Domination De Couple - Épisode 2 - Le Brunch

Domination de couple - Épisode 2 - Le brunch

Je me réveillais lentement dans mon lit. Pauline dormait encore sur mon torse en ronronnant doucement. De la lumière passait entre les rideaux, ce qui indiquait que la journée était déjà bien entamée. Je bâillais et me remémorais la soirée de la veille : la découverte de Léa à mon retour du travail, l’apéro, le jeu, le défi, la récompense/punition… la fin de soirée s’était déroulée comme dans un songe. Léa nous avait détaché, l’un puis l’autre. On avait pris un dernier verre dans nos tenues respectives, un peu gêné. Léa s’apprêtait à prendre le bus pour rentrer chez elle mais nous avions insisté pour qu’elle prenne le canapé convertible. Et on était allé se coucher. Et je me réveillais.

Je sentis le regard de pauline sur moi. Elle venait de se réveiller et m’observais :

- « Bonjour mon cœur » je lui dit pour entamer la conversation.
- « Bonjour… tu as bien dormi ?
- Je me suis écroulé et j’ai dormi comme un bébé… toi ?
- Oui moi aussi… »

Je la sentais gênée, mal à l’aise.

- « … tu regrettes hier soir ? » autant être directe avec elle, sinon on pouvait tourner autour du pot pendant des jours.

Elle tiqua, me fixa dans les yeux quelques secondes avant de détourner le regard.

- « Oui. Non. Je sais pas… C’était hyper bizarre non ? Moi j’ai un peu honte… Je sais plus comment me comporter avec elle maintenant, c’est trop bizarre ! »

Elle prenait le contrecoup en direct. J’essayais de calmer les choses :

- « Tu sais elle était aussi saoule que nous. Donc si tu trouves ça trop gênant on peut juste se dire que c’était l’alcool et ne jamais en reparler. Je ne pense pas que ça a définitivement entaché ta relation avec elle, au contraire. »

Elle semblait un peu rassurée mais pas convaincue. Je relançais.

- « C’était juste un jeu, un soir. Ça n’a pas de conséquence grave vis-à-vis de notre couple, pas de conséquence grave vis-à-vis de ta relation avec ton amie… donc dans le fond ou est le problème ? »

La gêne semblait peu à peu se dissiper.

On finit par se lever pour aller prendre le petit-déjeuner.

En arrivant dans le salon, nous découvrons le festin qui nous attends : Léa avait passé la matinée à préparer des œufs brouillés, du bacon, une salade de fruits, des jus de fruits pressés, des tartinades… etc… le parfait brunch !
Elle attendait à côté, l’air un peu gênée, que nous nous installions.

Après l’avoir vivement félicité, on s’assoie pour se jeter sur le repas : après la soirée de la veille, je pense que nous avions tous terriblement faim.

- « Du coup, à propos d’hier… » Pauline rentra direct dans le vif du sujet.
- « Je suis désolé de la tournure que ça a pris » se jette tout de suite Léa, « on a commencé à parler, puis à joué… ça a dérapé, ça m’a complètement échappé et je suis désolé… je veux pas qu’on soit gêné ou qu’on se perde de vue à cause de ça. Je veux pas me glisser entre vous tu le sais… »

Elle avait l’air réellement mal. J’étais un peu gêné, je l’avais vue jusque-là comme une personne manipulatrice qui jouait avec nous deux (pour me plus grand plaisir, mais ce n’est pas le sujet), mais là elle avait l’air réellement mal à l’aise vis-à-vis de sa meilleure amie.

- « T’inquiète pas ! » s’empressa de lui répondre Pauline, « c’est rien de grave… et puis soyons honnête, je pense qu’on a tous carrément apprécié donc ce n’est pas la peine de se prendre la tête ! Pour ce qui est de s’immiscer entre nous, je ne sais pas pour toi Fabrice mais je l’ai pas du tout vécu comme ça. A aucun moment je n’ai été mal à l’aise pour être honnête… à part ce matin au réveil. Mais dans le fond c’est de la gêne et de la pudeur, mais ça ne change rien au fait que je en regrette absolument pas ! »

Au fur à mesure de sa tirade, on pouvait la sentir de plus en plus convaincue.

