Les Aventures De Dje 56
LES AVENTURES DE DJE 56
EP 56 : EN MANQUE
C'est pas après ça que j'allais me sentir mieux ! Plus frustré que jamais je redescendais, je croisais des ouvriers partout et ils me paraissaient tous plus sexy les uns que les autres . J'avais la cervelle en feu. Des hommes, partout autour de moi, c'était le bruit, c'était ce qui venait de se passer ? C'était le manque ? J'aurais aimé qu'un d'entre eux, plusieurs même peut être, m'attnt par le bras, m'entraînent dans un coin sombre et me violent sans aucun ménagement, sans aucun respect
Qu'ils me défoncent le cul jusqu'à m'obliger à les supplier
Je jure de ne pas appeler au secours ! C'est dans ces moment là que ma PK, mon dispositif de chasteté, je la sentais bien !
J'avais de l'énergie à dépenser aussi je décidais de prolonger ma séance d'entraînement. J'avais couru vingt kilomètres de plus quand j'arrivais à la maison. Charles m'accueillait.
Charles : Et bien Djé tu est sorti plus longtemps que d'habitude aujourd'hui ?
Moi : Beaucoup d'énergie à dépenser !
Charles : Tout va bien ?
Moi : Tout va très bien !
Charles : On vient de m'apporter une lettre, elle est ouverte, elle était arrivé chez notre voisin du dessous.
Moi : Tu sais de quoi elle parle ?
Charles : Bien sûr, comme tout très bon secrétaire que je suis je l'ai lu. C'est une proposition de contrat publicitaire pour des vêtements de sport. Une marque tout à fait convenable. Mais il y a un truc que je ne comprends pas !
Moi : Vas-y explique.
Charles : Regarde
On te propose un cachet de dix mille DI sous prétexte que tu n'est pas très connu
C'est ridicule
Le montant est ridicule aussi
Moi : Dix mille ! Pour moi ! Tu as raison c'est pas très sérieux, on montrera ça à Antoine ça devrait le faire rire
Je passais sous la douche, ça allait mieux ! La pression dans ma cage de chasteté commençait enfin à baisser.
Ce soir là il n'y avait pas de réception, nous ne serions que trois, le lendemain il y avait école
Charles avait sa soirée, il prenait souvent sa soirée les jours ou nous ne recevions pas
Avec Antoine et Luc on se faisait livrer une pizza !
Luc : Je me suis inscrit au permis de conduire !
Antoine : Mais tu n'as pas encore l'âge pour conduire toi !
Luc : J'ai pas l'âge, j'ai pas l'âge
J'aurai mes dix huit ans dans quelques semaines !
Antoine : Tu as vu ça Djé, le p'tit devient grand, je n'ai pas vu le temps passer. Ça grandi vite à cet âge !
Luc : Arrête de dire n'importe quoi, on se connaît depuis moins d'un an !
Moi : Au fait je pense à un truc, Antoine, tu vas rire ! On me propose dix mille pour une campagne publicitaire
C'est ridicule .
Antoine : Dix mille ? C'est ridicule ! ( il rigolait )
Moi : Sous prétexte que je ne suis pas très célèbre !
Luc : Mais c'est quoi cette plaisanterie ? Fais voir la lettre !
Luc lisait attentivement la lettre
Luc : '' Nous avons apprécié votre interview
''
Tatata
'' Votre image véhicule une véritable joie de vivre
''
Tatata
'' Votre jeunesse
''
'' Quelques photos
''
Moi : Ça ne te fait pas rire ?
Luc : Dis moi Jérémy, tu as bien lu la lettre jusqu'au bout ?
Moi : Bein !
?
Luc : La lettre
Elle m'était adressée !
Je reprenais la lettre
En effet elle lui était adressée ! Je décidais de téléphoner à Justine. Je tombais sur son mari !
Moi : Salut Henri, ça va, j'espère que je ne dérange pas, je voudrais juste un petit conseil
Je lui expliquait rapidement la situation, il me proposait de passer le lendemain au restaurant, il étudierait mon dossier pendant le repas
Je le retrouvais donc, comme prévu au restaurant le lendemain, il était avec sa femme ainsi que Joss.
