Ma Première Soumission (Partie 4 )

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Choquée de cet au revoir brutal et soudain, je mets un moment à réaliser la situation et reviens à la réalité. Je suis seule dans un salon inconnu, le cul au bord d’une table, jambes grandes écartées, un anus béant et huileux du ‘’fameux labello’’ et les seins douloureux, étranglés dans un harnais… Je me sens honteuse…
Je descends de la table et vais chercher mon petit tas d’habits à côté du canapé. J’enlève ce satané harnais, mes seins sont soulagés instantanément. Je me rhabille prestement, il faut que je m’en aille d’içi, vite… Je jette œil à la porte de la chambre, il n’y a plus le trait de lumière sous la porte, il a dû se coucher …
Je déverrouille la porte d’entrée, m’enfuie en courant à ma voiture, monte et démarre. Je regarde l’heure : 00h30. J’ai passé 5h avec ce malade !?!
Tout le long de la route je rumine, comment a-t-il pu me laisser comme ça ?? Même pas un au revoir, ni un merci, ni un bisou !! Il m’a utilisé comme un bout de viande, m’a malmenée, n’a pensé qu’à son plaisir !! Les bosses du bout de route en travaux me martèlent le derrière me rappelant mes fesses endolories par ses cuisantes fessées. J’ai encore le goût amer de son sperme dans ma bouche. Des larmes de rage coulent sur mes joues, mais quel salop !! Et en plus il m’a ordonné de me libérer pour le weekend ?! Mais il croit quoi !! Que je vais revenir, docile et sans rien dire !!?! Non mais il rêve !!!
Arrivée à la maison, je me suis enfin un peu calmée. La pression est retombée et je me sens très fatiguée. Je me prends une douche et me glisse sous les draps. Je sens mon petit trou meurtri et encore grand ouvert, je repense à tout ce qu’il lui a fait subir, ce suppositoire avec le plug… puis ce cône énorme planté dans mon cul tout le long du repas… puis enfin sa queue disproportionnée avec laquelle j’ai été obligée de m’enculer longuement…
Perdue dans mes pensées, sans m’en rendre compte ma main était descendu dans ma culotte…je suis toute mouillée… je commence à me caresser le clitoris…mon dieu que c’est bon, il ne l’a pas touché de la soirée sauf pour m’examiner au tout début devant le canapé.

J’active mes doigts de plus en plus vite et pars dans une jouissance intense et profonde. Ma main retombe et je m’endors aussitôt.

Mon réveil sonne. 6h30. J’ai du mal à ouvrir les yeux, quelle nuit agitée ! Ce cauchemar était vraiment marquant ! Cet homme étrange qui me malmenait, qui se servait de ma bouche comme un vide sperme, qui me forçait à me dilater l’anus à l‘extrême avec des pratiques sadiques… ! Je fais vraiment des rêves bizarres des fois !! Soudain je sens un air chaud sous les draps…qu’est ce que… ??? Un gaz…?? Mais pourquoi je n’arrive pas à le retenir ??? J’essaye de serrer les fesses en vain et je ressens une douleur bien prononcée au niveau de ma rondelle…je glisse une main sous les draps et inspecte du bout des doigts mon petit trou. Mon dieu, il est tout ouvert, je pourrai y rentrer 2 doigts dedans !! ... Subitement tout me reviens… ce n’était pas un cauchemar… !!! Le réveil re sonne encore une fois me rappelant à l’ordre : on est mercredi, il faut que je parte au travail ! Je m’habille rapidement, me maquille, bois un café et pars au bureau.

La journée se passe relativement bien, je fais des efforts surhumains à me concentrer sur mon travail pour ne pas penser à ce qu’il s’est passé le soir d’avant, même si je passe la journée à faire dans ma petite culotte des gaz silencieux qu’il m’est impossible de retenir…
Fin de journée. Sur le parking du bureau Nicolas et Rémi du 3ème me draguent lourdement comme tous les soirs :
« Allez, fais pas ta farouche, viens avec nous boire un verre, on est de bonne compagnie tu verras !! Tu ne vas quand même pas rester toute seule ce soir encore ?? »
Je décline poliment leur invitation et rentre chez moi.

