La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1242)

Petite chienne au Château - (suite de l'épisode N°1227) -

La Domina me présente ses doigts devant ma gueule de chienne, et tout en conservant ma position, je lui lèche ses doigts délicatement comme pour la remercier... La voiture a redémarré, je ne saurai estimer depuis combien de temps nous avons repris la route. Le chauffeur a sans doute dû entendre les cris de la Domina, mais qu’importe, je me sens à ma place, ainsi, utile et utilisée pour satisfaire. Plongée dans le noir, je me laisse porter par le mouvement de la route. Au bout d’un bon moment, je sens que le véhicule freine et j’entends les pneus crisser sur des graviers, je crois que nous arrivons à destination. Les yeux toujours bandés, j’entends le moteur stopper, une porte s’ouvre, je sens l’air frais parcourir mon visage. Une main ferme empoigne ma chevelure, on m’oblige à sortir du véhicule, ce que j’entreprends prudemment. Toujours tenue par ma queue de cheval, je suis le mouvement qu’on m’impose. Et on m’oblige à me baisser pour me faire mettre à quatre pattes. J’avance en quadrupédie douloureusement sentant quelques gravillons agressifs entrer dans ma peau au niveau de mes genoux meurtris. Une marche se présente à moi, je devine donc un escalier en perron et je lève les pattes pour monter sur ces marches de pierres lisses et froides. Une voix retentit au-dessus de moi, je n’ose bouger et garde ma position tête baissée toujours à quatre pattes…

- Ma très chère amie ! Chère Eloïse, un plaisir de te revoir. Soit la bienvenue chez Moi, en Ma Demeure… Comment vas-tu ? Je vois que le colis a bien été récupéré, j’espère que le voyage fut agréable…
- Je me porte à merveille, mon cher Edouard. C’est toujours un plaisir pour moi, de te rendre un tel service et d’être reçue en ton si beau Château… Cette chienne débutante a une langue très affutée.
- Cela me ravit de l’apprendre. Oh, mais je viens de remarquer, qu’elle porte déjà une belle queue, qui lui va à ravir… Un beau petit cul très bien orné.

Cela me plait beaucoup.
- Edouard, j’étais certaine que cette petite surprise allait te plaire. Visiblement, cela plait beaucoup aussi à cette chienne, elle n’a cessé de remuer son cul de satisfaction lorsque je lui ai mis. Une vraie petite chienne en chaleurs que tu as trouvée là, mon ami.

Les entendre ainsi parler de moi, m’excite davantage, sans m’en rendre compte, je trémousse du cul, heureuse d’être ainsi à ma place.

- Une petite chienne en chaleurs, oui, ce sont des mots qui lui conviennent. Regarde Eloïse, tu as bien raison, comme elle remue son cul de joie, d’être ainsi traitée. Je crois que je vais lui réserver une éducation de pet-girls comme elle n’a jamais connu…

A ces mots, je sens la main de Monsieur le Marquis se saisir de ma chevelure, et me relever la tête. Il enfonce, trois de Ses larges doigts dans ma gueule, pour mesurer ma capacité d’ouverture. Ses doigts descendent loin dans ma gorge, j’en ai le hoquet. Il les retire, puis me présente Ses doigts salivés, l’un après l’autre pour que je les nettoie doucement. Enfin propre, sa main frappe mon visage avec fermeté d’une paire de gifles, puis il me crache au visage.

- Eh bien chienne, tu as encore beaucoup à apprendre. Quand des Dominants parlent de toi, tu n’as pas à réagir. Rester immobile, dans ta position, à ta place de salope, c’est cela ton devoir. Walter, met hors de ma vue cette petite chienne sans éducation. Qu’elle aille passer sa première nuit dans l’Enclos, qu’elle sache immédiatement auprès de qui, elle souhaite s’engager...

