Collection Soumise. Je Deviens Un Objet Sexuel. À Plusieurs (3/10)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
Cest la tête pleine de doute sur mon couple avec Pierre que jaccepte de partir dans un gîte au dessus dAix les Bains, point de départ de nombreuses courses en montagne.
Le chalet que nous louons est propre et fonctionnel, cest loin dêtre le cas dAlbert le proprio avec sa casquette crade visée sur sa tête.
Sous la douche, je me blesse à une cheville, lorsquil vient nous dire que le mitigeur est inversé, bleu sur chaud, rouge sur froid, cest malin de le dire si tard, car en plus de ma cheville, je suis à la limite de me brûler au deuxième degré.
Soyons folle, troisième degré, mais plus réellement, sûrement à peine la peau rosie.
Albert me remet ma cheville en place et me la bande dans un premier temps, mempêchant de partir faire une marche en montagne avec mon homme Pierre.
Ça marrange bien car les kilomètres chaque jour, nous couchant à la dure, très peu pour moi.
Pierre part seul, je suis tranquille dans un transat quand Albert vient regarder ma cheville avant de me proposer de venir voir des poussins et des petits lapins nés dans la nuit.
Ils sont bien là, mais la verge de notre voisin aussi.
Il me prend par surprise sans pour autant que je ne me rebelle, le morceau quil mintroduit, me faisant jouir dès la première pénétration.
Viens voir mon Spa, tu vas pouvoir te remettre en forme.
Pour la première fois, jentre dans sa demeure, je suis étonnée du modernisme quand je vois lhomme devenu mon amant.
Son don de guérisseur doit lui rapporter énormément dargent ou sont-ce les produits quil vend au marché ?
Il démarre le bain bouillonnant, je suis venue de la grange nue, sans aucune pudeur, jentre, leau est à bonne température, je pourrais presque nager, je roule sur moi-même comme pourraient le faire des dauphins.
Quand je refais surface, je manque déclater de rire, Albert est nu, c'est la première fois que je vois son corps, on dirait un ours !
Je sais que les hommes que jai vu nus sont rares, mais les poils qui recouvrent son corps sont si nombreux que si on les coupait, on pourrait en faire un pull-over, c'est impressionnant et signe, pour moi, d'une grande virilité, cela change de la poitrine couverte de poils blancs de Pierre.
Il en a jusquau-dessus de ses épaules, mais le plus drôle, outre son sexe que je vois mieux que dans la grange, il a gardé sa casquette.
Quand je disais quelle était vissée sur sa tête !
Il sapproche, je sens quil veut me brouter la chatte, je maccroche au rebord et fait un semblant de planche, mes jambes remontent, il les écarte et met son nez sur mon clitoris, il le fait bouger, je démarre une nouvelle fois.
Je suis très sensible de mon petit bouton et sa langue fait des merveilles, je jouis en gémissant.
Je dois maccrocher fortement surtout quand, se redressant, il mempale littéralement. Contrairement à la première fois près des cages à lapinous où il était derrière moi, je vois entrer son sexe lentement, lentement, lentement, mes lèvres s'écartent comme jamais, je sens quil touche le fond, malgré ça, il reste encore dix centimètres hors de moi, jai vraiment trouvé létalon unique.
Dire quil faut que jatteigne 58 ans, à quelques encablures de ma retraite, pour ressentir la plénitude de mon corps, pour la première fois, je me sens femme à part entière.
Je me sers de mes bras pour me propulser sur cette bite exceptionnelle que je viens de découvrir.
Dans ce Spa, cest mon intimité qui est comprimée par la bite que je reçois de cet homme, il est loin dêtre aussi beau que mon homme, mais tellement plus efficace avec son sexe.
De nouveau, combien de fois, je jouis, combien dorgasmes me dévastent, combien de fois je hurle au risque de déranger les clients dans le chalet voisin...
Je ne compte pas, je délire, les voisins cest nous, les voisins cest moi, mon voisin me baise comme jamais.
Albert saccroche à la paroi à lopposé du Spa, le courant lui pousse les fesses, sa verge sort de leau comme un sémaphore, je mapproche, je croyais avoir reçu une balle de golf, quand il me prenait par derrière, cest plus prêt dune balle de tennis, quand on y regarde bien.
Et là je le vois devant moi, dressé long et épais.
Lèche là, en aucun cas, tu pourras lavaler, elle te défoncerait la mâchoire.
Jaime les défis. Comme le ferait un boa, jessaye dentourer ce gland pour le faire entrer en moi, dans ma bouche, inutile, je recommencerai plus tard.
Je fini par le lécher, je pars du bout de ce gland monstrueux et je descends tout le long, je marrête à peu de chemin de son anus, jai horreur de la dépravation.
Bien que lorsque je vois dans la glace qui est contre le mur ce que je fais, je me rends compte que je suis une dépravée.
Je me suis laissé baiser en labsence de mon homme, dès que jai vu la bosse sur le pantalon dAlbert, jai rapidement craqué.
Dans la grange, près des lapinous, jaurais très bien pu méchapper, j'aurais pu refuser d'entrer dans le spa, j'aurais pu m'enfuir et m'enfermer dans le chalet, je ne l'ai pas fait et en suis contente.
Comment sappelle une femme qui se laisse prendre en levrette sur le sol en terre de la grange, comment s'appelle une femme qui aime avoir sa moule écartelée par un épais chibre sinon une salope, une dépravée.
Albert, es-tu là ?
Entre, Fred, mon cher plombier, je finis avec madame et je te fais voir le travail quil y a à faire dans le chalet.
