Une Fille De Mon Âge

Après mes vacances de pâques et mes premiers rapports sexuels avec Mireille (voir « Mon dépucelle avec une copine de ma mère »), je suis retourné à l’école la tête pleine de questions. J’ai continué un moment à coucher avec Mireille mais rapidement elle a voulu mettre fin à notre histoire, elle disait que ça ne mener à rien sauf des problèmes.

J’avais prévu de passer une partie de l’été chez elle mais bien qu’elle m’ait quand même invité j’ai préféré changer mes plans. Du coup je suis aller rejoindre des potes qui campaient près de Perpignan. J’aime bien dormir sous une tante, parler avec des personnes à qui je n’aurai pas adresser la parole dans mon quotidien… mais les soirées organisé par le camping c’est pas pour moi. Attention je ne critique pas mais je n’apprécie pas.

J’y vais quand même pour accompagner mes potes mais j’ai pensé qu’avec une bière ça passe mieux. Je m’emmerde quand même au comptoir alors que mes amis jouent au loto quand je vois à deux tabourets de moi une black qui à l’air d’autant profiter de sa soirée que moi. Je l’aborde en lui disant qu’apparement elle aussi passe une mauvaise soirée et que peut être à deux ça sera plus agréable.

Elle me regarde et me sourit mais ne desserre pas les lèvres alors je rajoute:
« Tu accompagnes aussi des amis? »
Elle rigole et me dit qu’elle travaille à côté d’ici mais qu’elle vit à 40 minutes de route, sa colocataire travaille ici et a une voiture alors elle l’attend. Je ne sais pas quoi lui répondre de trop idiot mais elle rajoute:
« Mais effectivement je me fais chier! »
Nous rigolons en coeur.

Nous passons le reste de la soirée à parler, elle a 22 ans j’en ai 18, elle travaille comme serveuse dans la pizzeria d’à côté mais pendant l’année elle fait des études pour devenir médecin et si possible pédiatre…. je lui parle aussi un peu de moi. Mes potes veulent faire un bain de minuit, ils me proposent de les accompagner mais je reste avec… j’en profite pour me présenter et lui demander son prénom:
« Rokia »

A la fin de la soirée je sais aussi que ses parents sont Maliens mais elle est née à Lyon, elle est fière de ses 2 origines.

Quand sa colocataire vient la chercher pour rentrer je suis un peu déçu de la quitter. Elle se lève pour me faire la bise, elle est un peu plus grande que moi et me dit:
« Demain j’arriverai vers 22h30 »
Le sourire me revient et je lui réponds tout simplement à demain.

Enfin de compte nous nous voyons tous les soirs et très vite la discussion à tourner sur le sexe et nos pratiques. J’ai pas eu envie de lui avouer que je n’avais connu qu’une femme et encore plus qu’elle avait 30 ans de plus que moi. Alors je m’invente quelques histoires mais en utilisant ma propre expérience. Les discussions deviennent rapidement très chaudes, je bande régulièrement mais je mets quand même 3 soirs à me décider à l’embrasser.

Alors que nos langues dansent ensemble depuis quelques minutes seulement sa coloc nous interrompt, je n’ose pas lui proposer de passer la nuit ici surtout que je n’ai pas de tente juste pour moi. Par contre le lendemain c’est son jour de congé mais elle viendra à 14 heures avec sa copine et on pourra passer l’après midi ensemble. Je lui réponds que j’ai déjà hâte d’y être, je l’embrasse une dernière fois et nous nous quittons.

Le lendemain à 13h50, je suis déjà au niveau de l’accueil à l’attendre. Je la vois arriver quelques minutes plus tard avec sa colocataire. Je réalise que c’est la première fois que je la vois à la lumière du jour, elle est vraiment belle! Elle doit faire 1m85, ses courbes sont très généreuses, des fesses bien rebondies et très cambrée, ses seins m’ont l’air bien ferme (je découvre plus tard qu’elle fait un 85B). Elle porte une petite robe d’été.

