Le Grand Secret 2

Rapidement après les évènements précédents, ma femme Séverine me propose d'aller passer un WE à Paris afin de revoir une anciene collègue de boulot Laure, mariée à Manu. Elle fête ses 40 ans, il y aura du monde. Cinquante personnes sont attendues. Pas trop emballé au début car je les connais peu, cette connaissance date d'avant notre relation, elle me convainc en me disant que je pourrai aller voir mes amis pendant qu'elle aidera à préparer la soirée.
Nous arrivons, sommes chaleureusement accueillis, une belle chambre nous est réservée car nous venons de loin, je me dis que le weekend sera finalement sympa. Je m'absente voir mes amis et reviens pour le début de soirée comme convenu. Ma femme est vêtue comme pour les grandes soirées. Une robe noire assez courte et fendue, dentelle en haut, talons aiguilles qu'elle ne porte quasiment jamais. Sa chevelure blonde glisse sur son dos, tranchant avec le noir de la robe de façon splendide. Le salon est grand, ils ont un bar avec des chaises hautes, différents coins canapé, des groupes se forment. Je vais me changer rapidement et reviens, le Champagne et les petits fours ne manquent pas. Séverine est joyeuse. Elle est rayonnante. Sa copine Laure également. Jupe courte en cuir noir, haut rouge, Louboutins j'imagine elle aussi mais rouges. Cette brune est une bombe et ne laisse personne indifférent. Je discute, fais connaissance avec des gens aimables, et commence à être vite bourré. L'ambiance monte, tout le monde semble enivré, c'est l'heure des cadeaux. Bague, voyage, massage, la copine est gâtée. Elle ouvre un dernier petit coffret, d'où elle sort un plug anal chromé, orné d'une pierre rose. Un grand frisson traverse l'Assemblée. Elle att son mari, l'embrasse généreusement, gobe le plug comme une glace en le ressortant maculé de bave, le montre à tous et crie un grand : " On dit merci qui?". Beaucoup répondent : "Merci Manu". Cette scène irréelle lance la soirée, des tournées de shooter sont distribuées en plus du champagne, tout le monde est en liesse.

En s'adressant à Laure, sur une musique bien rythmé, un des convives lance : le soutif, le soutif. Sans se dégonfler, Laure libère son haut, enlève son soutien gorge le lance à la foule et se revêt. Ses seins sont sublimes. Un autre lance. Séverine, le soutif, le soutif. Elle me regarde, ne voit pas de réaction et fait la même chose que sa copine. Deux autres femmes font de même. On peut distinguer une tâche dans chaque bonnet du soutien gorge de ma femme, ce que je trouve curieux. L'ambiance est électrique. Soudain la musique change, quelques invités s'assoient et commence un Paquito. C'est de la folie, les femmes se jettent, les mains fouillent les intimités, je ne suis pas en reste. Quand Séverine passe, sa culotte est littéralement trempée, les seins un peu collants. D'autres profitent sans se gêner. Elle s'installe au bar avec Manu, discute un peu, et je la vois s'absenter. Après un moment, je vois Manu venir vers moi et je l'interpelle :
"Dis donc, elle n'a pas froid aux yeux ta femme !"
"La tienne non plus".
"Le coup du plug quand même".
"Tu sais, nous sommes libertins, c'est pas grand chose et elle c'était un sujet de jeu depuis longtemps entre nous. Tu as de la chance toi aussi. Ta femme est une vrai coquine."
Je réalise qu'il existe une dimension que je ne soupçonnais pas jusqu'à présent.
"Je sais" dis-je pour en savoir davantage.
"Dire qu'elle nous a tanné pour cet après midi. Nous avons invité 3 couples et 3 connaissances du club pour l'initier. T'es vraiment un mec en or de la laisser s'éclater comme ça. Regarde j'ai des photos, elle en voulait pour vous".
Mon pouls s'accélère subitement, je comprends qu'elle a fabulé afin de ne pas éveiller les soupçons. Il me montre son portable et fait défiler quelques photos. Des pipes, des pénétrations non protégées. Une levrette qui ressemble à une sodomie. Je réagis :
"Vous l'avez enculée ?!"
"Tu as l'air surpris"?
"D'habitude, elle n'est pas partante".
"On l'a prévenue, si elle voulait participer, c'est passage obligé. Je m'en suis occupé personnellement. Faut dire que je n'ai pas tenu longtemps avant de lui inonder le cul".
Il enchaîne :
"Gaspard s'est occupé de sa chatte et les autres lui ont fait des surprises. Pendant qu'elle pompait un des gars les cheveux tenus, junior lui a arrosé la nuque. Les autres ont finis dans ses bonnets de soutifs et dans ses Louboutins neufs. On lui a interdit de se laver avant la soirée. Une vraie dinde farcie la Séverine !".
