Les 1001 Perversions De Nathalie (9) Faire Des Choses Sales

«Je suis faite pour la queue, je suis une cochonne et ça me plaît. J‘aime le sexe, j‘aime le mâle, j‘aime la bite et j‘aime me faire baiser !»
Cela fait un mois que Nathalie a reprit sa vie de cadre dans une grande banque et de bourgeoise BCBG. Et depuis un mois cette pensée tourne dans sa tête tel un leitmotiv.
Au bureau, elle remarque maintenant les regards qui se posent sur elle, sur son corps. Au paravent, elle avait bien remarqué quelques fois ce type de coup d'oeil, mais elle n’y prêtait pas attention. Ses tenues ont changé. Un décolleté plus généreux, des robes ou des jupes un peu plus courtes.
Que ce soit un homme ou une femme qui essaie d’apercevoir un peu plus que ce qu’elle dévoile ou qui la déshabille des yeux, maintenant elle se surprend à rechercher ces situations, presque à les provoquer. Ou à se dire, lorsque son miroir lui renvoie l’image d’une bourgeoise sage, qu’elle pourrait pimenter sa journée en omettant de mettre une culotte. L’idée de se promener nue sous sa jupe, l'impression que tout le monde peut deviner sa nudité la fait mouiller.
Et toujours le leitmotiv qui tourne et tourne dans sa tête... Une partie d’elle est chez Marc et Léa… Au "Cercle"… Elle revit les moments intenses qu’elle a vécus, qui lui ont révélés sa perversion... et qu’elle veut vivre encore.
Peut-être espérait-elle vivre tout cela avec son mari pour ne pas avoir à le tromper, à lui mentir. Il lui fait l’amour tendrement, comme d'habitude. Même si elle apprécie, aime ces moments, Nathalie n’est pas tout à fait présente.
Il ne possède pas la bestialité de Germain, ni la queue si dure d'Houssam, ni la perversité de Marc et de Léa. Elle réalise qu’elle ne pourra jamais éprouver avec lui ces moments d’excitation perverse, de vice et de luxure.
Parfois, cette révélation lui fait presque peur. Il faudrait qu’elle arrête tout cela pour ne pas sombrer définitivement. L’éventualité est rapidement repoussée.

