Ma Première Soumission (Partie 5 )

IL est là, dans l’encadrement de la porte, toujours aussi grand et imposant, ses yeux perçant qui me fusille du regard.
« Tu es en avance. J’avais dis 19h, pas 18h45. Déshabille-toi. »
Me déshabiller ? Là ? De suite ? Dehors ??
Il reprend :
« Toi tu as vraiment envie de m’énerver on dirait. »
Je comprends que j’ai plutôt intérêt à filer doux et à faire ce qu’il me dit.
Je me déshabille intégralement pendant qu’il m’observe.
Il fait froid, je frissonne, mes tétons pointes et ça à l’air de l’amuser.
Il m’empoigne par le bras et me fait rentrer. Il ferme la porte et la verrouille. Il part s’installer confortablement sur le canapé. Je reste devant la porte n’osant pas bouger, nue comme un vers. Il s’allume une cigarette et me dis :
« Inspection, viens face à moi mains dans le dos. »
Je me place devant lui les mains dans le dos. Il regarde mes seins longuement puis commence à me pincer les pointes, les faire rouler entre son pouce et son index tout en les tirant pour les allonger, je me tortille pour essayer d’échapper à ses doigts.
« NE BOUGE PAS » m’aboya t’il dessus.
Je me remets en place en essayant de rester immobile au possible.
Après de longues minutes à m’exacerber le bout des seins il me dit de me retourner et d’écarter les jambes. Je m’exécute sans broncher.
« Penche toi jusqu’à que ta tête touche la table basse et écarte tes fesses de salope avec tes mains »
Je me penche jusqu’à que je sente le contact du verre froid de la table sur le dessus de ma tête et écarte mes fesses.
Il passe sa main entre mes jambes et me montre une grosse seringue remplie d’un liquide transparent. J’ai la tête à l’envers mais je peux lire les graduations. La seringue contient 200ml de liquide inconnu. Il se met à parler d’une voix calme:
« L’huile de coco est réputée pour ses qualités nutritives. Elle rend la peau souple et douce, sans compter bien évidemment son pouvoir lubrifiant très efficace.

Je pense qu’un lavement anal sera parfait avec ça. Ta première punition pour ne pas être arrivé à l’heure mais en avance, sera d’encaisser 1 litre d’huile de coco dans ton cul de chienne et de la garder bien au chaud le temps de ta deuxième punition. Tiens tes fesse bien écartées avec tes mains, je ne veux pas que tu en perdes une goutte. »
Je trésaille au contact du petit embout en caoutchouc de la seringue qui me pénètre l’anus. Je sens tout à coup l’huile se déverser dans mon cul. La sensation est étrange, j’ai l’impression de me faire dilater l’intérieur sans pénétration.
Je sens le caoutchouc se retirer et je le vois la tête à l’envers aller recharger la seringue dans une grande bouteille. Il revient et me renfonce immédiatement l’embout dans mon petit trou. La deuxième déferlante ne se fait pas attendre, il appuie sur la seringue et je sens l’intérieur de mon conduit gonfler. La sensation commence à être intense, mon colon commence à avoir des spasmes et à essayer d’évacuer l’huile. Il s’en rend immédiatement compte :
« Serre ton cul sur l’embout, il n’y a pas intérêt qu’il y ai une seule goutte qui sorte et qui tombe au sol. Encore 3 seringues. »
Il retire l’embout en m’ordonnant de bien serrer en attendant qu’il revienne. Il part recharger, me renfonce la seringue dans les entrailles et la vide.
« Plus que 2. Serre bien j’ai dis ! »
Je contracte le plus possible ma rondelle. La quatrième dose administrée, il revient avec la cinquième. Je tremble tellement mon envie de déféquer est forte. Je serre de toutes mes forces l’embout qu’il me replace dans mon petit trou. Il injecte doucement la dernière dose d’huile de coco alors que je sens mes entrailles prêtes à exploser.
« Voilà, c’est bien ma petite chienne, tu sens comme l’huile te remplie bien le cul ? Il va être lubrifié à souhait, ça va me plaire. Garde encore les fesse écartées on va mettre un bouchon pour garder tout ça au chaud »
Je le sens m’insérer le petit plug qui glisse tout seul avec l’huile.

