Table De Sapin 7
Jai ce un midi, lagréable surprise de voir Jennifer apparaître par lentrée de mon bureau. Elle sest avancée jusquà moi alors que jétais assis, avec un balancement dune rare sensualité. Elle était vêtue dune Longue jupe fendue. Chemisier blanc, sous une petite veste en jean.
- Alors tu en as parlé à ta vieille, de notre relation.
- Non
- Et alors ? Simpatienta-t-elle.
- Je doute un peu de ton expérience à faire ça à plusieurs si tu veux le savoir.
- Mais je suis super au lit. Non, tu ne crois pas toi.
Je me mis à rire.
- Faire cela avec une femme cela ne me fait pas peur. Ajouta-t-elle.
- Tu as déjà eu une relation avec
avec une fille ?
- Oui, avec des copines, oui
bien sûr.
- Et alors ?
- Et alors, jai trouvé ça enrichissante. Il faut tout goûter dans la vie ! Tu nes pas daccord avec moi ?
- Oui, bien sûr. Je suis de ton avis. Mais ce nétait que des filles de ton âge.
- Une chatte reste une chatte, non ? Répliqua-t-elle.
- Si tu le dis. Mais sache que certaines matures comme lest ma belle-mère, aiment la soumission.
- Mais tu sais. Je peux me faire autoritaire quand je le désire. Jai du caractère, tu sais ?
- Je nen doute pas un seul instant.
- Alors pour quen ?
- Je ne sais pas jeune fille. Je vais y réfléchir.
- Je ten prie. Fit-elle. Jen es une énorme envie.
- Ah oui !
Elle na pas protesté quand jai faufilé ma main droite sous sa jupe. Elle a même écarté ses cuisses pour me permettre de mieux la fouiller. Jai cru que mon cur allait exploser dune overdose de désir, quand mes doigts ont effleuré le tissu soyeux de sa culotte.
- Slip en soie ! Bravo ! Tu me combles.
- Je lai emprunté à ma maman.
- Tu lui as aussi emprunté le soutien-gorge qui va avec ?
- Tu veux le savoir ?
- Oui jaimerai.
Elle a déboutonné, bouton après bouton son chemiser, avant den écarter les deux pans.
- Jai oublié den mettre ce matin. Fit-elle en mexposant ses seins avec ses deux mains. Ils étaient bien gonflés.
- Alors ? Me fit-elle.
- Et alors quoi ? Répliquais-je en lattirant vers moi. Jai déboutonné sa jupe, qui a glissé le long de ses jambes. Javais devant mes yeux, une culotte bien aréolée sur le devant. Ses poils collèrent à la soie devenue transparente. Je distinguais nettement sa fente qui bâillée. Je nai pas résisté de faire glisser sa petite lingerie le long des ses jambes. Je me suis empressé de la porter à mon visage pour en humer avec ivresse, les odeurs épicées qui sen dégageaient.
- Elle sen bon ? Me fit-elle.
- A ton avis ?
Elle fit descendre sa main droite le long de son ventre jusquà arrivé à la hauteur de son buisson. De son index, elle a effleuré sa corolle. Ne pouvant pas résister à la tentation, jai délaissé la petite lingerie pour me laisser tomber à ses pieds. Jai agrippé ses hanches et avec un soupir daise jai plongé mon visage au centre de ses poils. Lodeur qui sen dégagé était délicieusement entêtante. Un fumet âpre et poivré qui me donna immédiatement envie de me gaver de ce sexe comme un malade. Jai plongé ma langue dans son antre dégoulinant de mouille et je me suis mis à boire tout son jus avant daller titiller son gros clito dur et vibrant. Lemprisonnant même entre mes lèvres pour mieux le suçoter. Elle a poussé un cri, alors que son corps sest arqué sous le coup de fouet de lorgasme, magrippant la tête de ses deux mains pour la plaquer contre son ventre en fusion. Presque quà m.
Javais malgré cela des démangeaisons un peu partout. Un vertige d'euphorie. Une décharge d'adrénaline. Mon membre me faisait mal dans mon jeans serré. Mes couilles aussi. Javais un grand besoin de jouir. Jai entrainé Jennifer jusquau divan. Elle ma aidé de me délester de tout ce que je portais. Puis elle sest saisie de ma verge raide, pour mattirer sur elle.
Après quelques minutes de silence, je lui ai suggéré de remettre de lordre dans sa tenue.
- Mes collègues ne vont pas tarder à poindre leur nez. Lui avais-je dit.
