Moi Et Les Filles (2)

Chapitre 2
Moi et Manon
Je me suis installé chez mon père fin Juillet et je suis parti en vacances au camping avec Jade, Manon et leur cousine Sandrine. Je me suis rapproché de Jade dont je suis tombé amoureux. Notre rapprochement fut aussi physique au point de partager une douche où nous avons pris du plaisir. Mais, nous n’avons pas encore franchi le pas, quelque chose nous a retenues.
Un train-train journalier s’est installé. Moi dans mon école d’informatique, où mes études me laissent peu de place pour autre chose. Jade qui a loupé son bac, refait donc sa terminale. Manon est en contrat d’alternance dans une boutique d’esthéticienne. Mon père et ma belle-Mère sont très actifs, ils sont souvent absents le soir et le week-end car mon père fait partie des riches industriels de la région.
Souvent le soir avec les filles, on regarde la télé. Il n’y a qu’une télévision dans cette maison. Tranquillement nous prenons nos habitudes, nous nous installons toujours aux même place, moi dans le petit canapé et les filles dans le grand. Toutes les deux se blottissent, l’une contre l’autre, pour se réchauffer même si la cheminée inonde le salon de sa douce chaleur. Elles sont proches toutes les deux et bien souvent, elles dorment ensemble.
Cela fait quelque mois que nous retrouvons ainsi le soir. Et je ne sais pas si c’est intentionnel mais j’ai déjà vu plusieurs fois, la vulve de Manon. Il est vrai qu’elle a peu de pudeur. Je l’ai aussi, déjà vu nu allais et venir entre sa chambre et celle de sa sœur. Je pense que les filles ont peu changé leurs habitudes depuis que j’ai emménagé. Elles sont donc complétements nus sous leurs chemises de nuit ou leurs teeshirts. Un soir, j’eus même le droit de voir leurs deux chattes en même temps. J’ai pu à loisir les comparer.
Jade est brune, plutôt petite avec des rondeurs, un cul superbe bien en chair et deux beaux gros siens. La pilosité au niveau de son bas-ventre est très fournie et très sombre.

Manon a de longs cheveux châtain clair, plus grande que Jade, avec une poitrine plutôt petite et de petites fesses. Ses poiles sont quant à eux beaucoup plus clair et avait l’air d’être plus entretenu. A les voir l’une à côté de l’autre on a du mal à croire qu’elles sont sœur.
Leur caractère diffère aussi radicalement, Jade est timide et réservée, rougis à la moindre allusion des relations avec les garçons. D’ailleurs mon père la taquine régulièrement avec ça. Je me demande encore comment, elle a pu surmonter cela avec moi. Manon, c’est le tempérament de feu, à l’aise en toutes circonstances, allant au-devant de tous et n’ayant aucun filtre entre son cerveau et sa bouche.
Depuis notre séjour au camping, Jade et moi, nous n’avons pas parlé de ce qui nous avons fait ensemble. Une sorte de gêne s'est installée entre nous. Comme si c'était devenu une histoire taboue. On vit sous le même toi, nous n’avons aucun lien de parenté direct et pourtant quelque chose nous gêne. Je ressens pourtant beaucoup de choses pour elle.
Nous sommes en pleine hiver, peu avant Noël, à la suite des conditions hivernales, Jade se trouve coincé chez une copine par la neige car les transports en commun sont suspendus. Les « parents » restent dormir à l’hôtel puisqu’en déplacement d’affaire pour la journée en Belgique toute proche.
Je me retrouve donc seul à la maison avec Manon. Nous avons passé une partie de la fin de journée à jouer dans la neige. Puis après un bon bol de chocolat chaud au coin de la cheminée, en tête à tête. Nous sommes parties nous doucher chacun de son côté pour se rejoindre après pour regarder la télévision.
Comme à son habitude, elle s’installe dans le grand fauteuil près du feu. En montant ces jambes dans le fauteuil, je peux voir, une nouvelle fois, qu’elle ne porte pas de culotte. Je la vois souvent regarder d'un air inquiet par la fenêtre, la neige continuer de tomber.
Le film comme d’habitude ne me passionne pas plus que ça. Je m’ennuie vite.