Je n'en reviens pas. Ma femme en train de discuter avec un groupe d'hommes au bar est maculée de sperme, le tout plus ou moins prémédité. Il continue :
"Et puis pas question qu'elle avale. Tu parles... J'ai réussi à la convaincre de me tailler une pipe à l'instant elle vient de tout avaler comme une gourmande. Elle apprend vite ! Je ne sais pas si elle te sort les mêmes foutaises, mais si c'est le cas, sache que le verrou a sauté. Comme celui de son cul d'ailleurs...".
Je n'en peux plus, je veux qu'il arrête mais une gaule molle me fige.
"Je viens de lui demander sa culotte histoire de pimenter un peu la suite, elle l'a enlevée mais l'a gardée dans son sac. J'ai rarement vu un bout de tissu aussi imbibé."
Je souris ne sachant pas quoi répondre.
"En tout cas, content de vous avoir parmis nous, j'espère sincèrement que ces événements vous amèneront à rejoindre la fréquentation de club. Une fois qu'on y a goûté, difficile de s'en passer !" finit-il avant de se lever et de me donner une tape voulue complice sur l'épaule.
Je mets un peu de temps à reprendre mes esprits, avant de regarder en direction du bar. Je vois ma femme sur une chaise haute, jambes croisées, sans culotte. On distingue sa chatte à la naissance de ses cuisses. Cette vue me donne une trique improbable. Sans bouger, j'observe l'incroyable scène qui se déroule devant moi. N'y tenant plus, je décide d'aller me soulager dans notre chambre de prêt. Mon plaisir ne tarde pas et je décide sans comprendre pourquoi de garder ma semence dans le creux de ma main. Je ressors et me dirige vers Séverine, interromps sa conversation et l'embrasse à pleine bouche en lui tenant la taille avec ma main pleine de sperme. Elle ne capte rien. La vengeance est prise. Une goutte de sperme est clairement visible sur sa robe dans le dos pour celui qui prête attention. Nous reprenons le cours normal de la soirée, le double spectacle que je vois me rend fou. Un invité remarque la goutte dans le dos. Son expression change, il fait le tour et découvre le petit manège. Séverine étant en pleine discussion avec un autre homme, il se joint à eux. Il leur propose d'aller boire un verre dans un carré de fauteuils. Séverine s'installe et est obligée d'écarter les jambes pour ne pas se cogner les genoux dans la table basse. Seul la personne en face peut profiter de cette vue terriblement excitante. L'homme en question la prend. Après quelques instants, il photographie sous la table, certainement en guise de trophée. Je pense qu'il filme même un passage. Enfin il lui propose un selfie, ce qu'elle accepte avec un large sourire. La scène d'exhibition est parfaite.
Je vais la voir pour lui dire que je vais me coucher, qu'elle me rejoigne.
"J'arrive dans 5 minutes". Je la laisse et arrive dans la chambre.
Ma femme ne tarde pas à arriver. Elle s'allonge sur le dos et me propose le missionnaire classique. Elle porte sa culotte de nouveau. Je lui enlève la robe, sa poitrine surgit immédiatement. Je renifle ses seins, ils puent le foutre. Je les lèche abondamment, ma femme esquisse un sourire. Je descends sur sa culotte, et curieusement, elle me laisse lécher, elle qui refuse systématiquement désormais. J'aspire le tissu comme si je voulais laver les affronts qu'elle m'avait fait. L'odeur est très forte. Elle me surprend :
"Ce soir mon chéri, tu peux me lécher, j'en ai terriblement envie."
"Avec plaisir mon amour, mais l'odeur est forte. Que t'arrive t-il ?".
"La soirée m'a terriblement excitée. Profites en!".
"T'as du avoir des mains baladeuses pendant le Paquito" lui dis-je.
"Beaucoup, certains mont même effleuré la chatte, ça m'a chauffée".
Cette manière de parler sexe de façon aussi cash change et j'entame un cunnilingus nettoyeur. Séverine ondule sous les coups de langue. "Viens !" me dit-elle. Je l'enfile et la bourre comme jamais. Je mets un peu de temps à venir du fait que je viens de me soulager, ce qui ne gêne absolument pas ma femme qui me prend pour les fesses pour accompagner les coups de butoir. Je jouis en elle. Alors que je me retire, elle me dit : "Finis moi à la main." Je commence à la masturber. Le rythme ne semble pas lui convenir, elle repousse ma main et se frotte frénétiquement le clitoris avant d'atteindre l'orgasme. Après quelques convulsions, elle se tourne sur le côté et me lance un bonne nuit. Sur la chaise repose sa jolie robe tâchée.
Quelle soirée incroyable !