Elle se rend compte qu’elle est devenue accro à toutes ces sensations.
Il arrive qu’un homme la suive dans la rue, les yeux sur ses fesses. Et surtout, lorsqu'il s'agit d'un ou deux Arabes son cœur bat la chamade, lui donne envie d’aller plus loin. De retrousser sa jupe, de montrer son cul, de baiser. Cela la fait trembler. La sueur coule entre ses seins. Elle perd tous ses moyens s'ils s’approchent :
- Tu tortilles du cul, salope, tu aimes ça, allumer les mecs ? Je suis sûr que ta culotte est trempée. Tu veux nous sucer ?
Alors le soir, allongée à côté de son mari endormi, elle se masturbe, s'imaginant suivre les deux Arabes dans un couloir sombre. Elle retrousse sa jupe jusqu’à la taille. La crainte d’être surprise, au lieu de l’inhiber, attise son désir. Il faut faire vite.
Ils ouvrent leur braguette, sortent leur queue, se branlent en la regardant fourrer la main dans sa culotte. Elle suce l'un en se frottant et il éjacule dans sa bouche tandis que l'autre gicle sur ses cuisses.
Elle jouit en se mordant les lèvres pour ne pas laisser échapper ses gémissements.
De plus en plus souvent, malgré le travail qui l'accapare, ses journées lui semblent interminables. Elle ne pense qu’à une chose : retourner chez Marc et Léa. Mais sous quel prétexte s'absenterait-elle ? Son mari s'absente bien quelques fois, mais jamais plus d'un jour ou deux.
Et finalement, n'y tenant plus et mettant à profit une des courtes absences de son mari, Nathalie s’aventure ce soir-là dans cette cité…
Elle s'est même habillée en circonstance : soutien-gorge en balconnet qui remonte les seins, la culotte, transparente à souhait laisse deviner la toison. Pour un voyeur, c’est très excitant, d’apercevoir des poils s'échapper de la culotte. Des bas couleur chair, petite jupe noire qui moule les fesses, chemisier blanc qui se croise sur le devant et qui lui fait toujours un décolleté dans lequel les hommes ne peuvent s’empêcher de plonger.
Ce qu'elle cherche, elle le sait.
Elle a envie. Envie de bite. Envie de faire des choses sales. Elle est fébrile. Elle est chaude, en mal de mâle. 
Ce mâle, c'est elle qui le mate, à la terrasse de ce café. Le regard de l'homme est lubrique, il la déshabille. Elle voit la bosse qui déforme son pantalon et elle écarte les cuisses. Impudique, elle lui montre tout et c'est tout juste s'il ne sort pas sa queue et se branle.
Elle descend aux toilettes. Il la suit, en bas elle l‘attend. Lourd, velu, en sueur. Sans un mot, il sort sa bite. Une verge épaisse, déjà mouillée de sperme. Elle se l‘enfourne, la queue sent fort. Elle la suce et empoigne ses couilles et avec un râle d‘animal en rut il lui remplit la bouche. Il la laisse, barbouillée de sperme, la culotte trempée, la chatte gonflée.
Quand elle remonte, il a disparu. La pizzéria allume des lumières sur l'arbre qui couvre la terrasse et elle part aussi.
La rue est sombre, elle traîne, excitée, en attente, dans sa tête l‘image de cette verge raide dans sa bouche, dans sa gorge le goût du sperme. Sa chatte est une fournaise.
Et soudain, surgies de nulle part, des grosses mains sur ses seins. Des paumes se ferment sur ses mamelles. Elle reconnait son odeur lorsqu'il se colle contre elle. Quelque chose de dur se frotte contre son bassin. Elle appuie sa main sur la bosse et la frotte. Il l'entraîne sous un porche.
Il ouvre sa braguette, sort sa queue tendue, empoigne Nathalie par les cheveux et la lui fourre dans la bouche. Goulue, elle suce et lèche, la verge gonfle, le gland suintant, épais et rond durcit dans sa bouche. Elle promène sa langue sur la pine raide, sous les couilles velues, lourdes, pleines. Elle avale sa queue jusqu'au fond de la gorge. Cette furieuse fellation la rend folle, elle geint de désir, elle trempe sa culotte…
L'homme la relève, la plaque contre le mur rugueux. Ses lèvres mangent les siennes, ses mains sont sur sa peau, sous sa blouse. Il se colle à elle, prend sa bouche, frotte sa verge tendue sur son ventre.

Il glisse une main entre ses cuisses et remonte sur sa petite culotte. Ses doigts massent l'étoffe contre son con trempé, l'enfoncent dans la vulve en ébullition. Il déchire la culotte et ses doigts s'enlisent dans son intimité brûlante. Elle empoigne sa bite et le branle, bouche contre bouche, ils se masturbent mutuellement.
Il la colle contre le mur, il l'empoigne sous les cuisses, la soulève et la laisse retomber sur son pieu tendu.
Les jambes nouées autour des hanches de l'homme Nathalie le chevauche comme une furie. Agrippée à son cou, elle râle de plaisir, elle se laisse envahir par son membre, par ses gémissements et ses grognements de mâle en rut. Sa grosse pine lui laboure le con, et quand il éjacule, Nathalie, secouée par un orgasme fulgurant, lui plante ses dents dans l’épaule pour ne pas crier.
Il la tient soulevée encore un instant, le temps de débander, puis la laisse retomber. Avachie contre le mur, dépoitraillée, la culotte en lambeaux et les bas déchirés, elle regarde l'homme se rebraguetter et disparaître sans un mot. Elle reste encore ainsi un long moment, le sperme de l'homme dégoulinant sur ses cuisses.
Dans son lit, avant de sombrer dans le sommeil elle sait qu'elle retournera demain dans la cité.
Le lendemain, à la tombée du jour Nathalie est de retour sur "les lieux du crime", comme elle aime se l'avouer non sans une pointe d'humour noir...
Au fond d'un petit square, elle s'installe sur un banc inoccupé, non loin d'un groupe de jeunes. Elle s'y installe de trois-quarts, les cuisses largement découvertes. Et, appuyant son coude sur le dossier du banc, elle fait mine de téléphoner en gesticulant, ce qui laisse voir ses seins à chaque lever de bras. Elle n'a pas à attendre, trois très jeunes Arabes se détachent du groupe et s’approchent.
Ils l’interpellent de façon très directe en la tutoyant, lui demandant si elle veut faire un tour avec eux. Après un (faux) moment de réflexion, elle accepte. Ils s'entassent dans une camionnette, roulent jusqu'à la périphérie de la cité, stoppent devant un vieux hangar.