Le hasard a fait que jai rencontré ma belle-mère dans la rue. Je lai salué de deux bises sur les joues.
- Ma fille ta rendu une visite pendant le déjeuner ?
- Non
pourquoi, elle devait ?
- A bon !
- Je peux savoir pourquoi tu me dis cela.
- Tout simplement par ce que tu sens la chatte.
- Oui, jai eu ce midi la visite dune copine
et
- Tu nas pas à te justifier mon cher gendre. Tu ne me dois rien. Seulement à ma fille;
- Oui
mais
- Nous allons en rester là si tu veux bien.
Après avoir jetée un coup dil circulaire autour de nous, et sêtre assuré quaucunes oreilles indiscrètes ne pouvaient entendre, elle me murmura :
- Aurais-je droit à ta visite ce soir.
- Et ton mari ?
- Il ma apprit pendant le déjeuner, quaprès sa partie de pétanque il filera directement à son boulot.
- Que lui arrive-t-il ?
- Je ne sais pas, et pour dire vrai, je men fou. Alors ? Ce soir je tattends, oui ou non ? Sache pour ta gouverne, que jai une énorme envie davoir ta queue dans ma chatte.
- Je viendrai.
- Chouette ! Alors à ce soir.
- A ce soir.
Au courant de laprès-midi je nai pas cessé de penser à notre rencontre. Impatient de la culbuter sur la table de sapin. Après le boulot je me mis en route pour aller rejoindre le domicile de belle-maman. Tranquilliser de ne pas attendre sagement dans ma voiture que mon beau-père veuille bien déserter les lieux pour que jaille retrouver sa femme. Une personne que je ne portais pas sur mon cur. Cest peut-être pour cela que je me tapais la belle-mère.
Jai trouvé que le trajet me menant jusquà elle me paraissait plus long quà laccoutumé. Cela était dû à mon désir de la baiser. Il me semblait même que les rues sagrandissaient pour mempêcher darrivé au plus vite jusquà elle.
Jamais je navais été aussi réjoui de marrêter devant la grille. À mon arrivé, elle se tenait dans sa cuisine. Sourire aux lèvres. Jy lisais de la jubilation. Incapable de résister à mes sens bouleversés, je la fis se coucher sur la table de sapin.
- Oh ! Alain ! Gémit-elle doucement, alors que je retroussais sa jupe jusquà la taille. Dessous elle portait son éternel collant couleur chair. Les mailles de son entrejambe étaient obstruées par labondance des sécrétions vaginales. Elle a soulevé ses fesses, afin de me permettre de le lui soutirer. Jai laissé tomber pantalon et slip à mes chevilles. Puis je me suis enfoncé en elle. Son con était comme toujours onctueux. Comme souvent chez elle, sa respiration sest accélérée. Malgré son calibre, elle fit roulée ses hanches comme pour précipiter le plaisir. Brusquement elle sest cabrée laissant échapper des :
- Oui !
Oui !
Jai alors besogné, tant que je le pouvais.
- Oui, cest bon ! Vide-toi, mon bébé ! Cest que du bonheur ! Allez, viens, je veux te sentir juter ! Tout ton jus !
Avec de tels encouragements je ne pouvais que me répandre en elle. De trois à quatre puissantes giclées de sperme. Elle me reçu en hurlant.
- Tu mas fait vibrer tu sais. Fit Colette. Alors que je mécartais delle. Jen suis toute retournée. Quel plaisir
Jétais en train de boutonner mon pantalon, quand le carillon sest fait entendre du côté de lentrée.
- Qui donc pourrait venir à cette heure ? Fit ma belle-mère en descendant de la table. Elle remit de lordre dans sa tenue avant de disparaître de ma vue.
Quand elle réapparut, Jennifer se tenait à son côté.
- Elle est rentrée sans que je linvite.
- Cest vrai ça ? Cest toi qui las invité à venir chez moi ? Ma questionné Colette.
- Peut-être
Jennifer avait changé de tenue. Elle a noué ses cheveux bruns en deux couettes. Elle portait une jupe plus courte que celle quelle avait à midi. Qui lui arrivait au-dessus des bottes. Sur son buste un corsage brodé. Une lueur dintérêt brilla dans ses yeux. Le silence sest installé dans la cuisine, alors que la jeune fille, dun regard brûlant, parcourait les formes de Colette. Dévorant de ses yeux sa lourde poitrine. Colette demeurait immobile. Incapable dentreprendre quoi que ce soit. Elle avait lair dune gamine prit en faute. Puis Jennifer a délaissé sa place pour se coller au dos de Colette toujours immobile. Cette dernière sest laissé empaumer les seins par-derrière. Sa respiration se fit plus rapide. Puis la jeunette a plongé ses mains sous le chandail de son aînée, qui transie, les bras le long du corps sest abandonné à ses caresses. Offrant sa poitrine aux mains fureteuses. Jai bien sûr profité du spectacle, sans bouger de ma place. Plein daplomb, leffrontée a plongé sa main sous la jupe, prenant possession du bas-ventre.