Dans la voiture !
Luc : Tu as vu ça Jérémy, c'est mon premier contrat et il y avait trois avocats sur mon affaire !
Moi : Tu en as de la chance !
Luc : Moi je te le dis, ça commence très bien cette histoire, je sens que je vais devenir célèbre
Tu vas voir !
Le deuxième trimestre se terminait
Toute l'équipe décidait de faire une grosse fête, on serait plus de deux cent, bien sûr j'y serais et Antoine et Luc également. Ensuite c'était les vacances, comme à chaque fois des groupes de sport étaient organisés. Nous trois avion prévu de passer nos vacances en famille puis de terminer les derniers jours au château.
Ça faisait plus de trois mois que personne n'avait touché à mon cul, trois mois que mon tiroir à jouets n'avait pas été ouvert. La dernière fois que j'avais touché à un gode c'était justement lors de mon dernier séjour au château
Presque trois mois que je servais de sex-toy à ma nouvelle copine
Trois mois que j'avais la tête et le cul en feu
Trois mois
Nous avions rapidement des nouvelles de Justine
Elle nous avait téléphoné !
Luc : Jérémy c'est vraiment super, elle a obtenu quinze mille !
Moi : Mais c'est plus que prévu ça !
Luc : Avec ça je vais pouvoir me payer ma première voiture ! C'est génial !
Moi : Et ça se passe comment ?
Luc : Le premier jour des vacances il y aura une séance photo, tout doit être réglé au plus tard le premier jour des vacances ! Je ne sais pas pourquoi !
Moi : Et ensuite on par voir la famille !
La veille des vacances on faisait la fête, toute l'équipe
C'était dans la salle de sport de l'université que ça se passait.
Je ne pensais plus qu'à une chose
'' Qui allait se libérer à la fin de la soirée ? ''
Je regardais tous mes camarades et me disais
'' Celui-là c'est le groupe de sport, il garde son truc, celui-là je ne sais pas, celui-là c'est
Mathias ! ''
Mathias : Tu fais quoi toi ces deux semaines ?
Moi : Huit jours en famille et huit jours au château, et toi ?
Mathias : Le château !
Moi : On s'y verra !
Donc je me disais
'' Celui-là il reste enfermé ''
'' Celui-là c'est sûr il se libère ''
Ceux là je les imaginais libre, j'imaginais leur bite se balancer puis se redresser, prendre du volume
je m'imaginais dans leurs bras, ils étaient tous musclés et tous avaient un corps magnifique, je le savais, je les voyais régulièrement nus sous la douche !
On riait, on mangeait, on buvait, on chantait, on se motivait
Au retour des vacances il y avait une compétition inter-universitaire, et l'année précédente on avait cassé la baraque, on avait raflé plus de la moitié des coupes et médailles
On avait progressé mais les autres aussi
Beaucoup d'étudiants avaient le même entraînement que nous, nous ne serions plus les seuls à nous être entraîné dans la chasteté
Moi je venais de passer trois mois et je peux vous garantir que j'avais de l'énergie en réserve
La soirée avançait, la moitié des participants s'était retirée. J'avais un peu bu et je m'étais retirer dans un coin plus tranquille à réfléchir, j'entendais des murmures pas loin, je me penchais. Deux garçons se faisaient un câlin, ils étaient enlacés et s'embrassaient avec fougue.
D'abord je reconnaissais Julien (Ep 14), il est mignon Julien, il avait été un de mes colocataires l'année précédente et avait été aussi le premier à porter un dispositif, je l'aime bien Julien il est très mignon et très sympa
Mais l'autre c'est qui ?
Les blousons étaient tombés depuis longtemps et maintenant c'était les chemises qui tombaient à leur tour.
