Une Chaude Journée D'Été
Lhistoire que je vais vous raconter mêle le fantasme à la réalité. Elle sest déroulée par une chaude journée de cet été qui sachève, quelque part entre une petite crique de la côte ouest du pays, et les recoins les plus inavouables de mon esprit.
Ce jour-là, comme souvent à cette période de lannée, je me prélassais sur la plage, les seins nus et le corps enduit dhuile solaire de sorte quil luisait sous les assauts gourmands du soleil. La plage en question est assez reculée, et par conséquent peu fréquentée.
Quelle ne fut pas ma surprise, moi qui suis habituée à la seule compagnie des mouettes sur cette crique abandonnée, lorsque je vis un groupe de six jeunes hommes, à vue de nez dune quinzaine dannée mes cadets, débarquer avec ballon de volley ball et filet sous le bras.
Tout en installant leur terrain de jeu, ces jeunes damoiseaux ne se privèrent pas pour se rincer lil, ce qui suscita en moi un curieux mélange de gêne et de fierté. Ma première réaction fut de cacher timidement le bout de mes seins avec mes mains. Puis, cédant à une pulsion exhibitionniste, je libérai mon énorme poitrine et accentuai ma cambrure afin doffrir au soleil mes tétons tendus par lexcitation de me sentir ainsi épiée.
Pour tout vous dire, lun de ces jeunes hommes mavait tapé dans lil. Il devait avoir entre vingt et vingt-cinq ans et je ne pouvais mempêcher dadmirer son corps à la ligne svelte, sa peau bronzée par de longues heures passées en plein soleil, ses muscles secs bandés sous leffort déployé au jeu et son visage aux traits fins, presque androgynes, surmonté dune chevelure brune dégradée à blanc sur la nuque.
Mes regards appuyés ne passèrent bien sûr pas inaperçus, puisque tous leurs regards étaient rivés sur moi dès que la balle nétait plus en jeu.
Amusée, je fermai les yeux et me laissai aller à la fantasmagorie.
Alors, dans mes songes, ce jeune homme qui avait retenu mon attention vint à ma rencontre.
Il me gratifia dun très cordial « Bonjour, Madame. » Mais je savais que sa politesse nétait que superficielle, et que dans sa tête il mavait déjà souillée et fait subir mille sévices.
Sans même attendre de réponse de ma part, il sallongea à mes côtés, menlaça par la taille et, me serrant jusquà presser ma poitrine sur son torse, posa ses lèvres sur les miennes.
La moiteur de nos corps respectifs en proie aux assauts du soleil sublimait le contact charnel : jétais en ébullition.
« Jai bien vu vos regards appuyés, et je pense être en mesure de satisfaire vos désirs. »
Devant mon regard interloqué, il poursuivit sans même me laisser en placer une :
« Cependant, il faudra vous montrer très obéissante car mes faveurs se méritent. »
Hébétée, incapable darticuler le moindre mot, je fis oui de la tête.
Un sourire satisfait simprima sur son visage.
« Parfait. » dit-il, avant de relâcher létreinte de ses bras autour de ma taille et de me repousser sur la serviette de plage.
Il pinça mes tétons entre index et majeur. Et les tira sans relâcher la pression pour accompagner lordre qui suivit :
« Alors maintenant, mets-toi à genoux. »
Jobéis sans discuter, sur quoi il se releva, sans lâcher mes tétons avant dêtre debout sur ses deux jambes.
Il baissa son short de bain pour dévoiler un sexe dune vingtaine de centimètres, à demi dressé.
« Jimagine que tu sais quoi en faire. »
Je fis oui de la tête en me passant la langue sur les lèvres dun air gourmand, puis je pris le sexe à deux mains et commençai à en embrasser le gland découvert.
Le garçon menvoya une gifle bien sentie.
« Non ! Pas comme ça, juste avec la bouche. Mets tes mains dans ton dos. Je veux voir la salive couler sur tes nichons. »
Jobéis sans discuter et recommençai où je métais arrêtée.
Jembrassai plusieurs fois son gland charnu avant doser un coup de langue. Il avait le goût salin caractéristique de leau de mer.
Soudain, impatient, il mempoigna par les cheveux et força son sexe au fond de ma gorge. La taille non négligeable de ce dernier força mon réflexe de régurgitation, et la salive commença à perler du coin de mes lèvres sur ma poitrine.
Par réflexe, jôtai les mains de derrière mon dos pour essuyer ce filet de bave.
Furieux, le garçon, qui me tenait toujours par les cheveux, me plaqua la tête contre la serviette de bain et menvoya une volée de claques sur les fesses.
« Non ! Jai dit sans les mains ! Si tu nes pas obéissante, tu nauras pas ce que tu attends, je te préviens. »
Jentendis les rires de ses camarades plus bas sur la plage.