Enfin seule ! Je me permets de réfléchir à ma situation actuelle : j’ai été abusée par un homme pendant 5 longues heures. Il a profité de mes confessions de « fantasmes » pour mettre en œuvres ses délires sexuels, cet homme est vraiment un pervers délirant et sadique ! Heureusement que je ne lui ai pas donné mon vrai nom, ni dis où j’habitais ! Nous avons communiqués uniquement sur le tchat du site de rencontre, d’ailleurs, je vais immédiatement fermer mon compte pour qu’il ne puisse plus me contacter.
Une fois mon profil effacé du site, je me sens soulagée. Je décide d’oublier cette histoire de fou et de reprendre une vie normale.

La journée du jeudi se passe bien. J’ai arrêté de faire des gaz à longueur de temps et sens que mon anus se referme au fur et à mesure des heures qui passent.
17h30. Plus qu’une demi-heure et la journée sera finie. Mon téléphone vibre m’indiquant un sms. Numéro inconnu :
« Bonjour Elia. J’espère que tu t’es bien reposée comme je te l’ai ordonné. Si ce n’est pas le cas, profites de ta dernière nuit de répits car je veux te voir devant mon canapé demain à 19h précise pour ton inspection. Jean »

…Je déglutie, mon estomac se resserre. Comment ??? Mais comment est ce possible ??? Comment a-t-il eu mon numéro ? Comment connaît-il mon vrai prénom ??
Je panique, mon cœur s’accélère. Je vois à peine passer la dernière demi-heure tellement tout s’embrouille dans ma tête.
18h, je me précipite au parking pour rejoindre ma voiture. Encore ces deux là :
« Elia chérie, tu viens avec nous ? Tu as l’air toute pâlotte, un petit remontant te ferait du bien ma belle. Et après on pourrait même te redonner des couleurs si tu vois ce que je veux dire !! »
Je secoue la tête en signe de désapprobation.
Ils continuent :
« Il va bien falloir que tu te relâche un de ces jours bébé, puis nous aussi on est tendus avec le boulot ces derniers temps, tu pourrais bien nous faire disparaître cette ‘’tension’’ non ??? »
Nicolas s’était dangereusement rapproché de moi tout en me parlant, j’étais quasiment coincée entre son corps et ma voiture. Je le repousse violemment, saute dans ma voiture et démarre en trombe.

Arrivée chez moi je relie le texto… Comment cet homme a t’il pu faire pour avoir mon numéro personnel ?? Il a signé « Jean ». Est-ce vraiment son vrai prénom ? Comment je vais faire ? Je réfléchie vite. Hors de question que je retourne là bas me faire humilier et malmener. J’ai trouvé ! Je mets son numéro sur liste noire, impossible de m’appeler et impossible de m’envoyer des textos ! Il sera totalement bloqué !Je souris, soulagée et me félicite de ma solution irrévocable.


Vendredi matin, dernière journée de travail avant le weekend. J’ai hâte que ça passe vite, ce soir je dois manger avec ma meilleure amie. On va passer la soirée à boire des verres de vins et se raconter les derniers potins de la semaine. Evidemment, hors de question que je lui parle de mon mardi soir avec ce salop, de toute façon j’ai dis que j’effaçais cette soirée de ma tête !

Midi. Pause déjeuner à la cafétéria. De loin je vois les deux fanfarons me reluquer et certainement faire des commentaires graveleux à mon sujet. Je les ignore et mange mon plateau repas.

Retour au bureau. Je consulte mes emails pour voir si le dossier tant attendu d’un gros client est arrivé. D’un coup, je me fige. Email de ‘’Jean’’. Je l’ouvre, il y a une pièce jointe et un petit texte en dessous :
/ » Tu ne m’échapperas pas. Mettre mon numéro en liste noire n’était pas bien judicieux de ta part. Tout mauvais comportement se paye, tu le comprendras très vite. Sinon, si tu avais dans l’idée de ne pas venir ce weekend, voici une petite vidéo qui te fera changer d’avis. Sache que de nos jours l’envoi groupé d’une pièce jointe dans une entreprise ainsi que sur les réseaux sociaux se fait en un clin d’œil. A ce soir. « /