Je baisse la tête, honteuse, de mon non-éducation… Walter se saisit de ma tignasse et me tire en arrière, je le suis, silencieuse et contrainte mais aussi excitée, dans son mouvement. Je comprends qu’on longe les murs extérieurs du Château pour prendre, une bonne quinzaine de mètres plus loin, une petite porte dérobée. Ensuite, il me fait descendre d’étroits escaliers en colimaçon, les pierres froides et rugueuses sont désagréables.
Je n’ose dire un mot, j’assume cette première erreur. Arrivés en bas, nous empruntons un couloir au sol froid par ce qui doit être une dalle de bêton. Puis on s’arrête et j’entends des grilles de fer s’ouvrir et la voix forte d’un homme :

- Je vous ramène, une petite chienne, sans éducation, sans collier, qui ne mérite que l’Enclos. Qu’elle soit mise en cellule avec les autres, avant le grand jour… Bien sûr, ce n’est qu’une petite pute à utiliser sans modération alors vous pouvez toujours vous en servir, à votre guise, comme tous les autres. Et si par malheur pour elle, elle jouit, ce sera dehors, l’exclusion pure et simple, et adieu le Château et adieu Monsieur le Marquis.
- Humm… En voilà, une bonne petite salope… Je pense que je vais l’utiliser très rapidement.
- Chienne, présente-moi ton cul…

Aussitôt, je m’exécute, relève mes fesses, place mes mains sur chaque lobe pour les écarter, la tête à même le sol de terre battue. Je sens la main de Walter s’attarder un instant sur ma chatte, puis d’un coup sec, il me retire le plug. Au fond de moi, je ressens une certaine déception de ne pouvoir garder plus longtemps cet objet si symbolique. Il me place une ceinture autours de la taille, je sens un objet me remplir la chatte, et écarter davantage mes lobes du cul. La ceinture en métal contourne mon bas ventre, j’entends un cliquetis de cadenas se fermer.

- Tu n’as pas besoin de garder cela ici, les exercices commencent dans la journée même. Tu devras apprendre à supporter plus gros, celui-ci était juste pour le voyage. Je t’ai mis une ceinture de chasteté, afin que seul ton trou de cul puisse être utilisé. Ainsi, tu apprendras à être constamment rempli de la chatte. Aller, à quatre pattes, la chienne. Tu as un beau cul et il serait dommage de ne pas s’en servir … Alors il va être utilisé, ça je peux te le garantir …

Je me relève, et tête toujours baissée, je prends la position exigée. Walter me retire le bandeau, mes yeux s’habituent peu à peu à l’environnement.
Je perçois de faibles lumières, nous sommes dans une cave immense en profondeur et largeur, il y fait sombre, le sol est en terre battue, cette cave est visiblement voûtée et vaste. Il y a des tonneaux de vin de chaque côté et ainsi je comprends que nous sommes dans un des chais du Château. Je peux lire une pancarte au-dessus des nombreux tonneaux couchés et empilés ‘‘Cuvée Beaujolais Château-Evans 2017’’. La lumière présente provient des quelques flambeaux allumés çi et là.

- Bien, tu vas rester ici quelques temps, avec d’autres chiens et chiennes de ton espèce. (Puis s’adressant aux autres) - Il vous ait interdit de copuler entre vous, seuls les gardiens de l’Enclos peuvent user et r de vous à volonté. Vous allez suivre un régime et des exercices stricts… (Puis s’adressant à moi) - Aller, entre et va faire connaissance avec les femelles et mâles de ton espèce, la chienne ! (Puis s’adressant de nouveau aux autres) - Tous alignés, en rang, cul relevé les chiens et chiennes.

La porte d’une des cellules de la cave m’est ouverte, j’entre en douceur dans cet environnement froid et peu spacieux, ils sont 6 déjà présents. 4 mâles visiblement bien montés, aux corps d’athlète et 2 femelles aux courbes sensuelles et fines. Ils semblent tous bien plus âgés que moi. Ils tiennent tous la même position, front au sol, cul relevé et dégagé par leur main. Je remarque que comme moi, ils portent tous une ceinture de chasteté, les mâles ayant leur queue encagé. Et j’imagine rapidement que les femelles ont également le même système de chasteté en leur propre sexe.

- Va dire bonjour à ceux de ton espèce, petite chienne. Fais-le comme lorsque deux animaux se rencontrent pour la première fois. Allez, cesse d’être si hésitante, et va renifler leur odeur, va renifler leur cul, leur sexe….

