Un Rêve
En arrivant du club omnisport, jai remisé ma moto dans la grange et jai traversé le large passage qui la sépare de notre petite maison. En entrant dans la cuisine jai embrassé ma tante qui tricotait en écoutant la radio
- Bonsoir tatie !
- Bonsoir mon grand, ça va ?
- Je suis crevé ! Ce matin nous avons monté le proto, cet aprem un test de dessin plutôt intense et ce soir au club nous avons fait un match d'entraînement pour préparer l'équipe qui part samedi en déplacement
Je suis rendu et je crois que je vais aller me coucher tout de suite ais-je dit en me dirigeant vers ma chambre pour poser mon sac à dos.
- Tu ne vas pas te coucher sans manger quand même !
- Si si ! Franchement je t'assure que je n'ai pas faim et je déjeunerai mieux demain matin puisque nous serons samedi
Je suis entré dans la minuscule chambre bien décidé à récupérer de cette journée particulièrement chargée. Je me suis assis sur le bord du lit après avoir ouvert les draps et ma tante qui m'avait suivi m'a dit en s'appuyant de l'épaule sur le dormant de la porte :
- Tu vas bien dormir, j'ai changé tes draps ce matin
attend, je vais te donner un pyjama, j'ai lavé le tien avec les draps
Comme elle se redressait pour aller le chercher, j'ai répondu :
- Non laisse ça, on verra demain et en plus j'aime bien dormir nu dans des draps frais
puis j'ai fait passer mon pull et ma chemise d'un même mouvement par-dessus ma tête.
- Comme tu voudras
C'est drôle, je fais la même chose, j'aime bien dormir nue quand jai changé les draps, ça doit être génétique a-t-elle dit en riant.
Jai posé mon pantalon, mon slip et mes chaussettes dun seul geste et je me suis glissé entre les draps sus le regard amusé de ma tante. À peine avais-je rabattu les draps sur moi que jai senti lengourdissement me prendre et je me suis endormi
Sentant mon lit bouger légèrement jai ouvert les yeux et jai vu ma tante assise en chemise de nuit sur le bord de mon lit.
- Bonjour mon grand, tiens je tai fait un café bien chaud.
Voyant quelle avait une grosse veste de laine sur les épaules jai répondu :
- Merci tatie, tas pas lair davoir chaud
- Le chauffage s'est arrêté, il ny a plus de mazout dans la cuve... Jen ai commandé il y a une semaine, mais le livreur nest pas venu comme prévu. Couvres toi bien quand tu te lèveras
- Je ne vais pas me lever tout de suite, je suis bien au chaud dans le lit
Elle posa sa tasse de café près de la mienne sur la table de nuit et en se penchant elle glissa sa main sous les draps.
- En effet cest tout chaud là
tu as de la chance, mes mains sont toutes froides
regarde
Elle a posé sa main sur mon ventre et jai été un peu saisi, elle avait les mains gelées
En ouvrant un peu le drap je lui ai dit :
- Tu veux te glisser au chaud ?
- Bonne idée, tu vas me réchauffer
Joignant le geste à la parole, elle a posé la veste par-dessus le drap et sest glissée tout contre moi. Elle sest lovée dans mes bras et je lai serrée très fort contre ma poitrine pour quelle profite de ma chaleur
- Humm ! tu es un vrai brasero mon chéri
je suis bien là
- Profites en, nous ne sommes pas obligés de nous lever tout de suite
Se tournant vers moi, elle a posé un petit baiser sur mes lèvres comme elle le fait parfois quand je lui fais plaisir. Se serrant contre mon côté, elle a passé une jambe par-dessus les miennes et ma demandé de lui frotter le dos. Jai passé mon bras droit sur ses épaules pour quelle puisse y poser sa tête et je lai entourée de mon bras gauche pour pouvoir lui frotter doucement le dos. Tout en la caressant gentiment, je me suis rendormi.
Je me suis à nouveau réveillé lorsquelle a bougé. Elle a piqué un autre petit baiser sur ma bouche et ma dit mets ta main sur ma peau cest plus agréable
Je me suis rendu compte quelle avait remonté sa chemise de nuit jusquà ses épaules et que cest en se tortillant pour le faire quelle mavait réveillé.
