La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1244)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode N°1241) -
Le lien de parenté dAlix à la Famille des Evans :
De retour à la ferme ils virent Mathurin, le père de thomas, Justinien, Marthe et Emérentine. Mathurin était debout mais lair faible et malade. Le lendemain, Alix dit à Marthe
- Louis-Etienne va mieux nous partirons bientôt mais nous voudrions vous remercier pour votre aide et accueil.
- Jai une idée à ce sujet ma cousine, sexclama Antonin
- Ah bon et quelle est-elle?, se demandait Alix
- Je sais que ma grand-mère a besoin de quelquun. Mathilde sa vieille servante devient âgée et aurait besoin d'aide et quelqu'un pour la remplacer quand elle ne pourra plus travailler. Vous pourriez travailler pour elle. Vous serez bien traitée et logée dans son Château. Nous pourrons trouver un travail pour chacun de vous ainsi votre mari retrouvera toute sa forme, proposa Antonin.
- Messire, cest un honneur mais je ne sais si nous avons les compétences.
Thomas dit à sa mère.
- Pourquoi pas mère, ici, nous ne nous en sortons pas. Ce nest pas avec ce que me donne Messire François de Namur que je peux subvenir aux besoins de toute la famille. Puis regardant son frère lair un peu malicieux.
- Malgré tout le respect que jai pour la vie monacale ce nest pas Justinien, en tant que moine, il ne gagne rien.
Un soir avant leur départ, Alix dit à Antonin, quand tous les autres furent couchés :
- Mon cousin, j'ai à vous parler d'une chose extrêmement importante. Il s'agit d'un document que votre père avait en sa possession et qui contient des informations pour le moins inattendues, Antonin lu le parchemin que sa cousine lui tendait. Il ouvrit de grands yeux et regarda sa cousine d'un air très étonné.
- Incroyable, mais alors vous seriez
?
- Oui, je suis Sa nièce.
- Ne vous tracassez pas Alix, je connais bien mon meilleur ami et il comprendra et nous trouverons une solution.
- Je ne comprends pas comment ma mère peut ignorer sa parenté avec le Seigneur dEvans cest insensé.
- Je pense le savoir mais ne suis pas sûr. Je sais que Charles avait un frère disparu étant très jeune . Il navait pas plus de 4 ans et il na jamais été retrouvé. Charles dEvans en parle rarement, mais je pense bien que ce frère se nommait Louis (donc votre père). Il a surement rencontré et épousé votre mère dans sa région natale loin dici. Il faudra voir avec eux car sans eux nous ne saurons pas le fin mot de cette histoire de filiation
La punition et le renvoi de Manon :
Manon fut mise au pilori, nue jours et nuits, dans la cours du Château et utilisée par qui le voulait. Et tous étaient autorisés à se servir d'elle à leur guise. Manon fut ainsi et souvent sodomisée sans la moindre préparation, ni attention à son égard. Ainsi immobilisée au pilori, elle fut aussi baisée bestialement par tous ses orifices une multitude de fois par qui voulait bien la prendre, quils soient simples serviteurs ou nobles
La seule chose qui l'aidait à tenir le coup, c'était quelle subissait cela pour le Maître et quaprès elle retrouverait sa place à Ses pieds ne se doutant pas qu'elle serait bannie. Tous l'utilisaient et se soulageaient à sen vider mainte fois les couilles en elle ou sur elle. Après plusieurs jours de ce traitement des plus dégradants, Messire Philippe la ramena au cachot et lui dit
- Maintenant, la chienne, que tu as servie de vide-couilles, demain tu auras 100 coups de fouet en public
Manon ne répondit pas. Le lendemain matin, elle fut bâillonnée et menée sur la place publique au milieu de la grande cour du Château où tout le village avait été convoqué pour assister à la flagellation de Manon. Les coups de fouets furent donnés dans un silence total, hormis les cris et plaintes de la suppliciée.
- Tu es libre, libre et bannie. Ne reviens jamais ou tu le payeras de ta vie.
