Kristine 13 Sur Le Parking

J'essayais de comprendre pourquoi une femme mariée avec une position sociale respectable, une femme cadre avec un bon poste dans une entreprise, pouvait être si facilement contrainte à commettre des actes dégradants et de surcroît avec son beau fils.

Bien sûr, j’avais été mariée depuis mes 20 ans, avec mon mari, Alain, qui me négligeait sexuellement et m’avilissait au quotidien. Cela suffisait-il à justifier de faire de moi une salope? Ce que je faisais avec le copain de ma propre fille et, bien plus, ce que j’étais prête à réaliser sous son contrôle m’apparaissait révoltant. Heureusement, Damien n’allait aussi loin que ce que j’imaginais dans mes rêves.
Mon appétit sexuel n'avait pas été comblé pendant toutes ces années et mes besoins et désirs refaisaient surface. Partout, à la télé, dans les journaux les gens faisaient étalage et témoignaient de leurs pratiques intimes avec exhibitionnisme mais aussi avec parfois une sincérité qui faisait envie. J’avais vécu plus de vingt ans dans une prison entre mon mari mes s et mon travail, ma soif de plaisirs nouveaux était intense. Le monde avait changé et j’étais prête à le découvrir. Maintenant, la seule idée que j'avais dans la tête c'était de libérer tout ce qui était à l'intérieur de moi.

Bien avant mon mariage, j’avais eu quelques parenthèses que j’avais ouverte mais que j’avais refermées trop vite sans doute. Tout cela je l’avais enfoui au fond de ma mémoire. J’avais cru à mon amour pour Alain, mais passées quelques trop courtes années, je m’étais réfugiée dans mon rôle de jeune maman. Sans m’en rendre compte, le comportement brutal et agressif d’Alain avait été sa réponse à mon besoin inavoué de domination. Ceci ne l’excuse en rien et, si j’ai, aujourd’hui, envie de me donner à mon beau fils je le fais en connaissance de cause.
Souvenirs
….. L’été était le moment propice aux rencontres et comme avec mes parents nous allions toujours au même endroit, des amitiés solides s’étaient établies d’années en années et nous étions toute une bande de jeunes qui avions grandi ensemble passant de nos jeux innocents à des jeux qui l’étaient moins.

