Des Vacances Inattendues Et Chaudes

Depuis que je suis définitivement femme au foyer, j’ai un peu plus de temps pour moi et après avoir lu les aventures d’autres couples, j’ai eu envie de vous raconter mon histoire aussi.
Peut-être mal écrit, oublié ce point et essayer de prendre plaisir comme moi j’ai eu.

L’année dernière, Jean, mon mari 60 ans, cadre dans une multinationale et moi Annie 56 ans, depuis le début de l’année je suis femme au foyer, sommes allé en vacances au Gran Canaria. Le lendemain de notre arrivée, le long de la piscine, nous avons fait connaissance d’un couple, la petite cinquantaine, Sophie et Alain et qui plus est un couple habitant à peine 20km de chez nous. Nous étions toutes les deux seins nus à la piscine de l’hôtel, elle avait une poitrine plus petite que la mienne et moi un bonnet C, retombant un peu mais encore agréable à montrer et, j’espère pour les hommes, à regarder ! Une chose est certaine, Alain avait souvent le regard sur mes seins légèrement brunis par 3 séances de banc solaire avant les vacances.
Dans la conversation, je signale à nos nouveaux amis que ni Jean ni moi ne savons nager.
- C’est pourtant pas difficile me dit Alain
- Il y a des années, Jean a voulu me faire nager en me soutenant mais il m’a lâché et j’ai bu la tasse. Depuis je n’ose plus m’aventurer plus loin que l’eau à la taille.
- Tu veux que je t’apprenne me demande Alain
Après hésitation et sous insistance de Sophie, nous sommes allés à trois dans la piscine. Jean n’aime pas beaucoup l’eau, il est resté sur le transat, il préfère marcher ou faire du sport en salle.
Alain me faisait flotter en me soutenant avec une main sous le ventre pendant que Sophie nageait.

- Alain, veux-tu utilisé tes deux mains, j’ai peur.
Alain me soutenait d’une main au bas ventre et l’autre entre les seins. Ses mains aussi près de mes seins et de mon minou me troublait et m’excitait, j’avais les tétons super tendus. En bougeant ses mains il avait plusieurs fois effleuré mes tétons.


- Redresse-moi pour savoir si j’ai encore pied…
- Ne t’inquiète pas je suis là.
Il me redresse et mes seins flottent au-dessus de l’eau avec mes tétons tendus que j’ai assez imposant.
Il voit que j’essaie de les dissimuler avec mes bras et me dit :
- Ne cache pas ce que tu as de si beau
- Merci pour ton compliment, ça me touche.
- On essaye de nouveau de nager un peu ?
- Ok, mais supporte moi bien…sinon j’ai peur.
Sophie était déjà ressortie de l’eau et parlais avec Jean couché sur sa chaise longue
Après quelques mouvements désordonnés des bras et jambes, il déplace une main sur mon sein et pince mon téton entre ses doigts, comme je ne refuse pas sa main, son autre main s’aventure sous l’élastique de mon maillot et un doigt touche mon clitoris. Je n’ai jamais connu une telle décharge d’adrénaline. Dix secondes ont suffi pour me faire jouir.
En me tenant au bord de la piscine, je me redresse mais reste jambes pliées pour avoir les tétons durs comme rocs sous l’eau. On s’est regardé quelques secondes dans les yeux, il m’a souri et moi un mouvement des lèvres d’approbation.
- Tu oses mettre ta tête sous l’eau les yeux ouverts, me demande Alain ?
A sa façon de le demander, j’avais compris qu’il voulait me montrer sa queue. J’ai mis ma tête à peine sous l’eau et j’ai vu sa queue en érection mais déformée par des mouvements d’eau.
Je lui dis d’une voix basse qu’il ne peut pas ressortir de l’eau avec une telle érection.
Après que mes tétons soient un peu dégonflés, je suis sortie de l’eau et Alain a fait quelques longueurs dans la piscine.
Arrivé sur mon transat, Jean et Sophie parlais de salle de gym. Elle avait les tétons bien dressés.
En m’essuyant un peu, je n’ai pas pu empêcher les miens de reprendre du volume, ce que Jean et Sophie ont également remarqué.
- Tu as un petit frisson comme moi, me demande Sophie ?
- Oui, oui et je passe les mains sur mes seins.

