Légumes Et Plaisir
LEGUMES ET PLAISIR
Après avoir marché le long de la plage avec mon mari nous passons maintenant à proximité des jardins familiaux encore bien garnis de légumes en ce début septembre.
Des jardiniers que j'ai déjà cotoyé l'année dernière me reconnaissent et l'un d'eux, dont je me souviens le prénom: Adrien, s'approche du grillage.
Je ne suis pas rassurée, pourvu qu'il ne parle pas de ce qui s'est passé à la même époque l'an dernier.
<<bonjour madame et monsieur, vous appréciez nos jardins>>.
Mon mari en connaisseur lui répond.
<<oui, félicitations ils sont bien tenus et vos légumes sont beaux>>.
<<c'est normal on y passe beaucoup de temps>>.
Sans réfléchir j'y vais de ma répartie.
<<et je suis sure qu'ils doivent être d'excellente qualité comme l'an dernier>>.
<<madame si vous voulez on peut faire comme l'année dernière si avoir des légumes vous intéresse, nous en avons toujours beaucoup trop>>.
J'ai compris ce à quoi il pense sans qu'il le dise mais cela ne me fait pas peur.
Je demande à mon mari ce qu'il en pense.
<<manger des légumes comme-ça il n'y a pas mieux, on sait d'ou il viennent et on est certains qu'ils sont cultivés naturellement>>.
Je n'hésite pas.
<<monsieur nous acceptons votre offre généreuse, quand êtes vous disponible>>.
<<nous sommes là tous les jours, venez demain matin>>.
Je sais ce qui m'attend de moi mais cela ne me préoccupe pas.
<<d'accord vers 9 heures demain matin>>.
En partant je dis à mon mari qu'étant une femme les jardiniers seront enclins à donner plus et en choisissant les meilleurs produits.
Il approuve et trouve que c'est mieux que je m'en charge et que cela me changera des associations ou je fais du bénévolat et ou je me rends trop souvent à son goût.
Moi je trouve bien pratiques ces associations pu je rends service et qui en plus me servent d'alibi pour mes dérives sexuelles permanentes.
Le lendemain je gare ma voiture le plus près que je peux des jardins.
Je longe la cloture et arrive devant le portail qui s'ouvre tout de suite sans que j'aie besoin d'appeler.
Adrien m'accueille, nous nous saluons.
<<viens dans ma cabane>>.
Je le suis et je constate qu'une bonne quantité de légumes variés m'attend devant la cabane dans laquelle nous pénétrons.
Deux hommes sont à l'intérieur attablés un verre à la main.
<<tu connais déjà Jacques qui était là l'an dernier et lui c'est Arnaud, il a tenu à participer>>.
<<merci à vous trois pour ce que vous avez la gentillesse de me donner>>.
<<on sème, plante et repique beaucoup sans calculer et le résultat est que l'on récolte toujours trop de légumes>>.
<<je suppose que ce n'est pas gratuit>>.
<<on ne demande jamais rien à ceux à qui on donne, si on ne le faisait pas ce serait perdu>>.
<<je pense que moi étant une femme c'est différent>>.
<<pourquoi dis tu ça, on ne veut pas d'argent>>.
<<je suppose que c'est un paiement en nature qui vous intéresse>>.
<<on ne demande rien>>.
Leur attitude dit le contraire.
<<non je sais, vous en mourrez d'envie de me sauter alors faites le et sachez que trois hommes en même temps cela ne me fait pas peur>>.
A leur air il faudrait que je sois idiote pour ne pas avoir compris ce qu'ils attendent de moi sans vouloir le dire>>.
<<allez venez vous payer, on ne va pas y passer la journée>>.
Ils restent un moment à me regarder désorientés par mon audace.
Sans gêne et lentement pour les exciter je retire mon maillot et mon soutien-gorge ensuite je fais glisser ma jupe puis ma culotte le long de mes jambes et je lève les pieds un par un pour me dégager des vêtements devenus inutiles.
Ils me regardent médusés et leurs yeux scrutent tous les endroits de mon corps.
<<vous pouvez toucher et caresser>>.
Pas besoin d'en dire plus, ils m'entourent et me pelotent partout.
Des mains s'égarent sur ma poitrine, mon ventre, mes fesses et sur mon sexe.