« Parfait, reste la tête sur la table, lâche tes fesses et mets tes mains dans ton dos. Maintenant tu vas avoir ta deuxième punition, je pense que tu vas te rappeler un moment qu’il ne fallait pas essayer de m’échapper avec tes lamentables tentatives de gamine. Tu vas goûter à la ceinture. Tu as gagné 10 coups et tu vas les compter à voix haute. »

Je tremble de peur. Je ne me suis jamais faite fouettée avec une ceinture ! Déjà la violente fessée de la dernière fois m’avais irritée le derrière jusqu’au lendemain matin. Je l’entends ouvrir la boucle de sa ceinture et la tirer des passants de son jean. Il fait courir le cuir le long de mes fesses et abat le premier coup. Je hurle de douleur et de surprise.
« COMPTE !!! »
Je cris « UN ! »
Il abat le 2ème coup, la douleur est cuisante. « DEUX ! « Il enchaine les 4 coups suivants sans s’arrêter, je continue de compter en criant « TROIS QUATRE CINQ SIX !! » Il me hurle dessus en mettant le septième :
« TU N’ESSAYERAS PLUS DE M’ECHAPPER ET TU M’OBEIRA !!! »
Je crie en pleurnichant « OUIIIIIIII !!! SEPT !!! »
Huitième coup. « HUIIIIT »
Neuvième coup, je manque de m’évanouir « NEEEUUFFF »
Dixième et dernier coup je pleure de douleur « DIIIIIIX »
« Redresse toi et regarde moi. »
Je me relève péniblement, me retourne et le regarde les joues pleine de larmes. Aucune compassion dans son regard. Il me fixe et me dit :
« J’attends, qu’a tu as me dire ? »
Je me sens complètement humiliée, mes fesses sont en feu et me font mal à tel point que j’en ai oublié l’huile qui me remplie depuis tout ce temps. Je lui réponds en pleurnichant :
« Je suis désolée, je ne recommencerai plus et je vous obéirai Monsieur »
Il ricane satisfait :
« C’est bien petite chienne, la ceinture t’as rendue docile. Si tu me refais un coup pareil tu re goûteras au cuir, compte sur moi. Maintenant à genoux, et suce moi, ton petit cul bien rouge m’a donné envie de juter.
»

Je m’agenouille devant lui, déboutonne son pantalon et extirpe son énorme queue déjà bien dure, il n’avait pas menti, me fouetter le cul l’avait fait bander comme un âne. J’entreprends de le sucer avec application mais au bout de quelques minutes il commence à s’énerver :
« Est ce que c’est comme ça que je t’ai appris à me sucer ??? »
Il m’att par les cheveux et me traine à quatre pattes contre le mur, il me refait mettre à genoux et plaque ma tête contre la paroi.
« Ouvre bien grand ta bouche et tire la langue dehors comme une chienne qui halète et qui a soif de sperme»
J’obéi docilement sachant que je ne pourrais pas y échapper. Et là, il commence à me baiser violement la bouche en allant bien au fond de ma gorge à chaque fois. Des hauts le cœur me prennent à chaque aller retour, j’ai de la bave qui coule de partout. Il continu imperturbable à m’écarteler la bouche et la gorge pendant de longues minutes, jusqu’à qu’il ralentisse et se positionne à l’entrée de mes lèvres et se mette à se masturber.
« Je vais jouir, n’en perd pas une goutte, et tu le sais, interdiction d’avaler tant que je ne t’en ai pas donné la permission. »
Au bout de quelques secondes il me déverse un flot de sperme chaud dans la bouche. Je prends bien garde de ne rien mettre à côté et ferme la bouche quand il a terminé. Toujours une quantité impressionnante. Il referme son jean et va s’assoir dans le canapé pour fumer une cigarette.

J’attends, toujours à genoux, la bouche et le cul pleins, qu’il me permette d’avaler sa semence. Je regarde furtivement autour de moi et repère de toutes petites caméras fixées aux coins de la pièce. Il doit y en avoir au moins 8 ! Ce salop s’est bien organisé pour avoir des prises de vues de tous les côtés quelque soit ma position dans la pièce !

