La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1240)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode N°1223) -
Ce soir-là, Kate se présenta dans la chambre du Maître. Elle le trouva occupé à sa table de travail. Se voulant discrète en bonne soumise patiente, elle se mit à genoux et attendit que le Seigneur se décide à lui parler, ce quil fit au bout dun long moment en levant les yeux :
- Ma belle Kate, je dois terminer cette missive, tu peux aller dans la pièce aux ablutions pour te laver. Céline m'a fait porter quelques brocs d'eau chaude. Tu peux les utiliser et mets ensuite quelque chose sur toi pour ne pas prendre froid. Ensuite, tu auras le privilège de venir dans ma couche
- Ho
Merci Maître !
Kate se lava avec application afin de plaire au Maître et lui démontrer sa gratitude de l'autoriser à se laver avec de l'eau chaude et de pouvoir rejoindre sa couche. Une fois propre, elle enfila une tunique de lin ample et légère et retourna aux pieds du Maître.
- Porte cette missive à Messire Léon, il sait à qui elle est destinée (la duchesse de Saint-Hymer). Ensuite tu reviens ici :
- Bien Maître, j'y vais de suite
Une fois la missive portée et avant de retourner dans la chambre du Maître, Kate retira la tunique, frappa à la porte et entra dés l'accord du Seigneur d'Evans. La belle Kate fut surprise de voir le Maître déjà couché alors elle se mit a genoux à côté du lit attendant ses ordres.
- Viens ma belle, viens à mes côtés
Kate se coucha alors aux côtés du Maître qui la prend dans ses bras tout contre lui.
- Maître, je suis désolée et vous prie de m'excuser de m'être ainsi laissée aller devant Vous, ce tantôt.
- Ce soir, je ne texige rien d'autre que ta présence et ta tendresse. Et ne parlons plus de cela.
Alors Kate se blottit contre Lui tout en caressant et couvrant son torse de doux et sensuels baisés pendant qu'il lui caressait les cheveux et le dos.
- Tai-je autorisé à me toucher, soumise?
- Non Maître, je vous présente mes excuses, je pensais que vous apprécierez.
- Oui japprécie grandement. Mais jamais tu dois me caresser sans mon autorisation.
-Bien Maitre. Ca ne se reproduira plus Maître.
- Je nen doute pas, Ma chienne à éduquer...
Le Seigneur dEvans se leva et alla dans un meuble et prit des attaches en cuir des poignets, chevilles et un bandeau de lin épais.
- Je ne tattache pas les jambes mais ne bouge pas
Et il lui mit le bandeau sur les yeux. Il reprit ses caresses sur ses seins puis la doigta et agaça son clito avec savoir-faire. Il le savait aussi très réceptif ce clito, encore plus que ses tétons. Kate gémissait de plaisir se cabrant par moment afin de sentir ses doigts plus profondément en elle. Après avoir longuement exploré sa chatte chaude et humide comme il aimait, Il présenta sa main trempée de cyprine devant sa bouche afin quelle la lui nettoie de sa propre mouille. Puis le Seigneur la détacha et lui dit :
- En levrette tout de suite, chienne.
Kate sexécuta instantanément et après quelques claques cinglantes, il la pénétra très facilement et la pilonna, sans autre préambule, un bon moment longuement, profondément, à grands coups de reins virils et puissants.
- Hoooooo
Maî
Maître, cest bonnnnnnn
.. Hummmm
Puis-je jouir, sil
Hummmm
sil vous plaaaaait ?
- Pas encore, tu jouiras si je te l'accorde et quand je serai dans ton cul de chienne ..
- Maî
Maître
je
je n'ai été prise qu'une seule fois par derrière et...
- Silence la chienne ! Je sais ce que je fais
Le Seigneur dEvans bien qu'il lui eut donné l'ordre de se taire, décida de la préparer comme pour une première fois car en réalité ce sera la première fois avec Lui. Alors il commença à dilater longuement et délicatement son anus de Ses doigts pénétrants. Et quand le Maitre le jugea suffisamment dilaté, il écarta ses fesses et lencula dabord doucement par quelques va-et-vient. Kate se cambra au maximum afin de faciliter lintromission du volumineux sexe du Seigneur. Celui-ci la voyant maintenant détendue, ouverte, offerte, il accentua la vitesse et la puissance de ses coups de reins dans un rythme plus soutenus, dans une cadence virile, profonde à la besogner dans une saillie animale, bestiale... Ses grosses couilles frappaient ses fesses à chaque poussées si puissantes, allant jusquà la garde, la grosse verge entière du Noble senfilait au plus profond qui lui était possible
- T'aime ça, hein Ma salope ?
- Hooo ! ouiii ! Encore
Ouiiiiiiiiiii ! Haaaaaaa ! Maître, je vous en supplie, n'arrêtez pas c'est trop bon.
- Humm, t'en veux encore, chienne ?
- Ouiiiiiiiii ! Hummmm ! Maître s'il vous plait
Haaaaaaa ! Encooooooore
Alors il lui calqua les fesses d'une main forte et de l'autre il alla la mettre dans sa chatte dégoulinante de son plaisir afin de lui titiller son clito avec des doigts très agiles exerçant une forte pression sur le bouton rose
Juquau moment où le Seigneur dEvans daigna annoncer à Sa soumise :
- Jouit, maintenant, Ma chienne, je le veux !