J'écarte les jambes pour leur faciliter l'accès à mon intimité et aussitôt j'ai droit à la pénétration et au doigtage.
Cela se corse, un doigt s'introduit également dans mon anus et s'y agite.
Je caresse et tripote leurs sexes par dessus leurs pantalons dés qu'ils sont à portée de mes mains.
Excités ils ne tardent pas à mettre leur pénis érigés à l'air afin que je les caresse et masturbe pendant un petit moment.
Après cette mise en route, une fois qu'ils sont bien excités je me positionne à genoux et pendant que je masturbe deux queues je lèche la troisième puis la prend dans ma bouche.
Je fais une fellation en m'appliquant et le résultat ne se fait pas attendre bien longtemps, la verge tressaute dans ma bouche et envoie des jets de sperme dans ma gorge, j'avale le liquide.
Sans perdre de temps je passe à une deuxième queue et nouvelle fellation.
Je n'ai pas besoin de sucer longtemps avant que ma bouche ne soit de nouveau arrosée par du sperme.
J'applique le même traitement à la troisième verge tout en triturant les deux pénis en attente pour qu'ils ne perdent pas de leur vigueur.
Je n'ai pas de difficultés pour amener cette dernière queue jusqu'à l'éjaculation et de nouveau je bois la semence.
Une couverture sortie d'un placard est étalée sur le sol et je suis invitée à me coucher dessus ce que je fais sans discuter.
J'écarte les jambes quand Adrien se vautre sur moi puis je sens sa verge pénétrer dans ma chatte.
Il donne des coups de reins pour faire aller et venir son membre dans mon intimité pendant que ses deux collègues à genoux de chaque côté de moi m'embrassent et sans ménagement malaxent mes seins et triturent les tétons.
Après un petit moment le corps d'Adrien se raidit, sa queue s'agite dans ma chatte pendant qu'elle y déverse sa semence.
Il se relève, Jacques s'allonge sur moi et je dois l'aider à positionner sa verge à l'entrée de mon intimité.
Pesant de tout son poids il la fait coulisser dans ma grotte puis commence à remuer pendant que ma poitrine est toujours la cible des mains et des doigts de ses deux comparses.
Il ne lui faut pas énormément de temps avant de se laisser aller et sans chercher à se retenir il se soulage dans mon ventre.
C'est maintenant Arnaud qui s'allonge sur moi.
Il replie mes jambes et les relèvent de façon que mes genoux soient à hauteur de ma poitrine.
<<moi je préfère ton cul>>.
Sa queue se ballade entre mes fesses, il galère avant de la positionner correctement contre mon anus.
Il exerce une poussée et son pénis s'enfonce dans mon cul qu'il se met à défoncer d'abord doucement puis à coups de reins de plus en plus rapides et violents.
En même temps il parle à ses amis.
<<vous auriez dû essayer, c'est meilleur dans son cul>>.
Il s'active un moment cessant de remuer de temps en temps pour faire durer son plaisir puis je sens sa queue qui grossit encore avant de tressauter en moi et d'envoyer des giclées de sperme dans mon fondement.
Il se relève.
<<maintenant on va te faire goûter à nos légumes, tu es venue pour ça>>.
Pas idiote j'ai compris ou ils veulent en venir et de toutes façons je savais que je devrais en passer par là comme l'an dernier.
Une couverture roulée en boule est disposée sous mes fesses pour les surélever.
Mes jambes sont repliées et écartées.
<<tu vas pouvoir nous dire si nos légumes sont à ton goût>>.
Ils enfoncent quelque chose dans ma chatte puis aussi dans mon anus ou là ils ont plus de difficultés, ayant vu trop gros et doivent changer de taille pour l'objet qu'ils veulent introduire.
Ils parlent entre-eux et je sais que c'est une carotte et un concombre qui sont dans mon corps.
Pendant que des mains pétrissent mes seins et nt mes tétons les va-et-vient de ce qu'ils y ont introduit commencent dans mon intimité et mon cul.
Ils mettent un peu de temps avant de coordonner leurs gestes et les aller-retour de la carotte que l'un fait aller et venir dans ma chatte et qui tape au fond de mon vagin n'a pas la même cadence que le concombre qui me défonce le cul.
Ils me tripotent partout et des doigts n'épargnent pas non plus mon clitoris.