Au bout de 10 longues minutes, il m’ordonne de me lever et d’aller me vider ‘’mon cul de salope’’ aux toilettes.
« Et n’oublie pas de prendre ta douche.
» me dit il.

Je pars dans la salle de bain, enlève le plug et sent un flot d’huile se déverser de mon cul. Une odeur de noix de coco envahie la pièce, ça sent plutôt bon. Le débit d’huile diminue, ça y est j’ai fini. Je vais me lever de la cuvette pour m’essuyer mais mes intestins se remettent à faire des spasmes et un second lâcher d’huile coule à nouveau. Je reste encore quelques minutes en position pour finir d’évacuer le restant du produit. Enfin je me sens vidée et soulagée.
Je passe à la douche et fais couler l’eau tiède sur mon corps. L’eau brûle mes fesses endolories, je gémie de douleur bouche fermée vu que son sperme est toujours dans ma bouche. D’ailleurs n’a-t-il pas oublié de me dire d’avaler ?
Je me savonne rapidement, rince la mousse et sors de la douche. Je me retourne devant le miroir et observe mes fesses. Elles sont zébrées de traces rouge bien enflées. Cette punition était vraiment sévère, il était vraiment en colère de mon comportement. Je n’aurai jamais dû essayer de lui faire faux bond et je ne risquais pas d’oublier la leçon ça c’est sûr!

Je me dépêche de me sécher et reviens dans le salon. Au milieu de la pièce trônent une paire d’escarpins en satin rouge lucifer. Les talons aiguilles sont très hauts et pointus.
« Enfile ces talons. Désormais tu devras les mettre en permanence. Tu apprendras à marcher correctement à force de les porter. »
Je chausse les escarpins et me retrouve perchée tout en haut de ces talons. Mes fesses se cambrent automatiquement pour arriver à trouver l’équilibre.
« Viens par ici que je t’installe ton harnais »
Je me dirige vers lui en chancelant, les talons claquent au sol. Il s’empare du harnais et me l’enfile sur la poitrine. Comme l’autre soir mes seins se retrouvent comprimés entre les bandes de cuir, ce qui a pour effet de me bander les seins et tendre mes mamelons au maximum. Il attache ensuite le collier qui relie le harnais autour de mon cou en tirant au maximum, ce qui a pour effet de remonter ma poitrine très haut.
« Maintenant on va s’occuper de tes petites lèvres. Ecarte les jambes. »
Je m’exécute et le vois saisir sur la table 2 pinces reliées par une chaine. Il se met à genoux à hauteur de ma chatte, m’écarte les grosses lèvres, att mes petites lèvres, tire dessus et de l’autre main pose la première pince sur le bas de mon intimité. Ca ne me fait pas mal, je sens que ça pince et que mes petites lèvres sont bien serrées mais pas de douleur. Il att la deuxième pince et me la pose au niveau du clitoris. Pareil, pas de douleur, je sens juste mon clitoris bien comprimé sous la pince.
« Parfait, maintenant on va commencer à travailler ces petites lèvres pour qu’elles deviennent plus longues et qu’on les voit clairement dépasser de tes grosses lèvres naturellement. Ca deviendra une belle chatte de chienne en chaleur »
Il part fouiller dans un tiroir et reviens avec un petit poids muni d’un crochet. Il le fixe à la chaîne qui relie les pinces et le lâche. Je sens brusquement mes petites lèvres et mon clitoris s’étirer vers le bas.
« Voilà, on va attaquer avec 50 grammes pour un allongement en douceur. Tu verras au fur et à mesure du temps elles vont prendre forme. Maintenant suis moi, on va commencer le programme pour tes seins. »

