Collection Zone Rouge. Rupture Familiale (1/2)

• Oui mon chéri.
Tout à fait d’accord mon chéri.
Je vous apporte votre whisky mon chéri.
Voulez-vous me prendre mon chéri ?

Cette dernière, maman aurait pu la dire tellement elle est inféodée à mon père, bien sûr, je la suppute, c’est comme cela dans notre milieu, celui des bourges parisiens.
Nous habitons à Neuilly, je peux dire que je suis née avec une petite cuillère en argent.
J’ai appris, il y a peu de temps que le mariage entre ma mère et mon père avait été arrangé il y a 17 ans, je suis née pile neuf mois après, quels cons, un coup et ça a été le bon.
J’ai de plus en plus de mal à supporter, la carpette qui me sert de mère, quand je la vois minauder devant lui alors qu’ils en sont rendus à faire chambre à part, notre hôtel particulier étant assez vaste pour qu’il ait sa chambre de l’autre côté du couloir.
Je décide donc, d’entamer une vie différente de la leur et surtout de celle de maman.

• Allô, Julien, j’ai un problème de math qui me résiste, peux-tu me dépanner, je t’attends.

Julien, certainement puceau comme je suis vierge, c’est lui que j’ai choisi pour être le premier, me débarrasser de mon hymen, c’est lui que je choisis étant le seul en qui j’ai confiance pour garder ça secret.

• Entre, je suis seule, mes parents sont dans leur maison de Deauville.

Comment l’attaquer, lui baisser la culotte, lui prendre la queue, la mettre dans ma bouche comme je l’ai vu faire de nombreuses fois dans des films pornos sur mon IPhone ?
Les pornos sur les portables pour la jeunesse, la plaie des parents, leurs rejetons trouvant facilement comment détourner les moyens des protections qu’ils ont mis.
Ça été mon cas, j’ai mis trois jours pour faire tomber les barrières.
Cet à cette époque que j’ai découvert que les filles avaient un clitoris, même si les cours d’anatomie ayant été assez complet, doublé d’un reportage sur les saloperies que l’on fait aux jeunes filles dans certains pays, sous couvert de tradition ancestrale, fond que j’ai appris à me masturber.


C’est facile pour moi, j’ai ma chambre au deuxième étage, j’ai toute la surface à ma disposition, c’est dans ma pièce où j’ai mon ordi et tout le matériel que j’amène Julien.

Je m’interroge, quand d’un coup, je prends l’initiative, je lui mets la main là où je sais trouver la bite qui va faire de moi une femme, brisant ainsi les traditions familiales qui veulent que ce soient nos parents qui ont le choix de nos maris.

• Que fais-tu, Loïse, pourquoi passes-tu ta main dans mon pantalon ?
• J’ai envie, tu veux bien, tu seras le premier.

C’est à ce moment qu’une giclée de sperme arrose ma main, le grand benêt se retrouvant trop con et prenant la poudre d’escampette me laissant avec mon problème.
Il fallait que je trouve une autre solution, les jeunes puceaux, c’est terminé, il me faut un homme, un vrai, un qui a de l’expérience.
Je fais le tour de ce type d’hommes, il y a Hubert, le mari, de Marthe, nos employés, lui s’occupe de l’entretien, occasionnellement, il est le chauffeur de mon père ou de ma mère.
Marthe s’occupant de l’entretien ménager et de la cuisine, ils ont une fille, plus vieille que moi et qui fait déjà sa vie, il y a donc Hubert, homme ayant vieilli entre la bière et le saucisson.
Je veux bien perdre ma virginité, mais j’ai encore le respect de la jolie jeune fille que je suis, j’en ai la preuve par les regards lubriques qu’il porte sur moi, si je me couche, il est partant, moi pas.
Le copain de sa fille, beau gosse lui aussi, deux handicapent, il aime Rose et ils viennent voir les parents à des moments ou des dates différentes, très difficiles de monter un plan cul.
Je finis par me résoudre, draguer un mec à l’extérieur de mon cercle habituel, un mec qui fera le travail et qui disparaîtra de ma vie sans se poser de question.
Je pense à Internet, trop impersonnel, Viviane une copine a dragué sur Internet, le mec s’est présenté comme un apollon, il y avait même une photo, grand et blond, il était de taille normale, mais chauve.

Elle l’avait fait quand même et depuis elle promène sa frustration dans les coursives de la fac.
La fac, la plupart sont aussi puceaux que Julien, il est plus difficile de les faire venir chez mes parents, lui est d’une famille que mes parents considèrent comme de leur milieu, alors que les autres.
C’est en me promenant dans Paris, traînant ma misère que je trouve ma solution, un bar, genre club, dans une rue adjacente de l’avenue Foch.
J’ai vu un homme entrer, tout à fait le genre que je cherche, la quarantaine, très bien sapé, je mets trois jours à me décider, il est 21 heures quand j’entre, père et mère sont à Deauville, j’ai tout mon temps.