- « Même chose pour moi » je renchéris, « t’as pas à être gênée ou avoir honte, tu nous a rien imposé. Au contraire, c’est nous qui avons réclamé…
- Oui enfin c’est pas comme si je m’étais fait supplié non plus !
- Bin voilà tout le monde est content alors ! » clôture Pauline avec le sourire.


Et on reprend le petit déjeuner, détendu d’avoir crevé l’abcès. Je finis quand même par rejeter un pavé dans la marre :

- « Enfin tout le monde est content, tout le monde est content… c’est vite dit ça, j’ai été floué moi ! »

Pauline pouffe, échange un regard avec Léa et rougit.

- « Carrément, je peux te confirmer que tu as loupé un truc » renchérit Léa.
- « J’y peux rien j’ai gagné le concours moi !
- Bin moi, je dis qu’il y a tricherie !
- Tu es en train de réclamé réparation ou je rêve ? » me reproche pauline, joueuse.
- « Parfaitement, j’exige réparation ! »

Pauline regarde Léa. Qui la regarde en retour. Puis elles se tournent toutes les deux vers moi.

- « OK » me répond juste Pauline.

Ok quoi ? C’est-à-dire ?
Mais elles se remettent à manger comme si de rien était.
Après le repas, je laisse les filles dans le salon pour aller prendre une douche. J’essaye d’en profiter pour me vider l’esprit mais c’est peine perdu. La nuit dernière sera-t-elle un évènement isolé ? Au contraire, est-ce qu’elles voulaient toutes les deux aller plus loin ? Si oui, quand, à quel rythme, jusqu’où ? Ces questions tournaient encore dans ma tête quand j’étais en train de me sécher les cheveux.

Lorsque je sortis de la salle de bain, ma serviette autour de la taille, Pauline m’appela pour les rejoindre dans le salon.

- « Attends, je m’habille et j’arrive.
- Viens tout de suite je te dis ! »

J’entrais dans le salon la serviette autour de la taille, pas sur de ce que j’allais trouver, et ma bouche s’ouvrit en grand :

Pauline portait une jupe en jean, des escarpins et un corset en cuir noir qu’elle n’avait pas porté depuis des années. Dans sa main, une cravache de son époque « équitation ». Léa, quant à elle, avait emprunté un pantalon en cuir noir à Pauline et avait enlevé son haut pour rester en soutien-gorge. Bien sûr, son éternelle tresse pendait entre ses seins.


- « Enlève ta serviette et vient t’agenouiller devant nous ! »

L’ordre de Léa claqua comme un coup de fouet. Je n’hésitais pas une seconde avant de m’exécuter. Pauline, essayait de prendre un air autoritaire, mais qui semblait un peu sur son visage. On sentait qu’elle jouait le rôle décidé par Léa, mais dans l’ensemble elle n’avait pas l’air mal à l’aise avec ça du tout !

Pauline prit à son tour la parole :

- « Bon, il semblerait qu’en définitive on apprécie tous ce petit jeu, alcool et soirée ou pas. Il semblerait aussi que Monsieur s’est senti délaissé et a choisi de jouer la victime alors qu’il a eu droit à la pipe de sa vie. »

Pas faux.

- « Il se trouve aussi que Môssieur, qui je le rappelle joue la victime, est celui qui semblait très intéressé à la base pour jouer à ces jeux de domination mais aussi et surtout de soumission. Ce qu’il a eu l’occasion d’expérimenter hier, mais dont il se plains aujourd’hui. »

Toujours pas faux. C’est ma fête. Ou juste une introduction à la suite ?

- « Donc puisque Môôôssieur la victime se sent délaissé, nous avons décidé de se concentrer sur lui aujourd’hui… En se concentrant sur mon éducation. »

Hein ?