Alain est revenu près de nous, il n’avait plus d’érection mais derrière le tissus de son maillot devait sûrement se cacher une belle queue que j’avais déjà remarqué depuis notre arrivée à la piscine.
Nous sommes allés prendre un verre au bar de la piscine et nos amis nous racontent qu’ils sont des habitués de l’hôtel, de leurs belles soirées dansantes qui ont lieu tous les soirs et que dans l’hôtel situé à environ 100m il y a une superbe salle de gym pour les amateurs.
A les entendre parler, j’avais déjà compris que Sophie et mon homme allaient s’y rendre le lendemain matin.
Au soir, après diner, nous sommes allés rejoindre la salle de danse, il y avait un monde fou.
Lumière tamisée et musique des années 60-80. Nous avons enfin trouvé quatre places au fond de la salle. Pour ne pas perdre nos places, un couple restait à table pendant que l’autre dansait.
Après avoir danser un slow avec mon homme, Alain m’invita à son tour pour un slow. Très vite on s’est retrouvé au fond de la piste de danse. On était serré l’un contre l’autre tellement la piste était pleine de gens qui se bousculais plus que danser. A plusieurs reprises je sentais sa queue toute dure pousser sur mon bas ventre.
- Tu me fais un effet fou, je ne peux pas contrôler mon érection
- Et moi j’ai le string trempé
Il att mes fesses des deux mains et me pousse contre sa queue toute dure.
- Arrête tu vas me faire jouir comme à la piscine.
- J’ai envie de te faire jouir avec ma queue
- Demain matin quand ils seront à la gym, ok ?
- Ok
Vers 2h du matin on rentre à l’hôtel et au lit j’attaque la queue de mon homme car j’ai une folle envie de baiser. J’arrive à peine de la faire durcir et la mettre dans ma chatte. Je me déchaîne dessus et je jouis tout en pensant à ce qu’Alain m’avait fait et c’est en me retirant que je me rends compte que mon homme n’avait pas joui. Je veux lui faire une pipe mais il me dit qu’il est trop fatigué.

Il s’en dort et moi je ne trouve pas le sommeil. Une seule fois j’ai trompé mon mari en trente-cinq ans de mariage et pour une promotion canapé. J’avais même simulé un orgasme car mon chef, avec sa petite queue il me baisait très mal, il ne pensait qu’à lui. Je ne l’ai jamais avoué à mon mari.
Alain au début du mariage était assez rigoureux et il me comblait très bien, me baisais sous toutes ses formes et mes orgasmes étaient intenses.
Mais malheureusement après mon deuxième accouchement et quelques difficultés dans le couple les rapports se sont raréfiés et maintenant à peine une fois par mois et c’est bien souvent moi qui commence.
Je me tourne et retourne dans mon lit ne sachant pas si je vais franchir le cap de baiser avec Alain.
Je me suis levée vers 6H, mon homme dormait à poing fermé, j’ai pris une douche et je me suis rasée totalement la chatte pour la première fois de ma vie. La vision de ma chatte toute nue me donnait une envie incontrôlable et je me suis masturbée en pensant à la queue d’Alain que j’aimerai avoir dans la chatte.
Sans culotte ni soutien, je suis allée prendre le petit déjeuner avec mon homme et nos amis se sont joints à nous peu après. Seul mon mari n’a pas vu que mes tétons pointaient, Alain a souvent jeter un regard sur mes seins et Sophie m’a demandée, en allant au buffet, si comme elle, j’aimais m’habiller sans soutien.
Je lui ai répondu que oui et elle a répliquée qu’elle aimait le regard des autres quand ses tétons pointaient.

En remontant vers nos chambres, mon homme et Sophie ont décidés de faire du sport dans la salle de l’hôtel voisin. Sophie rappelle à Jean qu’il doit emporter ses vêtements après sport et qu’il y avait sur place tout ce qu’il fallait pour prendre une douche. Quant à Alain, il dit à sa femme qu’il allait encore dormir car il n’avait pas bien dormi la nuit dernière. Et moi j’allais faire bronzette…. !
Alain et moi guettions par la fenêtre nos moitiés rejoindre l’hôtel suivant pour faire leurs sports.

