Table De Sapin 8
Il était pile 19H00 quand jai poussé la porte de chez ma coiffeuse. Une heure tardive me direz-vous pour aller se faire couper les cheveux. Cétait de lavis même de ma femme. Qui trouver ça très louche. Au point que ce jour là je lui avais caché lheure auquel je devais me rendre dans le salon. La coiffeuse au doux nom de Janine mattendait derrière son comptoir.
Une quinquagénaire qui gagnait en beauté au fil des années. Je savais que tous les sourires qui dessinées ses lèvres nétaient pas seulement pour mes beaux yeux. Au point de mobséder, au fil de mes rendez-vous. Soit une fois par mois, et cela depuis six ans pour être précis. Mais sans jamais pour ça passer à lacte. Pourquoi ? Je ne serais vous le dire.
Pourtant il mest arrivé quand nous étions en tête à tête, de mamuser à la complimenter sur sa tenue, sur sa coiffure. Des fois même, je poussais le vice un peu plus loin. Lui racontant des histoires cochonnes. Et chaque fois elle gloussait, tout en rougissant.
Après le shampoing, je suis passé sur le fauteuil de coupe.
- Je coupe comme dhabitude ? Me fit-elle, en me fixant dans le reflet du miroir, tout en peignant mes cheveux mouillés.
- Oui. Merci Janine.
- Dernièrement jai vue ta belle-mère. Fit-elle en donnant les premiers coups de ciseaux. Elle ma proposé que je passe chez elle cueillir des mirabelles.
- Ah oui ! Les deux arbres en sont pleins.
- Je vais peut-être profiter dêtre seule ce soir pour passer chez elle.
- Tu vas te casser le nez à la porte, ma chère Janine.
- Comment ça ? Répliqua-t-elle, avec une mine détonner.
- Tu nes pas au courant. Ils sont dans le midi en ce moment.
- Depuis quand ? Demanda-t-elle, avec un haussement de sourcil nettement ironique.
- Depuis maintenant trois jours.
- Cest fou ça, elle na même pas pris la peine de me mettre au courant quand elle est venue faire sa permanente.
- Tu es en vacance ?
- Oui. Tu es mon dernier client.
- Et bien dit-moi, ça sarrose.
- Oh ! Si tu veux. Répliqua-t-elle, en se mettant à rire.
- Dis-moi, fis-je, tu tiens réellement à cueillir tes mirabelles ?
- Oui jaurai bien aimé. Mais bon ! Jattendrais son retour.
- A moins que tu fasses le mur.
- Que je chevauche le mur ! Tu te fou de moi. Ce nest plus de mon âge
- Peut-être pas le mur trop haut pour toi, mais le portail. Cest dans tes cordes. Un mètre cinquante ce nest rien pour une femme aussi agile que toi.
- Fous-toi de moi ! Si je me rappelle bien, cest vrai quil nest pas très haut. Il est en bois, non, je ne me trompe pas ?
- Oui parfaitement. En rondins.
- Enfin entre nous. Si je dois chevaucher quelque chose ne sest sûrement pas un portail en rondin. Crois-moi ! Un sourire doucereux distendait ses lèvres.
- Ah oui ! Et je peux savoir quelle chose tu aimerais
Chevaucher ? Un cheval ?
- Idiot ! Tu ne devines pas ? As-tu besoin que je te fasse un dessin. Me fit-elle en riant. Dun rire très coquin.
- Pourquoi pas. Fis-je. Jai un cerveau très lent ces derniers temps.
Elle a haussé légèrement les épaules
- Tai sérieux là ? Tu veux vraiment que je te le dessine
- Jai lair de quelquun qui plaisante.
Gardant difficilement mon sérieux. Elle eut un léger sursaut du buste.
- Bon, si tu insistes. Répondit-elle.
Elle a posé son ciseaux et le peigne sur la desserte, avant de se diriger jusquà la caisse. Elle y prit un stylo, une feuille quelle a hachuré avant de le porter jusquà mes yeux. Elle avait grossièrement représenté un sexe dhomme.
- Tu es content, là ? Tu as pigé ? Fit-elle en se remettant au travail.
- Tu as représenté là le trois pièces de ton mari ?
Ma question désinvolte lui en fit tomber les ciseaux des doigts.