J’avance en douceur, cette situation humiliante me dérange quelques peu… Face à Walter et les trois gardiens, je m’avance en quadrupédie dans la cellule, passe derrière le premier mâle, et approche mon nez de son trou de cul.
Je hume son odeur âcre, et alors que je souhaite passer au suivant, j’entends la cravache s’abattre sur les barreaux.

- Lèche-le, la chienne, donne du plaisir à ce chien encagé. Que ça le fasse un peu bander dans sa cage à lui rendre douloureux son début érection qui sera comprimée et donc interdite …

L’ordre tombe, l’humiliation est forte, mais je comprends que c’est une première étape, un premier essai pour valider ma psychologie de chienne. Alors, je m’exécute tout bonnement. Je me penche en avant, et lèche l’ouverture de son trou, insère ma langue, et lui donne du plaisir. A ma grande surprise, il ne bouge pas, reste calme, impassible, je comprends qu’il est bien éduqué. Je continue à m’efforcer à lui donner du plaisir, je lèche avidement son anus si bien exhibé à mon regard me rappelant comment dans le passé, j’ai pu amener un Dominant à l’orgasme, juste par cette pratique. Je le lèche, introduit ma langue, la passe à travers sa chaire, le suce, l’aspire, mais rien, pas un seul mouvement, ou tressaillement de sa part.

- Bien petite chienne, passe au suivant, maintenant.

Quelque peu honteuse de ne pas avoir réussi à atteindre mon but avec ce mâle, je passe au prochain qui lui aussi ne réagit à aucun de mes vifs coups de langue. Je lèche ainsi, un par un ces chiens et chiennes présents dans cette cellule, sous l’ordre de Walter. Me donnant beaucoup de mal pour leur donner du plaisir, mais ils semblent tous aussi impassibles, mes efforts me paraissent vains, même si je n’oublie pas qu’ils seraient sanctionnés s’ils avaient réagis à mes anulingus. A la fin de cette humiliation, je me rends compte, que l’envie de leur donner du plaisir m’a excitée, mes lèvres sont moites, ma mouille a coulé le long de mes cuisses et j’ai une forte envie de me frotter la chatte, ne serait-ce que contre un morceau de bois ou de pierre.

- Bon, à présent, petite chienne, ils vont tous venir te souhaiter la bienvenue. Prend la position adéquate.

Je comprends ‘l’épreuve’ qui m’attend. C’est toute dégoulinante que je prends la position adéquate, prosternée, front au sol, mains écartant mon trou de cul. Je sens le premier mâle venir planter sa langue dans mon trou, il l’introduit, puis la ressort, joue avec l’ouverture. Je sens aussi d’autres langues parcourir mon corps, je suis prise de partout. Leur bave s’étale sur mon dos, mes cuisses, mes doigts, mon trou de cul… Seule ma chatte et mes mamelles sont épargnées, protégées par la ceinture et le sol. Je subis ce délicieux supplice si excitant pendant ce qui me parait être une éternité. L’envie d’être prise est intense, mon corps remue, malgré le contrôle que je tente d’avoir sur lui, j’aimerai m’échapper… j’ai envie de jouir à un tel point… Jamais mon trou de cul n’avait autant été aussi léché, sucé, et aspiré. C’est un véritable délice, mais surtout un supplice, une de subir ces contacts avec l’interdiction formelle de jouir. Alors, que je suis au bord de l’extase, je ferme mon esprit, imagine une rivière calme, apaisante, et prend le contrôle sur ma respiration. Peu à peu, je sens mon corps se détendre, et se calmer. Concentrée sur ma respiration, j’en oublie presque les attouchements que je subis...

- Stoppez tout chiens et chiennes.

Ces derniers arrêtent momentanément, et viennent se positionner à 4 pattes à mes côtés. Je n’ose bouger.

- Bien, chienne, tu as su garder ton calme, et ne pas laisser ta jouissance implosée. C’est un bon début, j’en ferais part au Maitre des lieux. Vos gamelles seront bientôt remplies, vous pourrez reprendre des forces, et être parés pour commencer vos exercices du jour. Pas un bruit, je compte sur les gardiens, pour vous corriger si besoin et vous utiliser s’ils en éprouvent le besoin également……

(A suivre …)

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