- « Léa m’a gentiment offert de continuer à jouer aujourd’hui pour t’apprendre les conséquences de te plaindre comme ça… Ou plutôt pour m’apprendre à t’apprendre. Donc aujourd’hui, c’est moi son élève. Une élève domina. C’est bien ça qu’on dit, « domina » ?
- Oui, tu t’en sors très bien » lui répond Léa avec un clin d’œil.
- « Voilà, aujourd’hui je suis une apprentie domina. Et toi tu es mon élève. Et tu vas morfler » me dit-elle avec un petit clin d’œil à son tour. « A 4 pattes, dans la chambre ! »

J’obtempérais, bien trop content de la direction que prenait ma journée. Sur le trajet, je senti la cravache claqué quelques fois sur mon cul mais rien de bien méchant. Plus pour montrer qui était le patron qu’une réelle punition.
Je sentais qu’elle ne maitrisait pas l’engin, mais elle était quand même diablement sexy à jouer avec ça. Léa suivait derrière et referma la porte de la chambre. Elle s’installa dans un fauteuil dans le coin de la chambre, en observatrice.

- « Allonges-toi sur le lit, sur le dos » m’ordonne Pauline, qui jetait quand même des regards en coins dans la direction de sa maitresse pour s’assurer que ça lui convenait.
Elle partit fouiller dans son placard et revint avec des foulards. Elle les posa sur le lit mais Léa choisit d’intervenir.

- « Il a déjà eu les foulards hier… Tu m’avais pas dit que vous aviez de la corde ? »

Pauline sortie donc de la pièce et revins avec des cordes et cordelettes d’escalades. Elles s’attelèrent à 2 à mon ligotage, sous les directives de Léa bien évidemment : poignets attachés ensemble et tendus au-dessus de ma tête, une corde autour des genoux attachées aux coins de la tête de lits et jambes ligotées en position repliées. J’étais complètement immobilisé, les jambes relevées, mon anus et mon sexe tous deux bien visibles et accessibles.

Je m’étais déjà retrouvé nu face à chacune d’entre elles mais paradoxalement, je me sentais beaucoup plus exposé dans l’immédiat.

- « Alors, il est content qu’on s’occupe plus de lui ? » Léa en profitait, semblait-il, pour se foutre un peu de ma gueule. Pauline pouffa. Au moins l’atmosphère était très détendue.

Elles étaient toutes les deux au bord du lit, à mon chevet. La maitresse en chef chuchotait à l’oreille de son apprentie qui écoutait attentivement… mais passait son temps à la couper : « Ah bon, tu es sûre ? » … « Ok, si tu le dis… » … « Tu penses vraiment qu’il va aimer ça toi ? »

Et j’attendais à côté, pas sur de la sauce à laquelle j’allais être mangé mais certain que parler dans l’immédiat n’améliorerait pas ma situation.

Léa finit par prendre la parole :

- « Bon Fab’, aujourd’hui pas de safeword. Si tu dis non, c’est non, si tu dis stop, on arrête… OK ? »

Je hochais la tête, Pauline me regardait avec un peu d’appréhension dans le regard. Je lui envoyais un sourire qui se voulait rassurant. Elle me le rendit, puis reprit un air sérieux qui semblait de plus en plus naturel. Elle releva sa jupe et vint s’installer un genou de chaque côté de ma tête. J’avais vu sur son intimité mais impossible de l’atteindre. Je voyais sa tête, penchée sur moi qui me regardait.

- « Lèches moi tout doucement. Si je ne suis pas satisfaite, je te punis. Si je t’entends te plaindre, je te punis. Si tu ne me fais pas jouir rapidement, je te punis. Si j’ai envie de le faire, je te punis. »

Elle me lança un sourire sadique et s’assis sur mon visage.

