Première Tromperie De Ma Femme Je Découvre Le Candaulisme

Nous étions mariés depuis 9 ans, cela faisait 4 ans que nous avions pas eu de moments juste pour nous deux. Les s sont chez ma mère pour 10 jours et 10 autres chez mes beaux-parents. On a même pas besoin de les emmener de chez l’un à l’autre donc nous avons 20 jours de liberté.

Laurence me propose de fermer une semaine sa boutique et de louer une maison dans le sud de la France vers la où Philippe est en vacances. C’est un fournisseurs à elle avec qui elle a bien sympathiser. Pour dire la vérité moi aussi je l’apprécie mais depuis un certain temps je trouve que ma femme le regard bizarrement. De toutes les façons j’espère que l’on va surtout passer du temps à deux alors j’accepte.

Les vacances se passe très bien, la maison n’est pas grande mais pour deux c’est suffisant. Par contre elle a une piscine privée et un beau jardin à l’abris des regards puisque les voisins les plus proches sont à 600 mètres donc nous sommes souvent nus. Nous n’arrêtons pas de faire l’amour. J’ai l’impression de vivre une seconde lune de miel, c’est exactement ce qu’il nous fallait.

A part le premier soir où nous avons mangé avec Philippe nous avons toujours été que tous les deux mais depuis un moment elle me demande de l’inviter à venir passer une après midi et un diner à la maison. Je lui réponds que les vacances sont courtes et que nous avons besoin de nous retrouver et nous reposer mais elle insiste en ajoutant le côté professionnel.

J’accepte de l’inviter pour le lendemain mais à la condition que les deux jours suivant qui clôtureront notre escapade ne soit que pour tous les deux. Nous scellons notre accord par un baiser qui devient de plus en plus fougueux. Nos lèvres ne se quittent pas pendant de longues minutes, nos langues dansent ensemble. Puis Laurence s’agenouille devant moi et sort ma queue pour me sucer.

J’adore ça façon de me lécher, me caresser, m’aspirer et même me mordiller mais au bout du bonnes dizaines de minutes je la relève.

J’embrasse ses lèvres qui on le goût de mon sexe alors que j’ouvre le bouton de sa jupe. Je me décolle pour lui retirer son bas et je découvre qu’elle ne porte pas de culotte. Je lui caresse les lèvres intimes du bout de la langue avant de la doigter.

Une fois qu’elle est bien ouverte et dégoulinante, je m’allonges par terre et je la fais s’empaler sur moi en me tournant le dos. J’atts sa culotte blanche pleine de tâches et je la pose sous mon nez alors que Laurence s’assoie doucement sur moi.

Je ne lui laisse même pas le temps de se poser que je l’att par la taille et commence à la soulever avant de la rassoir. Je recommence une nouvelle fois en faisant un mouvement plus ample. A chaque fois j’augmente aussi la vitesse de mes mouvements. Vu ses ronronnements elle prend du plaisir et m’aide même dans mes mouvements.

Au bout d’un moment je l’assoies complément sur moi, quand mes mains quittent son corps elle prend appuies sur ses genoux plier. Elle se penche bien en avant et imprime elle même ses mouvements de rentrées et sorties sur ma queue tendue. J’adore ça car non seulement je vois son jolie cul bien bombé mais en plus, à chaque fois qu’elle le soulève je peux admirer ma tige remplir sa grotte.

Je sens qu’elle dégouline sur mes poils pubiens, je ratt un peu de son nectar sur mon pouce alors qu’elle continue à me chevaucher à différents rythmes. Je la cale contre moi, avec une main je lui écarte les fesses et je pose mon pouce imbibé sur sa rosette. Alors qu’elle reprend ses mouvements je la masse un bon moment pour qu’elle s’ouvre lentement sous mes caresses.

Quand mon pouce commence à la sodomiser je sens son corps se granuler, elle a la chair de poules. Son sexe se contracte autour du mien une première fois assez violemment. Elle continue à monter et descendre le long de ma tige et une deuxième contraction accompagnée d’un hurlement de plaisir arrive.

Quand l’étreinte se desserre, ma femme s’assoie sur moi, j’enfonce un peu plus mon pouce dans son cul et cette fois elle m’enserre tellement fort avec ses muscles vaginaux que je jouis moi aussi. Quand ma première giclée tape le fond de sa grotte elle se contracte encore ce qui provoque un nouveau jet et ainsi de suite… Je l’impression de vider des litres de spermes.

Je me calme avant elle, qui continue à se contracter sur ma bite qui ramolli tout en gémissant et en faisant onduler son bassin. Nous restons un long moment comme ça, puis elle se soulève. Je suis recouvert de nos deux jus, ça sent très fort. Elle se retourne et vient s’allonger sur moi pour m’embrasser tendrement.

Il lui faut encore 10 bonnes minutes pour reprendre ses esprits et elle m’avoue qu’elle n’a jamais eu un tel orgasme. Nous restons encore un moment collé l’un contre l’autre. Puis nous nous relevons pour vaquer à nos occupations. Nous avons encore une fois fait l’amour dans la piscine et ça c’est fini sur la pelouse du jardin et même le lendemain au réveil.

Heureusement qu’aujourd’hui Philippe vient parce que mon sexe a besoin de se reposer. Il arrive pour le café ensuite je lui propose de se mettre en maillot de bain pour profiter de la piscine. Je lui indique notre chambre pour qu’il se change. Depuis notre baignade de ce matin ma femme et moi sommes toujours en maillot de bain.

Quand il revient, après au moins 10 minutes je suis déjà dans l’eau et Laurence lit un magasine sur un transat. Mon regard ne peut s’empêcher de fixer son entrejambe. Il porte un maillot de bain qui ressemble à un boxer et qui laisse apparaitre une belle érection. C’est pas possible, il est allé renifler une culotte sale de Laurence ou quoi?

