Soumis !
Je me rend au pôle emploi pour la cinquante millième fois au moins. Jy vais car je suis obligé: chômeur en fin de droits, si je veux récupérer un peu de sous, il faut bien y aller !
Tout de façon, je sais quils nont rien pour moi: âgé de 50 ans, sans métier particulier, je ne suis pas vraiment facile à caser.
En plus je ne sais pas me servir de ces conneries dInternet: je nai même pas de téléphone portable. Et bientôt, je serai viré de lhôtel où je me loge actuellement.
Je rentre donc dans la pièce où mattend ma conseillère, une vieille bique qui en général ne me regarde même pas et valide juste ma présence sans rien me proposer. Bon ça fera toujours un mois de chômage de plus qui sera payé!
-Entrez MR Dravet!
Tiens, ce nest pas la même que dhabitude. Celle-ci est jeune, la trentaine, bien fichue et elle a le sourire...
-Je suis Mme Foubert. Et je vais vous trouver du boulot, vous allez voir!
Bon, je massieds, docilement et lui présente mes papiers, sans grande illusion.
Elle lit mes paperasses tout en me regardant par le dessus de ses lunettes qui la rendent aussi sévère que mon institutrice de primaire. Cest une jolie brune qui semble complètement décontractée.
-Mouais, et bien MR Dravet, cela ne va pas être simple je crois... Vous nêtes pas spécialement quelquun de facile, non?
Je lui répond en lui expliquant quen effet, jai un peu de mal avec les chefs et en général cela se passe assez mal.
-Maïs là Mme, je vous promet que je vais être soumis à ce que les employeurs demanderont...
Ses mains, fines mais musclées sarrêtèrent de tapoter son bureau. Elle pose les papiers et jette un il alentour.
Les bureaux sont fermés mais vitrés du côté de la réception. Elle se lève alors et va fermer, mine de rien les stores qui donnent sur cette réception. Je commence à me retourner, intrigué, lorsque jentends sa voix rauque près de moi,
-Alors comme cela tu vas être soumis?
Je sens immédiatement mon sexe se durcir.
-Le petit monsieur va être gentil avec sa conseillère alors...
Là, je dois avouer que je me sens un peu con. Mais quest-ce que cest que ce bazar?
Je vais pour me lever mais elle me tord loreille violemment. Elle réussit ainsi à mobliger à rester sur ma chaise. Elle passe devant moi et me regarde droit dans les yeux.
-Tu es mon dernier rendez-vous daujourdhui mon beau salaud. Et moi jai besoin de quelquun chez moi, qui soccupe de mon appart et qui mobéisse: tu crois que tu en seras capable salopard?
Là je suis carrément dans les choux, je dois dire que je ne sais plus quoi répondre, alors du coup...
-Oui madame, je vous promet que...
-Ta gueule!. Avant tout montre moi ta queue: tas intérêt à ce quelle maille bien!
-Euh...
En fait cest elle qui me défait et sort ma queue à moitié bandante et en serre la tige, durement. Elle commence alors à me branler doucement en me regardant dans les yeux. Mon membre grossit et je tends la main vers elle
Vous ais-je précisé quelle continuait à me tordre loreille?
Elle lache ma queue et se relève brutalement.
-Putain...
-Ta gueule me répond-Elle. Maintenant tu te rhabilles et tu sors. Tu mattend dehors, pigé?
Je me rhabille. Je la regarde tandis quelle se rassied derrière son bureau: ça cest de la femme!
Il faut croire que ma queue lui a plut: mais moi en attendant, je sors en boitant: je bande encore tellement fort que ça me fait mal.
Voilà je suis chez elle à présent: mon sac avec toutes mes affaires posé au sol. Cest un appart parisien classique: tout en enfilade et il semble y avoir au moins quatre pièces. Je me sens un peu ridicule car elle ma ordonné de ne pas bouger. Et je nose pas faire un geste.
Elle arrive alors, vêtue des pieds à la tête dune combinaison noire te uniquement au niveau des aréoles de ces seins quelle a menus: sa chatte, épilée, est également à lair libre: je recommence à bander immédiatement.
-Maintenant tu vas mécouter lopette: tu vivras ici et tu feras tout ce que je dirai
-Maïs
Cest là que je me prends la baffe là plus magistrale de ma vie. Jen tombe à terre. Elle me domine de toute sa taille.
-Lopette: tu seras à mes ordres et tu mappelleras maîtresse.
-Oui maitresse.
-Et maintenant on va à la salle de bains connard. En rampant!
Je mexécute. Elle mordonne de rentrer dans la baignoire. Je suis encore habillé et mallonge dedans.
-Ce soir tu dors là petit pd. Et en attendant jai envie de pisser.
Elle entre dans la baignoire et me pisse dessus. Je nose pas faire un geste mais je savoure son jus qui me tombe sur le visage. Il sort tout droit de sa jolie chatte et il a un goût un peu sucré. Jadore ça...
Une fois quelle a finit de pisser, elle me retire mon pantalon en me traitant de tout les noms et se rentre ma bite en rut dans son vagin: cest rapide: en deux ou trois mouvements je jouis en elle.
Elle retire sa combinaison et se douche en me piétinant.
Elle sort nue et magnifique de la baignoire et je vais pour la suivre: un seul de ses regards men empêche.
Elle revient quelques instants après, cachant un objet derrière elle.
Elle se penche vers moi et jai un mouvement de recul: cela la fait sourire.
-Petit chien naie pas peur, le reste de ta vie va bien se passer.
Et cest là quelle ma mis mon collier quelle a fixé à une chaîne scellée dans le mur...
Et cest ainsi que je suis devenu lesclave de Maîtresse Rubis: elle est ma vie, mon horizon, je sais maintenant que jétais destiné à lui obéir jusquau bout. Cétait il y a un an: je ne suis pas sorti de cet appartement depuis... Mon dieu, que va-t-elle inventer encore pour me rendre heureux dans ma douleur ?
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