Je me souviens des garçons toujours en compétition dans une parade de séduction et puis aussi d’Amandine une fille pâle et maigre qui traînait toujours avec elle un cahier à fermoir où elle écrivait sans cesse d’une écriture fine presque illisible. Qu‘écrivait-elle? Un journal intime, une chronique des vacances? Etions-nous les personnages de son autofiction? Tout cela je ne l’ai jamais su. Toujours est-il qu’elle était le témoin muet de tout ce que je pouvais faire alors. Loin de m’agacer, sa présence me sécurisait et m’encourageait à aller plus loin que ce que j’aurais pu faire d’ordinaire.
Le soir nous nous retrouvions chez Amandine pour boire quelques bières. En fait, elle passait l’été sous la responsabilité de sa grande sœur qui avait décroché un job de serveuse pour la saison. Le soir quand sa soeur rentrait avec son copain, on se faisait mettre dehors et on finissait la soirée dehors. Eux ils avaient des sentiments, une sexualité, c’était des grands. Nous, plus jeunes, on y jouait sans savoir. Nous étions suffisamment loin du feu pour ne pas nous brûler. Les garçons jouaient les fiérots. Nous les filles jouions de cette candeur et les excitant au maximum sans leur donner plus que nécessaire. C’est dans cet appartement qu’on flirtait. J’étais sortie au moins une fois avec chaque garçon de la bande. Je n’étais pas farouche et j’en montrais un maximum car cela me permettait de m’imposer auprès des autres filles dont certaines pouvaient être des vraies pestes. Le fait de faire bander les garçons ou de leur laisser croire que je pourrais finir la soirée avec eux me donnait une certaine impunité. Quand je dis finir la soirée, je veux dire roulage de pelle, pelotage voire branlette si affinités. L’accès à ma culotte était prohibé ce qui garantissait la préservation de ma virginité.
Amandine s’en foutait des garçons. Elle avait son monde, son cahier, elle aimait boire et fumer. J’ai fini par comprendre que les garçons se retrouvait certains après-midi chez elle pour des trucs louches dont ils ne parlaient que par sous entendus.
J’ai fini par me faire inviter. Nous étions les deux seules filles. En fait les gars avaient des cassettes vidéos et mataient des pornos en se tirant la nouilles. Souvent chacun pour soi mais parfois entre eux.
Moi je provoquais en leur dévoilant un peu de peau nue, les cuisses ,le décolleté. Et de plus en plus au fur et à mesure que bière me montait à la tête. C’est comme cela que je me suis retrouver à danser langoureusement un slow seins nus en face de mon copain du moment lui aussi était torse nu et le contact de nos peau nous chauffait terriblement. J’ai commencé à lui rouler des pelles bien salaces devant les autres qui préféraient nous mater plutot que les accouplements sur l’écran qui étaient devenus insipides. Certains avaient sorti leur sexe et se branlaient. J’étais excitée par cette situation et j’ai tâté le bâton dur que je sentais contre mon ventre. J’ai trouvé la fermeture du jean et mes doigts ont pris possession de l’organe durci pour moi et je me suis mise aussi branler cette barre que j’avais contribué à faire grandir. Avec ma langue j’ai mouillé l’intérieur de ma main pour mieux le faire coulisser. Je dois dire que moi aussi j’étais dans tous mes états ma tête tournait à cause des bières que j’avais bue mais aussi par l’excitation qui me nouait plus les tripes que le bas ventre.
Nous étions au centre de l’attention du groupe. Amandine aussi branlait un garçon mais de manière totalement distraite. Par contre un garçon un peu gothique, nommé Sylvain, aux cheveux longs et au visage pâle semblait savoir le faire mieux que les autres car son partenaire laissait échapper des gémissements. Lui par contre n’avait pas sorti son bout. J’ai su plus tard qu’il ne se branlait jamais avec les autres et il avait la réputation d’être homo. Il s’est penché il a pris le sexe de l’autre garçon dans sa bouche. Ses cheveux longs lui donnaient l’allure d’une fille par contre son visage anguleux était bien celui d’un garçon. Cette vision ambiguë m’a longtemps bouleversée.
Je suivais les traits de son visage de sa bouche qui s’enroulait avec grâce autour de cette bite bandée. Moi aussi j’étais prête à faire la même chose. Mon partenaire s’est assis sur un chaise et j’ai moi aussi gobé le membre turgide entre mes lèvres. La sensation était étrange mais pas désagréable. Je ne savais pas trop quoi faire de ce sexe dans ma bouche, s’il fallait creuser les joues tourner la langue. En tout cas j’essayais de ne pas commettre l’irréparable avec mes dents. Les autres tapaient dans leurs mains.
- Kristine, Kristine, Kristine!
Je commençais à trouver le rythme. Lui aussi commençait à bouger me donnant quelques indices sur les sensations qu’il ressentait.
- Kristine, Kristine, Kristine, scandaient les autres.