« Pardon, Monsieur. » dis-je, honteuse dappeler « Monsieur » un garçon aussi jeune.
« Ne texcuse pas. Si cest comme ça, je vais devoir tattacher. »
Il retourna vers ses camarades et ses affaires, me laissant là, à genoux, les mains dans le dos.
Après quelques échanges de réflexions inintelligibles de là où jétais et de rires avec ses camarades, le jeune homme revint avec une corde à la main.
Il me noua les poignets dans le dos avant de déclarer :
« Bon, où en étions-nous ? Ah oui, allez, suce. »
Et sur ces mots, il posa sa main derrière ma tête pour la diriger vers son sexe toujours bien droit.
Cette fois, impossible dessuyer la salive qui coulait au coin de mes lèvres, et mes seins commençaient à en être couverts lorsquenfin mon nez toucha son pubis, signe que javais pu engloutir toute sa verge.
Alors, il me prit par les cheveux et commença à littéralement me baiser la gorge. Son coup de rein précis, rapide, carré, me surprit et je faillis vomir à plusieurs reprises.
Puis, sans prévenir, il me repoussa face contre terre, arracha mon bas de maillot et, après avoir frotté son gland contre lentrée de mon anus sans y pénétrer, sinséra sans aucune difficulté dans ma chatte. Et pour cause : jétais trempée dexcitation, et son sexe était parfaitement lubrifié de ma salive.
Incapable de me relever sans mes bras, jétais contrainte de me laisser manipuler comme une vulgaire poupée gonflable.
Il me fit relever les fesses et commença à me prendre en levrette. Comme prévu, ses coups de butoir témoignaient de sa jeunesse et de sa vigueur, ils étaient même bien au dessus de ce que je métais imaginée, et il ne tarda pas à marracher de puissants cris de plaisir quil ponctuait à chaque fois dune grande claque sur mon cul bien cambré et offert à sa volonté.
Ma tête était posée sur la serviette, de sorte que je ne mange pas de sable, mais ma poitrine, elle, était écrasée contre le sable et mes tétons rendus solides par lexcitation senfonçaient dedans.
Jétais sur le point de jouir, lorsquil sarrêta brutalement pour se tourner vers ses amis. Il siffla et lança sur un ton joyeux :
« Eh les gars, cest bon venez, je lai chauffée ! »
Il sallongea sur le sable et me fit monter sur lui pour venir mempaler sur son sexe. Il me serra contre lui de sorte que mes seins étaient comprimés contre son torse musclé, puis mempoigna les fesses à deux mains et recommença à me pilonner.
Transcendée de plaisir, jentendais des voix tout autour de moi sans parvenir à les si précisément dans lespace, ainsi que des bruits de masturbation masculine. Le jeune homme tenait mes fesses dune poigne de fer, au point dy enfoncer ses ongles.
Tout à coup, il les écarta et je sentis un autre gland contre mon anus. Il chatouilla quelques instants à lentrée de mon fondement, avant de sy forcer sans plus de difficultés que celui qui était déjà dans ma chatte.
Je balbutiais mécaniquement : « Oui ! » « Encore ! » « Pitié ! »
Puis, mon deuxième assaillant, celui qui était derrière moi, attrapa mes bras et me redressa le haut du corps à la verticale.
Javais un étalon dans chaque orifice, et ceux qui navaient pas la chance de me baiser, se branlaient en me pinçant, en me fessant, en me giflant, et en riant de bon cur.
Alors, on me détacha les bras, et deux des autres garçons présentèrent leurs sexes de part et dautre. Je compris aussitôt ce que je devais faire, et je commençai à les branler avec ardeur.
Puis, les râles commencèrent à retentir, et je sentis ma bouche, mon cul, ma chatte semplir en chur de sperme chaud. Cen était trop pour moi, me sentir ainsi remplie de toutes part me fit jouir comme jamais. Je hurlais, je tremblais, je convulsais.
Alors on mallongea sur la serviette, les yeux mi-clos, et les trois autres jeunes hommes qui navaient pu me pénétrer vinrent se finir sur ma poitrine.
Lorsque jouvris les yeux, javais toujours mon bas de maillot, et il ny avait pas une goutte de sperme, ni en moi, ni sur ma poitrine. Pourtant, le bout de mes seins était tendu vers le ciel par lexcitation, et mon bas de maillot était trempé.
Avant même que jaie pu reprendre mes esprits, le ballon de volley atterrit juste à côté de moi. Le garçon qui avait été lobjet de mon fantasme vint le récupérer sous mon nez avec un grand sourire et me dit :
« Désolé, Madame. »
Mentendre ainsi appelée « Madame » rappela à mon souvenir tout le scénario que je métais fait. Honteuse, je rougis et baissai les yeux devant cet Apollon, qui sembla ne pas comprendre ma réaction.
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