Elle na rien dit, mais à plusieurs reprises son genou est venu frotter sur ma virilité. Jétais horriblement gêné, mais comme elle ne disait rien, jai moi aussi gardé le silence
- Tu devrais me caresser le dos avec tes deux mains
ça serait encore mieux
Jai essayé de la caresser de ma main droite, mais la position nétait pas pratique et elle ma dit :
- Attend je vais me placer autrement
Dun mouvement tournant, elle est venue se coucher sur moi en remontant un peu pour ne pas écraser mon membre déjà pas mal dressé. Jai senti sa toison sur mon ventre et mon érection est devenue totale. Ne tenant pas compte de mon émoi qui devait se voir autant sur mon visage que sur mon bas ventre, elle a piqué un petit baiser sur le bout de mon nez et m'a dit :
- Je ne suis pas trop lourde ?
- Heu
non non ça va
- Bien, alors recommence avec tes deux mains
je suis très bien là, je suis au chaud et un beau jeune homme me caresse le dos
Elle a posé sa tête contre la mienne sur l'oreiller et je sentais le parfum léger de ses cheveux. Je l'ai massée doucement et je me suis encore endormi. Elle a pris mes mains et les a posées sur ses fesses en disant :
- Ça aussi ça fait partie du dos
Dans mon demi sommeil j'ai fait ce qu'elle me demandait, faisant glisser mes mains de ses épaules jusqu'à sous ses fesses, les enveloppant d'un geste lent
Elle a fait remonter ses genoux le long de mes flancs et se décollant un peu de moi, elle a fini d'enlever sa chemise de nuit. En ondulant un peu, elle a frotté les pointes érigées de ses seins sur ma poitrine puis s'est recollée à moi comme si elle voulait faire corps avec moi.
Je venais de rêver
J'étais complètement chamboulé. Mon sexe était dur comme du bois et affichait une dimension inhabituelle dans cet état. Tout mon corps avait participé à ce rêve et j'étais couvert de transpiration. J'ai parfois des rêves érotiques, mais ma tante n'y est jamais venue sauf peut être une fois où j'ai rêvé qu'elle me surprenait avec une copine.
Encore un peu sous le choc de ce rêve, je me suis rendormi car le jour n'était pas levé.
Quelques heures plus tard je me suis levé avec l'impression d'avoir dormi des années
Quand je suis arrivé dans la cuisine ma tante faisait griller des tartines en chantonnant
Je me suis approché d'elle en silence et l'ai prise dans mes bras en lui disant bonjour. Elle a sursauté en disant :
- Idiot, tu m'as fait peur
Je lui ai fait une grosse bises et lui ai dit :
- Tu as l'air toute guillerette ce matin
- Oui, je me sens bien, j'ai bien dormi et toi ?
- J'ai bien récupéré
ais je répondu en m'asseyant à table
- Tu as du rêver, à un moment je t'ai entendu grommeler
fit elle me servant une tasse de café bouillant puis elle s'assit à son tour
- Tu m'as entendu ?
- Oui.
- Hé ben dis donc
- Ça a l'air de te perturber
- Heu.. non, pas spécialement
- Tu as rêvé à quoi ?
- Heu
je ne me souviens pas
- Hou ! le gros menteur
tu es tout rouge
tu dois au contraire très bien te souvenir
- Ho ! c'était un rêve idiot
- Raconte moi
Tu sais, j'adore notre complicité et il ne faut pas que tu sois gêné
- Ben
quand même
- Quand même quoi ? tu as rêvé d'une jolie fille ?
- Mais non, oui, enfin bon laisse
- Ah non ! oui, non, peut être, je ne sais pas
Avouez monsieur Roger fit elle en me menaçant avec une tranche de pain grillé. Tu sais que c'est un accord entre nous
nous n'avons pas de secret l'un pour l'autre. Depuis que ton père nous a laissés tomber, tu est mon confident, l'homme de ma maison et de mon côté je te dis tout.
- Tu ne me racontes pas tes amours
- Simplement parce que je n'en ai pas
J'ai mal digéré de me faire larguer comme ça par ton oncle et je n'ai pas apprécié que ton père te laisse tomber aussi. Je suis devenue hyper méfiante
Pour le moment, tu es le seul homme en qui j'ai confiance
- Peut être, mais tu ne me racontes pas tes rêves
- Un point pour toi, je ne te raconte pas tous mes rêves
- Ah ! tu vois !
- Oui, bon
alors, tu me le racontes ce rêve ?
- Ça me gêne
- Ben dis donc, ça devait être chaud
Tu faisais l'amour avec une de tes copines ?
- N'insiste pas s'il te plait
- Si, maintenant que ma curiosité est piquée, je ne te lâcherai pas
tu le sais
- Oui, je sais
c'est bien ce qui m'ennuie
- Ho ho ! c'est si grave que ça ? C'était qui ?