J’ai laissé le choix à Manon mais les films à l’eau de rose sur Noël me gavent ! On sait d’avance que la fille va se taper le beau Mec et qu’ils vont se marier à la fin. Et bien sûr, on ne les voit jamais couchés ensemble au pire on nous le laisse le deviner…
- Je vais me coucher, lui dis-je au bout de trente minutes de niaiseries
- Tu vas me laisser ici toute seule ? Me dit-elle inquiète
- Ça ne m’intéresse pas, je vais aller lire un peu.
- Tu ne veux pas plutôt venir à côté de moi pour que l’on se réchauffe un peu tous les 2 ? Je vais me sentir seule et avec ce temps dehors cela ne me rassure pas… Me dit-elle d’une voix tremblante.
- Cinq minutes alors.
Je m’installe de l’autre côté du fauteuil. Elle change de position pour s’allonger sur le côté et ainsi mettre sa tête sur mes cuisses. Je n’ose plus bouger, sa tête est en fait appuyée sur mon sexe. Je peux voir par le haut sa chemise de nuit, ses jolis petits seins.
Après quelques minutes, elle doit sentir mon sexe se gonfler. Car elle s’avance légèrement afin de ne plus le toucher. Je suis un peu gêné qu’elle ait deviné mon érection. Elle n’y fait aucune allusion. Nous regardons toujours la télévision et sa main, qu’elle a posée sur mon genou, caresse celui-ci.
Cette caresse singulière me transporte dans un état érotique surprenant. Tremblant un peu, je mets une main sur son bras et commence à la caresser. Continuant lentement, je quitte son bras pour effleurer ses côtes puis la caresse doucement.
Ma main s’aventure alors sur son ventre, ce qui lui amène un petit frisson. Quant à elle, sa main caressait maintenant toute ma jambe, parfois doucement, parfois en me pinçant le mollet, ou des petits chatouillis dans le creux du genou, faisant naître en moi des petits tremblements.
Bien qu’on ne se soit touché aucune zone érogène, je suis très excité. Je ne sais pas encore si ces caresses sont pour elle érotiques ou bien si elles les considèrent comme fraternelles.
Je continue mes caresses du bout des doigts sur son ventre en faisant des petits cercles de plus en plus grands, puis les transformant en petites chatouilles. Mais cela tourne vite à la chamaillerie d’.
Le film n’a plus aucun intérêt pour nous. Suite à une chatouille sur les côtes, elle se retourna violemment et heurta de son coude mes parties génitales.
- Aie !!!
- Pardon, pardon, pardon… dit-elle en tendant les mains vers la bosse de mon jogging
- Pas grave lui dis-je en me serrant le sexe dans les mains.
Cela clôture notre séance de tripotage. Je lui fais la bise et je monte dans ma chambre. Tout en essayant de soulager mon entre jambes.
Je m’allonge sous ma couette pour repenser à cette soirée. Je me masse toujours l’entre jambe et cela commence à me soulager. Je sens même une forme de plaisir monter en moi. Mais je suis interrompu par Manon qui frappe à ma porte et l’ouvre.
- J’ai peur toute seule de mon côté de la maison, me lance Manon de ma porte de chambre. Je peux venir avec toi ?
- Je ne sais pas. Hésitant car j’avais encore mon membre en main.
- Allez, en plus la neige n’arrête pas de tomber, imagine que ça coupe l’électricité. Je n’ai pas envie d’être seule dans le noir.
Pour la première fois, elle semble dépourvue et faible, comme une petite fille fragile. Pourtant âgé d’un an et demi de plus que moi. Ce n'est pas la fille que je connais qui est toujours sûr d’elle. Manon semble à cet instant si dépourvu que je ne peux lui refuser de me rejoindre.
Elle saute dans le lit à côté de moi et se glisse sous la couette. Je la sens frissonnante. Il est vrai que la maison, un vieux corps de ferme, peut-être impressionnante et froide, un soir d’hiver. Même les sons de l’extérieur sont feutrés par la neige. On peut se sentir comme seule au monde.
- Tu as froid ?
- Un peu… me répond-elle
- Rapproche-toi on va se réchauffer.
Ce qu’elle fait rapidement. Se collant directement à moi.