A peine disparus, Alain se présente devant la porte de ma chambre, mon cœur bat la chamade, j’ai les jambes qui flageolent.
J’ouvre, nous sourions tous les deux, prend la pancarte, « do not disturb » et la place sur la clenche de la porte. Ferme la porte et l’on se saute dans les bras. Son parfum de vrai mâle m’enivre. Dans un baiser fougueux on recul vers le lit et nous voilà couché, moment que j’attendais avec impatience.
Il me couvre de baiser comme je n’en ai jamais eu. Sa main disparaît sous mon t-shirt et me pétris les seins et jouent avec mes tétons. J’enlève mon t-shirt et sa bouche avale mes tétons durcis.
Il les sucent tellement fort qu’ils prennent des dimensions jamais atteintes.
Il cherche le bouton de ma jupe et je l’aide à l’enlever. Sa main disparaît immédiatement entre mes
Jambes que j’écarte avec plaisir. J’étais trempée et il me l’a fait remarquer. A mon tour je déboutonne sa chemise et pour me faciliter la tâche du pantalon, il se redresse devant moi.
J’ai les mains qui tremblent comme une collégienne en lâchant sa ceinture. Son pantalon tombe au sol et son boxer est déformé d’une façon excessive. Je le caresse au travers du tissus et je suis de plus en plus nerveuse quant à voir ce qui se cache derrière ce tissus super tendu. Je le regarde dans les yeux en descendant doucement son boxer. Surgit d’un coup une colonne de chair monstrueuse.
- Waouw, ça existe ça ?
- Et oui et elle te donnera beaucoup de plaisir
- Ça rentrera jamais ?
- Ne t’inquiète pas, la tête de tes s étaient plus grosses encore.
Après une hésitation, j’ai pris sa queue en main avec délicatesse, comme si c’était une œuvre d’art. J’étais loin de pouvoir faire le tour avec ma main. Sa queue était lourde. J’ai approché ma bouche, donné un baiser sur son gland et j’ai essayé de le mettre en bouche. Des deux mains l’une à côté de l’autre son gland dépassait encore, j’ai pas osé demandé combien elle mesurait, mais près de 25 cm sans hésitation.
J’avais beau essayer, seul son gland est entré et j’en avais mal à la mâchoire. Mais je ne me suis pas laissée démonter par ce monstre, ma langue l’a caressé sur toute sa longueur. Une belle paire de couilles pendait bas sous sa queue, je me suis même permise à en prendre une en bouche.
Ses gémissements me faisaient comprendre qu’il appréciait mes caresses buccales. En le suçant encore et encore, je me demandais pourquoi la nature n’avait donné que la moitié de cette queue à mon mari.
Il me fait coucher sur le dos et se glisse entre mes jambes et les poussent sur le ventre. Je sens son souffle sur ma chatte nue et détrempée. Sa langue s’insinue entre mes lèvres, s’arrête sur mon petit bouton sensible qu’il avait vite repéré. Délicatement avec deux doigts il décapuchonne mon clitoris.
Il le prend en bouche et lui procure une succion comme je n’en avais encore jamais eu.
J’ai crié de plaisir quand il a introduit deux doigts dans mon minou. Tout en me léchant la chatte, trois doigts ont investis mon puits d’amour en les poussant aussi loin que possible, puis un doigt s’ est arrêté sur mon point G comme s’il le connaissait depuis longtemps. Mes pieds sur ses épaules, m’ont permis de balancer mon bassin dans tous les sens quand j’ai eu mon premier orgasme.
Il s’est redressé, sa bouche trempée par ma cyprine s’est approché de la mienne et nos langues se sont emmêlées. Mon souffle s’est accéléré quand j’ai senti sa queue à l’entrée de mon vagin.
J’ai calé mes jambes autour de son corps et sa queue a écartelé les chaires de ma chatte et doucement il a pris possession de mon intérieur jusqu’à…on ne sait plus loin. Quel bonheur pour moi de sentir quelques choses d’aussi chaud et gros dans ma chatte.
Quand il a commencé ses vas et vient lents et longs, mon corps a été secoué de spasme. Je respirais la bouche grande ouverte, quand il a vu que j’allais jouir il a accéléré…. puis je sais plus….
- Dis donc quand tu jouis tu cries à réveiller tout l’hôtel !
- Excuse-moi, mais c’est toi qui me mets dans un tel état !
- Retourne toi, je vais te prendre par derrière.
Quand il s’est redressé, j’ai vu sa queue encore plus grosse et il bandait plus haut que l’horizontale.
Dès que je me suis mise à quatre pattes, sa queue est entrée comme dans du beurre et il me butinait au plus profond de mon antre. J’ai passé ma main sous mon corps et j’ai attrapé sa queue du bout des doigts. Mon bas ventre était une vraie fontaine et mon clitoris était bien érigé.
Il accélère et sa respiration devient de plus en plus forte et au moment qu’il éjacule dans ma chatte
J’ai plongé ma tête dans l’oreiller et j’ai eu mon troisième orgasme, certainement le plus intense.
Je me suis laissé tomber sur le lit, il m’a suivi et sa queue est restée au fond de ma chatte.
Couché sur moi, il me couvrait de baiser dans le cou, ses mains voyageait dans mes cheveux.
Il me disait tendrement à l’oreille que j’étais la meilleur baiseuse qu’il n’avait jamais eu (il disait peut- être la même chose à ses autres conquêtes) mais ses paroles me plaisaient et de plus, je trouve que c’est une sensation très agréable de sentir une queue rester bien au fond après avoir jouis.
Quand il s’est retiré, sa longue queue pendait pleine de sperme et de cyprine, je l’ai prise en bouche pour la nettoyer. C’est encore une chose que je n’avais plus fait depuis plus de vingt ans.
Nous avons recommencé les jours suivants en trouvant à chaque fois des excuses et à chaque fois.
Il m’a comblé comme je ne l’avais encore jamais été et vous voyez qu’à 56 ans, il n’est jamais trop tard et que l’on peut toujours espérer.
De retour des vacances… il n’habite pas loin….. !! et avoir un mari qui part souvent à l’étranger… !

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