J’avais le nez collé contre elle, mes lèvres sur les siennes et ma langue dans son vagin. J’avais du mal à reprendre ma respiration, à chaque inspiration elle ajustait sa position pour rendre la suivante plus difficile. Je l’entendais gémir, de plus en plus fort, en m’encourageant.
Lorsque je me mis à me débattre, elle se releva avec un air de doute sur le visage. Je reprenais ma respiration sous son air apeuré, mais Léa vint lui chuchoter quelque chose à l’oreille qui sembla la rassurer et elle reprit sa position à califourchon sur mon visage. Elle se frottait, m’empoignait les cheveux pour me plaquer le plus possible entre ses cuisses, ma langue toujours tendue qui glissait contre son clitoris, ses lèvres, dans son vagin, son périnée, son cul, dans un mélange brouillon qui semblait lui donner beaucoup de plaisir. Lorsque je la sentis au bord de la jouissance, je me mis à donner de grands coups de langue pour la faire basculer. C’est à ce moment-là que j’ai entendu la cravache claquer et un feulement de Pauline. Elle se releva et je vis Léa, la cravache à la main et Pauline qui lui jetait un regard noir. Auquel sa maitresse répondait avec une indifférence manifeste.

- « Qu’est ce qu’on a dit sur le fait de jouir trop vite ? Tu as un orgasme, l’excitation redescend et tu ne profites pas de lui… non, c’est trop tôt » Lui expliquait patiemment Léa.

Pauline me regarda, mon visage souillé par son manège, puis Léa, et se releva en soupirant. Léa vint lui caresser le visage, que son élève a instinctivement baissé lorsque notre maitresse s’est approchée d’elle.

- « Ne t’inquiète pas mon chou, tu vas en avoir un comme tu en as rarement eu d’orgasme… Mais d’abord, tu vas t’occuper de lui ! »

Je haletais, encore sous le choc de mon cunnilingus . Elles étaient au bord du lit et choisissaient parmi une somme d’objet que Léa avait collecté dans l’appartement pendant que je m’occupais de madame. Il y avait pêle-mêle un petit vibro que je devinais être le sien (en tout cas, il n’était pas à Pauline), le rabbit de Pauline (un package reçu à un EVJF), du lubrifiant, une brosse et des élastiques à cheveux, de la cordelette de cuisine, des foulards, des pinces à linge, des glaçons, des bougies… Elle avait ratissé large.

Lorsqu’elle croisa mon regard, Léa chuchota quelque chose à l’oreille de Pauline qui acquiesça.

- « Tu as bien raison, je crois qu’il en voit bien trop comme ça ! »

Elle s’approcha avec un foulard et me banda les yeux. Je me mis à ronchonner pour la forme, mais fut converti en couinement mi-surprise mi-douleur par un coup de cravache expertement placé sur mon périnée.

- « Désolé Pauline, je sais que c’est ton soumis et que tu as les manettes mais il recommençait à se plaindre…
- Tu as bien fait, tu sais au point où on en est je vais pas m’offusquer si tu participes ! »

Petite seconde de flottement avant que Pauline se lance :

- « Bon, on fait quoi maintenant ? »

Très bonne question ça.

- « J’ai une petite idée… mais je pense que ce sera plus sympa s’il ne peut pas s’y attendre… »

Elle est toujours aussi marrante la Léa, avec mes yeux bandés elle croit que je vais m’y attendre comment, en émettant des ultrasons ?

Je n’étais pourtant pas loin de la vérité puisque je senti soudain un casque audio plaqué sur mes oreilles. Je fus immédiatement isolé dans un monde musical agréable, mais pas si rassurant vu la situation. Je sentis ensuite un string et un shorty odorant se faire enfoncer dans ma bouche et bouclé avec un foulard. J’étais complètement déconnecté.

Je sentis deux mains jouer avec moi. Me caresser le sexe du bout des doigts, les bourses, le périnée. Du bout des ongles, du bout de la langue, des baisers, des caresses… c’était exquis. En me concentrant, je finis par réaliser que c’était impossible qu’il n’y ai qu’une seule personne qui s’y attelle. Trop de mains, trop de lèvres, trop de langues en simultané. Je ressentais des sensations agréables partout… mes tétons, mon cou, mon sexe, même au niveau de mon anus. De petites caresses, coup de langue (probablement Léa, ce n’était clairement pas le genre de Pauline !).