Je sais quil faut que jinverse les tuyaux, je suis daltonien, jignore la différence entre les couleurs, javais une chance sur deux, loupé.
Il fait chaud, un petit jacuzzi, me ferait le plus grand bien.
Je le vois enlever ses habits, sans gêne et savancer nu, contrairement à Albert, il en a une longue et fine, elle est encore au repos, sans se poser de question, il sinstalle dans le spa.
Tu vois Albert, quand je tai conseillé ce modèle, il était un peu cher et difficile à amener ici, mais grâce à Georges et son hélicoptère ça a été un jeu d, au lieu de faire du secours en montagne, il a secouru ton Spa.
Tu me prêtes ta gonzesse, elle a une bouche à faire des pipes !
À ces propos je rougis gênée et honteuse, incroyable le sans gène de ce garçon dune trentaine dannées, où suis-je tombée, au secours Pierre.
Tu sais que tout ce qui est à moi est à toi, Simone masturbe Fred, lui, tu vas pouvoir lavaler.
Une nouvelle fois, depuis que nous sommes arrivés avec Pierre, mon destin va prendre un virage à 180°.
Qui maurait dit que je rencontrerais de tels mecs sans pudeur et sans considération pour la femme que je suis.
Il est vrai quavant nos vacances, je souhaitais tester lamour de mon homme avant ma retraite, cette nouvelle expérience mapportera peut-être une réponse à mes nombreuses questions.
Jouvre la bouche quand il se lève et approche sa bite qui entre dégoulinante deau dans ma bouche, il est bien dur, moins impressionnant que le vit d'Albert mais je suis néanmoins à deux doigts de m.
Je me reprends vite, ils veulent une salope, ils vont lavoir.
Il bande bien, Albert profite que je suce son ami, vient derrière moi et me triture les seins.
Que c'est bon, moi qui aime que mes mamelles soient malaxées, jadore, deux hommes à ma disposition, si je fouille au plus profond de ma mémoire, une telle situation, même dans mes rêves les plus lointains, je nosais limaginer.
Albert se fait masturber avec laide de ma main disponible, il est toujours aussi tendu, il est loin dêtre beau surtout avec sa masse de poils mouillés qui pendent sur ses épaules et sur son torse, sans compter sa casquette toujours sur sa tête, mais comment repousser sa verge.
Dommage quil y ait Pierre, je me verrais bien ici à lannée, ayant démissionné de mon boulot, même si les camions qui entrent et qui sortent de notre entreprise me manqueraient.
Il faut que je regarde lévidence, dans quelques mois, ayant travaillée jeune, je serais dans lobligation de tout quitter, étant mise au rebu comme tous ces retraités.
Alors une nouvelle vie ici, qui sait, l'avenir nous le dira ?
Fred se tend en arrière, je sens qu'il se retient, boire du sperme, ce serait la première fois, je l'ai toujours refusé à Pierre qui ne pouvait quéjaculer sur moi, mais là je me sens prête, Albert veut que je sois une roulure, jallais dire pute, il va en avoir une, surtout que sans que lon me touche mais avec la présence de leau bouillonnante, ma chatte est en feu.
Bon, ta bouche est accueillante, mais je suis là pour un boulot. Simone emmène moi chez-toi dans le chalet, jai horreur dêtre seul chez des gens, ils pourraient penser que je veux les voler.
Je vais aller chercher et remettre mon peignoir, si Pierre revient, il pourrait trouver drôle que je me promène nue.
En attendant, nous sortons à poils du Spa, Fred remet son jean, seul vêtement quil avait sur lui en entrant.
Albert reste nu.
Reste à poil, rien à craindre pour ton homme, regarde ce boitier avec des lampes vertes allumées, il y a des bornes de captage sur tous les lieux daccès, si une personne passe devant, ça sonne ici et derrière la grange.
Javais des renards qui venaient voler mes poules, Fred ma installé ce système, je lai rentabilisé en quelques semaines, ils savent quils prennent des risques, ils sont malins, plus dintrusions.
Suis-moi je vais te montrer où tu peux te cacher si des intrus arrivent.
Je suis Albert, Fred le plombier attend que je revienne.
Une nouvelle fois, il mentraîne vers la grange, à côté des lapinous, toujours nue mais ayant récupéré mon peignoir, jentre par une porte dans une sorte de cage assez grande pour me recevoir.
Cest quoi cette cage.
Heu, un endroit que je te ferais connaître très rapidement, aujourdhui, je voulais simplement te la montrer, je dois aller au jardin, jai des fraises à nettoyer et des patates à butter, il faut bien vivre, même si la location du chalet me rapporte un petit pécule.
Je marche vers le chalet, le regard de Fred, qui m'accompagne, est posé sur mes rondeurs, malgré mes deux s issus de mon mariage, volant de leurs propres ailes maintenant, elles sont encore assez fermes pour lui faire de leffet.
Nous passons à côté de sa camionnette.
Attend, je prends mes outils.
Nous entrons et allons dans la salle de bain, il manipule des robinets, ouvre, ferme avec des clés, tourne des boutons.
Voilà, cest fait, essaye pour voir.
Il y a une chose qui minterpelle, quand tu as branché, leau était coupée ?
Bien sûr, je vois à quoi tu penses, il me suffisait douvrir pour vérifier.
Je lai fait, droite gauche tous fonctionnait, seulement le chauffe eau solaire était encore chez le marchant.
Tu as été la première à le tester et te brûler le dos.
Jentre sous la douche, jouvre le mitigeur, tout est parfait, quand Fred vient me plaquer à la paroi.
Dis-moi, Albert ta déjà sodomisé ?...
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