Je peux sentir ses tétons pointer à travers le tissue. Preuve qu’elle a froid ou qu’elle est excitée. Rapidement, elle se détend, comme si la chaleur de nos deux corps la fait fondre. Elle est maintenant dans mes bras, sa tête sur mon épaule. Elle place sa main sur mon torse et commence à le caresser.
Je tourne ma tête vers elle et lui dépose un petit bisou bien sage sur le front. A mon tour, je commence à poser ma main au niveau de son ventre. Après quelques minutes, je sens la chaleur de nos deux corps réchauffer le lit mais aussi faire monter ma température.
Le baiser suivant vient de sa part entre ma joue et ma bouche. Instinctivement, je le lui rends mais il arrive sur sa bouche. Passer un instant de surprise, elle en fait de même. Au bout de quelques secondes, nos bouches s’ouvrent et nos langues se rencontrent, d’abord tendrement puis fougueusement.
Nos mains parcourent nos corps, créant des envies d’aller plus loin. Toujours lentement, ma main se referme sur un sein et commence à le caresser à travers le tissu. Il est petit mais d’une fermeté étonnante. Je continue longuement mes caresses, allant d’un sein à l’autre puis descendant vers son ventre et remontant.
Je profite que ma main descende sur son ventre pour passer ma main sous sa chemise de nuit. Sa peau est d’une douceur merveilleuse. De son côté, elle n’a pas beaucoup bougé et continue ses caresses sur mes vêtements. Je sens cependant des frissons la parcourir fréquemment. Ma main caresse son ventre puis remonte jusqu’à ses seins à même la peau.
J’ai mal au sexe car je bande maintenant depuis très longtemps et j’ai pris un coup au passage. Je descends ma main vers son sexe. Mais elle la retient, ne voulant pas que je la caresse à cet endroit. Elle ne doit pas être encore prête pour cela.
Je continue alors mes caresses actuelles, non sans essayer parfois d’approcher à nouveau son sexe. Je suis de plus en plus excité mais frustré de ne pouvoir atteindre sa toison pour le moment. Je croyais qu’elle était moins coincée que cela côté sexe.
Profitant qu'elle me caresse le haut de la cuisse pour poser une main sur la sienne. Je la dirige pour qu’elle s’approche de mon sexe, elle se laisse faire. Je pose alors sa main sur ma bite bien dure. Le souvenir de Jade dans la tente me passe par l’esprit, aurais-je droit à la même fin ? Jusqu’où allons-nous aller ? C’est étrange, je n’ai pas le même sentiment ou la même gêne que j’avais ressenti avec Jade.
Elle commence à bouger sa main sur mon sexe. Sa main est bien plus habile que celle de sa sœur. Elle me masturbe maintenant à travers mon pantalon. Au bout d'un certain temps et après un long soupir d'abandon, elle passe sa main sous mon vêtement. Sa petite main n’arrive pas à faire complétement le tour de ma tige. Elle commence à faire de grands va-et-vient.
Elle accélère rapidement le rythme. Son souffle se fait cour. Dans son regard, je vois toute son envie de moi. Mais à ce rythme, je sens venir de plus en plus ma jouissance.
Avant d’atteindre le point de non-retour, je me libère doucement pour me déshabiller. Je saisis aussi son teeshirt pour lui enlever. La lumière de ma table de chevet est restée allumée, je peux donc voir ce beau corps nu. Ces deux beaux petits seins et les poils bien taillés de son mont de vénus. Tout est plus merveilleux que dans mon souvenir du bain de minuit.
Mais surtout, je la vois de plus prêt et je peux toucher cette peau si douce. Je me déplace pour me mettre entre ses jambes et commence à embrasser son corps de femme, je l’effleure et je le caresse. Je la sens frissonnée de plaisir et parfois elle en a la chair de poule.
Mon sexe coincé entre nos deux corps palpite d’envie. Mes lèvres passent d’un téton à l’autre, les lèches, puis les mordillent. Elle me caresse doucement le dos d’une main et de l’autre les cheveux. Je descends vers son sexe qui cache ce trésor qu’elle me refuse jusqu’à là. Elle me retient quelques secondes puis elle cède enfin.
