Gilbert Me Craque La Craquette Et Plus...
Je mappelle Nathalie, jaurai bientôt 50 ans, jaime la vie et les surprises et je prends soin de ma personne, physiquement et mentalement. Jai la pêche et ça se voit, ça se sent. Je suis brune aux cheveux courts, jai des seins et fesses qui peuvent encore détourner le regard des gars
Parfois des filles aussi. Je suis en couple depuis une bonne douzaine dannées avec un compagnon auquel je ne peux pas reprocher grand-chose. Peut-être un peu dindifférence en ce moment
Et encore. Nous nous accordons bien en tout point. Nous vivons dans lharmonie, aussi avec des habitudes bien entendu.
Parmi celles-ci, et il trouve ça ridicule, je moblige chaque jour à descendre ma voiture dans le garage souterrain où nous détenons une case fermée. Vendredi dernier, moins pressée que dhabitude, une fois la voiture à labri, jentreprends de ranger un peu mon coffre et, tellement absorbée par mes activités et aussi faute dun éclairage suffisant, je nai pas vu venir à moi Gilbert, mon voisin de pallier, qui se glisse entre le véhicule et le mur du fond pour venir me saluer. Il ne manque jamais de senquérir de ma santé et de celle de mon homme dès quil maperçoit. Nous navons dailleurs jamais poussé plus loin notre fréquentation, je crois même que nous navons jamais pris un seul apéro ensemble.
Cest pourtant un charmant sexagénaire qui sentretient parfaitement. La silhouette sportive, il sort tous les jours pour un jogging dau moins une heure, et ce jour-là, à son accoutrement, je vois quil est sur le départ. Je me sens un peu cucul de laccueillir dans cette position improbable offrant au visiteur une paire de jambes dépassant dun coffre de voiture, mais ça na pas lair de contrarier Gilbert. Je me redresse pour laccueillir.
Gilbert me tend la main comme à laccoutumé et au moment de me la lâcher, je sens comme une retenue presque imperceptible, que je prends comme une invitation à me claquer la bise.
Lépaisseur de son short ne fait pas mystère dune belle poutre qui enfle le long de sa jambe et comprime maintenant la mienne. Gilbert se met à me peloter, plutôt maladroitement à travers mes vêtements et sans réfléchir, comme si laffaire était entendue, pour le mettre à laise jenlève la veste de mon ensemble, ouvre le chemisier et dégrafe prestement le soutien-gorge. Gilbert plonge sur mes seins comme un essaim dabeilles sur un pot de confiture. Il butine, il lèche, il tète, une main posée sur mes reins et lautre cherchant à remonter ma jupe légère. Que ses mains sont douces ! Dans la pénombre du fond du garage, nul ne peut nous apercevoir et de toute manière, à cette heure-ci, les voisins sont tous devant le journal de France 3.
- Nous avons peu de temps, ma femme peut descendre dun instant à lautre, me susurre Gilbert.
Je ne comprends pas ce qui marrive. Moi qui ne décolle jamais sans avoir fourragé dans le slip du gars, étiré son dard, titillé son gland et malaxé ses couilles, je ny songe même pas ! Dans létat où il ma mise, je ne prends même pas la peine de répondre à sa mise en garde, je descends mon string, remonte largement ma jupe et comme une grosse salope, me glisse à quatre pattes la tête dans le coffre, les bras sur la banquette arrière. Supposant ma croupe bien offerte à la saillie, jai la chatte en ébullition.
Quil me prenne et quon nen parle plus !
Jimaginais Gilbert galant homme, mais bien au contraire, cest sans ambage que, les mains accrochées au haillon, Gilbert claque deux ou trois fois mes fesses de son membre pour en valider la fermeté et il membroche dun seul coup de reins. Quelle précision ! Ça fait drôle, il ne me tient pas les hanches, je suis pilonnée sans contact avec lofficiant. Cest troublant et excitant à la fois. Son souffle est posé et régulier et il pilonne au fond, en expert. Je nentends que le bruit grossier de succion de mon vagin qui distille sa mouille comme jamais et le claquement en cadence de ses cuisses sur les miennes. Cette absence de retenue dans la poussée fait que je boule la tête dans le dossier du siège arrière et quil mappartient danticiper chaque assaut de létalon pour ne pas trop morfler. Il me ramone admirablement en variant à loisir le tempo. Jaime ça. Cest attentionné, cest soigné, cest bon. Malgré mon excitation et ma forte envie de ce mâle impromptu, je narrive pas à jouir, jattends autre chose. Intuitivement, je pense quil est dans une phase de préparation, quil a un projet pas trop catholique. Mais au diable la religion et ses interdits, je sens mon anus frémir et se dilater, se relâcher. Gilbert le sait, son pouce explore déjà létamine de ma rose, y étalant la rosée de ma foufoune.
Au bout dun bon quart dheure de cette séance de foulage, dun seul coup dun seul, sans préavis, Gilbert passe de la chatte au trou de balle sans rompre le rythme, avec une précision de sniper.
Me voilà bizarrement prise dune envie duriner, mais je ne veux pas mettre brutalement un terme à cette première rencontre. Je sens bien quil ne faudra pas deux heures à Gilbert pour me faire grimper aux rideaux et en même temps menvoyer sa giclée de jute. Cest incroyable cette endurance. Il ne dit rien, Gilbert baise comme un ouvrier studieux usine avec précision sa pièce sur létabli. Cette double pénétration me fait monter la fièvre avec une tension inhabituelle, je sens que je vais partir et cest là que Gilbert dégage son pouce de mon vagin, matt par les hanches et senfourne au plus profond de mes intestins.
À ce moment précis, le vide de ma chatte fait que je me relâche et je jouis dune manière jusqualors inconnue. Mon bas-ventre se vide dune liqueur abondante sur la moquette du coffre, le pare-chocs et les « Running-shoes » de Gilbert. Plus le baudet me défonce et plus ça gicle. Je nen vois pas la fin. Chaque pression dans mon cul accentue mon orgasme, je mords le dossier pour éviter de hurler comme une dingue. Gilbert manuvre jusquà lépuisement complet de ma jouissance. À lécoute de mon dernier râle de plaisir, il lance une ultime profonde estocade et me remplit les tripes de son foutre bouillant.
En le voyant à travers le pare-brise avant, déclencher son chrono, je ne peux pas mempêcher dimaginer quil ne va pas réaliser son meilleur temps de la semaine sur les prochains kilomètres et que ce soir, ce sera tintin. Rien du tout pour sa douce.
Affalée dans la flaque de mes liqueurs, en état de sidération, je reprends mon souffle, étonnée par cet ouragan de sensations qui vient de sabattre sur moi en si peu de temps. Je me souviens alors de la première impression que javais exprimée sur Gilbert lors de mon emménagement, il y a quelques années : « Il me paraît très bizarre ce gars, il ne doit pas faire les choses comme tout le monde. »
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