Je le suis au fond de la pièce, essayant de ne pas tomber de mes talons, mes petites lèvres ballotant lamentablement sous l’effet du poids qui se balance au rythme de mes pas et mes seins pigeonnant par la faute de ce harnais.
Il s’arrête et allume une lumière. Je découvre une nouvelle installation. Il y a une caisse en bois de châtaigner de 50cm de hauteur posée au sol en face du mur sur lequel je remarque un petit gode fixé lui aussi à 50cm de hauteur. Mon regard revient à la caisse. Elle a deux trous circulaires de bonnes tailles sur le dessus.
« Voilà ton nouveau programme, ne fais pas cette tête de bécasse, tu vas y passer beaucoup de temps ces prochaines semaines. Est-ce que ça te plait ? »
Je remue la tête ne pouvant pas répondre. Il ricane :
« Oui je sais, tu ne peux pas parler, tu conserve encore précieusement mon sperme bien au chaud dans ta bouche. Elle aussi elle va s’y habi et elle deviendra avide de ma semence, tu verras. »
Je hoche la tête pour ne pas le contrarier mais je n’en pense pas moins. Depuis 1 heure son sperme acide et amer commence à irriter les muqueuses de ma bouche. Le goût commence à devenir insoutenable et la nausée commence à arriver.
« Bon maintenant tu vas m’écouter attentivement, je ne me répéterai pas deux fois. Toutes les 2 heures dès que l’alarme de mon portable sonnera, tu viendras t’installer ici en position 4 pattes, les fesses contre le mur bien évidemment. Tu remarqueras que vu la place entre le mur et la caisse tu seras obligée de t’enfourner le gode qui est fixé au mur dans ton cul. Une fois que tu seras en position tu n’auras plus qu’à te baisser pour plonger tes mamelles dans les trous de la caisse. J’ai fixé dans ces trous deux téterelles de tire lait qui sont bien entendu reliées à l’appareil. Le cycle dure 20 mn, tu n’auras cas appuyer sur ce bouton pour démarrer la séance. Nous allons commencer par un mode stimulation. Il faut que tes mamelons soient sollicités le plus souvent possible pour augmenter ton taux de prolactine et faire grossir tes glandes mammaires. Au fil du temps elles vont se développer et produire de plus en plus de lait et ta poitrine gonflera. On appelle ça dans notre jargon la lactation induite. Toi tu as de la chance, tu produits déjà quelques gouttes de lait avec ton dérèglement hormonal, mais certaines femmes ont dû attendre de longues semaines pour arriver à produire ce que tu as déjà. Pas besoin d’avoir é pour que les seins produisent du lait. Le corps humain est bien fait et s’adapte à toutes circonstances comme tu as déjà pu le remarquer… Maintenant je vais aller faire à manger et toi tu vas commencer ta première séance. »

Il s’en va dans la cuisine. Je me retrouve dubitative devant cette installation mais je m’exécute ne voulant pas le contrarier encore une fois. Je me mets à 4 pattes, mes petites lèvres pendantes avec le poids au milieu de mes jambes, le cul face au gode et m’appuie doucement dessus. Il est de petite taille et rentre facilement dans mon anus tout huileux. Une fois le cul bien empalé sur le gode, je me baisse et fais rentrer mes seins bandés dans les trous de la caisse. J’attends quelques secondes et me décide à appuyer sur le bouton. Une succion rapide et légère aspire mes mamelons, le mode stimulation n’est pas désagréable, je sens mes bouts aspirés puis relâchés simultanément toutes les secondes. Au bout de 10 mn je sens l’excitation monter. J’ai toujours eu les tétons sensibles et ce tire lait me donne la sensation d’avoir 2 bouches qui me tètent les mamelons doucement. Si je n’avais pas son sperme gluant dans la bouche qui me donne la nausée je suis sûre que ça me ferai haleter de plaisir. Le cycle se fini, je le vois revenir vers moi.
« Lève toi le repas est prêt, viens te mettre à table. »
Je me redresse, enlève mes seins des trous de la caisse et avance les fesses pour faire sortir le gode de mon cul. Je me mets debout.
« Tiens donc je vois que cette première séance t’a plu ! Regarde moi cette mouille de salope qui coule de ta chatte ! »
Je regarde entre mes jambes et je remarque que j’ai inondé la chaine qui relie les 2 pinces sur mes petites lèvres, ainsi que le poids qui est couvert de ma mouille. J’ai honte de lui donner raison. Il rigole :
« Tu n’as pas finie de mouiller alors, car les séances vont être nombreuses ! Mais c’est une très bonne nouvelle car ça me donne une petite idée très intéressante. On verra ca plus tard, viens manger. »



A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!