Quand elle vient vers moi, nous sommes tous les deux un peu intimidés, nos lèvres se choquent furtivement. Elle me sourit et après un moment d’hésitation je me colle à elle pour l’embrasser plus tendrement. Je lui demande ce qu’elle veut faire et elle me propose d’aller se baigner. Nous allons vers ma tente main dans la main.

Je tire ma serviette et mon maillot de bain plus quelques autres affaires mais elle me dit qu’elle connait un endroit très calme où nous serons surement seuls. Elle rajoute:
« J’adore me baigner nue! »
Je rougis et bande en même temps, heureusement que je suis agenouillé! Je mets quand même tout dans un sac à dos, je prends aussi des capotes et nous partons vers sa plage une nouvelle fois main dans la main.

Après une demi heure de marche nous y arrivons enfin, effectivement il n’y a personne mais je n’ose pas encore me déshabiller alors je reste un moment debout en short et t-shirt. Je me mets face à la mer pour profiter du calme, quand je me retourne vers Rokia, elle est en culotte blanche et soutien gorge assorti qu’elle est entrain de dégrafer. Quand je la vois complètement nue, j’ai encore moins envie de me déshabiller vu que je bande.

Elle va vers la mer, rentre les pieds dans l’eau et se retourne vers moi pour me demander:
« Tu ne viens pas avec moi? »
Je ne peux pas lui répondre non alors je commence à me déshabiller en ne quittant pas son postérieur des yeux. Ca ne m’aide pas à débander mais le spectacle vaut le coup. Je commence à rentrer dans l’eau et quand elle se tourne vers moi je cache ma bite tendue.

J’ai du mal la camoufler parce qu’elle me dit:
« Tu n’as pas à t’offusquer. C’est même plutôt flatteur! Enfin si c’est bien mon corps qui te fait ça! »
Alors qu’elle me sourit tendrement je retire mes mains de devant moi et j’avance la rejoindre. Mon sexe raide se balance à chacun de mes pas et Rokia n’en perd pas une miette. Quand je suis à sa hauteur je la prends dans mes bras et nous nous embrassons.

Nos lèvres sont collés et ma langue est dans sa bouche. Mes mains explorent son corps alors que les siennes se contentent de mon dos et mes cheveux. Ma bite est contre sont sexe, j’ondule légèrement pour les frotter l’un contre l’autre. Alors que nos lèvres sont toujours soudées je tâte gentiment ses fesses dans l’eau, je descend aussi sur ses cuisses. Je caresse son petit ventre que je n’avais pas remarqué, j’effleure ses seins que je n’ose pas trop aborder.

Comme nos corps se décolle, elle plonge dans l’eau et je nage la rejoindre. Nous batifolons encore un moment mais elle commence à avoir froid et aimerait lézarder au soleil alors nous ressortons. Je suis Rokia pour de nouveau admirer ses fesses nues. Une fois chacun sur sa serviette je n’arrive pas à retenir ma main d’aller sur son corps. Je la pose d’abord sur son ventre puis avec mon index je parcours sa peau.

Je remonte pour commencer par son visage, je sens sous mon doigt qu’elle sourit, je descends le long de son cou ensuite je dessine le contour de chacun de ses seins. Je remonte doucement, avec des cercles vers ses tétons qui sont bien durs. Je les pince légèrement, elle se met à gémir alors je continue de jouer avec un moment.

Ensuite mon doigt reprend sa descente, il se ballade autour de son nombril et se rapproche de plus en plus de son mont de Vénus. Mais je le contourne et je me baisse pour enchainer sur l’extérieur de ses jambes jusqu’à atteindre ses pieds que je masse un peu, là aussi elle gémit mais différemment. Ensuite je remonte par l’intérieur de son mollet, quand je touche l’arrière de son genou elle se met à se tortiller.