J’ai tenu aussi longtemps que j’ai pu, mais ma mâchoire crispée était douloureuse et j’ai dû déclarer forfait. Mon partenaire s’est repris en main et après quelques coups de poignet frénétiques il a fini par arroser ma poitrine dénudée inondant mes seins juvéniles de sa liqueur blanchâtre. C’était ma première fellation et pas la dernière. J’en garde une certaine fierté. La femme que je suis ne percera jamais le mystère de l’élan de cette jeune fille si prude au quotidien qui a osé franchir le pas devant tout le monde.
Quelques jours avant la fin du séjour, j’ai fini par obtenir la clé de l’appartement d’Amandine pour faire l’amour avec Sylvain. Pourquoi lui? Il me semblait moins brutal et plus discret que les autres peut-être aussi plus mystérieux que les autres. Je n’ai pas envie de raconter ici ce moment. En tout cas, sa virilité était plus forte que les autres il s’est avéré un amant doux et attentionné. Ce n’était pas sa première fois. Il a su se montrer patient et rassurant. J’en garde un excellent souvenir.
Retour au présent
Sophie, ma fille a fini par rentrer de son stage à l’étranger. Elle devait rester une quinzaine pas plus, histoire de régler ses examens et de retourner là bas où elle avait un boulot et un nouvel amoureux.
Il fallait que Damien ait disparu de la maison pour éviter le drame. J’en avais la boule au ventre. Je ne voulais pas briser ce moment d’harmonie que nous vivions ensemble. Heureusement j’ai fini par me faire prêter l’appartement d’une amie pour Damien. Elle avait une relation avec un nouveau compagnon mais gardait son appartement sous le coude au cas où…
Même si le retour de ma fille me remplissait de joie, la séparation e d’avec Damien me rendait malheureuse. C’était la fin de notre lune de miel. Ma fille rayonnait de bonheur à la descente d’avion. Elle était resplendissante. Elle avait tant de chose à me dire. Tant mieux car moi de mon côté j’avais tant de chose à cacher.
-Comme tu as changé, maman. On dirait que tu as rajeuni. Ta coupe de cheveux te vas bien. Je ne t’avais vue souvent en jupe. C’est classe. Mais tu ne penses pas que tu en fais un peu beaucoup?
-Tu sais, maintenant avec mon nouveau travail, j’ai beaucoup de réunion. Il a fallu que je m’adapte.
-Mais tu n’a pas peur d’attirer un peu trop l’attention.
-Bien au contraire, c’est un avantage auprès des autres cadres masculins et les clients que je visite. Ils me respectent plus ainsi. Bien plus que quand j’étais cantonnée à mon préfabriqué près de l’atelier.
Pourtant, j’avais fait attention à avoir une tenue des plus neutre. Ce que je portais désormais à la maison ou quand je sortais avec avec Damien était bien plus court et plus provocant. J’avais pris l’habitude des talons qui faisaient ressortir ma silhouette. Cette fois j’avais remis de chaussures plates et ça me faisait tout drôle.
A la maison il a fallu qu’elle aère et récure sa chambre de font en comble pour éliminer la moindre parcelle de la présence de Damien.
-Savoir que l’autre con a dormi ici me rend malade, maman. Même s’il est parti depuis depuis plusieurs semaines, je n’arrive pas à le supporter. Je me demande bien pourquoi vous l’avez gardé si longtemps.
Je lui avais caché que Damien vivait sous mon toit, il y a encore quelques jours et que je comptait l’y réinstaller juste après son départ.
-Tu m’avais caché votre rupture...
-Et lui, il ne t’a rien dit. Tu es vraiment gourde avec les hommes ma pauvre mère! En plus d’un mari qui boit, il a fallu que tu te fasses r par ce profiteur. Tu es vraiment incorrigible.
Si elle apprenait ce que j’avais fait avec lui. Ce qu’il représentait pour moi...
-Tu filais le parfait amour avec lui avant de partir, si je me souviens bien?
-La séparation m’a vite ouvert les yeux. Ce type est un pervers. Tout ce qu’il cherche c’est à se faire plaire plaindre pour mieux t’r.
Je me remémorais une vidéo où elle se léchait les seins en le suppliant de l’enculer bien fort. Je revois ses yeux de traînée lubrique qu’elle pouvait avoir devant un sexe érigé...
-Je n’ai jamais eu de problème avec lui. Il s’est toujours montré attentionné et discret. Pourtant ce n’est pas toujours évident quand ton père rentre.
-Ce salaud m’a même embarqué des fringues en partant. S’il imagine que je vais l’appeler pour les récupérer…
Si elle venait à fouiller dans ma chambre, elle les trouverait ses affaires, ses jupes ses chemisiers et même ses colliers de pacotille. Toutes ces affaires je les enfilais pour lui ressembler, à elle ma fille pour, que mon amant me baise bien fort et m’appelle par son prénom à elle. J’étais peut-être un peu folle, mais j’aimais tellement me faire prendre avec force. Le séjour de ma fille allait être périlleux. Il faudrait que j’arrive à jongler avec mon boulot, ma fille et mon ex-beau fils devenu mon amant et même un peu plus.