J’entre, ambiance feutrée, un bar, plusieurs hommes sont assis, plusieurs alcôves permettant aux gens d’avoir un semblant d’intimité, dans l’une d’elles un couple, du genre de ceux qui doivent être illégitimes.
Deux femmes, une jeune et une vieille, certainement une vieille gouine draguant une jeune pétasse, c’est dégueulasse, comment une jeune fille peut-elle lécher la chatte de cette femme si âgée, la discussion est intense, même si le bruit de la musique couvre leurs propos.
Je m’assois au bar, un homme comme celui que j’ai vu entré avant de me décider est assis à mes côtés, je sors une cigarette, jouant avec.

• Voulez-vous du feu !
• Merci, j’essaye d’arrêter.
• Vous avez dû commencer de bonne heure, vous êtes si jeune !
• C’est pourquoi je cherche à arrêter, et vous que faite vous-là.
• Je suis à l’hôtel voisin, je cherche à passer le temps.
• Vous cherchez des occasionnelles !
• Qu’entendez-vous par occasionnelles !
• Des filles, dès qui couche pour de l’argent, des putes quoi !
• En êtes-vous une ?
• Ça se pourrait, mais moi, c’est gratuit, je cherche simplement un plan cul.
• Vous avez un mari, vous êtes sans alliance, juste un solitaire.
• Ce solitaire, mon père me l’a offert pour mes dix-huit ans, il aime que je montre que sa famille a du fric.

• Vous semblez parler de ça comme si vous regrettiez d’être nées dans une famille aisée.
• Arrêtons de parler de ma famille, j’aimerais visiter votre chambre.

C’est ainsi que la porte franchie, je le vois enlever son pantalon pendant qu’il m’embrasse collé contre la cloison du vestibule, sa queue finie dans ma main, contrairement avec Julien, c’est un vieux de la vieille, ce sont mes jambes autour de ses hanches et mes bras autour de mon cou que je deviens femme.

• Tu es une sacrée gourmande, laisse-moi, ma femme doit m’appeler.

Il a simplement écarté ma culotte, c’est elle qui éponge le sang qui coule le long de mes cuisses, à la maison, je prends un bain, j’ignore comment Hubert a trouvé l’occasion, mais une heure plus tard, il me coince dans la cuisine et c’est sur la table que ma deuxième expérience a lieu.
Ce sont-ils donnés le mot, Rose est là avec son mari, je suis assise sur un banc méditant que contrairement à ce que je pensais, perdre son pucelage est in, même de récidiver.
Une troisième fois, j’ai à portée de main un nouvel engin, je le suce, je m’agenouille sur mon banc, le copain de Rose vient derrière moi et m’enfile sa verge jusqu’à l’utérus.
J’avais vu sur Internet les queues de certains noirs, Antillais est-ce noir ou chocolat clair, ce que je sais, c’est qu’il m’apporte mon premier orgasme.

Ces multiples expériences me plaisent, j’ai enfin cassé le lien invisible qui me reliait à ma famille, ils peuvent venir me présenter leur prétendant avec comme seul but de garder et privilège et bien.
J’ai bien aimé ma première expérience, pas vu, pas prit, on se rencontre, on se parle, on monte dans leurs chambres, on baise, plus longtemps, j’espère et on se sépare.
Je retourne donc dans ce bar, l’ambiance est la même, qui est cette femme déjà présente la première fois avec une brune ce coup-ci, le couple adultérin est remplacé par deux autres, il y a un homme au bar.
Je choisis le tabouret voisin, le type paye et s’en va, c’est raté pour cette fois, la chance est là, la porte s’ouvre alors que je finis mon verre, la première fois, on me l’avait offert.

On s’assoit, petit et bedonnant, le même portrait que celui que Viviane avait fait, la jeune femme près de la vieille quitte le bar seule, j’ai été médisante, elles sont amies et non amantes.
J’allais partir quand je sens que l’on me touche l’épaule, je me retourne, la femme est là.

• Je peux vous parler.
• Pourquoi ?
• Pas ici, venez à cette table, je vous offre un verre.

Elle regarde ostensiblement l’homme bedonnant semblant écouter.

• Pouvez-vous me dire ce que vous désirez ?
• Venez, à cette table, je crois avoir compris qui vous êtes et je peux vous aider.

Je vois mal cette vieille femme pouvoir m’aider dans mes plans culs, mais je saute de mon tabouret et je fais les quelques mètres de l’alcôve.

• Vous m’excusez d’aimer la discrétion, mais je fais un travail un peu spécial qui requière une certaine confidence, cet homme avait les oreilles qui traînant, voyez, il quitte le bar penaud.
• Que me voulez-vous ?
• Vous cherchez des hommes, vous êtes en rupture avec votre famille comme je l’ai été, il y a trente ans.
• Comment voyez-vous cela ?
• L’habitude, mieux l’expérience, vos vêtements de grandes marques et la manière dont vous avez suivi cet homme qui vous était inconnu quand vous êtes entrée.
• Que voulez-vous de moi ?

Je venais de seller mon destin du moment…

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