Sophie Et Alice, 1
Sophie roulait tranquillement vers son travail. Elle rêvassait dans sa voiture, à la queue leu leu de lembouteillage habituel du matin à cet endroit là.
Il était déjà plus de huit heures et la circulation était à son summum. Il faisait un temps assez doux ce jour là et elle était vêtue dun petit tailleur cintré qui permettait de mettre en avant sa poitrine.
Ce matin là, lorsquelle sétait habillée, elle avait apprécié la vue de son corps dans le miroir. Elle avait mis, juste pour son plaisir, des dessous de soie bleue dont elle adorait la caresse.
En plus la veille, elle sétait faite épiler le maillot, laissant juste une petite touffe de poils sur son pubis autrement tellement lisse que cavait été un plaisir de se caresser le soir même...
Actuellement Sophie était seule: depuis trop longtemps à son avis... âgée de 28 ans, ses formes entièrement naturelles, attiraient le regard concupiscent des hommes mais, même si elle appréciait la gent masculine de temps en temps, elle préférait amplement les caresses dune femme aux mains douces et à la peau si sucrée...
Une pétarade se fit entendre qui sortit Sophie de sa rêverie. Elle vit dans son rétroviseur quune grosse moto remontait par la droite la file des véhicules au pas sans prêter attention aux autres.
Dans le même temps, une jeune femme en vélo déboucha dune ruelle: la collision était inévitable.
Sophie, dans un réflexe , décala sa voiture ce qui obligea la moto à monter sur le trottoir évitant ainsi le vélo qui pila devant sa voiture.
La jeune femme sur le vélo, paniquée, glissa et tomba devant la voiture.
Sophie ouvrit la portière et alla aider cette jolie brune à se relever.
-Mais quel con celui là! fit la jeune femme en regardant la moto séloigner sans demander son reste.
La circulation avança un peu et Sophie, après sêtre assurée que la jeune femme était en sécurité, gara sa voiture sur le bas côté.
Une fois garée, elle rejoignit la jeune femme qui regardait son vélo dun air dépité.
-Cest moi qui fait ça? sexclama Sophie
-Non. La jeune femme sourit. Le vélo était vieux et puis cest tout...
Sophie fut immédiatement charmée par les yeux bleus délavés de la jeune femme. Celle ci lui dit sappeler Alice. Elle était vêtue dune robe courte de couleur bleue et de simples sandalettes. Elle avait de magnifiques cheveux bruns mi longs qui encadraient un visage aux traits harmonieux. Ses yeux étaient légèrement en forme damande ce qui accentuait lhypnotisme de son regard.
Sophie lui proposa de lamener à son travail.
-Ah, je veux bien madame,
-Appelez moi Sophie, voyons...
Alice rit, ce qui permit à Sophie dentendre un son cristallin... Elle sentait quelle était en train de tomber amoureuse...
Alice attacha ce qui restait de son vélo à un pilonne et monta aux côtés de Sophie.
-Oh, mais vous saignez! Sexclama Sophie
En effet coulait du genou droit dAlice.
Alors Sophie attrapa un sparadrap dans sa boîte à gants . Au passage elle eut une pensée pour son neveu casse cou qui lavait obligée à être prête à toute éventualité cet été!
Elle nettoya le sang avec un Kleenex et posa le pansement sur le genou dAlice. Troublée, elle ne put sempêcher de laisser sa main traîner un peu plus longtemps que nécessaire sur la jolie peau bronzée de sa passagère. Elle se reprit après quelques secondes et entra dans la circulation.
Alice lui indiqua la route et quelques minutes plus tard, la voiture sarrêtait devant une école primaire. Cétait là que travaillait Alice, comme institutrice.
Avant quelle ne descende Sophie lui remit sa carte de visite.
Elle caressa une dernière fois la douce main dAlice et elles se firent la bise.
-Alice, appelez-moi pour me dire comment ça va... votre blessure...
Sophie rougit violemment en disant cela. Quel prétexte idiot!
Alice la regarda droit dans les yeux, elle rougit un peu à son tour.
Elle sortit sans un mot de plus, disparaissant dans un tourbillon de couleur bleue.
Au travail, Sophie ne put penser quà cette rencontre. Elle narrivait pas à fixer son attention et ne cessait de repasser le film de ces moments dans sa tête.
Alice avait de jolis bras, une taille de guépe, des jambes fines, un visage...
Merde: ça y est, je suis amoureuse! Conclut Sophie.
Ce midi là, au lieu daller manger, enfermée dans son bureau, Sophie alla sur le site internet de lécole pour trouver une photo mais surtout les coordonnées de celle qui avait allumé ce feu qui la dévorait.
Elle trouva la photo mais hélas aucune coordonnée...
Zut alors...
Elle prit alors ses aises, mettant la photo dAlice sur son écran dordinateur et commença à se caresser, doucement.
Mmmhhh elle devait avoir les seins en poire cette coquine, et une croupe probablement bien bombée... et ces yeux...
Tandis que sa main droite trouvait le chemin de son clitoris gonflé, sa main gauche pinçait légèrement ses tétons lun après lautre. Elle ferma les yeux, simaginant caresser les hanches et les seins dAlice en lembrassant à pleine bouche.