C'était une deuxième chemise qui tombait, il avait aussi du muscle le second, je ne parvenais toujours pas le reconnaître, il était plus grand
Peut être
Les deux corps se touchaient, les deux corps se caressaient, se frôlaient, se serraient l'un contre l'autre comme attirés, les bras se mélangeaient jusqu'à faire des nuds
Julien penchait la tête en arrière pendant que son camarade l'embrassait dans le coup, sur la gorge, dans l'oreille
Puis c'était l'autre qui relevais la tête pendant que Julien lui rendait généreusement ses baisers. Je ne parvenais toujours pas à voir qui c'était !
Le pantalon de Julien tombait, il faisait comme moi, il n'avait pas de sous vêtement. Je ne serais pas en train de lancer une mode moi ? Il avait gardé sa PK, ça ne m'étonnait pas, Julien ne participait pas au groupe de sport mais ça ne m'étonnait pas. Son camarade passait une main entre ses cuisses et lui caressait les couilles longuement, les prenait dans la main et semblait les serrer dans la main. Julien gémissait mais pas de douleur. C'était maintenant le pantalon du deuxième personnage qui tombait au sol. Finalement oui c'était bien une mode !
Ma Pk était sous pression et forçait pour se relever, ça devenait désagréable, gênant, je me sentais à l'étroit dans mon pantalon autant que dans ma PK. Une fois de plus le nouveau modèle montrait son confort, j'étais à l'étroit, ça me gênait entre mes cuisses mais il n'y avait toujours aucune douleur
Il avait de belles fesses le partenaire à Julien, il avait aussi des cuisses magnifiques, fines et musclées
Mais pourquoi je flashe autant sur des fesses ou sur des cuisses moi ? J'en vois tous les jours sous la douche. Peut être parce que
Trois mois ... ? Peut être parce que
Ouai ! Trois mois, c'est bien ça, il faut pas chercher plus loin !
Julien s'agenouillait devant son camarade et semblait le sucer. Mais enfin, nous portons tous une PK ce soir, on ne le retirera que plus tard, après la soirée ou demain
Les deux amants se déplaçaient légèrement et je les voyais maintenant de profil
C'était Germain ! Et l'enfoiré il avait retiré son truc et là il se faisait sucer par Julien
Il est mignon Julien, il aime les grosses bite et c'est vrai qu'avec Germain il était servi. Il en profitait, il savait sucer, j'admirais sa technique, il avalait la bite de Germain sur toute la longueur et pour l'avoir pratiquée je savais qu'elle était grosse cette bite, je jour de la rentrée (Ep 40) je me l'étais prise dans le cul la bite à Germain !
Germain retenait la tête à Julien et le tirait vers lui. En même temps il donnait de violents coups de bassin. Julien encaissait et en redemandait. C'est lui qui tirait les fesses de son partenaire quand celui-ci se calmait, lui aussi il en voulait ! J'aurais aimé être à sa place
Germain se laissait aller, et accélérait le mouvement. Il enfonçait joyeusement sa grosse bite dans la gorge de Julien et la ressortait avant de recommencer
Il gémissait de plaisir
J'aurais tellement aimé être à sa place
Julien se relevait et Germain lui demandait de se retourner, Julien se retournait et s'appuyait sur le mur. Germain prenait position, il plaçait sa bite en position et doucement l'enfonçait en un mouvement régulier, dans le cul de Julien, il l'enfonçait doucement mais sans hésiter, elle rentrait lentement et je la voyait en ombre pénétrer jusqu'au moment ou le bas ventre de Germain écrasait les fesses de Julien qui poussait alors un long gémissement, une longue plainte, une sorte d'appel au secours qui espérait n'avoir aucune réponse
Germain poussait fermement et se serrait encore plus contre son camarade, il le tirait vers lui en le prenant pas les hanches. Julien gémissait. Puis Germain se retirait, pas complètement, juste à moitié avant de revenir à la charge bien à fond dans un mouvement lent mais décidé. Il terminait par un coup de rein. A chaque mouvement il se retirait un peu plus et à chaque fois il revenait un peu plus fort, un peu plus vite, et à chaque fois il terminait par un coup de rein plus violent. A chaque fois Julien gémissait plus fort, il terminait par une sorte de sanglot étranglé.