Tremblante je clique sur la pièce jointe qui s’ouvre en plein écran sur mon ordinateur. Une vidéo de 5mn commence. On peut y voir une femme les seins bandés dans un harnais, le bout de ses tétons prisonniers de pinces munies de clochettes. Elle est à cheval sur un homme assis sur une chaise et on la voit s’enculer copieusement sur son énorme membre. Cette femme…c’est moi… On peut reconnaitre parfaitement mon visage sur cette vidéo… Le son se déclenche soudain, on peut entendre le tintamarre des clochettes et clairement la voix de l’homme dire :
« Regarde comme tu t’encule bien sur ma queue. Je n’ai même pas besoin de bouger! C’est parfait, tu es une bonne petite…continue comme ça ! «
Le son se recoupe et on continu à me voir me sodomiser comme une folle sur sa grosse bite.
Au bout d’un moment écran noir. La vidéo n’est pas finie, une nouvelle scène apparait. Le son toujours coupé, on me voit boire un verre à pied à demi rempli de sperme en plusieurs gorgées. L’image se recoupe. Le son se remets en route quelques secondes, on m’entend gémir comme une salope et à l’écran apparait le moment où il me masturbe le cul avec son ‘’labello’’. L’image se fige au moment où il retire brusquement le labello et laisse apparaître mon anus béant et luisant. Fin de la vidéo.

J’éteins mon écran et me précipite aux toilettes pour vomir. De longues minutes plus tard je ressors des wc, me passe de l’eau froide sur le visage et essaye de retrouver une respiration normale. Je retourne à mon bureau comme une automate et recommence à faire mes dossiers. Ma tête n’arrive plus à fonctionner normalement, je n’arrive plus à réfléchir, tout se bouscule dans ma tête. Comment a-t-il pu filmer cette soirée !! Pourquoi je n’ai rien vu ? Surtout qu’il doit bien y avoir plusieurs caméras vu les différentes prises de vues ! Et si il diffusait cette vidéo ne serais ce que dans mon entreprise ?? J’imagine déjà les 2 pervers du 3ème m’ordonner de leurs faire la même chose qu’à lui ! Surtout que cet enfoiré a monté la vidéo de telle sorte que je me fais passer pour une vraie salope qui aime ça ! Il a coupé toutes les scènes et le son où je suis contrainte de faire ce qu’il veut malgré moi ! Et cette dernière image qu’il a bloquée longuement à la fin, où on me voit les jambes écartées, le cul bien dilaté au bord de la table avec une tête pratiquement déçue qu’il ai retiré ce labello ! Mon dieu que j’ai honte… Il m’a piégée…maintenant je n’ai plus le choix…

Je prends mon téléphone et tombe sur la messagerie de ma meilleure amie, je laisse un message :
« Salut Sophia c’est moi ! Ecoute je vais devoir annuler pour ce soir, je ne me sens pas bien du tout, je vais devoir rester chez moi. Ne viens pas, ça doit être bien contagieux vu les symptômes ! Bisous à bientôt ! »

L’après midi file à une allure dingue, 17h55, je pars 5 mn plus tôt pour éviter de croiser Nicolas et Rémi sur le parking.
Arrivée chez moi je me change à toute vitesse, déjà 18h15, il faut que je parte dans 5mn si je veux être à l’heure, ce coup çi je ne me ferai pas avoir par les travaux, j’ai encore en mémoire la douloureuse fessée d’accueil de mardi.

La nuit est déjà tombée, je roule à toute allure, arrivée au niveau des travaux j’ai de la chance, c’est vendredi, les ouvriers ont débarrassé la route pour le weekend, la voie est libre. Je vais même arriver un peu en avance, il sera plus clément envers moi peut être ! Je sais très bien qu’il est fâché d’avoir su que j’avais mis son numéro sur liste noire, j’ai intérêt à bien me tenir pour qu’il oublie ce ‘’travers’’ sinon gare à mes fesses !

J’arrive à l’entrée du camping et je gare ma voiture au même endroit que la dernière fois. Je me regarde une dernière fois dans le rétroviseur, prends une grande inspiration et descend de la voiture.

Il n’est pas là pour m’accueillir cette fois. Je connais le chemin, j’éclaire la lampe torche de mon téléphone et avance dans l’allée jusqu'à sa porte. Je toque doucement et attends. Personne. Je re toque un peu plus fort. La porte d’ouvre brusquement.




A suivre….

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