- Je ne veux pas te le dire
- Mais je te jure que je ne le répèterai pas. C'est entre toi et moi comme quand je te raconte quelque chose
- Merci de ta confiance et tu sais que tu as la mienne
- Ne t'éloignes pas trop du sujet s'il te plait
c'était qui ?
- Mais je t'ai dit que c'était un rêve idiot
- Raison de plus pour me le raconter
si c'était idiot c'est que tu pense que c'est loin de la réalité, donc tu peux le raconter, après tout, ce n'est qu'un rêve
Je t'écoute
- Pfff ! Tu vas m'en vouloir
- Écoute, après avoir tant insisté au près de toi, si ça me dérange, je n'aurais qu'à m'en prendre à moi-même
Alors ?
- Ben j'ai rêvé que tu venais me réveiller
- Ça c'est vrai cinq jours par semaine et ça n'a rien de spécialement idiot
- Oui mais il n'y avait plus de chauffage et tu te glissais près de moi pour avoir chaud
- Hmm ! C'est en effet une très bonne idée ça, tu es toujours chaud comme un radiateur
et ?
- Tu étais en chemise de nuit
- Comme maintenant dit-elle en se levant et en faisant une révérence après avoir relevé le bord de la chemise sur ses jambes
- Oui comme maintenant
- Et c'était quoi le truc idiot ?
- Ben
tu t'es collée à moi
- J'imagine, c'est bien ce que j'aurais fait
Et je devine
tu étais troublé ?
- Oui
- Ha ha ha ! et tu es gêné parce que tu avais une érection ?
- Heu
oui c'est ça ais-je répondu un peu trop précipitamment
- Tu ne me dis pas tout petit filou, tu ne vas pas t'en sortir comme ça
Elle s'est approchée de moi et me faisant reculer ma chaise, elle s'est assise sur mes genoux. Elle m'a pris par le cou et m'a fait un gros baiser sur la joue en disant d'une voix plaintive :
- Allez mon trésor, raconte moi
- Ça me gêne
- Alors comme ça tu avais une grosse émotion de me sentir tout contre toi, juste en chemise ?
- Oui mais non
- Ça recommence
oui mais non
Je devine, ma chemise était relevée ?
- Oui
- Hmm ! Et le beau jeune home que voilà était troublé de sentir le corps d'une femme à moitié dénudée contre lui
- Complètement dénudée
- Whouaw ! là c'est chaud
Et tu m'as touchée ?
- Oui
Elle a fermé les yeux et m'a pris par le cou en disant :
- Et j'appréciais tes caresses, je suppose ?
- Oui tu m'avais demandé de te frotter le dos pour te réchauffer
- Et tu m'as réchauffée ? J'imagine tes mains sur mon dos
je t'ai remercié au moins ?
- Heu..! oui
- Je t'ai caressé à mon tour ?
- Un peu, tu m'as embrassé
- Comme ça ? fit elle en me posant un petit baiser sur le bout des lèvres
- Heu .. ! oui
- Mieux que ça ?
- Oui
- Je t'ai donné un gros baiser d'amour ? Et tu as aimé ?
- Oui
Elle m'a regardé droit dans les yeux et elle m'a demandé :
- Frotte moi le dos comme cette nuit dans ton rêve
Comme je commençais à lui frotter le dos elle a ajouté :
- Non, sur la peau, j'adore ça
et puis dans ton rêve j'étais toute nue
Elle s'est levée à moitié et a fait remonter sa chemise pour que je puisse mettre la main sur la peau de son dos.
- Voilà, comme ça c'est bien
Je ne me souviens pas de l'impression que ça me faisait dans ton rêve de cette nuit
Ceci dit, ce n'est pas grave que tu aies eu une grosse émotion en me caressant le dos. Peut être que ça va recommencer maintenant s'est-elle moqué.
Je lui ai doucement frotté le dos pendant quelques minutes en m'efforçant d'oublier mon rêve de la nuit. Elle avait fermé les yeux et passé ses bras autour de mon cou. De temps en temps, elle frottait sa joue contre la mienne et soupirait doucement. Au bout d'un moment, elle a reposé un petit baiser sur mes lèvres et m'a dit d'une voix douce :
- Tu sais, moi aussi j'ai déjà fait des rêves érotiques où tu étais
- Ah oui ! Raconte ?
- J'ai même rêvé que nous faisions l'amour
- Ah bon ! me suis-je exclamé en arrêtant mes caresses.