- Je ne serais te le dire mon brave ami. Cela fait si longtemps que je nai pas eu la joie de le voir sexhiber devant mes yeux. Pour être franche avec toi, jen es même perdu sa constitution.
Sur ces mots, elle sest aussitôt penchée pour le récupérer. Jai profité de sa pose pour jeter un coup dil rapide à lintérieur de son décolleté généreux. Jy ai découvert un soutien-gorge en dentelle vert bouteille, qui laissait à nu une bonne moitié de sa poitrine ferme et généreuse. Jai sentis quil flottait dans ce salon, à cet instant, comme un parfum de sexe. Et cela tomber parfaitement bien. Javais comme une grande envie de foutre.
- Si cela peut tintéresser je possède les clefs de chez Colette dans la boite à gant de ma voiture. Fis-je alors quelle se redressé.
- Cela ne tennui pas.
- Pas du tout. Je ne suis pas attendu avant 22H00 à la maison.
- Pour ma part, je suis encore pour quelques heures célibataires. Mon mari et ma fille ne rentrant pas avant demain soir. Fit-elle, lair abattue.
- Je ne te sens pas heureuse de leur retour.
- Ma fille oui. Mon mari un peu moins. Mais tout ça, ce nest quune question dhabitude.
- Si jai bien compris, pendant tous ses jours tu étais
Célibataire ? Libre de faire ce que tu voulais.
- Oui ! Tu peux croire ça. Mais ce nest pas pour cela que jen ai profité. Je suis même restée de mon propre avis, très sage. Trop sage même
Elle se tut, le visage pourpre. Un coup de sèche cheveux plus tard, il était temps pour moi de passer à la caisse. Jen avais pas pour autant fini avec elle.
- Alors pour ses mirabelles ? Fis-je.
- Je suis daccords, surtout que jai promis à Amandine (sa fille), de faire de la confiture.
- Bon, jy vais tu me rejoins.
- En fait comme ça.
- Pas dans deux heures.
- Non
non, je fais ma caisse et jarrive, je laisserais le ménage pour mon retour.
Elle sétait tout de même fait attendre une bonne demi-heure. À son arrivée, nous nous sommes mis tout de suite à la cueillette. Alors quelle sest occupée des fruits à porter de ses mains, jai grimpé pour ma part dans larbre. Durant tout le temps qua duré la cueillette, je me suis autorisé à admirer sa poitrine. Je me suis dis quil était impossible quelle ne se rende pas compte de la vision quelle moffrait.
- Bon je crois que jen es assez là. Me fit-elle.
Je nétais pas mécontent de marrêter là. La cueillette sa va un temps !
- Je te propose de prendre un verre ? Lui proposais-je, une fois poser mes pieds sur le plancher des vaches.
- Ici ? Chez tes beaux-parents ? Répondit-elle.
- Oui
Où veux-tu ailleurs. On nest pas bien ici ?
- Oui, bien sûr.
- Tu préfères à lintérieur où sur la terrasse ?
- Jnaime pas les mouches, me fit-elle.
- Alors allons à lintérieur.
À peine franchis la porte de lentrée, je me suis occupé du service.
- Quil fait chaud ! Dit-elle.
- Cest toi qui a voulu quand ce mette à lintérieur.
- Oui, et je persiste, les mouches. Par contre cela te dérange que je me mêtes à mon aise ?
- Fais donc. Répondais-je en quittant la pièce pour aller chercher une bouteille de cidre dans la cave. À mon retour je lai trouvé près de la cheminée en soutien-gorge.
- Et bien, en voilà une tenue.
- Cela te dérange ? Je peux remettre ma veste.
- Non, non, au contraire, jadore. Et que dire des deux petits buissons que tu as sous les bras.
- Tu me fais honte, là ! Pour une coiffeuse, ça la fou mal !
- Une espèce de jachère féminine, non ?
- Je me suis entendu dire que tu aimais les poils. Cest vrai ou cest faux ?
- Oui parfaitement, ton informatrice tas bien renseigner.
- Vas savoir ! Peut-être que oui, peut-être que non
fit-elle en riant bêtement.
Je me suis alors approché, à la toucher.
- Jen meurs denvie dy plonger mon nez. Fis-je en lui désignant du doigt son aisselle. Je peux ?
- A ta guise ?