Puis soudain, tout s’arrêta. Plus aucun contact.

Et clac ! un premier coup sur mon cul. Qui me fit couiner, mais plus pour la forme. Puis deux pincements sur les tétons. Et un deuxième coup, bien localisé sur mon périnée. Et troisième, ma fesse gauche. Un quatrième bien diffue sur la fesse droite en même temps que le précédent : l’une devait être à la cravache, l’autre me fessait avec une brosse à cheveux.
Elles continuèrent pendant bien 5min. mon cul chauffait, mais aussi mes cuisses, mes bourses, mon périnée, mes tétons… ça me lançait partout. Puis tout s’arrêta à nouveau. Et elles reprirent le rythme précédent : lèches, caresses, baisés, partout. Je sentis même un doigt froid de lubrifiant s’inviter dans mon fondement tout doucement pour me caresser de l’intérieur.

Je perdis la notion du temps, mais c’était divin. J’avais bien évidemment une érection de folie, mais elles n’y touchaient pas plus que ça : elles y déposaient un baisé, ou une caresse discrète, mais faisait bien attention à ne pas fournir la moindre attention qui pourrait me faire basculer.

Et à nouveau, tout s’arrêta.

J’attendais de nouveaux coups, de nouveaux pincements mais rien ne venait… jusqu’à cette sensation simultanée de chaud sur mes cuisses et de froid sur mes tétons : elles jouaient avec les glaçons et la cire.
La cire en question était une cire de massage qui brulait à basse température. J’avais donc une sourde sensation de chaleur, puis je sentais les mains se promener pour huiler mon corps.
Par contre lorsqu’elle atteint mon cul, elle semblait bien chaude la cire. Je grognais dans mon bâillon, avant de sentir un glaçon venir contracter mon anneau. Elles étaient extrêmement bien synchronisées !

Une fois la cire étalée sur tout mon corps, même sur mes pieds, les glaçons fondus, j’étais plutôt relaxé. Ce qui n’était pas vraiment bon signe.

A nouveau, nous étions dans une phase d’attente. Pas de caresses, mais pas de .

Après 5min de ce traitement, je sentis des mains (je reconnu celles de Pauline) m’attr le pénis sans ménagement et le tendre bien droit. Je sentis alors 2 autres mains faire passer de la cordelette et l’attacher autour de mes bourses. Puis, un objet dur fut collé le long de mon sexe et attacher avec de la ficelle. Je sentis du gel lubrifiant appliqué sur mon cul, et un objet cylindrique fut inséré lentement, mais fermement jusqu’à me remplir.

Puis plus rien.

Je sentis soudain la musique s’éloigner alors que la pression du casque sur mes oreilles diminuait. Suivi de la voix de Pauline, tout doucement au creux de mon oreille :

- « On arrive à court de jouet et ça a l’air de te plaire… on va prendre ta voiture et aller faire des emplettes » avant de jouer avec sa langue dans mon oreille. Je gémissais dans mon bâillon.

J’entendis sur le même ton dans l’autre oreille, pendant que l’oreille n°1 était fouillée par la langue de ma compagne :

- « Il semble évident que si tu jouis en notre absence, tu seras puni de manière exemplaire » et la langue de Léa vint faire le même jeu.

Je gémissais doublement de plaisir dans mon bâillon, pendant qu’elles jouaient avec leurs langues.

Puis tout s’arrêta, je retrouvai mon casque sur les oreilles. Quelques secondes plus tard, la musique fut remplacée par des gémissements de femme bâillonnée : j’avais l’audio d’un porno SM dans les oreilles. Encore quelques secondes plus tard, mon sexe se mit à vibrer : elle m’avait attaché un vibromasseur contre le gland.

Puis plus rien…

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