Domination De Couple - Épisode 3 - Les Deux Maitresses
Domination de couple - Épisode 3 - Les deux maitresses
Je perdis rapidement la notion du temps. Cétait un thème récurrent dans nos jeux SM semblerait-il. Laudio dans mes oreilles variait entre cri de jouissance et gémissement de douleur... Et avec ma bouche bâillonnée avec les sous-vêtements de mes tortionnaires et mes yeux bandés, je ne pouvais que me concentrer le vibro qui sagitait contre mon gland.
Malgré lavertissement de Léa, je fus très rapidement pris dun orgasme impossible à retenir. Un orgasme de vibro, qui monte très très lentement mais impossible à retenir. Dans la jouissance, jen fis même tomber mon plug improvisé. Ça aussi jallais le payer.
Je me rendis encore plus compte de mon erreur par la suite puisque les vibrations continuaient inexorablement contre mon gland qui venait déjaculer. Javais beau me débattre, essayer de le faire basculer, il était solidement attaché. Après quelques minutes de , je recommençais à profiter de la sensation. Mon plug me manquait à ce moment-là.
Puis un nouvel orgasme. Une nouvelle . Je ne sais pas combien de fois jai joué à ce jeu-là. Au bout dun certain temps, je néjaculais même plus. Ma queue pompait à vide, sans réel sensation de jouissance, et à nouveau la du vibro.
Et puis tout sarrêta. Je gémissais dans mon bâillon, jattendais dêtre détaché, mais ça ne venait pas. Je sentis ma queue manipulée, la corde senlever pendant quun doigt sintroduisait dans mon cul
Mais elles navaient pas encore fini ??
Apparemment non puisque je sentis quelques secondes après le doigt sortir et un objet forcer lentrer de mon cul, lentement mais surement. Puis, deux anneaux menserrer les couilles et la base de la queue, qui reprit très rapidement de la vigueur. On me passa ensuite un collier en cuir autour du cou.
Mes genoux furent détachés et mes chevilles immédiatement rattachées au coin du lit. Puis plus rien à nouveau.
Puis soudain, mon plug et mes anneaux se mirent à vibrer. Fort. Très fort. En plus des vibrations, je compris que le plug « bougeait » dans mon cul : il sétendait, tournait sur lui-même, bref me martyrisait le fondement.
Avant que jaie le temps de réagir, je sentis quelquun se mettre à califourchon sur moi et sempaler sur ma bite. Après limmobilité, les s à la cravache et aux glaçons, les jouissances froides du vibro, sentir un vagin pulser doucement sur ma queue avait quelque chose dunique. Un plaisir avant même lorgasme comme jen avais connu peu.
Après quelques minutes de ce traitement, mon masque et mon casque furent enfin enlevés. Cela me prit encore une bonne minute de mhabi à nouveau à la lumière, pour découvrir un spectacle qui me fit bander encore plus si cétait possible :
Pauline était en train de me chevaucher en gémissant, un air sauvage sur le visage. Elle était vêtue de bas élégants, dun porte-jarretelle et dun bustier en dentelle, le tout rouge vif. Elle portait des escarpins noirs, agrémenté de menottes en cuir à la cheville. Même chose à ses poignets, qui étaient accrochés entre eux. Elle avait à son cou un élégant collier en cuir, avec des chaînettes en argent qui pendaient autour de ses seins
Et pour parfaire le tout, une tresse.
Elle semblait comme possédée, à me chevaucher sauvagement en alternant son regard entre le mien et celui de Léa.
Léa, quant à elle, avait revêtu sa tenue de domina : bottes en cuir, corset rouge et noir, gant en soie, cravache à la main, tresse
Et elle nous regardait, un rabbit qui sactivait dans son vagin.
Je repérais aussi une télécommande dans sa main. Elle vit mon regard se poser dessus, eu un sourire sadique et appuya sur un bouton. Mon plug se mis à sactiver à grande vitesse en vibrant à fond.
- « Je vais pas pouvoir tenir, je vais jouir !
- Non pas encore, pas avant moi
- Je ne peux pas me retenir
A ce moment-là, mon plug sarrêta complètement. Plus de mouvements, et surtout plus de vibrations ni de la masse dans mon fondement ni des anneaux qui menserraient la verge.
Pauline, feula à nouveau en se tournant vers sa maitresse avec un regard noir :
- « Rallume Fabrice ! »
Apparemment, je nétais plus quun sex-toy vibrant à lheure actuelle. Pas que je men plaigne. Du tout
un simple constat.
Léa soutint le regard de Pauline jusquà ce quelle le baisse. Puis, entrecoupée par ses gémissements, elle lui répondit :
- « À un moment je vais moccuper de ton éducation de soumise, tu feras moins la mariole. Demande à ton sex-toy ! »
Le sex-toy, moi-même, sagitait dans lespoir datteindre lorgasme sous une pauline qui avait ralenti le rythme suite à labsence de vibration. En conséquence elle me tenait plus fermement par le cou, métranglant à moitié, pour mimmobiliser et garder la maîtrise du rythme.
