Collection Soumise. Je Deviens Un Objet Sexuel. Je Craque (2/13)

Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.

C’est la tête pleine de doute sur mon couple avec Pierre que j’accepte de partir dans un gîte au-dessus d’Aix les Bains, point de départ de nombreuses courses en montagne.
Quand nous arrivons, Albert, le proprio du chalet que nous louons, nous attend derrière son portail pour nous donner les clefs.
Pierre, mon homme, ayant l’esprit bucolique, me fait l’amour sous couvert d’essayer le lit.
J’aime le début, allant jusqu’à avoir un orgasme sous sa langue, mais pour mieux m’abandonner à mon sort quand il décharge son sperme au fond de mon vagin, me laissant au bord du chemin.
C’est sous la douche que j’ai un accident qui m’oblige à être immobilisée pendant trois jours après qu’Albert le proprio m’ait remis ma cheville en place, étant un peu sorcier, il nous propose d’aller chercher l’apéro.

• Allez sur la terrasse, elle est à l’ombre, je vais chercher l’apéro et de quoi manger.
Pierre, amène de l’eau et des glaçons, il y en a dans le frigo.
• Merci Albert, Simone, appuie-toi sur moi, je vais t’installer sur une chaise à l’ombre.

Je me lève, entre Albert qui me tâtait le sein et Pierre qui me soutient, mes sensations sont bien différentes, c’est presque avec plaisir que je m’assois, libérée de la bienveillance de mon homme.
Il est loin, le moment de notre arrivée où Albert m’apparaissait comme un être immonde, maintenant je le trouve plutôt viril.
Albert revient, il a un panier avec une bouteille qui dépasse et dans son autre main, une autre bouteille, lorsqu’il s’approche, je vois que le liquide est jaune.

• Bois ça mon gars, tu m’en diras des nouvelles, bien frais, tu vas péter la santé demain matin, tu vois la côte derrière la maison, même les coureurs de l’extrême seront à la ramasse.

C’est fort, ça sent l’anis, on dirait une boisson bien connue des joueurs de pétanque dans le sud de la France.



• Je fais mon apéro avec des plantes que je vais cueillir très haut en montagne, t’en veux un autre ?
• Merci, je veux démarrer comme une fusée demain.
• Tient, mange du saucisson d’ici, quand tu seras de retour, je te ferais connaître le charcutier, c’est mon copain, c’est une pointure dans notre région.

J’ignore pourquoi parle-t-il de pointure, ce mot me fait fantasmer, j’ai l’impression qu’il est bien pourvu par la nature, serait-il encore plus impressionnant que ce que je pense ?

• Il a toujours le mot pour rire.

Je comprends qu’il parle d’autre chose que de sexe, je me surprends à laisser s’ouvrir mon peignoir comme sur le canapé, c’est un peignoir d'été, en soie fine.
Il est court et peut se fermer par une ceinture, celle ci est fixée au tissu.
Comme est placé Albert, il lui est impossible d’ignorer ma chatte, mes jambes sont un peu écartées, les pans du peignoir aussi.
Serais-je exhibitionniste ?
Par chance, Pierre est à l’autre tiers de la table ronde et ignore que je laisse Albert poser ses yeux sur mon mont de Vénus, sur les lèvres qui doivent bien se voir car lisses et longues.
Le saucisson est très bon, la nuit tombe, notre voisin avait amené une bouteille de blanc de Savoie, je suis un peu pompette, mais satisfaite de ma soirée, j’échappe à la sortie en montagne de trois jours, mais je me garde bien de le dire à Pierre.
On se quitte. Le temps de ranger et c'est le dodo.

Le lendemain je suis encore endormie quand Pierre approche du lit, après une nuit calme.

• Bise, chérie, je suis prêt, je pars comment va ton pied ?
• Un quoi, ah oui, je dormais profondément, certainement l’altitude, je crois que je vais dormir 24 heures, ce sera ma journée de récupération.
Tu as ton portable, ont s’appelle ?
• Tu es drôle ma chérie, en montagne, il y a peu de risque que je capte du réseau, mais je te promets d’essayer.


Il part et je me rendors, vers 10 heures, je me réveille, je me lève, la nature m’appelle, mon pied est peu douloureux, Albert a fait des miracles, ça m’est arrivée déjà une fois, j’avais mis trois semaines à m’en remettre.
Bien pratique ce petit peignoir, ça m’évite de m’habiller, je me lève, sur la terrasse, il y a un transat, je vais m’y allonger, je regarde la montagne essayant de voir Pierre.
Quatre heures déjà qu’il marche, il doit être loin.
Je bois une tasse de café que j’ai réchauffée, Pierre a eu la bonne idée d’en préparer une cafetière, puis un bruit, des pas.

• Salut Simone, je viens voir comment va ton pied.
• Mieux, j’ai à peine mal.
• Laisse-moi voir, je vais te refaire des passes, j’ai un don depuis ma naissance, c’est ma maman, paix à son âme, qui me l’a transmis.

Il s’assoit à mes pieds, prend ma cheville d’une main et passe l’autre sans la toucher. Je sens comme une chaleur qui monter le long de mon mollet.

• C’est suffisant pour cette fois, encore une fois demain, as-tu déjà vu des petits poussins et des petits lapins, j’ai eu des naissances dans la nuit, veux-tu les voir.
• Le temps de me préparer et je viens, j’en ai vu à la télé, jamais en vrai, il paraît que c’est chou.
• Viens en peignoir, c'est dans ma grange, tu reviendras te reposer ici après.