- Comment ? Mais pourquoi ? Je pensais quune fois ma sanction terminée, je retrouverais ma place aux pieds du Seigneur et Maître ?
- Le Seigneur d'Evans ne veux plus jamais te voir, ni poser les yeux sur toi chaque jour sachant de quelle façon tu l'as trahi.
- Je vous le répète, je ne l'ai jamais trahi, jamais.
- Tu as une heure pour quitter les Terres d'Evans.
Par la suite, la pauvre Manon, dépitée, quitta le Château ne sachant que faire ni ou aller
Le renvoi de Marion :
Quant à Amélie, elle continuait sa sinistre mission et réussit à se débarrasser de Marion en laccusant dêtre trop exclusive et quelle ne voulait se soumettre quau Seigneur dEvans et son fils mais aussi quelle bâclait son travail. Et cest ainsi la jeune Marion fut, elle aussi renvoyée, et envoyée dans le couvent le plus strict qui soit dans la région. Concernant les autres, Messire Léon qui avait déjà de sérieux doutes et soupçonnait ses intentions se dit quil devait les protéger sans rien dire à personne. Alors, il alla voir le Seigneur dEvans et lui dit :
- Sire, jaurais besoin de garder Lucie avec moi, elle me sera utile dans ma mission
- Bien, tu peux aller la prévenir mais je la veux ce soir jusqu'à la fin du souper. Après elle restera avec toi.
Messire Léon la trouva dans le salon, occupée à nettoyer le sol à genoux et à 4 pattes.
- Ne bouge pas chienne, continue, jaime te voir ainsi faire le ménage
Et il alla sassoir dans un fauteuil face au postérieur bien exhibé de la soumise.
- Mes chausses doivent être nettoyées
Lucie se mit alors instantanément devant lui à genoux tête baissée
- Ta langue fera parfaitement laffaire, lèche salope !
La belle Lucie lécha les chausses de Messire Léon jusqu'à les rendre impeccablement propres, puis elle reprit son travail tout en veillant à bien lui exposer de nouveau sa croupe nue et arrondie aux formes parfaites et cela lexcitait. Elle commençait à mouiller. Messire Léon ny tenant plus, retira ses vêtements et lui agrippa les hanches et la pénétra dun coup de reins puissant en une seule et forte poussée, avec une facilité déconcertante tellement elle avait le vagin lubrifié dexcitation. Il lui fourra la chatte tel un taureau en rut avec de grands coups de boutoirs. Ses grosses couilles frappaient le fessier de la belle, à chaque assaut cadencé
- Continue de frotter le sol, chienne, jaime te besogner ainsi
.
Lucie obéit tant bien que mal, tellement son plaisir était grand car les coups de reins de Messire Léon étaient si virils, si puissants, quaprès plusieurs minutes il avait envie déjaculer mais il se retint et se retira et prit sans attendre possession de son cul, ce quelle adorait, tout en titillant, agaçant son clito très réceptif en même temps
- Taime ça, dans ta chatte de salope puis dans ton cul de chienne
Messire Léon la baisa ainsi à même le sol comme une chienne en chaleur et Lucie gémissait de plaisir
- Ca te plait, hein ! Que je te prenne ainsi, bonne salope à baisser
Messire Léon la besogna bien profond à grand coups de queue virils telle une saillie bestiale
- Haaaaaaa ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Mes
Messire, puis je jouiiiiiir ? Je
je vous en supplie ?
- Pas encore et surtout ne me déçoit pas
Lucie luttait mais sentait son orgasme arriver car cette grosse queue si raide et tendue la baissait, la défonçait sans ménagement le cul tandis que les doigts de lhomme doigtaient sa chatte de chienne
- Jouit salope, maintenant, je te lordonne !
A peine sa phrase terminée, la jouissance de Lucie éclata tel un volcan en irruption tout en hurlant son orgasme quand elle sécroula sur le sol, secouée de forts spasmes de plaisir.