Comme ils s'activent de plus en plus vite le plaisir que je ressens monte de plus en plus rapidement dans mon ventre et mon bassin commence à bouger dans tous les sens.
Leurs genoux contre mes flancs limitent les déplacements de mon corps.
Les sensations sont de plus en plus fortes, je mouille beaucoup ce qui facilite les va-et-vient des légumes dans mes orifices.
Ils en arrivent à ce qu'ils recherchaient, mon corps se crispe, je suis agitée par des spasmes, j'ai un orgasme et de la cyprine s'échappe de mon vagin.
Ce qui m'arrive les excitent et ils redoublent d'ardeur me défonçant la chatte et le cul de plus en plus violemment.
ILs ne s'arrêtent que pour changer ce qui se trouve dans mes orifices et je goûte pendant un très long moment à la courgette, au poireau, au concombre et à la carotte au gré de leurs fantaisies.
Le plaisir ne faiblit pas dans mon ventre et devient de plus en plus rapidement insupportable, je jouis de nouveau une fois puis une deuxième fois.
Cele ne les empêche pas de continuer à s'acharner longtemps, amusés par les orgasmes qui continuent à secouer mon corps et qui sont de plus en plus rapprochés.
Les aller-retour dans ma chatte et mon cul ne s'arrêtent pas et la mouillure coule abondamment entre mes fesses.
Avec les nombreuses jouissances je suis de moins en moins lucide, par contre je deviens très bruyante avec mes gémissements et râles incessants.
Enfin ils en ont assez de me voir jouir mais ont encore des envies, ils libèrent ma chatte et mon cul des légumes qu'ils utilisaient pour me défoncer..
Un homme s'est couché sur le dos, je me mets sur lui les jambes de chaque côté de son corps et je fais pénétrer sa queue dans ma chatte puis je commence à donner des coups de reins.
Rapidement on stoppe mes mouvements pendant qu'un pénis glisse et butte entre mes fesses cherchant l'orifice encore disponible, avec une main je le positionne puis je le sens pénétrer puis coulisser dans mon anus.
Les mains accrochées à mes hanches c'est l'homme qui me sodomise à grands coups de reins qui imprime le rythme des aller-retour des verges dans mon corps.
De nouveau le plaisir que je ressens est intense, je mouille beaucoup et je gémis gardant les yeux clos.
Les moments de calme pour mon ventre c'est uniquement au moment ou ils échangent leur place pour que chacun des trois me possède dans chaque orifice.
Ils me défoncent la chatte et le cul sans y éjaculer.
Ils commentent à chaque fois qu'un orgasme m'emporte, la cyprine qui s'échappe de mon vagin arrose le ventre de celui qui est sous moi.
Enfin ils libèrent mes orifices des queues qui n'ont pas cessées d'y faire des va-et-vient, étant encore en forme excités par ce qu'ils me font subir, ils décident d'en finir.
Ils me positionnent à genoux et me sodomisent chacun leur tour, ils se plaignent que mon orifice est bien (trop) ouvert à cause des légumes qu'ils ont introduits dedans.
Chacun leur tour ils mettent du temps avant de se soulager dans mes boyaux.
Subissant je patiente sans bouger dans la position ou ils m'ont mise en attendant que les trois en finissent.
Enfin le dernier homme encore capable d'avoir une érection, après m'avoir défoncée pendant un bon moment, arrose mon cul de son sperme.
Ils remballent leurs sexe pendant que allongée je cherche à récupérer, je suis très fatiguée.
Adrien sort une bouteille et remplit des verres, je m'assois et bois l'alcool qu'il m'a servi en toussant.
Les compères me tendent mes vêtements que je commence à enfiler toujours assise.
Une fois rhabillée je vois sur le sol les légumes dont ils se sont servi: poireaux, courgettes, carottes et concombres.
Je sors de la cabane la démarche mal assurée.
D'autres jardiniers sont arrivés et ils me regardent passer dans l'allée le sourire aux lèvres.
Galants et satisfaits de ce qui s'est passé les trois hommes m'accompagnent et portent les sacs de légumes jusqu'à ma voiture puis les mettent dans le coffre.
<<reviens quand tu veux, il y en aura encore>>.
Certainement que je reviendrais même si je considère que le traitement qu'ils m'infligent est un peu dur à supporter.
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