Ils descendent, Nathalie remet sa jupe en place sous les regards de trois paires d'yeux. Ils ont soudain l'air moins sûr d'eux et elle décide de prendre les choses en main :
- Alors, on y va ?
Les choses sont claires. Les trois viennent de comprendre ce qu'elle veut et l’entraînent dans le hangar. Il est encombré de vieilles ferrailles et de vieux cartons, mais, dans un coin, un espace est dégagé et « meublé » avec de vieux matelas, de vieux canapés et de vieux fauteuils.
Les trois s’approchent d'elle et commencent à la toucher. Elle ne bronche pas. Dans son ventre, elle sent monter cette chose qui la rend toute moite. Ils s’enhardissent, glissent leurs mains sous sa jupe et dans sa blouse. Elle les laisse faire.
Celui qui est derrière elle fait tomber la jupe, les deux autres lui retirent sa blouse. Elle se retrouve en petite culotte noire entre les trois types. Une main dans son dos se glisse dans sa culotte et la fouille.
- Elle coule comme une fontaine...
Les deux autres devant elle enlèvent leur chemise et leur pantalon. Celui qui est derrière elle la force à se pencher en avant. Il fait glisser sa culotte sur ses cuisses et se met à la lécher. Sa langue la parcourt de la chatte à l'anus, s'y attarde un peu, puis revient dans son con. Elle se sent dégouliner. Et quand il la pénètre sans autre forme de procès, elle ne peut pas s’empêcher de gémir sous l’assaut.
Pour garder son équilibre, elle s'agrippe aux deux autres. Ils font glisser leur slip, sortent leurs bites.
- Suce !
Elle les prend l’une après l’autre en bouche, elle suce au rythme de celui qui la pilonne.
Ils l’entraînent vers un matelas où ils l’étendent. Deux lui écartent les jambes tandis que le troisième, se couchant sur elle, s’enfonce dans son con. Son plaisir grimpe en flèche : elle devient boulimique de sexe ! Elle entend un téléphone sonner et l’un des gars répondre qu’ils sont au hangar et qu’il faut qu’ils amènent des packs de bière.
Elle comprend alors que d’autres vont les rejoindre. Cela la fait brutalement jouir, ce qui a pour effet de faire gicler celui qui la baise. Dès qu’il se retire, un autre la fait mettre à quatre pattes et l’enfile tandis que le troisième joue avec ses mamelles qui ballottent, tout en la maintenant d’une main crochée dans ses cheveux, sa verge au fond de sa bouche.
Celui dans son dos change d’avis. Sortant de son vagin, il se présente contre son anus, qui s’ouvre sans difficulté devant la bite lubrifiée par sa mouille. Avec un grognement, il la lui met totalement au fond du cul. Les autres semblent ne pas en revenir. Leurs exclamations et leurs commentaires montrent qu’ils sont aux anges de sauter à plusieurs une femelle en chaleur, consentante, lubrique et qui en redemande.
Ils se déchaînent, l’un dans son cul, l’autre dans sa bouche et le troisième, celui qui a déjà joui, titille son clitoris et investit son con de ses doigts.
C’est ainsi que les trouvent six autres, porteurs chacun de deux packs de bière. Ils en restent un instant ébahis, puis ils décident de participer et se déshabillent à leur tour.