Au Parking
Le rendez-vous était à 22h30. Ma fille était de sortie. Elle n’a pas vu que je m’étais habillée quasiment comme une pute :chemisier ultra court montrant mon nombril et mettant en valeur mes seins comprimés par un soutien gorge demi bonnet laissant pointer mes tétons, minijupe et talons hauts. Je m’enveloppais tout de même d’un imperméable pour que les voisins ne me voient pas aller à ma voiture habillée comme cela. Damien m’attendait au pied de son immeuble. Il avait la mine des mauvais jour.
-Alors Kristine, puisque votre fille est là, plus question que nous sortions en ville ensemble!Vous dites tenir à moi mais vous n’assumez pas pleinement notre relation. Si vous ne voulez pas que je l’annonce à Sophie, il va vous falloir vous montrer coopérante. Mettez le moteur en marche. Nous n’avons pas que cela à faire. Il me dirigea vers un parking à camions à une dizaine de kilomètre sur la nationale
Le parking était derrière le restaurant routier. Il était en retrait de 25 mètres de la route et complètement isolé par une grosse et épaisse haie d'arbustes.
Quand nous sommes arrivés au parking, seul un camion était présent sur cette partie du parking. La cabine était vide. Je me garai le plus loin possible. J’éteignis les phares puis descendit, fermant sa voiture à clé. Damien me guida vers bar. Il y avait des hommes dont beaucoup parlaient étranger, ils regardaient un match de football à la télé. Quand nous sommes entrés l’un deux a émis un commentaire dans une langue étrangère que ne pouvais pas comprendre mais qui s’adressait bien à moi. Les autres hommes se mirent à rire fortement. Je cachai mon malaise. Damien commanda d’autorité deux digestifs. Nous trinquâmes.
-Vous en reprendrez un Kristine.
-Non merci, je vous remercie mais je conduis.
-Ce n’était pas une question Kristine. Je conduirais au retour.
Il fit un signe et deux autres verres nous furent servis. Il me les fit ingurgiter cul sec. J’avais la tête qui tournait. Puis il me tira vers lui, passa ses bras autour de ma taille, et planta mes lèvres sur les siennes, Il me donna un long baiser passionné. De nouveaux commentaires fusèrent provoquant l’hilarité. Dans le même temps, ses mains descendirent sur ses fesses puis le long de ses cuisses jusqu'à ce qu’il trouve le bas de ma jupe. Il remonta celle-ci plus haut encore sur mes cuisses. Les routiers m’observaient du coin de l’oeil Je ne protestai même pas alors qu’il me repoussa afin de m’admirer ainsi troussée à la limite de ma petite culotte noire. C’est comme cela que nous sommes sortis sur le parking. L’air frais me faisait du bien. Il me conduisit vers la voiture.
- Tournez vous et mettez les mains sur ton capot!
Avant d'obéir, je jetai des coups d'œil tout autour sur le parking.
- Ecartez vos jambes maintenant Kristine.
J’écartai les cuisses alors en faisant glisser mes talons dans le gravier écartant les pieds comme Il avait demandé. A travers ma minuscule culotte il devait deviner les plis de ma chatte. Il mit ma main droite entre mes jambes et frotta sa paume contre mon sexe à travers le tissu de la culotte. Ses doigts se pressèrent contre ma fente alors que mon pouce frottait mes petites lèvres. Je laissai échapper un petit gémissement sans équivoque.
- Votre fille est à peine arrivée depuis deux jours et vous vous exhibez sans vergogne dans un bar de routiers.Quel genre de femme laisse le petit ami de sa fille tripoter sa chatte dans un parking?
Ce n'était pas vraiment une question qu’il me posai. Sans répondre, je me tortillai sans reculer.
- Il n'y a qu'une pute pour faire cela. Vous êtes une pute Kristine n'est-ce pas?
Il poussa son pouce et le tissu entre mes lèvres mes lèvres intimes. Il devait bien sentir à l'humidité à travers ma culotte que j’étais excitée. Je ruais pour venir à la rencontre de ses doigts.
- Oui! Répondis-je en haletant.
- Oui tu es une pute?
Il tira sur ma culotte afin de la descendre jusqu'à ses genoux. L'air frais de la nuit souffla sur ma chatte nue et rasée pendant que les lampadaires du bout du parking nous jetaient une lumière aveuglante.
- Oui je suis une pute! Les mots sont sortis comme cela, indépendamment de ma volonté comme si ils sortaient de mon sexe sans passer par mon cerveau.
- Ne me parle pas comme ça putain!
Il claqua ma fesse droite avec force.
- Aïe! Criais-je surprise
Puis plus doucement je m’excusai :
- Désolée.
- Je ne veux pas que ma pute me parle mal. Tu comprends Kristine?
- Oui je comprends.