Je grimpe encore un peu le long de sa cuisse et jusqu’à me retrouver au niveau de son entrejambe. Je passe par l’aine puis mon doigt part se balader dans sa petite toison foncée. Je bande presque à en avoir mal alors que Rokia, qui a toujours les yeux fermés accompagne ses roucoulades de mouvements du bassin. Je fais descendre mon index jusqu’à la pointe de ses grandes lèvres, j’évite son clito et je descends le long de celle qui est de mon côté.

Je remonte mon doigt encore plus lentement sur l’autre lèvre, elles s’écarte un peu pour me dévoiler encore plus son intimité. Je refais quelques tours sur ses grandes lèvres pour avoir d’autres belles apparitions. Ensuite mon index part à la recherche de son clito que je commence par faire rouler sous mon doigt. Elle gémit de plus en plus et son sexe s’ouvre tout seul.

J’abandonne son petit bouton un moment pour caresser ses petites lèvres et l’entrée de sa grotte. C’est très humide de se côté et j’en profite, je sens l’ouverture de son vagin s’ouvrir sous mon massage. Je vais pour remonter mon doigt sur son clito mais il est aspirer par son con et s’enfonce complètement.

Je profite de cette intrusion involontaire pour faire sortir et rentrer mon index tout doucement. Tout son corps bouge avec ma main quand j’accélère le rythme, ses gémissements se font plus forts. Au bout d’un moment je calme le jeu et mon majeur vient se lubrifier entres ses grandes lèvres. Je ressors mon index pour les rentrer ensemble, une fois qu’ils sont bien au fond je rapproche mon visage de son sexe.

Juste quand j’allais pouvoir la goûter, elle att mes cheveux et me relève. Elle s’assoie alors que mes doigts sont toujours en elle et m’embrasse goulument. Elle retire doucement ma main en me disant:
« Pas ici, il y a peu peut être pas grand monde mais on ne sait jamais. »
Elle m’embrasse une nouvelle fois et rajoute:
« On se refait un petit bain, on se sèche gentiment au soleil et on va chez moi? ».

Je ne peux qu’accepter et c’est ce que l’on fait même si pour la partie séchage au soleil je reste collé à elle mais je suis sage. Une fois rhabillé, on ne prend pas le chemin du camping mais on continue dans la même direction qu’à l’aller. Au bout de 15 minutes de marche elle nous fait bifurquer sur un chemin et nous rejoignons la route.

On attend un moment le premier bus mais aussi le second. Après plus d’une heure de transport nous arrivons enfin devant chez elle. Dès qu’elle a refermé la porte Rokia est venue se coller à moi, sa bouche se colle à la mienne et le bout de nos langues se rencontrent. J’adore ses lèvres pulpeuses et encore plus quand elles sont contre les miennes.

Je lui caresse gentiment le dos alors qu’elle, contrairement à la plage, est tout de suite moins sage. Elle att une de mes mains pour la faire glisser sous sa petite robe et lui caresser les fesses. Son autre main se pose directement sur ma bite qu’elle masse à travers le pantalon. Je continue de gonfler sous ses doigts jusqu’à me sentir un peu trop à l’étroit.

Tout d’un coup notre baiser devient plus animal, ma langue explore sa bouche et danse avec la sienne. Sa main qui était avec moi sur ses fesses, att ma nuque et me plaque encore plus contre elle. Ma deuxième main vient se glisser entre nous et vient lui caresser le sein gauche. Comme elle n’a pas remis son soutien gorge je peux même lui pincer le téton.

Au bout d’un long moment de cet étreinte qui, pour moi, aurai pu encore durer des heures, nos corps se dessoudent lentement et nous nous éloignons un peu l’un de l’autre. Elle me dit:
« En premier j’ai besoin de prendre une douche! »
Je pense qu’elle va me laisser déambuler seul dans son appartement mais elle att ma main et rajoute:
« Tu viens avec moi! »

Une fois complètement nu, mon érection est retombé alors j’en profite pour me glisser sous le jet d’eau sans la regarder pour ne pas m’exciter trop rapidement. Alors que je me prélasse, je la sens derrière moi, elle commence par me savonner le dos. Puis ses mains descendent sur mes fesses et font des petits cercles. Même sans admirer son corps nu je me remets à durcir.

