Les 1001 Perversions De Nathalie (10) - Les Retrouvailles De Deux Chattes

Au dernier moment, renonçant à faire le long trajet en voiture, Nathalie a prévenu Marc et Léa qu'elle arrivera par le train. C'est Germain qui l’accueille sur le quai de la gare pour la conduire à la villa.
La nuit tombe lorsqu'ils arrivent, mais il fait encore très chaud et les cigales et les grillons s'en donnent à coeur-joie. Fatiguée par le voyage, Nathalie prend une douche avant de rejoindre Marc et Léa sur la terrasse.
Contrairement à leur habitude, Marc et Léa ne sont pas nus. Léa porte un maillot de bain. Une mince bande d’étoffe cache le bout de ses seins. Quant à la culotte, c’est plutôt un cache-sexe, une languette de tissu entre les cuisses, attachée à une cordelette passée autour de la taille. Marc porte un short de bain très moulant, comprimant, calquant sa bite et ses couilles.
Ils passent à table. Le repas est froid, l’ambiance détendue, chaleureuse. Germain sert le dessert, Marc ouvre une bouteille de champagne. Léa a quitté son maillot de bain. Une jambe repliée sur la chaise, les cuisses légèrement écartées, elle mord dans une pêche. Le jus coule sur ses seins, et son ventre.
Elle crache le noyau dans son assiette et s’essuie, passant sa serviette sur ses seins, dans un mouvement circulaire, puis sur son ventre, d’un geste lent, tout en regardant Marc et Nathalie.
- Je m’en suis mis jusque dans les poils...
Elle se frotte la touffe, s’essuie entre les cuisses, comme si le jus de la pêche avait coulé sur sa chatte. Nathalie jette un coup d’œil vers Marc. Sa bite dans le short moulant est gonflée et tend l’étoffe. Il bande. Nathalie sent sa mouille couler entre ses cuisses. Ses tétons sont durs. Elle meurt, elle crève d'envie de cette bite.
- Nathalie, chère vicieuse, voyez dans quel état vous me mettez. Faites-moi le plaisir d'y remédier… Je sais que vous en mourrez d'envie...
Elle s'agenouille devant lui. Elle glisse les doigts sous le slip. Sa queue est dure et chaude.

Elle repousse le slip jusqu’au bas des couilles. Elle tire la pine à elle, fait glisser le prépuce, promène contre ses lèvres le gland écarlate et luisant.
Elle lui fait un petit sourire avant de fondre sur son pieu. Elle le prend goulûment. Après quelques lents va-et-vient, elle le lèche de bas en haut, titille et suçote encore le gland. Elle caresse, soupèse, joue avec ses couilles. Elle ne le quitte pas des yeux :
- Votre sperme m'a manqué… Je veux vous boire…
Et elle le suce en le regardant dans les yeux. Elle alterne les allers et retours profonds et les suçons du gland. Un soubresaut, il se cabre, cuisses ouvertes. Elle laisse traîner la langue entre ses fesses, va du trou du cul aux couilles qu'elle gobe… un grognement, un gémissement lui indiquent que la jouissance n’est pas loin.
Elle replonge sur le gland, avale la verge toute entière, redouble d’ardeur. Il rugit, son corps s’arque, il lui prend la tête pour lui faire accélérer le mouvement. Enfin, la délivrance, il gicle à longs jets chauds dans sa bouche, dans sa gorge. Elle n’en perd pas une goutte et n'arrête pas de lécher et de sucer pendant que Marc reprend ses esprits.
Un gémissement lui fait lever la tête… Un doigt dans le cul et trois doigts enfoncés dans sa chatte, Léa vient de jouir, avachie sur sa chaise.
Germain sert une nouvelle bouteille de champagne… Mais finalement, l’alcool dont ils ont un peu abusé commence à faire son effet et Marc décrète qu'il va se coucher.
Nathalie, malgré qu'elle tombe de sommeil, ne pense pas à dormir. Elle a la chatte en feu. Léa, qui semble être encore en forme, s'apitoie :
- Ma pauvre chérie… Nous sommes des rustres, Marc et moi ! Tu es la seule à ne pas avoir eu ton plaisir.
Elle entraîne Nathalie dans sa chambre :
- Nous allons fêter les retrouvailles de deux chattes…
Elle couche Nathalie sur le lit.
- Et pour que ces chattes se retrouvent bien, il faut qu’elles soient bien mouillées, bien énervées, au bord de la rage… Nathalie, ma chérie, écartes bien les cuisses, mets-toi au bord du lit.