- Tu ne porte pas de soutien-gorge, pas de culotte. Tu es une vraie vicieuse-toi ! Montre tes nichons ! Ordonna-t-elle.
Soumise elle a passé son chandail par-dessus sa tête. Mettant en lumière sa généreuse poitrine. Jennifer na pas pu résistée à la tentation de la lui pétrir vigoureusement lun après lautre. A écrasé les tétons entre ses doigts, faisant haleter la belle-mère. Jétais aux anges.
- Maintenant belle maman, trousses-toi. Montre ta chatte à la demoiselle. Lui lançais-je.
Je pense quelle attendait que ça. Puisquelle sest empressée de faire tomber sa jupe sur le sol. Exposant son ventre arrondi. Tout de suite la jeune fille sest jetée dessus. Abandonnant la poitrine. Prenant linitiative dy enfoncer des doigts dans la faille.
- Grosse cochonne, cela te plaît de texhiber.
Comme la réponse ne venait pas, elle a ajouté :
- Oui
non, allo !
- Oui, lâcha ma belle-mère. Tu ne peux pas savoir comme jaime cela, merdeuse
- Moi aussi jaime ça, fit-elle en sallégeant de son haut.
Ses seins apparurent.
- Comment les trouves tu, mes nichons ? Fit-elle. Ils te plaisent ?
- Ils sont fermes
- Comment tu peux dire cela. Tu ne les as même pas touchés.
- Pas besoin de les toucher pour savoir quils sont fermes. Répliqua-t-elle en posant sa main sur la chair gonflée. Après quelques effleurements, elle sest mise à malaxer fermement la poitrine de la jeune effrontée, qui poussa des gémissements.
Je me suis avancé jusquà elles. Jai pris Jennifer par le bras et lai attiré jusquà la table où je lui ai demandé de prendre appui.
- Viens lui lécher la chatte, fis-je à belle maman, alors que je retroussais le bas.
Elle sest mise en position derrière la raie ouverte de la jeune fille. Puis a poussé sa langue contre la rosace brune. Sous la caresse buccale elle a soupiré de plaisir, tout en remuant le cul. Elle sest faite léché avec application, tout en virevoltant sous les coups de langue.
- Assez pour celui là, lui fis-je. Passe à lautre maintenant.
Obéissante, Colette sest contorsionnée pour pouvoir coller sa bouche à la fente. Jennifer, sest extasiée sous la caresse buccale de Colette. Au point dêtre rattrapée par la jouissance.
Après mêtre libéré, jai écarté Colette, la bouche toujours collé au sexe de la fille. Elle ma regardé prendre les fesses de la jeunette à pleines mains. Alors quelle ma caressé amoureusement ma queue, avant de la guider à l'entrée du sexe quelle venait de quitter. Sous mes coups de piston, elle devint vite hystérique. Vrillant ma queue avec une brutale contraction de son vagin.
- Je joui
je joui. Oh Ouiiiii, je joui !
Je lai pistonné à en perdre le souffle. Y jetant toutes mes dernières forces dans le coït. Je me suis entendu hurler quand jai envoyé ma sauce.
Les couilles vides je me suis retiré de la chatte, pour prendre place sur une chaise, reprendre mon souffle.
Mes deux partenaires ont murmuré entre elles, avant de savancer jusquà la chaise où je me tenais. Elles se sont agenouillées de chaque côté de ma personne. Elles sincinèrent ensemble sur mon sexe souillé de mouille. La belle-mère ma serré dans sa main. Imprimant sur lui, un léger mouvement de va-et-vient. Lui donnant de temps à autre de petits coups de langue. Jennifer fascinée, la regarda me prendre à pleine bouche. Après seulement quelque aller et retour, elle abandonna ma verge à la jeune fille. Qui prit sans tarder le relais. Me pompant en cadence alors que la belle mère soccupait à lécher mes couilles. À ma grande surprise, il na pas fallu longtemps pour que jéjacule.
A SUIVRE
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