Et jai posé mon nez au-dessus de son aisselle buissonneux. Humant bruyamment ce qui sen dégagé. Elle a patienté que je me redresse pour enfin me questionner :
- Alors ? Conclusion ? Me fit-elle.
- Quun mot
- Oui ! Lequel ?
- Excitant. Le pied
Elle ma regardé, dun regard gourmand.
- Tu sais. Me chuchota-t-elle dune voix si basse que javais limpression davoir la tête dans du coton. Là aussi, jai du poil
! Mindiquant de lindex le centre de son corps.
Jai cru dans un premier temps, quelle plaisantait.
- On parle bien de la même chose, là ?
- Bien sûr ! Enfin je crois. Répondit-elle.
- De ta chatte
- Alors nous parlons de la même chose.
- Minvites-tu là à faire connaissance avec elle ?
- Pourquoi pas, si le cur den dit ! Fit-elle. Dun ton qui ne souffrait pas que je refuse.
Elle a agrippé le bas de sa jupe et la rabattue au-dessus de ses reins. Battant des paupières, tout en rougissant comme une collégienne. En dessous elle portait un slip de couleur vert assortie au soutien-gorge.
- Alors
quattends-tu ? Tu ne vois donc pas que jai les mains occupées.
Je me suis approché, alors quelle prenait appuie sur la table de sapin. Jai passé mes pouces dans lélastique de la ceinture et lai tiré vers le bas. Elle a gesticulé pour maider à lui ôter. Jai eu du mal à croire ce que javais devant mes yeux. Un vrai manteau de poils. Il men fallait pas plus pour bander dur. Je me suis agenouillé, collant le nez dans les poils odorants. À laide de ma langue, jai exploré ses nymphes. La fourrant linstant daprès dans la chatte doù se dégageait une odeur puissante. La titillant dans un premier temps avant de la pourlécher avec ardeur. Écartant les grandes lèvres de mes pouces pour mieux fouiller lorifice. Buvant le jus qui sen échappé. Jai levé mon regard vers ma coiffeuse pour voir quelle avait les yeux clos, le souffle court. Savourant ma caresse buccale. Son sexe sest dilaté. Coulait de plus belle. Ma séance a duré de longues minutes, au terme desquelles elle a poussé plusieurs hurlements saccadés.
Puis jai enfoncé un doigt dans son vagin et un autre dans son anus, avant de happer son bourgeon entre les lèvres et je lai suçoté. Surprise par le plaisir qui la saisissait, elle ma plaqué le visage entre ses cuisses, tout en gémissant, alors que mes doigts bougeaient en elle à un rythme accéléré. La faisant chavirer. Une coulée de mouille emplit ma bouche.
Puis elle a ouvert les yeux. Me regardant comme si elle me découvrait pour la première fois.
- Que cétait bon, me gratifia-t-elle, en tirant sur mes cheveux pour que je me redresse.
Elle a gloussé bêtement en constatant la bosse qui déformait mon pantalon. Dune main fébrile, elle a fait coulisser la fermeture Eclair de ma braguette. Sous mon pantalon je ne portais pas mis de slip. Sitôt libéré, mon sexe a jaillit à lhorizontale, noueux, palpitant, fièrement pointé vers Janine.
Puis avant que jaie eu le temps de prendre la moindre initiative, elle me fit basculer sur la table en sapin et elle sest installée sur moi. Sempalant avidement sur mon morceau dhomme. Se retenant de lautre main à mon épaule pour descendre et remonter plus en souplesse. Jai eu limpression de plonger dans un anneau de muscles extraordinaires. Tant le sexe de Janine savait souvrir et se refermer à volonté.
Tout cela a duré un long moment. Tant ma coiffeuse était une experte en la matière. La reine des salopes. Cest seulement quand je sentis que je ne pourrais plus tenir que jai accéléré mes coups de reins, pour une plus grande jouissance. Exactement au moment où il le fallait. Elle fut pour sa part, comme saisie de convulsions. Sa bouche sest ouverte sur un long cri. Puis elle sest immobilisée. Paraissant sêtre endormie à califourchon sur moi.
Quand elle a reprit ses esprits, ce fut pour me demander de ne surtout rien dire à personne. Et encore moins à Colette. Que cela allé du sauvetage de son mariage.
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