Alors Kate ne se fit pas prier ! Elle lâcha enfin son orgasme puissant dans une explosion de décharges irradiant tout son corps tremblant de spasmes quelle ne pouvait contrôler, le plaisir jouissif était tel quelle ne put sempêcher dhurler son orgasme si dévastateur et si bon, si divin
Et c'est épuisée, mais vraiment comblée qu'elle s'écroula de plaisirs. Le Maître sur elle et toujours dans son cul ne bougeait pas. Il restait ainsi immobile, bien planté en elle en coït anal profond. Il possédait son cul, il linvestissait pleinement... Quand il se retira, elle descendit du lit et se mit à genoux, tête baissée, les mains dans le dos, devant le Seigneur d'Evans.
- Merci Maître de m'avoir permise de jouir et pour cette merveilleuse sensation dans mon cul, je me suis sentie si remplie, si pleine, je me suis sentie prise comme la chienne que je suis
Mon cul pleinement possédé par Votre Verge
- Oui Ma salope, tu as été enculée pour ce que tu es
Une chienne ! Noublie jamais que tous tes orifices sont à Moi et jentends en user et r quand je le décide, ils doivent toujours mêtre offerts, à Ma disposition, prêts à être pénétrés selon Mes envies et à tout moment
Maintenant, nettoie-moi, Ma chienne...
Kate prit alors dans sa bouche le sexe mollissant du Maître et le nettoya consciencieusement.
- Va te nettoyer et ensuite reviens à mes côtés.
- Merci Maître.
Kate se rendit donc dans la pièce d'eau et se nettoya rapidement les cuisses, sa chatte et son cul souillé de ses secrétions et du sperme du Maître.
Alix et Antonin - (toujours prisonniers à des centaines de kilomètres du Château) -
Soudain Antonin dit à Alix
- Jai une idée pour nous sortir dici
- Vraiment ? Je vous écoute
- Il faut que vous acceptiez la proposition de mon père, dépouser Léonard
- Auriez-vous perdu la raison ! Il nest pas question que jépouse votre ignoble et brute de frère.
- Non bien sûr, mais faites-le lui croire et à notre retour, je suis sûr que le Seigneur Charles dEvans, à qui vous appartenez dailleurs, ne permettra jamais une telle chose si ce nest pas votre souhait
- Oui vous avez raison, je vais faire semblant daccepter de lépouser.
Voyant un des gardes en faction qui stationnait devant la grille de la prison, Alix linterpella :
- Garde, garde ! Je veux parler au baron de Grenois, immédiatement
.
Le garde ne lui accorda même pas un regard mais il quitta de suite les lieux et peu de temps après un autre garde vient chercher Alix et la mena dans le cabinet de travail personnel du Compte Baudouin de Courtenay, qui celui-ci, se trouvait à létranger
Pendant ce temps au Château :
Ce matin-là, le Seigneur d'Evans se trouvait dans sa pièce de travail quand soudain on frappa à la porte. Il était encore très tôt et se demanda qui pouvait bien le déranger de si bon matin
- Entrer.
Kate entra et de suite elle se mit à genoux :
- Maître, je vous présente mes excuses de vous déranger si tôt et aussi si je me permets de m'exprimer avant que vous ne m'y autorisiez, c'est que ce que j'ai à vous dire est extrêmement urgent.
- Je sais que tu nagirais pas ainsi si ce n'était pas important. Alors, je t'écoute ?.
- C'est Clémence, Maître elle a fait un malaise ce matin en se levant. Et elle demande à Vous voir.
- Allons à sa chambre, au plus vite
répondit le Seigneur dEvans sur un ton plus quinquiet
Pénétrant dans la chambre, le Seigneur dEvans prit place sur la chaise près du lit. Clémence était toute pâle et visiblement épuisée et éprouvée.
- Clémence, tu es souffrante. Veux-tu un guérisseur ?
- Non, je me sens déjà mieux
Mais il faut que je vous parle, jai rêvé dAlix et je la sens en grand danger.
- Sais-tu de quoi il sagit ?
- Je ne saurais dire où elle se trouve exactement, ni quelle menace pèse sur elle, mais je sais quelle souffre.
Clémence se plaqua les mains sur le visage et se mit à pleurer.
- Je ne vois pas comment Vous pourriez intervenir, cest si loin, même avec les meilleurs chevaux, ils narriveront pas avant une semaine. Alix a le temps de mourir 10 fois, 100 fois.
- Je sais quoi faire. Laissez-moi le temps dagir. Je te laisse aux bons soins de Kate et je préviens Messire Léon de ton état. Si tu as besoin, il saura où trouver mon médecin personnel. Il ne manque pas de plantes médicinales pour te retaper
- Merci Maître et je suis désolée de Vous donner tant de soucis.
Puis sadressant tout bas à Kate, il lui dit :
- Essaie de la distraire, je moccupe de tout.
- Bien Maître
(A suivre
)
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