Elle se sentit partir et se retint de crier sa jouissance, son plaisir lui coulant entre les doigts. Jamais elle navait joui si rapidement...
Le téléphone sonna.
Haletante, elle prit deux secondes pour se reprendre et attrapa le combiné, de sa main droite...
Cétait Alice...
Ravie Sophie essayait de se nettoyer la main en parlant avec la jeune femme.
-Sophie, je crois quon devrait se revoir vous savez... vous travaillez cet après-midi?
La voix était douce au téléphone. Sophie ne réfléchit pas et lui dis que non, elle ne travaillait pas.
-Cool, répondit Alice, parce que vous savez, je saigne encore un peu...
Elles convinrent de se revoir à lentrée de lécole dès que possible.
Dés quelles eurent raccrochés, Sophie appela son adjoint, pris son après midi, et alla vite se laver les mains.
Un quart dheure plus tard Alice reprenait sa place dans la voiture. Elle releva un peu sa jupe.
-Regardez Sophie, je saigne encore, non?
Sa voix était plaintive et Sophie se courba et déposa un baiser sur le pansement. Elle sentit la main dAlice sur son cou..
-Je crois que cest plus haut...
Doucement Sophie repoussa la jupe et enfonça son visage entre ces jolies jambes: elle trouva dautant plus vite le chemin de son bonheur quAlice ne portait pas de culotte... le vagin dAlice était très serré et son clitoris tout petit. Sophie se fit un plaisir de le titiller jusquà entendre sa tendre amie gémir de plaisir. Pendant ce temps, celle-ci lui caressait la nuque et le dos, lui procurant des frissons dune intensité totale.
Sophie jouit en même temps quAlice...
Quelques instants après, les deux jeunes femmes étaient assises normalement et reprenaient leur souffle, satisfaites.
-Merci Sophie ma chérie... jen ai rêvé toute la matinée...
Sophie sourit: et elle donc!
Elle sentait son jus couler doucement entre ses jambes.
Elle amena la belle Alice chez elle:celle ci ne protesta pas lorsque Sophie la déshabilla.
Elle prit même le relais et retira les vêtements de Sophie.
Elle sarrêta un long moment sur sa poitrine, lui suçant les tétons en lui caressant ses hanches et son cul.
Elle sembrassèrent enfin longuement toutes les deux, se découvrant lune lautre, gardant leurs regards dardés lun dans lautre. Chacune avait le main sur le vagin de lautre, un doigt entrant dans leurs fentes humides et se faisant ainsi mutuellement plaisir.
Elles tombèrent sur le canapé et Sophie se fit une joie de découvrir chaque cm carré de la peau nacrée de sa partenaire.
Celle-ci se laissait faire, prenant son plaisir sans compter et en donnant autant quelle le pouvait à la belle Sophie.
Enfin ce fut au tour dAlice de goûter au vagin de son amie: elle se fit un devoir den caresser de sa langue chaque recoin, retardant au possible le moment de lorgasme.
A un moment, ce ne fut plus possible et les deux jeunes femmes jouirent ensembles lune blottie contre lautre...
Après une bonne douche qui fut le prétexte à de nouvelles caresses humides, Alice et Sophie sallongèrent sur le lit.
Alice expliqua alors à Sophie que, si elle avait toujours eu envie de faire cela avec une femme, elle était la toute première... en plus, Alice venait de rompre avec Arthur, son petit copain, qui était allé voir une autre fille...
Sophie buvait les paroles de son amante et continuait à caresser ce corps si parfait. Elle adorait les petits seins dAlice dont les tétons, bien durs, restaient dressés au milieu de leurs aréoles... sa petite chatte si serrée quau début elle lavait crue pucelle était dune douceur étonnante et, à chaque fois quelle mettait un ou plusieurs doigts dedans, elle sentait la jouissance de son amie.
Sophie attrapa un gode sous son oreiller et le mit devant la bouche dAlice qui sursauta.
Elle fixa Sophie de son regard bleu si pâle et se mit à sucer lobjet dabord lentement, puis avec entrain.
Sophie était heureuse: elle sortit un second gode et le donna à son amie qui le lui mit dans la bouche. Après avoir bien sucé ces deux membres artificiels elle se les introduisirent mutuellement et doucement dans leurs vagins.
Dune main, chacune travaillait lautre, allant de plus en plus vite dans leurs mouvements de va et vient: de lautre main, elles se tenaient chacune par le cou, leurs bouches se touchant tandis quelles gémissaient....
Enfin, elles jouirent toutes les deux, retirant leurs godes comme à regret et se remettants à les lécher pour goûter, encore une fois, chacune le jus adoré de lautre...
Une heure plus tard, elles étaient en train de boire un thé autour de la table de la cuisine, toujours nues et se tenant dune main.
-Tu sais ma chérie, fit Sophie, il va falloir que je te présente quelquun...
La main dAlice se resserra sur celle de Sophie.
-Ah bon, qui?
-Et bien, cest un homme pas très jeune, gentil, il écrit, et il voudrait être mon soumis... quen dis-tu?
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