Au bout d’un moment une de ses mains se glisse dans ma raie et passe à plusieurs reprises entre mes fesses. Je ne m’attendais pas à ça mais j’aime beaucoup ce qu’elle fait. Puis ses doigts se posent sur ma rondelle et la savonne tout en la massant. Quand je commence à gémir je l’entends glousser. Elle continue encore un peu et descend sa main, Rokia me fait écarter les jambes et me nettoie bien entre mes couilles et la naissance de ma raie.

Ensuite elle me retourne, je me laisse complètement faire je préfère, je ne suis pas encore très sûr de moi avec les filles. Après avoir repris du savon elle pose directement sa main sur ma queue qui est à demi raide. Elle fait quelques allers retours pour la faire encore gonfler et descende sur mes couilles. Elle les malaxe un bon moment.

Ensuite elle remonte sur ma tige et me frictionne à deux mains. Je pose une des miennes sur son mont de Vénus mais elle me repousse immédiatement. Elle me branle à l’aide du savon pendant un bon moment et quand je suis au bord de l’extase elle arrête tout. Pendant que je reprends mes esprits en me rinçant, elle se lave tout seule, elle finit par son cul et sa chatte sur lesquels elle insiste bien.

Elle sort de la douche me tend une serviette et en prend une autre pour elle. Nous nous séchons chacun de notre coté sagement. Je suis encore bien raide, j’ai envie de lui sauter dessus mais j’ai peur de sa réaction. Une fois sec elle accroche sa serviette et fait pareil avec la mienne et elle m’att la main. Elle m’attire jusqu’à sa chambre et me pousse sur son grand lit. Je me retourne sur le dos et l’admire une nouvelle fois complètement nue.

Elle me demande d’allumer la lampe qui est sur la table de chevet, j’admire son cul pendant qu’elle se penche pour fermer les volets. Elle vient s’allonger dans le lit mais se glisse sous le draps, elle m’invite à la rejoindre. J’essaye de me glisser gracieusement dans le lit mais un mauvais geste et je me retrouve par terre, elle explose de rire et j’ai le stresse qui monte.

Je me glisse sous le drap pendant qu’elle se calme et je la laisse venir se coller à moi. Nous restons ainsi immobile en silence. Rokia se tourne vers moi et me caresse le torse. Elle sent mon coeur battre à toute vitesse et me demande ce qu’il se passe. Je lui avoue que je stresse un peu. Elle me dit qu’il n’y a pas de quoi et dépose ses lèvres sur les miennes.

Elle se met bien sur le côté, me fait me tourner pour être dans la même position face à elle. Elle pose sa main sur mon torse qu’elle caresse pendant que son visage se rapproche du mien. Dès que nos lèvres rentrent en contact le baiser est fougueux, elle me mordille la lèvre et rentre sa langue dans ma bouche. Sa main descend de plus en plus et empoigne ma queue.

Elle ne me masturbe pas comme elle a pu le faire sous la douche mas elle fait tapoter ses doigts tout le long de ma tige mais aussi sur mes couilles. Je rentre dans la danse et lui caresse un sein avec ma main du dessous alors que l’autre cherche ses fesses. Ce qu’elle me fait est tellement bon que je suis déjà raide comme un piquet. J’ai du mal à atteindre son cul alors je me concentre entièrement sur sa poitrine.

Au bout d’un moment elle nous fait rouler, Rokia se retrouve sous moi. Mes lèvres se désolidarise de sa bouche mais pas de sa peau, après lui avoir titiller les oreilles je descends sur son cou, j’embrasse ses épaules avant d’atteindre délicatement sa poitrine. J’embrasse d’abord le sein droit en cercle, comme j’avais fait avec mon doigt sur la plage. Je prends tout mon temps à faire glisser mes lèvres autour de sa petite montagne noire.