- Oui mais ce n'est pas une raison pour t'arrêter
J'ai repris mes caresses mais ma virilité s'est légèrement tendue dans mon pyjama à l'évocation de la relation. En quelques mots, elle m'avait replongé dans le rêve de la nuit et je sentais la chaleur monter dans mon ventre. Après quelques secondes de silence elle a repris :
- Nous étions partis nous promener vers le bois noir
Tu vois où c'est ?
- Oui, d'ailleurs nous y sommes déjà allés plusieurs fois ensemble
- Et il faisait très chaud, un peu comme dans mon rêve
Et nous étions allés au bord de l'étang
- Oui, je vois bien le petit étang
c'est presque au milieu du bois et je suis certain que plein de gens n'en connaissent même pas l'existence
- Tu as raison
en plus ce bois a mauvaise réputation chez les paysans du coin
Comme il faisait une chaleur à crever, nous avons décidé de nous baigner
Nous n'avions rien prévu pour ça et donc nous nous sommes baignés nus
En sortant de l'eau, nous nous sommes couchés sur le sable et nous avons discuté comme nous le faisons souvent
Comme tu sortais avec la petite Lafonchaire, je t'ai demandé où tu en étais avec elle
tu venais de rompre et je t'ai taquiné
comme tu étais nu j'ai posé ma main sur ta verge en disant : "la pauvre, elle n'a plus personne pour s'amuser
" Et tu t'es mis à bander instantanément
De mon côté j'étais sevrée d'amour moi aussi, je me suis couchée sur toi et nous avons fait l'amour
- Ben dis donc
Elle s'est levée et s'est rassise à califourchon sur mes jambes en demandant :
- Tu es choqué ?
- Non, pas vraiment
je t'avoue que cette nuit, moi aussi j'ai rêvé que nous faisions l'amour
C'est très perturbant
- C'est mignon au contraire
C'est la preuve que nous nous aimons beaucoup
Elle s'est penchée sur moi et m'a redonné un petit baiser, puis un autre, puis encore un autre et finalement, elle a écrasé sa bouche sur la mienne
après ce baiser inattendu elle s'est un peu reculée et m'a regardé dans les yeux en disant :
- Tu vois, moi aussi je t'aime
tu es le seul homme dans ma vie
et elle m'a redonné un baiser volcanique.
Je me suis mis à bander furieusement et elle s'est collée à moi comme si sa vie en dépendait. Elle ondulait du bassin, frottant son pubis contre ma virilité. Elle a décollé sa bouche de la mienne et m'as dit d'une voix rauque :
- Il est viril mon homme, frottes moi bien le dos comme cette nuit dans ton rêve
- Je lui ai frotté le dos en faisant glisser mes mains sur sa peau, du sommet de ses épaules jusqu'à sous ses fesses.
D'une main, elle a attrapé le derrière du col de sa chemise et l'a fait passer par-dessus sa tête, elle était totalement nue dans mes bras. Elle a fait la même chose avec le haut de mon pyjama et nous nous sommes retrouvés peau contre peau. Je sentais les pointes durcies de ses seins contre ma poitrine et ce contact charnel associé à ses baisers fougueux me mettaient en rut. En remontant mes mains le long de ses flancs j'ai caressé sa poitrine de mes pouces. Elle a une poitrine menue et ses seins sont un peu tombants, mais ils ont réagi à la caresse et elle a laissé échapper un gémissement de plaisir :
- Hmmm ! Oui, caresse moi encore, ça fait si longtemps
caresse tout mon corps
je t'aime
Elle avait perdu toute retenue et de mon côté, je ne me contrôlais plus vraiment. Elle a glissé la main entre nous et a caressé le bout de ma verge à travers mon pantalon de pyjama. Elle a basculé le bassin en posant ses pieds sur le bord de ma chaise et s'est frottée contre mon sexe dur. Très rapidement j'ai senti mon pyjama se mouiller, elle ruisselait... Elle devait vraiment avoir une furieuse envie pour se mettre dans cet état et moi aussi je me suis frotté à elle en cadence. Cette femme nue dans mes bras, même si c'est ma tante m'excitait au plus haut point.
De sa main gauche elle a tiré sur mon pyjama pour le faire glisser. Comme je me soulevais légèrement pour qu'elle puisse y arriver elle a soufflé :
- Emmène moi !
- Où veux-tu aller ?
- Viens sur mon lit
j'ai envie de toi
- Mais c'est pas possible
- Emmène moi je te dis et n'essaie pas de me faire croire que tu n'en a pas envie
- Mais enfin, ça ne se fait pas
- Mais si !