Nathalie prend alors la direction des opérations. Être prise en sandwich la fait tellement jouir, qu'elle leur demande de se relayer tous les neuf de sorte d’avoir en permanence une queue dans son con et un pieu dans son cul en même temps. De temps en temps, elle réclame une gorgée de bière pour se rafraîchir.
Dès que l’un a joui et se ramollit, elle l’expulse et en appelle un autre qu'elle guide dans l’orifice laissé libre. Elle a ainsi tout le reste de la soirée neuf jeunes mâles en rut au service de son cul. Ils en jouissent tour à tour et la font jouir à de nombreuses reprises. 
Bien entendu, ceux qui attendent leur tour, assis dans un fauteuil ou sur un canapé, la mitraillent de leurs portables. Au risque d’apparaître à visage découvert sur le net !
Enfin, il n’y a plus de candidats. Elle se lève, les jambes flageolantes, boit une grande quantité d’eau à un évier accroché au mur, et ayant envie de faire pipi, elle n’a d’alternative que de sortir du hangar, et de se soulager dans l’herbe.
Et les cochons en profitent ! Pendant qu'elle pisse, ils se relaient pour la laper, la boire, la nettoyer du con au trou du cul. Et ils la font encore jouir et couiner et elle se frotte, leur criant de lui pisser dessus, faute de pouvoir encore la baiser !
Pour finir, ils la raccompagnent tous dans le centre-ville, où elle reprend sa voiture. Elle rentre chez elle. Exténuée, elle se glisse dans son lit. Elle sent le sperme et la pisse et sombre dans un sommeil de plomb.
Au réveil, faisant le bilan de sa nuit, Nathalie doit s'avouer qu'elle est restée sur sa faim. Elle a été prise et baisée une douzaine de fois, mais ces jeunes se sont contentés de la baiser comme des lapins. De "tirer leur coup", comme on dit, et de jouir trop vite... C'est trop sommaire... Elle n'est pas rassasiée. Elle se rend compte qu'il lui faut autre chose.
Elle se triture le clitoris d’une main, tandis que de l’autre elle caresse, palpe le cadeau en bois précieux que lui a offert Léa. Un magnifique phallus en bois d'ébène, noir, luisant. Léa le lui a enfoncé en la fessant, sous les yeux de Germain et de Marc...
Marc la faisant geindre de plaisir en la cravachant... Houssam la sodomisant, ficelée sur le "banc à fesser"... Mme. K. la livrant pieds et poings liés à des pervers… Obéissante aux ordres de Léa et de Marc, à genoux, menottée, baissant le slip de Germain avec les dents et suçant sa grosse pine qui sent le bouc… C'est de ÇA qu'elle a besoin !
Elle s'enfonce le phallus d'un coup. Son con est si trempé qu'il reçoit l’objet sans peine, malgré sa taille. Prise de frénésie, elle s’enfonce l’engin toujours plus profond et plus fort. Elle halète et râle et se laisse partir. L’orgasme qui la secoue est si fulgurant qu’il la laisse pantelante, le souffle court.
Elle resserre les cuisses sur l’instrument de son plaisir et s’endort.

Lorsque le soir même son mari l’appelle, lui annonçant qu’il ne sera pas de retour comme prévu et que son déplacement durera encore une semaine, Nathalie sait que le moment est venu...
Le lendemain, elle expédie les affaires courantes et les dossiers urgents, prend un congé et envoie un mail à Marc et Léa leur annonçant son arrivée le lendemain.

(à suivre)

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