Oui il a raison, en cette fin de matinée il fait si chaud, je dois reconnaître que je suis un peu flémarde, je me lève, ferme la ceinture du peignoir.
Ais-je vraiment glissée dans la douche, plus aucune douleur, cet homme est un génie. Il me conduit vers la grange, nous passons à côté de son chien qui nous regarde, on entre dans un poulailler où je le suis.
Une douzaine de poussins picorent déjà les graines qui sont au sol, le coq me regarde d’un drôle d’air, Albert att un poussin et me le met dans les mains, j’ai peur de lui faire du mal.

• C’est un mâle ou une femelle ?
• Regarde sous sa queue, appuie-lui où ça fait du bien, tu verras s’il a un sexe.

• J’aurais trop peur de lui faire du mal.
• Regarde !

Il en att trois dans sa main, avec l’autre, il appuie sur le sexe, un mâle deux femelles avant de les relâcher.

• Mon coq est jeune, je l’ai changé l’an dernier, je l’ai mangé en coq au vin, un peu coriace, mais bon tout de même, celui-là et les autres vont finir sur le marché dès qu’ils feront le poids.
• Les pauvres, ils sont si mignons, dit-moi, tu vas au marché ?
• Oui, à Aix, il y a un marché tous les mercredis et samedis, mais j’y descends que les mercredis, les samedis, je reçois mes malades.
• Tes malades ?
• Crois-tu que tu sois la seule à profiter de mon don, vient voir les petits lapins.
• Ah oui, des lapinous.

Nous sortons du poulailler, dans un coin de la grange, il y a des cages, un clapier.

• Regarde-les à travers le grillage, évite de mettre tes doigts, la mère te mordrait.

Pour les voir, je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds, ils sont beaux, je me redresse sur mes escarpins, les talons sont bas, moins de 3 cm, cela me suffit pour voir les petites bêtes
Albert vient se coller à moi, par derrière, il a sa bouche près de mon oreille, il murmure :

• Tu sens mon lapinou ?
• Albert, je suis mariée, mon mari va revenir.
• Dans trois jours, tu crois que tu peux m’allumer en me montrant ta chatte lisse sans que mon lapinou réagisse !
• Tu le sens, celui de ton homme est aussi gros.

Ce que je sens sur mes fesses est loin du sexe que m’a mis Pierre en arrivant, je suis en contact d’une bosse énorme, incroyablement grosse.
Mais c’est peut-être qu'une impression, mon frêle peignoir est une faible protection quand je sens qu'il le remonte, dégageant mes fesses nues.
Derrière moi, je sens qu'il sort sa verge en dégrafant son pantalon.
Il me fait pencher en avant, je sens, je sens, il cherche à entrer son sexe dans ma fente.
Oui, il entre en moi, mes lèvres s'écartent, je suis trempée, ses mains viennent triturer mes seins qui pendent, vu ma position, il les malaxe, mes tétons s’allongent.
Je deviens une femelle avide de sexe.
Ce que je sens en moi, c'est au moins aussi gros qu’une balle de golf, voire un peu plus, c’est aussi très dur, ça écarte mes grandes lèvres et ça avance, cette " balle" est prolongée d’un manche, il me déchire, mais ce n'est que du plaisir.
Je prends conscience qu’Albert me baise, que ma foufoune est remplie comme jamais. J’avais bien deviné, il a un sexe épais, je n’en ai jamais connu de tel, j’ignore s’il a un taureau, voire un cheval ou un âne, mais il est aussi bien monté que ces animaux.
Au plus profond de mon esprit et surtout de mes fantasmes, me faire prendre par une telle bite était loin de ce que je pensais trouver quand j’ai accepté de venir excursionner dans ces montagnes, mais là, je suis comblée, mon plaisir monte.
Mes jambes refusent de me porter, je dois m'agripper aux cages.
Après les deux orgasmes qui me submergent, je glisse le long des clapiers, celui au-dessous des lapinous est habité par un vieux mâle, il me regarde passer en mastiquant des pissenlits qu’Albert a dû aller cueillir dans les champs voisins.
Je descends vers le sol mettant déjà une main sur la terre, puis une seconde, le mouvement que je fais lentement fini par me mettre en levrette, tout en restant uni, il pousse sa verge jusqu’au fond de mon utérus, quel mâle.
Je jouis une nouvelle fois, mon nouveau mâle, Albert, arrive à son point de rupture et me remplit par de longs jets, c'est chaud, chaud.
On se calme un peu, puis il sort de moi, je suis épuisée par mes orgasmes successifs.
Je me redresse, je le regarde dans les yeux, il est encore tout habillé, seule sa braguette est ouverte et son pieu se dresse, encore.
Moi ma nuisette est retombée cachant mes fesses, mon sexe trempé, mais la fente des deux pans est large et mes seins denses, un peu lourds sont face a lui.

• T’es une bonne pouliche Simone, ton mec est con de courir dans la montagne, avoir une femme avec un cul comme le tien et qui aime les lapinous, c’est un véritable crime de l’abandonner.
• Il n’a que ce qu’il mérite, on recommencera, non, pardon, je vais lui redevenir fidèle.
• Tu viens chez moi, Fred m’a monté une magnifique salle de bains avec un Spa où nous pouvons être six.

À cette remarque, je rougis, il est presque midi, sans un mot, je suis mon nouvel amant sans savoir ce qui m'attend…

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