Il a ouvert la portière pour éclairer la scène. Puis il a mis trois doigts dans mon trou humide. J’étais tellement mouillée qu’il n'eut pas besoin de forcer. Je gémissais profondément et tombai en avant, ma poitrine s'écrasant sur le capot. Il me doigta pendant quelques minutes, mes gémissements augmentaient en volume et en longueur. Je savais que je n'étais pas loin de l'orgasme.

Je m'arrêtai et levai les yeux, Damien faisant la même chose. Nous avions entendu le bruit
de pneus sur le gravier suivi par une paire de phares qui tournèrent au coin et éclairèrent le parking. Le faisceau des phares nous traversa. Nous avons regardé le véhicule venir vers nous. Mais il s'arrêta à 20 ou 30 mètres et le conducteur éteignit ses lumières. Il s'agissait simplement d'un camion qui se garait pour la nuit. Je voyais la forme d'un homme dans la cabine mais il ne descendit pas.

- Allons-nous-en! J’ai peur. Laissez moi !

J’ai lu le doute dans ses yeux. Il y avait un manque d’assurance. Il a tiré ma jupe pour la remettre en place. C’était fini, même si mon coeur battait la chamade. Nous allions rentrer dans la voiture. Tout serait fini. On ne pouvait aller plus loin. C’est du moins ce que j’espérais. Je le sentais hésitant. Puis il s’est ressaisi.

- Non Non! Nous n'avons pas fini encore!

Il remit trois doigts dans mon sexe et me barbouilla l'anus avec mon jus.
Ensuite il poussa un, puis deux doigts dans son petit trou. Je criai. Mais me rendant compte que j’allai attirer l’attention, Je mis mon poignet dans ma bouche afin d'atténuer mes cris.Il défit sa braguette afin de sortir son gros sexe dans la brise fraiche du soir. Pour la première fois, Il allait baiser sa belle-mère sur un parking.
- Tiens ta chatte ouverte Kristine!
Il enleva mes doigts de son anus et se positionna derrière moi alors que ses doigts ouvraient mes lèvres intimes et les écartaient, laissant libre accès à mon trou qu’il allait posséder
Je poussai mes hanches en arrière ajustant la tête de mon sexe sur ses petites lèvres. Et il me demanda :
- Tu es ma pute n'est-ce pas?
- Oh,oui je le suis. Je veux que vous me baisiez vite.

