
ne bouge plus, fais-moi confiance, tu vas avoir une sacrée surprise
Soudain je ressens une présence juste devant mon visage, quelque chose qui me fait ouvrir les yeux
un gland décalotté rouge dexcitation, celui de mon amant frotte mon anus ce nest donc pas le sien ? je nai pas eu le temps de réaliser que je suis propulsée en avant bouche ouverte, le nouveau venu sengouffre très loin dans ma gorge tandis que lautre pénètre mes reins, partagée entre loutrage et la satisfaction de pouvoir réaliser une figure sexuelle que mon mari ne me fera jamais connaitre, je choisi la satisfaction ! embrochée devant et derrière je savoure le bonheur de la double pénétration et les avis des deux mâles qui commentent mes aptitudes
- Cest votre copine ?
- Non, au départ cest une voyeuse
- Ah bon ?
- Hier elle ma regardé baiser une nana, ça lui a donné des idées !
- Jai bienfait de passer par ce chemin !
- Elle a une chatte soyeuse la garce, elle sait serrer son vagin sur ma bite
- Vous me la repassez ?
- Déchargez-lui dans le gosier ensuite nous échangeons nos places
- Ça ne va pas tarder, elle aspire mes boules la garce !
Plus ils mhumilient plus je me lâche, mon mari ne reconnaitrait jamais cette femme qui se livre aux assauts de deux pervers, cest avec un immense plaisir que je reçois un foutre abondant dans ma gorge et entre mes fesses, sans me laisser le temps de réagir ou de me sauver, ce qui est impensable de ma part, je suis de nouveau investie par la chatte, mais apparemment lautre ne veut pas être sucé
.
- Fait là rouler sur toi, je vais prendre son cul
- Rien de plus facile, vient par-là mignonne, montre ton postérieur à mon ami
- Vous êtes deux gros cochons, mais jaime ça, profitez-en, usez de mes trous !
Avec précaution lhomme force mes sphincters, les deux bites se chevauchent alternativement marrachant des plaintes et des mots à peine audibles que je nai jamais employés, mes amants aussi se partagent leurs impressions ponctuées de rires gras, je ne suis quune chienne avide de queues, un vagin sur pattes doù sécoule des litres de sécrétions nauséabondes lorsquils se retirent triomphants
Seule dans ce bois, je gis un long moment recroquevillée sur le sol, avant de trouver la force de messuyer sommairement avec des feuilles et récupérer de quoi mhabiller, sans pouvoir retrouver ma petit culotte certainement devenue pour lun deux un trophée de plus
quimporte, ce soir tournant le dos à mon cornard de mari, je mendormirais avec un petit sourire aux lèvres
vais-je modifier mon parcourt ???
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