- Ce soir, tu partageras ma couche, je te veux dans ma chambre juste après le service du soir. Le Maître est au courant que tu dois quitter juste après le service.
- Bien Messire, ce sera un honneur
Durant la journée, le Seigneur dEvans fit venir Messire Léon dans son cabinet de travail.
- Vous vouliez me parler, Monseigneur ?
- Oui, il sagit de Clémence, jenvisage de lenvoyer aussi au couvent car daprès Messire Alain, elle a refusé plusieurs fois dobéir
Messire Léon ne répondit rien mais ses soupçons sur Amélie se confirmaient en effet. Il lavait souvent vue avec le nouveau Messire Alain et elle nétait sûrement pas étrangère à cela. Ronan qui avait entendu la conversation, entra pour demander :
- Père, jai à vous parler
- Je vais faire le nécessaire, je vous laisse, dit Messire Léon
- Non reste encore. Quil y a- t-il Ronan ?
- Vous ne pouvez pas envoyer Clémence au couvent.
- Et pourquoi? Je gère mon Château comme je lentends
- Je ne le supporterais pas je
je laime.
- Vous vous moquez de moi ?
- Si elle quitte ce Château, je le quitte avec elle !
- Je ne peux pas garder une soumise qui refuse dobéir aux Dominants de ce Château
- Alors avec votre accord, je la veux à mon service exclusif
- Bon daccord, si vous y tenez. Mais alors il faut la laisser continuer ses cours avec Enguerrand
- Bien sûr, père, je vous remercie, je vais la prévenir
Ronan ravi quitta son père et se rendit dans la salle ou normalement Clémence se trouvait mais il ny trouva quAmélie quil était très loin dapprécier.
- Ou est Clémence ?
Elle lui répondit lair insolent et sans arrêter ce quelle faisait
- Messire Alain la emmené au donjon pour la punir.
- Quoi ? Sans laccord de mon père ou le mien ?
- Je suppose quil lavait, Messire
- Je suis pressé mais toi, la salope, tu vas y passer au donjon car sache que je ne tolère pas dune chienne quelle me réponde sur ce ton et sans se mettre à genoux.
Amélie comprit son erreur et sagenouilla immédiatement
- Excusez- moi, Messire, dit-elle en baissant faussement la tête
- Tu vas le payer, espèce de chienne mal élevée. Remet-toi au travail, je moccuperai de ton cas plus tard.
Ronan se précipita au donjon et en ouvrant la porte, il vit Clémence attachée inconsciente sur une croix de Saint André, fouettée par ce Messire Alain. Ronan fonça sur lui et hurla en retenant son bras
- Arrête tout de suite.
- Messire, je vous présente mes excuses mais elle a refusé de mobéir alors je la sanctionne.
- Es-tu fou ? Ne sais-tu pas quil faut cesser toute sanction sil y a évanouissement ? Et qui ta donné lautorisation de te servir du donjon ?
- Votre père, Messire, cest Amélie qui me la dit
- Hors de ma vue, ça nen restera pas là
Le jeune homme avec une extrême délicatesse détacha Clémence à demi-inconsciente et lemmena aux cuisine toutes proches.
- Céline, jai besoin de Kate, il faut soigner Cémence
- Dieu tout puissant que lui est-il arrivé ? Allongez-là ici. Lucie viens nous aider.
- Kate de quoi as-tu besoin ?
- De leau tiède, des linges propres et doux et de la capucine, du tussilage et de la consoude pour en faire des compresses, ses coups de fouets ont marqué sa peau jusquau sang
- Je sais ou en trouver, intervient Angélique, je vais ten chercher
Quand Kate eut fini, elle expliqua à Céline, Lucie et Angélique comment faire les compresses et alla rejoindre Ronan assis la tête dans les mains dans un coin de la pièce.
- Messire dEvans ? Ca va aller mais ne faudrait il pas en informer votre père ?
- Si ! Viens avec moi mais pas en soumise, plutôt en amie...
(A suivre
)
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