Ma tête plonge entre ses cuisses, ma langue fouille un instant et trouve l’entrée de ses lèvres. Je la lèche de haut en bas pour ouvrir le passage. Puis, je m’attarde sur son bouton d’amour, je le titille du bout de ma langue, je le fais rouler entre mes lèvres et je le suce avidement. Mes mains ne sont pas inactives et pincent le bout de ses mamelons.
Elle me caresse les cheveux et pousse de long soupir de satisfaction. Tout en continuant de la lécher mais je le mets un doigt dans sa caverne bien humide pour lui masser l’intérieur du vagin. Après quelques minutes de ce traitement, je sens qu’elle se crispe, sa chatte dégouline de son jus et un long crie de satisfaction accompagne son orgasme.
Elle jouit, quel bonheur pour moi de la faire jouir. Je ne pensais pas la faire jouir aussi rapidement. Cela dure pendant plusieurs secondes où son corps tout entier se raidi. Une fois le plaisir un peu retombé, elle m’attire à elle. M’embrasse à pleine bouche comme pour me remercier. Elle me regarde dans les yeux et me dit :
- J’en peux plus, je veux te sentir en moi.
- Tu es sûr ?
- Putain vient ! Me supplie-t-elle
- Je mets une capote ?
- Non vient en moi. Je veux te dépuceler sans… Et puis je prends la pilule, tu pourras te lâcher… Me dit-elle
Je ne réfléchis pas plus et présente mon sexe palpitant d’envie à l’entrée du sien. Elle relève ses jambes, me guide en me branlant la queue pour être sûr que je suis au maximum de mon érection et me dépose à l’entrée de son vagin pour que je puisse la pénétrer du premier coup.
Plus rien ne me retient. Je lui jette un regard et je pousse mon bassin vers l’avant. Je ne m'attendais pas à ce que mon pieu entre tout seul dans sa fente que mes caresses ont rendue humide. Ma bite est comme aspirer vers l’intérieur.
Malgré tout, je ne peux entrer en entier en elle. Je cogne rapidement contre son utérus. Mais quel pied, c’est vraiment bon. Je n’ose bouger de peur d’exploser en un rien de temps. Je veux m’habi à cette sensation nouvelle pour moi.
C’est elle qui commence à bouger la première, comme possédée par son envie de baiser, tout en poussant de petits cris de plaisir. Sentant ma verge faire des allers-retours dans le sexe de Manon, c’est à mon tour de pousser de profond soupir de bonheur.
Je la vois aussi prendre son pied, elle a les yeux fermés et elle se mord la lèvre. Mes mains ont fermement empoigné ses deux petites mamelles. Je la pilonne à grand coups de gourdin. Elle m’a agrippé les fesses essayant de me faire entrer en elle encore plus. J’arrive à la pénétré un peu plus à chaque fois
Après quelques secondes, elle relève encore ses jambes, je les ai autour de mon cou. Je suis au plus profond d’elle maintenant. Mes grands coups de bite ont raison d’elle. Son vagin se resserre sur mon membre. Elle mouille abondamment vu le bruit que fait sa chatte. Mon dard étant plus serré, cela a pour effet de me faire jouir. Tous les deux nous poussons ensemble des cris de jouissance. Nous nous débâtons avec nos orgasmes pour ne pas rompre notre accouplement.
Je m’écroule sur elle haletant. Nous nous regardons droit dans les yeux. Nous nous embrassons fougueusement mélangeant nos salives. Le temps s’est arrêté, je ne sais plus quelle heure il est, ni même quel jour nous sommes.
Mon pénis, reprenant sa forme initiale, il sort de lui-même de son étui. Laissant s’écouler mon sperme du minou de Manon. Je roule sur le côté et elle me suit pour venir dans mes bras. Je la sers tout contre moi. Heureux de ce qui vient de se passer. Cette fois-ci, j’ai enfin trempé mon biscuit et pas seulement fait du touche pipi.
Mais pour le moment, je goute au bien-être que l’on ressent après avoir fait l’amour. Nous nous endormons comme ça, nu, l’un contre l’autre, comme seuls au monde isolé par cette neige bloquant tous les accès au vieux corps de ferme où nous habitons.