Comme je me levais, elle a entouré mes reins de ses jambes et a réussi à faire glisser mon bas de pyjama. Elle a planté son regard dans le mien et en se tortillant adroitement elle est parvenue à se placer dans la position idéale. Elle s'est empalée sur ma verge triomphante et m'a dit d'une voix rauque :
- Voilà
allons sur mon lit
Jai rendu les armes et la tenant par les hanches, je me suis tourné vers la chambre. Elle m'a embrassé à pleine bouche et j'ai avancé, ma virilité profondément enfoncée dans son intimité. J'étais complètement stupéfait de ce qui m'arrivait, j'étais en train de faire l'amour à ma tante et cette fois, ce n'était pas un rêve
J'ai avancé jusqu'au bord du lit puis je me suis tourné pour m'assoir. Elle a donné un coup de reins et je suis tombé en arrière. Dans la chute mon sexe est sorti du sien et elle a gémi :
- Non ! reviens
Elle s'est ravisée, m'a pris par la main et s'est allongée les jambes largement écartées et m'a dit :
- Viens sur moi, prend moi comme tu m'aimes
je suis toute à toi
Je me suis allongé près d'elle, puis j'ai basculé sur son corps et elle m'a à nouveau enserré la taille de ses jambes. Là j'ai perdu tout contrôle et je me suis mis à la besogner sans scrupules. Elle répondait avec ardeur et envoyait son bassin à la rencontre du mien en ahanant. Rapidement nous avons pris un rythme soutenu et elle s'est tétanisée en poussant un gros soupir rauque. Sentant sa féminité se contracter sur mon sexe j'ai abandonné toute retenue et me suis épanché en elle avec un grognement.
Nous sommes restés un moment haletants, l'un dans l'autre et malgré le violent orgasme je bandais toujours. C'est elle qui a repris la parole en premier et après un gentil baiser elle m'a dit :
- Merci ! merci ! merci ! Je suis très heureuse
et en plus, j'ai joui très fort
Tu es un vrai homme
Je ne regrette rien et j'espère que toi non plus tu ne regrettes rien
- À vrai dire je suis un peu chamboulé
j'ai eu un énorme plaisir moi aussi, mais je suis perturbé
c'est un crime
- En réalité pas vraiment ce n'est qu'un demi crime puisque tu es majeur
Cependant c'est considéré comme un e
Là-dessus tu as raison. Mais je ne voudrais pas que ça te perturbe outre mesure. Dans le passé, c'est d ans la famille que se faisait l'éducation sexuelle
- Il n'est pas question de ça, mon éducation était déjà faite
- C'est vrai et je suis contente d'avoir profité sans scrupules de ton savoir faire, tu es un vaillant petit mâle et d'ailleurs tu bandes encore ce qui est très agréable
Elle a contracté son vagin plusieurs fois et m'a dit en plantant son regard dans le mien :
- Je vais recommencer tout de suite avant que tu changes d'avis
je suis trop heureuse de ce qui m'arrive pour me laisser troubler par des considérations judéo-chrétiennes
l'e est à la base du monde car Ève était la seule femme avec Adam et Caïn
il n'y a pas de doutes
J'étais vaincu, j'ai recommencé mes pénétrations puis j'ai basculé sur le côté puis sur le dos pour la laisser manuvrer comme elle en avait envie. Elle m'a chevauché avec ferveur, presque avec rage. On devinait aisément qu'elle avait réellement été privée de sexe à l'ardeur qu'elle mettait à s'empaler sur mon membre un peu comme si elle voulait que je la transperce. Je la voyais s'activer sur mon ventre avec un sourire rageur, elle ahanait et ses seins ballottaient devant son buste. Elle se pencha sur moi et s'appuyant d'une main près de ma tête elle dirigea on mamelon vers mes lèvres et dit :
- Suce !
J'ai pris le téton entre mes lèvres et j'ai commencé à le téter puis je l'ai doucement mordillé en l'agaçant avec le bout de ma langue
Elle a grogné et m'a dit entre ses dents :
- Tu sais y faire petit salaud
Je pense qu'on ne va pas en rester là
Sentant l'orgasme arriver, j'ai accéléré le rythme puis j'ai joui dans un grognement sonore. Elle a donné quelques coups de reins ultra rapides et s'est effondrée sur moi dans une plainte flutée
Depuis ce jour, ma tante sait sy prendre pour occuper mes moments de "disponibilité sentimentale" et parfois même de périodes où je suis plus ou moins en couple
et je ne m'en plains pas.
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