J’essayai de regarder autour pour voir si quelqu’un nous regardait mais les lumières du parking m’aveuglaient. Quelqu’un dans l’ombre se rinçait-il l’oeil? Il poussai en avant son gros membre dans mon sexe. Jetant sa tête en arrière je criai malgré moi :
- Aaaaaaaaaaaaahhhhhh
Je remis mon poignet dans ma bouche afin d' ses cris.
- Continue à ouvrir ta chatte! Ordonna-t-il
Il me pilonnait avec des grands coups de bassin.
- Garde ta chatte bien ouverte pendant que je te baise.
Alors que ses propos étaient de plus en plus dégradants je n'y répondais pas, j’étais d'accord avec mon statut de pute. Je sentais qu’il avait sur moi un ascendant qui allait lui permettre de l'humilier encore et encore.
Après deux minutes de bourrage intensif de ma chatte, j'ai senti mon sexe se contracter autour de sa bite. Mes jambes cédèrent un peu alors qu’un orgasme m’emportait.

Maintenant J’étais couchée la tête appuyée sur le capot de la voiture, mes seins écrasés. Mais ses mains tenaient toujours sa chatte bien ouverte.

C'est au moment où mon orgasme se termina, que, de nouveau, deux phares illuminèrent le parking. J'attendis que le véhicule s'arrêter et ouvrir ses portes. Je vis un petit camion garé à ma droite, à 15 mètres à peine. Eblouie par les phares, je ne voyais pas le conducteur mais j'étais sûr qu'il savait ce que nous faisions. Ce n'était pas dur à deviner avec une femme couchée sur un capot et un homme derrière elle.
- Ne t'inquiète pas, il s'agit juste d'un camion qui part.

Il me mentait car il pensait que je craignais de me savoir peut-être regardée. Au contraire, maintenant, cela m'excitait encore plus et de toute façon je ne voulais pas arrêter .
- Nous partirons lorsque j'aurais fini et lorsque je le déciderai, pute idiote!

Il me mit une grande claque sur sa fesse droite. Je poussai poussa un petit cri. Au même moment, j'entendis une portière s'ouvrir et claquer pas loin derrière moi. Le conducteur du dernier camion était sûrement dehors. J'attendis quelques secondes avant de regarder autour de nous. Malgré mon excitation je commençais à paniquer car ni lui ni moi n’étions en mesure de contrôler une situation qui pouvait basculer. Il fallait que je retrouve mon sang-froid.
- Il n'y a rien. Je pensais voir quelqu'un mais je me suis trompé. Concentre-toi seulement sur mon sexe comme la bonne pute que tu es. Il me dit cela calmement mais regardant sur le coté un chauffeur de camion à 10 mètres de là nous regardait avec un grand sourire sur son visage. Il mit son pouce vers le haut tout en attrapant sa bite à travers son pantalon avec son autre main. Il voulait juste un petit spectacle gratuit. Il avait l’air paisible et pas agressif
Je me suis détournée de lui et Damien a recommencé à pilonner ma chatte.
- Je vais te faire jouir ma salope!

Je me penchai en avant, mis mes mains dans le bas de mon dos afin de pousser mes hanches pour le sentir encore plus profond. A chaque fois que son sexe tapait au fond du mien, je gémissais. J’étais dans un état de total abandon, attendant qu'un nouvel orgasme me terrasse .
- Ohhhh......Vas-y! défonce-moi! Ahhhhhh....Je vais jouir......Ahhhhh..... Continue...... Baise-moi.......
Je m'affalai par terre sous l'effet de cet orgasme tonitruant.

J’avais joui en public. J’en avais honte mais j'adorais ça. Et je n'avais pas fini.
- Suce-moi maintenant. Je n'ai pas encore fini.
Il se rapprocha si bien que je dus lever la tête afin d'ouvrir la bouche et engloutir son sexe.
Je pouvais voir le chauffeur pendant que je lui nettoyais mon membre comme une prostituée. Je décidai de me relever mais avec la culotte autour des genoux, je trébuchai, son dos tapant sa voiture.
- Nous devons y aller! J’essayai d'atteindre ma culotte.
- Et tant que je n'aurais pas éjaculé, nous n'irons nulle part.