Léa pose un pied par terre, l’autre sur le lit, et s’accroupit. Nathalie relève la cuisse qui se trouve au bord du lit.
Léa se baisse et leurs deux fentes sont l’une sur l’autre, comme deux bouches, deux bouches qui mélangent leurs salives, qui se roulent des pelles. Comme si elles se léchaient là en bas avec quatre langues. Les langues, ce sont les petites lèvres. Des baisers sur les lèvres… 
Léa se frotte à elle sexe à sexe, elle se branle sur son con tout en la branlant par la même occasion avec le sien.
Elles éprouvent toutes les deux les mêmes sensations en même temps, ça fait ventouse, ça se colle bien. Elles n'ont plus qu’une seule chatte à elles deux.
Léa sent le bouton de Nathalie dans son trou et quand elle descend, c’est son bouton qui entre dans sien.
Léa crie, c’est bon. Nathalie feule. Elle sent comme la mouille coule de leurs cons en feu. Comme elles adhèrent l’une à l’autre. Elle frotte fort sa moule contre la sienne. Léa s'échauffe :
- Frotte-toi bien ! Tu sens ? Le feu est en train de prendre ! Continues, continues, même si ça brûle, n’arrête pas, plus vite, plus fort !
Elle la fait hurler et elle crie aussi…
Lorsque Léa quitte la chambre, Nathalie est déjà endormie….. 

Elle est réveillée par le jour. Il est déjà tard, et le soleil éclaire toute la pièce. Elle a bien dormi et se réveille tellement trempée qu’elle se demande si elle n’a pas pissé sur elle en dormant. Elle reste encore un peu au lit.
Elle a délicieusement mal au bout des seins et des agacements au fond du ventre. Elle se frotte sur le drap, elle glisse les doigts sous son ventre pour se caresser, les suce. Elle aime le goût de sa mouille.
Tout en se titillant le clitoris, elle revit la soirée de la veille, et imagine les jours à venir.
Une soirée, ou plutôt une nuit au "Cercle" est prévue… Elle imagine que monsieur K. la fesse très fort pour la punir en la traitant de vicieuse. Elle s'imagine liée en croix sur le banc à fesser.
Des hommes et des femmes nt de son corps et elle les supplie de la faire jouir encore et encore...
La villa est déserte lorsqu'elle sort sur la terrasse. Germain l'informe qu'il a ordre de la conduire en ville. Marc et Léa l'attendent à 13 heures à la "Coupole" pour déjeuner.
Lorsque Nathalie arrive, Marc est déjà attablé. Il est seul. Il hèle le garçon pour lui commander à boire. Il choisit pour elle. Il lui demande tout de go ce qu'elle porte sous sa jupe.
- Des bas, une culotte.
- Quelle sorte de bas ?
- Des bas agrafés à un porte-jarretelles.
- Enlevez votre culotte et donnez-la moi...
Elle regarde autour d'elle, s'inquiète :
- On va me voir...
- Je sais. Les gens feront semblant de ne rien voir, mais ils ne pourront s’empêcher de mater...
Elle se cambre. Ses mains se faufilent sous sa jupe. Soulevant légèrement les hanches, elle réussit à faire passer l’élastique sous ses fesses. Elle termine de baisser sa culotte. Elle l’a maintenant entre ses genoux disjoints. Elle repousse encore l’élastique, la culotte dévale. Elle se penche, referme sa main sur la culotte.
Elle donne sa culotte à Marc. Il la porte à ses narines, la pose sur la table.
À la table voisine, une femme les regarde, une grimace au coin de la bouche.
Marc l'embrasse, sa langue force ses lèvres à s’ouvrir, sa main presse sa nuque, elle plie.
Puis il lui souffle à l’oreille que l'homme assis un peu plus loin en face d'eux a tout vu. Sa main s’engage sur sa cuisse. Il lui chuchote :
- Laissez-vous ouvrir… Il veut tout voir de vous…
Elle prend chaud. Elle tire sur sa jupe pour lui faciliter l’accès à sa chatte. La main rampe plus loin dans l'entre-jambe et s'appuie contre son sexe. Tout en la caressant Marc lui souffle :
- Il vous regarde, il bande, il vous veut...
Nathalie écarte les jambes, cambre les reins. La main de Marc est plaquée tout contre sa chatte, prisonnière entre son con et la banquette.