Quand j’arrive sur son téton je l’embrasse d’abord à plusieurs reprise pour le faire durcir. Ensuite je le pince entre mes lèvres et enfin je l’aspire pour le caresser du bout de la langue. Je lui fait un dernier baiser mais beaucoup plus long et insistant. Je pose ma langue sur la naissance de son sein gauche mais au lieu d’en faire aussi le tour je remonte en ligne droite jusqu’à son téton que j’embrasse fermement entre mes lèvres.

Je recommence mais cette fois en décaler de la première fois. Plus j’avance autour de son sein plus le traitement de son téton s'intensifie et c’est la même chose avec ses gémissements. Pour la dernière remontée je gratifie le bout de son sein avec mes dents, elle se met immédiatement à crier mais de plaisir et appuie sur ma tête pour que je continue ce traitement.

Malgré sa main je poursuis mon exploration toujours ma bouche ou ma langue contre sa peau. Je me retrouve face à son sexe, je pose ma lèvre inférieure sur le haut des siennes intimes et je remonte doucement pour faire sortir son clito. Après quelques passages, il pointe le bout de son nez je commence à le titiller mais Rokia me demande de descendre encore un peu. Je pose donc ma bouche autour de ses grandes lèvres et je les lèche avec ma langue.

A force elles s’ouvrent de plus en plus, je commence à rentrer ma langue comme je le ferai avec sa bouche. Son goût est très different de celui de Mireille (à ce moment de ma vie c’est la seule vraie référence que j’ai) mais très agréable quand même. Elle mouille suffisamment mais pas abondamment, je me délecte du peu que j’arrive à avaler.

Quand ma bouche se décolle de son con je suis étonné du contraste entre la parleur de son sexe et le noir de sa peau. Je lape le rose pâle un moment et je fais lentement pénétrer ma langue dans sa chatte. Une fois que je suis bien au chaud en elle je la remue dans tous les sens. J’entends Rokia gémir de plus belles mais aussi appuyer sa main sur ma tête pour augmenter l’intrusion.

Quand ma langue se sort de sa grotte je la remplace tout de suite par mon majeur. Il rentre sans aucune difficulté, je le fais d’abord tournoyer en elle. Ensuite je le fais ressortir tout aussi lentement qu’il est rentré. Je le lèche pour profiter de son nectar et je le refais rentrer. Cette fois je la lime directement avec mon doigt, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement.

Je ressors mon doigt je le suce encore une fois ensuite j’humidifie aussi mon index et quand mes deux doigts sont entièrement en elle ma bouche repart sur son sexe. Cette fois ma langue s’occupe uniquement de son petit bouton pendant que ma lèvre inférieure s’agite autour de mes doigts qui coulissent en elle à différents rythmes.

Le tempo de ses gémissements donne le rythme aux ondulations de son corps, sa main est de nouveau sur ma tête et augmente la pression autour de son clito que j’aspire et mordille en même temps. Ses jambes se mettent à bouger dans tous les sens, sa main enfonce encore plus ma tête entre ses cuisses et ses gémissements sont maintenant des cris.

Je fais aller et venir mes doigts en elle à un rythme fou alors que mes dents ne lâche pas son clito que ma langue titille encore plus. Je sens sa moule se contracter autour de mes doigts, j’arrête les allers retours mais je les fais bouger au plus profond de sa chatte. Elle pousse un long cri suivi d’un soupir. Son corps se détend et retombe pendant que je desserre mon étreinte.

Quand elle reprend ses esprits elle me fait remonter le long de son corps, j’en profite pour bien la frotter contre moi et lui faire sentir mon excitation. Elle lèche plus son nectar autour de ma bouche que nous nous embrassons puis elle me fait mettre sur le dos. Elle constate immédiatement que je n’ai pas débandé et descend entre mes jambes pour lubrifier tout ça.