Il souleva ses jambes et me poussa afin que mon cul soit au raz du capot. Il prit ma culotte et la lança à côté . Il roula ma jupe autour de ma taille, et j'écartai ses jambes, exposant sa chatte dégoulinante. Il défi chacun des boutons de son chemisier et il tira mon soutien-gorge, libérant ainsi ma grosse poitrine.
- Super! dit une voix sur le côté.
Le chauffeur du camion s'était approché. Mais j'étais tellement dans mon fantasme que je ne pouvais arrêter.II a mis trois doigts dans mon sexe, les remuant afin de faire sortir un peu de mon jus. Puis il l'étala tout autour de son petit trou serré. Il recommença, afin, cette fois ci, de pouvoir lubrifier l'entrée de son anus.
Puis Il présenta son gland.
- Non s'il te plait! pas là! Pas en face d'un étranger!
- Tu ne dois pas oublier que je décide quand et où je te baise.
- Lève tes jambes et tiens les que je puisse m'enfoncer dans ton cul.

Je levais les jambes, accrochant un bras derrière chaque genou et tirant en arrière le plus possible. Il poussa son membre contre mon petit trou, continuant jusqu'à ce qu'il s'ouvre.
Mon gémissement s'arrêta seulement lorsque mes couilles tapèrent ses fesses. Il était complètement à l'intérieur. j’avais la tête renversée en arrière, les yeux fermés, essayant de m'habi à l'inconfort de la pénétration.Le conducteur du camion, à côté, ne disait rien mais souriait, sa main caressant un renflement visible dans son bleu de travail sale.

Damien continuait à pilonner mon cul de belle-mère. Et juste récompense, j’eus un troisième orgasme encore plus intense que les deux premiers.Il éjacula au fond de mon cul dans un rugissement. Puis il sortit sa bite. Le chauffeur de camion ne risquait pas d'oublier l'image de ce cul dégoulinant de mon sperme.

Je redescendis ma jupe et remit mon chemisier en oubliant ma culotte par terre,tout cela devant notre spectateur. Le chauffeur de camion nous interpella et nous demanda avec un sourire espiègle :
- Même heure la semaine prochaine?
-Peut-être! lui répondis-je.
Alors que je retournais à la maison, je pensais que j'étais maintenant une pute routier qui se donne sur les parkings comme mon ex-mari aimait en culbuter.Nous sommes rentrés sans un mot. Il m’a déposé devant chez moi. J’étais titubante d’alcool et de fatigue.
-Vu ton état, je garde ta voiture. Demain tu iras bosser en bus. Je t’attendrai sur le parking de ta boîte vers 12h30. Nous mangerons ensemble.
En passant la porte j’ai enlevé mes chaussures pour être discrète au cas où Sophie serait rentrée. Arrivée en haut des escaliers. Je me suis précipitée aux toilettes pour vomir le mélange d’alcool et de foutre. Par malheur ma fille, inquiète, est sortie de sa chambre.
- Mais qu’est ce qui t’arrive?
- Rien, rien. Je suis sortie avec des copines et je me suis un peu lâchée.
Je titubais. Ma bouche au goût de vomi, les larmes qui coulaient sur mes joues et surtout ma tenue de pute, tout cela elle l’a vu mais elle est restée figée. Jamais je n’aurais voulu lui donner cette image là de sa mère, mais le mal était fait. Elle m’a détaillée avec mépris.
-Tu n’as pas honte ! Tu me me dégoûtes.
Elle est rentrée dans sa chambre en claquant sa porte. Moi je me suis précipitée dans la salle de bain trouver l’oubli et le réconfort sous le jet chaud.

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