Les Caresses D'Annabelle

Je suis adepte des massages.
Oh pas depuis très longtemps mais bon, le premier que j’ai eu m’a enchanté. Donc me voici en route pour un second massage naturiste chez une autre jeune femme...
Tout s’est passé par texto et téléphone et je dois dire que j’ai été charmé par la voix douce de cette demoiselle qui répond au joli prénom d’Annabelle.
Une fois arrivé au pied de chez elle, je l’appelle au téléphone: elle me répond immédiatement et sa jolie voix sucrée m’indique le chemin pour arriver chez elle.
Elle m’ouvre et je découvre une jeune femme au teint pâle et à l’air souriante. Elle a des lèvres pulpeuses très joliment maquillées de rouge et son visage est doux et respire la gentillesse.
Elle est vêtue d’un charmant déshabillé blanc qui permet de discerner qu’un corps d’une grande beauté est caché là, à portée de mes mains.
Ses jolis yeux verts sont encadrés par de beaux cheveux blonds: elle est fine, voire élancée. La poitrine semble menue mais ses jambes sont magnifiques. Elle a en prime un très joli derrière qui doit être un enchantement à caresser.
Une fois éliminé le côté financier, la jeune néréide de vingt six printemps se déshabille et me fait signe de faire de même. Elle me demande si j’ai déjà reçu ce genre de prestations et je prétend que non, c’est la première fois. Un petit mensonge pour qu’elle se sente bien et soit rassurée par mon inexpérience dans ce domaine. Ceci dit, je n’ai eu qu’un massage naturiste auparavant donc mon expérience reste limitée...

J’admire son corps superbe avec de charmants petits seins très biens proportionnés et naturels, une taille mince et une petite chatte au maillot bien entretenu. Je lui dis combien je la trouve belle et elle a la délicatesse de rougir légèrement. Pourtant, je pense que tous les hommes qui profitent de ses charmes doivent lui dire la même chose.
Je lui demande si je peux la tutoyer mais elle me dit qu’elle trouve que le vouvoiement entre nous est plus sympathique ce qui, je dois l’admettre, est vrai: cela élimine tout risque de vulgarité sans pour autant altérer nos rapports.

Cela donne aussi un petit goût d’ancien régime et de courtisanerie à notre rencontre.
Elle m’indique de la main un canapé déplié avec une serviette dessus qui m‘attends.
Je m’allonge sur le ventre et elle commence alors son œuvre avec douceur. Je sens ses doigts fins et longs parcourir mon dos jusque sur les fesses qu’elle malaxe avec une grande douceur. Ses jolies mains s’attardent et caressent mon entrejambe montant jusque sur mes gonades qu’elles enveloppent doucement. Nous parlons de choses et d’autres et elle me raconte son amour de l’art et notamment de l’art du dix neuvième siècle.
Elle me dit qu’elle est une jeune femme un peu fantasque qui n’a pas encore trouvé sa voie mis à part l’art qu’elle adore. Elle étudie l’histoire de l’art et est littéralement intarissable sur le sujet. Sa douce voix me berce tandis que ses mains ne cessent ses caresses. Elle me raconte qu’elle dessine et écrit et que peut-être un jour, me montrera t-elle ses œuvres.
Pendant ce temps, je sens mon sexe se durcir et lorsqu’enfin je me retourne pour qu’elle s’occupe de moi en face à face, elle me sourit gentiment. Elle ne s’occupe pas de mon sexe et s’agenouille à mes côtés pour me caresser la poitrine. Je commence alors à lui rendre la pareille, notamment sur ses tétons que je sens durcir sous les doigts. Je lui demande ce qu’elle aime et elle me dit qu’elle souhaite que je lui caresse ses bras et ses poignets. Je m’y astreins, caressant ces jolis membres fins et appréciant de pouvoir lécher et embrasser sa peau. Elle gémit par moment lorsque je lui touche de mes lèvres l’intérieur de ses poignets en lui caressant les seins. Elle a le souffle court et accepte sans soucis que je glisse mes doigts dans son intimité.
Je m’introduis en elle et je sens ses grandes lèvres accueillir mes doigts avec un plaisir évident. Lascive,,elle s’abandonne à mes caresses et je la voit fermer les yeux de plaisir. Elle gémit doucement. Son vagin est étroit: je sens sous mes doigts son humidité intime se développer: elle est vraiment mouillée à présent.

J’attire Annabelle vers moi et je lui suce ses jolis seins qui ont un goût de bonheur inimitable: sa peau est d’une douceur extrême sous mes lèvres et la langue.
Je m’enfonce dans un palais de plaisir, de douceur et de lascivité.
Lorsque je veux l’embrasser sur la bouche, elle se refuse à moi: c’est là sa limite que je respecte. Je lui caresse alors son si joli derrière mais elle ne semble guère apprécier cela: pourtant c’est une des plus jolies parties de son anatomie.
En lieu et place, elle m’autorise et me demande de lui donner du plaisir avec ma langue.
Doucement, en partant de ses seins, je descend jusque sur les poils de son pubis: elle a une petite touffe de poils qui surmontent joliment son sexe dont je vois les lèvres humides de désir. Je m’agenouille entre ses jolies jambes que je lui écarte doucement et je pratique alors sur elle un cunilingus doublè d’un doigtage sur son adorable clitoris. La jeune femme gémit de plus en plus et je sens que je lui donne un plaisir qu’elle apprécie au plus haut point. Nous continuons ainsi pendant un long moment et au paroxysme de son désir je lui enfonce un puis deux doigts de plus en plus profondément et j’imprime alors un mouvement de va et vient qu’elle suit avec entrain. Son vagin est effectivement serré mais aussi accueillant à mes doigts qu’à ma langue.
Enfin, je sens sa jouissance arriver et je retire mes doigts, recouverts de son plaisir.
Je me rallonge alors sur le dos et la jeune femme s’agenouille à mes côtés. Avec ses jolis doigts si fins, c’est elle qui me donne du plaisir à mon tour, me caressant la queue en me souriant. Elle me parle en même temps de son amour des hommes, parlant de la diversité des rencontres qu’elle fait au long de ses massages.
Je jouis en longs jets entre ses doigts: Annabelle accentue encore son sourire et continue à me branler jusqu’à ce que ma queue ne puisse plus rien donner. Puis la jeune femme att des lingettes et essuie ses mains et mon sexe de ma semence.

Je la prend entre mes bras et je lui dit ma satisfaction en lui susurrant dans l’oreille ma joie de la connaître.
Je caresse une dernière fois son joli corps de jeune déesse blonde évadée de l’Olympe et file vers la douche.
Après la douche, Annabelle s’est rhabillée et nous parlons de choses et d’autres. Elle me parle de son amour des hommes et des animaux, notamment des chiens. Elle me parle aussi de son amour de la culture japonaise. Elle m’avoue que si un jour elle va là bas, elle ne pense pas pouvoir revenir en France. Je lui dis qu’à mon avis, ce sont plutôt les japonais sui l’empêcheront de partir.
Connaissant les japonais, je sais que du fait de son mètre soixante dix, de ses yeux verts et de sa grande beauté, elle ferait un tabac là bas, rendant sans doute amoureux tous les hommes qu’elle croisera.

Je ne lui ai pas dit que je vais à Tokyo au moins une fois par an pour affaire...
Mais peut être que la prochaine fois, je lui proposerai de m’accompagner là bas, ça pourrait être... intéressant!

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