Je sentais mon anus se contracter, je sentais ma cage me ratatiner la queue, j'avais l'impression que ma cage devenait plus petite, devenait trop petite. Il y a des jours comme ça. Je sentais ma prostate frémir, appeler, quémander, mendier une bite. Ce n'était plus seulement une envie ça devenait un besoin
J'avais besoin, pas envie, mais besoin, vraiment besoin comme jamais, j'avais besoin de me faire défoncer le cul, je me souvenais de ces sensations quand Germain m'avait éclater la rondelle, je me souvenais de cette impression de me sentir rempli, dilaté
Je me serais damné pour prendre la place de Julien
Mais je n'osais pas les déranger et je les regardais sans faire de bruit !
Je voyais le reflet du liquide qui coulait de la cage de Julien, ce liquide épais et blanc et j'entendais ses plaintes pendant qu'il jouissait ! J'aurais tellement aimé être à sa place
J'entendais le souffle de Germain au moment ou il jouissait et j'avais presque l'impression de ressentir ses tremblements, les vibrations de son corps, je me souvenais de la force de ses muscles et de la douceur de sa peau et de la taille énorme de sa bite, je me souvenais qu'il avait fallu lui imprimer une modèle spécial grande taille au début de l'année
Germain restait sans bouger cramponné à son camarade qui semblait avoir le souffle court. Julien retournait la tête en arrière et Germain lui donnait un baiser passionné. Ils restaient ainsi un long moment sans bouger, puis ils finissaient par se séparer, lentement, de profil je voyais alors la queue de Germain sortir du cul de Julien et retomber en partie, il commençait à débander
Quelques instants plus tard c'était une grosse molle qui pendait devant lui
J'aurais vraiment aimé être à sa place
Ma queue était écrasée dans sa cage, et je ne pensais plus qu'à cela, je ne ressentais plus que cela !
Je les regardais reprendre leurs esprits, ils se rhabillaient, ils ne me voyaient pas, ne se doutaient même pas de ma présence. Ils repartaient rejoindre le reste de l'équipe, enfin ceux qui étaient encore là ! La soirée avançait et il ne restait plus grand monde.
J'attendais encore quelques minutes et je les suivais. La salle se vidait. Luc faisait le guignol, pour changer, il était entouré d'un groupe de plusieurs garçons de la fac et à les voir rigoler on devinait que l'ambiance était bonne.
Antoine lui était plus calme, c'est lui qui conduisait il était resté sobre et donnait l'impression d'avoir envie de rentrer. On échangeait quelques signes, on se comprenait, Luc nous remarquait et terminait son verre, il saluait alors ses amis et nous rejoignais. On s'était compris, on était fatigué et on n'avait plus qu'une envie
Se faire défoncer le cul
Pardon ! Là je parlais pour moi !
Je reprends
On n'avait plus qu'une envie
Rentrer se coucher
Et moi j'avais envie comme jamais de me faire défoncer le cul. Il était trop tard pour aller draguer dans les coins mal fréquentés comme je l'ai déjà fait, il faisait froid, j'étais à moitié saoul
On faisait route
Je n'ai pas vraiment bien dormi cette nuit là
J'ai fais des rêves érotiques, et je me suis réveillé à plusieurs reprises. En fin de nuit je me souviens même que je me suis réveillé alors que je rêvais que je me faisais enculer
C'était bon, je jouissais, enfin je veux dire que je rêvais que je jouissais
C'est pas tout à fait pareil
Je rêvais que j'éjaculais et c'est ce qui m'a réveillé. En fait j'éjaculais vraiment, je jutais, du sperme coulait de ma PK et semblait ne pas vouloir s'arrêter. Une fois réveillé je n'éprouvais plus aucune sensation, je ne me sentais même pas soulagé, j'avais toujours le feu au cul, et même de plus en plus.
Au réveil j'étais pas en forme, mais bon, personne ne s'en inquiétait. C'était un lendemain de fête et de toutes façons j'étais en vacances. Luc avait sa séance photo dans l'après midi, je pouvais faire la sieste. On ne partait pas avant le lendemain matin
J'avais tout le temps nécessaire pour me reposer !
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