Elle m’empoigne la base de la queue et avale immédiatement mon gland qu’elle se met à téter et aspirer. Son autre main me masse les couilles alors que sa langue passe sur mon méat et le bout de sa langue tente de le pénétrer. Je n’y prend pas trop de plaisir, heureusement elle descend rapidement sur mon frein qu’elle lèche avec le dessous râpeux de sa langue.

Je gonfle encore plus et je vois du liquide transparent couler de mon urètre. Dès qu’elle le sent elle remonte sa langue pour le lécher en me fixant du regard. Ses yeux toujours plongé dans les miens, elle enfonce doucement ma bite dans sa bouche. Une fois que je cogne sa glotte, elle prend le chemin inverse jusqu’à ce que ses lèvres buttent contre le replis de mon gland. Elle tourne autour de mon champignon puis m’avale de nouveau en faisant tournoyer sa langue et ainsi de suite… jusqu’à ce qu’elle abandonne ma queue.

Rokia s’allonge sur le dos à côté de moi et me fait monter sur elle. Ses jambes sont grandes ouvertes et légèrement pliées, je place les miennes entre les siennes. J’empoigne ma queue et après y avoir déroulé une capote qu’elle me tend, je caresse mon gland contre ses lèvres intimes. Ensuite je le place à l’entrée de sa grotte et je pousse pour le faire rentrer.

Je rentre très doucement en elle mais je ne m’arrête pas avant que mes couilles soient contre ses fesses. Je me soulève de bas en haut pour que mes poils pubiens caressent son clito bien gonflé en plus de taper ses parois intérieures, elle se remet à gémir. Elle rentre ses mollets à l’intérieur de mes jambes pour me bloquer dans cette position alors je commence à la lime avec des petits coups de rein assez secs.

Elle ne gémit plus mais ronronne sont plaisir, elle pose ses mains sur mes fesses et appuie dessus pour m’enfoncer encore plus profondément en elle. Quand ses jambes me libèrent je peux enfin augmenter mon amplitude et elle commence à contracter son vagin autour de mon sexe. Je rentre tranquillement dans la phase où il faut que de temps en temps je me retienne pour ne pas jouir et avec ses muscles qui m’enserrent encore plus ce n’est pas facile.

Au bout d’un moment elle nous fait tourner en gardant mon pieux planter en elle, je me retourne sous elle qui se met à me chevaucher. Elle démarre directement sur un rythme assez soutenu, je l’att par la taille pour l’aider dans ses mouvements j’en profite aussi pour admirer ma queue rentrer et sortir d’elle. Son petit bouton me donne très envie alors je pose mon pouce droit dessus et le malaxe.

L’effet est immédiatement elle se met à crier et enserre encore plus fort ma queue dans sa grotte. J’augmente la pression parce que je sens que je vais bientôt jouir mais elle me devance. Rokia sort un long son roque suivi de plusieurs gémissements très profond. Son vagin se contracte tellement autour de moi que je n’arrive plus du tout à contrôler et je me vide dans ma capote alors qu’elle continue à me chevaucher mais en ralentissant doucement la cadence.

Quand elle commence à redescendre, elle s’assoie sur moi et ondule encore un peu du bassin puis elle vient plaquer ses seins contre moi (quand je les sens me toucher je regrette de ne pas avoir plus joué avec). Nous restons un moment comme ça alors que mon sexe rétrécie doucement dans le sien.

Au bout d’un moment elle se lève, quand ma bite la quitte on entend un gros « blup » et disparait de la chambre. Quelques minutes après j’entends la chasse d’eau puis la douche. Quand elle revient je vais à mon tour me laver et la rejoindre dans le lit. Je voulais remettre ça mais elle me demande de partir avant que sa coloc ne revienne parce qu’elle non pas le droit de ramener d’hommes à la maison.

Elle m’accompagne à l’arrêt du bus, je regrette de ne pas passer la nuit avec elle mais je me réjouis de la retrouver le lendemain soir à la soirée du camping…