Au petit matin, je me réveille. Ma chambre baigne dans une faible lueur d’un soleil voilé d’une brume hivernale. Je sens les fesses de Manon contre les miennes, nous sommes encore nu l’un à côté de l’autre. Elle se retourne vers moi et vient se coller contre moi. Je sens ses seins s’écraser contre mon dos.
- Bonjour toi, Tu as bien dormi ? me dit-elle en me prenant dans ses bras.
- Comme un bébé et toi ? je lui réponds d’une voix peine réveillé
- Bien, grasse à toi, j’ai toujours peur la nuit toute seule dans cette grande maison.
Elle me caresse le corps et me fait frissonner de plaisir tellement ses caresses sont un délice.
- Je vois que tu es en forme ce matin. Dit-elle en me touchant la verge. Je vais te remercier pour m’avoir laisser dormir avec toi cette nuit.
Elle me tire à elle pour me mettre sur le dos, m’offre un petit baiser sur la bouche tout en massant mon sexe doucement puis elle disparait sous la couette. Je sens ses lèvres sur mon gland qu’elle a déjà libéré. Elle lâche quelques secondes mon pénis et me demande :
- C’est bon ?
Je lui réponds que oui et la supplie de continuer. Sa langue parcourt ma tige, s’arrêtant sur mes couilles. Les suçant même assez violemment jusqu’à avoir de petits picotement. Ses doigts me caressent le bout de mon gland. Puis du bout d’un ongle, me titille le méat de ma verge. Cette sensation nouvelle me fait frémir et je laisse échapper un long râle de bonheur.
- Ça te fait mouiller mon salaud que l’on te titille le bout du gland. Me dit-elle de dessous la couette
Je suis au paradis. Je vole littéralement au-dessus du lit. Elle reprend ma bite en bouche et la suce vigoureusement. Ouah, quel bonheur de se faire sucer de bon matin. Je suis étonné de ne pas encore avoir joui. Ses lèvres descendent de plus en plus, je suis entièrement dans sa bouche. Comment fait-elle ? Mon sexe n’est pas si petit que cela. C’est ça une gorge profonde ?
Elle commence ensuite des va-et-vient vigoureux, d’une main elle me tient à la base de ma queue et de l’autre me titille la rosette. Au début, cette zone s’est contractée mais là, je suis totalement détendu, dans un état de bien-être absolu. Je sens même qu’elle tente de me mettre un doigt dans le cul. Elle réussit à entrer une phalange puis doucement son doigt en entier. Celui-ci bouge au rythme de ses mouvements le long de mon chibre. Je n’en peux plus s’est trop. Je lui crie dans un soupir :
- Sa vient…
Au lieu de se retirer, elle me sert encore plus la base de mon sexe avec ses deux mains. Cela a pour effet de contenir un peu plus longtemps mon éjaculation toute proche. Je ne sais pas comment elle fait, mais je suis prêt à exploser sans pouvoir jouir réellement. Cela dure plusieurs minutes avant qu’elle ne relâche la pression à la base de mon pénis. Je me crispe au maximum, je ne peux me retenir que quelques secondes.
Je sens mon sexe exploser à grand jet dans sa bouche. J’ai l’impression que celui-ci ne veut pas s’arrêter. Mes couilles se vide d’un trait tellement le premier jet est long. Lorsqu’enfin ma jouissance se calme, c’est comme si je retombe dans mon lit. Tous mes membres se décontractent doucement.
Manon me lèche encore, comme si elle voulait nettoyer toutes traces de ce qu’elle vient de me faire. A chaque cout de langue, un frisson me parcourt le dos tellement ma verge est sensible. Puis, son visage émerge de la couette. Elle vient directement m’embrasser à pleine bouche. Quel est ce gout ? C’est celui de mon jus ? Evidement…
Elle se blottit contre moi tout en gardant en main mon sexe qui dégonfle doucement. Au bout de quelques minutes, elle rompt le silence.
- Tu as aimé ?
- A-t-on avis ? lui dis-je en caressant sa joue.
- Et cette nuit, pour ta première fois ?
- Trop bon, mais au fait comment savais-tu que c’était ma première fois ?
- Eh bien, Jade m’a expliqué votre petite aventure au camping. On est très proche toutes les deux et elle me raconte tout. Qu’elle t’a branlée sous la tente. Que tu as une grosse queue. Que tu lui as fait des choses sous la douche. Qu’elle t’a sucé. Que tu es vierge.