Marc pousse deux doigts dans la fente juteuse. Elle serre les cuisses, emprisonne la main fouilleuse contre sa chatte maintenant brûlante et trempée. L'homme la regarde, ses yeux la violent.
- Faites lui voir que vous êtes une cochonne...
Elle regarde l'homme et ses yeux lui disent qu'elle n'attend que ça. Elle se montre à lui. Elle le veut. Elle s'exhibe comme une salope… comme deux jours au paravent, sur la terrasse de la pizzeria.
Quand Marc lui enfonce un doigt dans le cul, elle pousse un gémissement, les yeux plantés dans ceux de l'homme. Elle jette sa main, masse l‘érection qui déforme son pantalon, lui souffle :
- S'il vous plaît… J‘ai envie… Maintenant… Tout de suite !
- Allez aux toilettes…
Elle descend dans les W.-C. L'homme se lève et la suit. Marc lui emboîte le pas.
Elle l'attend déjà, debout, les fesses appuyées au lavabo. Elle trousse sa jupe, écarte les cuisses. Il s’avance. Il vient contre elle pour lui toucher les nichons. Ses doigts palpent ses tétons, les pincent.
Elle se laisse faire, les doigts de l'homme glissent le long de sa fente gluante, écartent l’entrée de la vulve, pénètrent dedans, la soulevant presque de terre. Il souffle, la tête dans son cou, le nez dans ses cheveux.
Il la saisit par la taille et la soulève pour la poser les fesses sur le rebord du lavabo. Il se penche entre ses cuisses, colle sa bouche contre la vulve et la suce, sa langue écartant les grandes lèvres, remontant le long de la fente pour arriver à son clitoris qu’il aspire, le nez dans ses poils.
Il la fait vagir, il la suce si bien ! Les jambes en l’air, elle prend appui sur le bord de l’évier, cambrée pour ne pas se faire mal en heurtant le robinet. Avec ses pouces, il écarte ses fesses, plus bas que sa raie, pour passer sa langue sur son anus.
- Tu sens bon, cochonne… J’aime l’odeur de ton cul...
D’une main, elle se lâche et se triture les mamelles. Elles sont tendues, lui font mal tellement elles gonflent. L'homme bave entre ses cuisses. Elle penche la tête pour regarder sa langue la sucer, la laper sans retenue.
Elle voit qu’il est à genoux et a sorti sa queue, pour se masturber. Il se serre le membre, tire le prépuce, le gland cramoisi suinte.
Il se redresse, la bite à la main et passe le gland contre son trou. Elle ne tient plus, il faut qu’il la pénètre, vite, fort. C’est elle qui lui att la bite et se l'enfonce dans le con…
Elle est en nage, la sueur lui coule sur le corps. Elle sent l’odeur de sa chatte, de son cul, ça l’excite encore plus. Au milieu de ses poils, entre ses cuisses, le manche de chair va et vient comme une bielle, tapant au fond de son vagin. Elle jouit, s'agrippe aux épaules de l'homme pour ne pas tomber. Il grogne : 
- Je vais gicler ! 
Il retire sa queue et la saisit d'une main, visant le ventre de Nathalie, ses poils, sa chatte. Son jus part en jets drus et puissants, l’éclabousse, se répand sur elle.
Elle se laisse choir sur la lunette des W.C., et elle reste ainsi, relevant sa robe, regardant l'homme rentrer sa bite gluante dans son pantalon. Il se rajuste. En quittant les lieux, il glisse quelques mots à l'oreille de Marc, spectateur de la scène.
Toujours assise sur la lunette, elle est obscène, sa robe relevée, dégoulinante de sperme qui coule jusque dans la raie de son cul.
Marc s'approche :
- Vous êtes une adorable salope... Pissez ! Les vraies salopes, ça pisse après avoir joui !
Et elle le fait, à grands jets qui éclaboussent la cuvette. Quand la source est tarie, elle le dévisage. Elle devine ce qu'il veut entendre, elle jouit presque en s'entendant lui murmurer :
-  Essuyez-moi… S'il vous plaît.
Longuement, du plat de la langue, il l'essuie, lape le sperme mélangé à sa pisse. Elle se met à geindre, elle se cabre.
Il la relève, la retourne. Il sort sa queue de son pantalon. Elle lui tend son cul, s'écarte les fesses. Elle est salope, elle transpire de désir. Elle se cambre, elle veut qu'il la remplisse, elle veut que ça soit fort, sauvage, bestial, qu'il lui enfonce tout !
- S'il vous plaît… Enculez-moi...
Il la lui met dans le cul et il la saute. Elle a la chatte qui ruisselle, elle sent sa grosse queue qui la remplit si bien.
Il l'encule fort. Cramponné à ses hanches, il la bourre. Les jambes tout écartées, elle se touche comme une chienne, elle se frotte comme une vraie garce. Et c’est bon, elle sent sa bite si dure en elle. Il la prend à fond, il donne tout, il pétrit ses fesses en lui enfonçant sa queue à grands coups de reins.
Elle va jouir encore, elle tremble, elle va venir. Il a passé une main devant, entre ses cuisses, il l‘appuie sur son cito. Ils ne peuvent plus se retenir. Elle crie, elle hurle en sentant sa queue grossir encore et palpiter et son jus lui inonder le cul...

Lorsqu'elle remonte dans le restaurant, après s'être réajustée et rafraîchie, elle voit l'homme attablé en compagnie de Marc et de Léa.
- Nathalie, je vous présente Juan, un ami de longue date. Il sera notre hôte ce soir au Cercle.

(à suivre)

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