- « Maintenant tu es une esclave bien sage et tu ne jouis pas avant moi
voilà continu à le chevaucher
ne tarrête pas
regardes moi dans les yeux quand je te parle ! Cest bien continu je veux tentendre
encore
oui
oh putain oui
Je vous autorise à jouir ! »
Sur ces paroles, elle enclencha mon plug à fond. Vibration, anneaux, mouvement, la totale. Ce fut comme un électrochoc, mon corps entier sur cambra, ma queue senfonça toujours plus loin en Pauline qui poussa un gémissement à faire trembler les murs lorsquelle reçut en simultanée ma queue et les vibrations sur son clito.
Lorsque ce fut fini, le corps de Pauline était parcouru de soubresauts. Léa coupa les vibrations, se leva, caressa lépaule de Pauline qui était étendue sur mon corps à retrouver son souffle, et sortie prendre une douche pour nous laisser un peu dintimité.
Après 30sec dimmobilité, Pauline eu lair de se réveiller et de découvrir la scène. Elle se leva, sentoura dun plaid et commença à me détacher. Lorsque jeu perdu mon bâillon, mon collier, mes liens, mon plug, elle vint se lover contre moi tout doucement. Je la serrais délicatement, lui caressait le dos, lui glissait des mots doux.
Lorsque je lui demandais comment ça allait, elle se tourna vers moi :
- « Cest surtout à toi quil faut poser la question ! »
Elle avait lair apeuré, au bord des larmes. Un peu perdue aussi.
- « Moi ça va très bien
je vais avoir besoin de repos pour men remettre mais ça va très, très bien ! »
Elle reprit un peu des couleurs. Toujours apeurée, mais aussi curieuse.
- « Tu es sur ? après tout ça ? Tout ce quon ta fait
Mon dieu je suis désolé Fabrice. Je sais pas pourquoi jai continué, josais pas lui dire darrêter »
Là cest moi qui avait un peu plus peur.
- « Ça ne tas pas plus ? Pas du tout ?
- Si
Je crois
Je sais pas
Cest tellement bizarre
- Mon cur, réfléchît : est-ce quhonnêtement tu faisais ça pour suivre ou ça te plaisait ? Je te connais, tu es pas une suiveuse aveugle.
-
Oui jai aimé. Je suis désolé Fab
Elle a même joué avec ton cul et moi jai suivi quoi. Ça te fais mal ? Je suis désolé
- Pauline, ça ma plu. Dailleurs, crois-y ou pas mais ce nest pas la première fois que ça marrive. Mais cest agréable figure toi. »
Elle sembla sur le point de poser une question mais se retint.
- « Pour le reste, ça a un côté terriblement excitant dêtre incapable de bouger, de « se défendre », de subir ce genre dassaut sexuel. Et lorgasme qui vient après
Cest indescriptible.
- Ça pour lorgasme indescriptible, je suis assez daccord
Et oui, cétait terriblement excitant de tavoir à ma disposition. De lui obéir comme ça aussi
Jai adoré Fab. »
Ça y est, cétait dit. Elle avait adoré.
Lorsque Léa revint de sa douche, elle sétait remise en vêtement de ville. Javais enfilé un jean et Pauline portait son plaid sur les épaules comme une rescapée.
- « Je peux entrer ? »
On retrouvait la Léa du matin. Lair gênée, pas sûre de son positionnement vis-à-vis de nous deux, mal à laise en général. Elle sassied sur le bord du lit.
- « Ça va vous deux ? »
Elle avait lair dun chien battu qui sent venir une nouvelle rouste. Je pense que contrairement à ce que son assurance de la veille nous avait laissé croire, elle navait pas une expérience aussi développée que ça de la domination de couple. Ou qua minima, elle avait une expérience de léchec de ce type de relation. Échec quelle anticipait là, maintenant, tout de suite.
Je mapprêtais à me lancer dans une rassurade en bonne et due forme à grand renfort de remerciement, de « tout va bien » et de « même pas mal », mais Pauline me devança dune manière beaucoup plus efficace.
Elle vint se coller contre son amie, la serra dans les bras et la remercia pour cette super après-midi. Après une seconde dhésitation, Léa souris, la serra en retour et lui dit que tout le plaisir était pour elle.
Et cétait fini.
Pour aujourdhui en tout cas.
Léa était restée le temps dun petit verre, puis sétait éclipsée. Elle ramenait avec elle un petit sac de sport que je reconnaissais de nos vacances. Apparemment, lorsquelles étaient allées acheter leurs tenues et les outils de ma (que je navais dailleurs pas encore tous vu) elles avaient fait un petit détour par chez elle.
Ce soir-là nous sommes resté tranquillement en mode cocooning. Petit film, on a fait lamour doucement, missionnaire à grand renfort de baiser et de caresses, et au lit à 22h comme les petits vieux.
Nous navions pas encore reparlé de la suite. Qui nallait pas tarder à arriver dailleurs
A suivre...
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