Elle se reprend aussitôt en me faisant un clin d’œil :
- Que tu étais vierge. Mais depuis, elle est déçue de ne pas avoir franchi le pas avec toi. Elle ne sait pas comment refaire le premier pas, quelque chose la retient.
- C’est vrai, cela doit-être sa timidité ? lui dis-je d’un air étonné
- Jade m’a dit qu’elle se touche souvent le soir dans son lit en pensant à ce jour-là. Elle aimerait bien que vous perdiez votre virginité ensemble. Il ne faudra pas lui dire pour nous deux. Cela doit rester notre secret. Vous les mecs ça ne se voit pas, donc facile de mentir. Me dit Manon
- Je ne sais pas si je peux lui mentir sur un truc aussi important. J’ai envie de lui faire plaisir mais comme elle, je ne sais pas comment faire pour aller plus loin.
- Cette nuit, je n’avais pas prévu ce qui s'est passé, j’avais juste un peu peur toute seule. Mais j’étais tellement bien dans tes bras. Dit-elle
On reste là à se regarder avec un sourire béat pendant de longues minutes. Se donnant de temps en temps de petit bisou comme un couple de jeunes amoureux. Puis elle reprend :
- Tu sais, tu me plais beaucoup mais je ne crois pas être amoureuse de toi. C’est juste que j’avais envie de toi depuis que Jade m’a tout raconté. Je voulais voir cette grosse bite qui l’a tant impressionnée. Elle n’a pas menti. Elle est quand même très grosse. Au début je voulais juste la toucher et voilà ce qui arriva. Me dit-elle d’un air détaché
- Moi aussi hier soir, j’avais très envie de toi. Mais c’est vrai que ta sœur est plus mon type.
- Je vois les filles à forte poitrine. Me dit jade en riant.
- Comme toi les mecs à grosse queue. Mais tous les deux, on pourra remettre ça quand tu veux !
- Petit vicieux !
- Ça te déplait ? Je lui réponds en commençant à la « chatte-ouiller » à des endroits sensibles…
Un bruit de voiture roulant sur la neige coupe cour à notre petite chamaillerie d’amant. Elle se lève d’un bond et elle court jusqu’à ma fenêtre. Elle est belle, fine et élancée, comme ça nu devant moi.
Faisant attention de ne pas se faire voir, elle jette un œil à l’extérieur. Se retourne et elle a retrouvé l’assurance que je lui connais dans sa voix :
- Ce sont les parents qui rentrent. Va prendre une douche tu pus le sexe.
Sur ce, elle récupère son teeshirt et s’enfuit à toutes jambes vers sa chambre dans l’autre aile de la bâtisse. Me laissant la bite poisseuse à l’air et à demi molle.
J’ai une envie pressante de pisser. Je me dirige donc vers ma salle de bain pour utiliser dans un premier temps les toilettes. J’ai récupéré la chambre d’ami depuis mon arrivée. Celle-ci a une salle de bain avec une grande douche où deux personnes peuvent tenir facilement. Je me douche rapidement et dans la précipitation, j’ai oublié de prendre des habits.
C’est en m’essuyant les cheveux que je retourne dans ma chambre. En enlevant la serviette de ma tête, je me retrouve nez à nez avec Jade, bouche bée.
- Pardon ! me lance-t-elle en rougissant. Comme personne ne nous répond, les parents m’ont envoyé te chercher.
- Je sors de la douche, c’est en disant cela que je m’aperçois que je suis encore nu et couvre mon sexe de ma serviette…
- Faut que tu descendes, ils ont un truc à nous dire. Mais habile toi avant. Me dit Jade
Elle tourne les talons et s’en va à grands pas. Je m’habille donc rapidement et je descends comme demandé. Là, mon père et ma belle-mère nous expliquent qu’ils doivent s’absenter après noël pour un voyage d’affaires de 15 jours en Angleterre. Ils vont donc nous laisser tous les 3 à la maison pour nouvel an. Bref, je leur dis que j’allais sans doute rester toutes les vacances de noël chez ma mère. A cette annonce je vois que cela n’avait pas l’aire de réjouir les filles…

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