Le problème c’est que soit il bande non stop pendant toute l’après midi soit son sexe au repos est énorme alors je ne préfère pas imaginer en action. Je commence un peu à me sentir ridicule malgré mes 17 centimètres bandés. J’essaye de penser à autre chose même si mes yeux retournent régulièrement sur son maillot et que sa bite ne tisse pas! Il y a même des fois où j’ai l’impression qu’elle encore plus grosse.

Vers 18 heures Laurence s’excuse et file à la cuisine après s’être entouré d’un paréo. Je propose à notre invité de démarrer l’apéro avec du blanc ou du rosé, il préfère une bière. Je rentre dans la maison pour rejoindre ma femme dans la cuisine. Je sors deux bières du frigo quand elle m’annonce qu’il falloir acheter du pain, pas de soucis la boulangerie est à 10 minutes en voiture.

Nous commençons à boire nos bières accompagnées de chips et d’olives en parlant de l’économie et du marché du travail. Nous sommes interrompu par Laurence qui m’appelle, elle a l’air énervée. En plus du pain il faut des champignons mais aussi du vin, là c’est une autre donne je vais devoir descendre jusqu’a la ville qui est à 30 kilomètres.

Vu qu’elle est bloquée pour cuisiner Laurence se sert un verre de rosé et part rejoindre Philippe pendant que je m’habille. Je les salue avant de partir et je me dépêche d’aller faire les courses. Plus d’une heure après je rentre à la maison, je trouve que l’ambiance est bizarre. Ils sont tous les deux douchés et habillés et m’attendent à l’intérieur dans deux canapés différents mais surtout dans un silence de mort.

Le reste de la soirée est à peu près dans la même ambiance bien que j’essaye de dérider l’atmosphère. Avant de partir Philippe nous annonce que ses vacances sont finis et qu’il rentre le lendemain. Je suis un peu mal à l’aise de la fin de journée surtout que je ne comprend ce qu’il s’est passé. Une fois seul je pose la question à ma femme mais elle me répond uniquement:
« Tout va bien! »

Quand nous sommes dans la chambre je lui repose la question vu que même en tête à tête l’ambiance ne change pas, elle m’envoie sur les roses. Une fois dans le lit j’essaye un rapprochement mais elle me repousse et commence à râler. J’ai le malheur de lui demande ce qu’ils passe et elle se met à hurler. Une fois qu’elle se calme je retourne dans le salon bouquiner et je la laisse bouder.

Non seulement les deux jours suivants sont dans la même ambiance mais je n’ai plus le droit de la toucher. C’est à peine si elle me laisse l’embrasser. Le chemin du retour se déroule uniquement au son de la musique ou des klaxons. Une fois de retour à la maison je lui demande fermement des explications.

Après avoir beaucoup insisté elle me dit que c’est de ma faute, que je me suis absenté trop longtemps, qu’elle était super mal à l’aise de rester seule avec Philippe aussi longtemps… En gros comme d’habitude c’est à cause de moi si ça ne va pas. Je décide de ne pas m’énerver.

Je commence par m’excuser ensuite je lui explique que j’ai eu du mal à trouver ses champignons et que de toutes les façons j’avais la route et que je n’aurai pas pu être beaucoup plus rapide. Et je conclue en lui disant qu’encore une fois je suis désolé. Elle me fixe et ose me dire:
« Encore moi ça va mais c’est pour Philippe que j’étais mal à l’aise. »

J’ai eu envie de lui dire que si elle n’avait pas fait la gueule non seulement on aurait pu passer une bonne soirée mais aussi profiter de la fin des vacances. Mais je décide plutôt d’invité Philippe à diner le lendemain soir pour m’excuser. Elle me dit que ce n’est pas la peine mais comme je sens quelque chose d’anormale j’insiste et l’appelle directement.

Après un moment d’hésitation il accepte gêné et propose même de s’occuper du dessert. Elle me la gueule toute la soirée.
Le lendemain ma femme passe la matinée à s’occuper de moi, j’ai envie de lui faire l’amour mais elle me repousse. Après le déjeuner elle me dit qu’elle ne se sent pas bien et qu’elle préfère annulé le diner. Je lui propose d’aller se reposer et que c’est moi qui fait faire les courses et la cuisine.

Quand Philippe sonne à la porte tout est prêt je vais lui ouvrir, Laurence est encore dans la chambre à s’habiller ou se maquiller. Je le fais rentrer et l’invite à s’installer dans le salon. Je nous serre un verre mais avant de trinquer je vais quand même voir où en est ma femme. Dans la chambre je la trouve en culotte et soutien gorge, je lui demande ce qu’il se passe et elle se met à pleurer.

Je m’approche, elle se lève et me serre dans les bras en me disant:
« Je suis désolée, Romain! »
Elle n’arrête pas de le répéter. Immédiatement je comprends que mes soupçons se sont concrétisés mais je lui demande naïvement ce qu’il se passe. Elle a du mal à se calmer et finit par m’avouer que pendant les vacances alors que je faisais les courses elle m’a trompé avec Philippe.

Je n’ai pas le temps de réagir qu’il rentre dans la chambre en disant:
« Non mais c’est de ma faute! »
Je le trouve pas gêné de nous interrompre comme ça mais encore plus d’écouter aux portes. Je n’ai pas le temps de parler qu’il m’explique que ça faisait 6 mois qu’il n’avait pas touché une femme et que de voir Laurence en maillot de bain il la trouvé très désirable.

Je suis sur le cul et surtout blessé dans ma fierté même si je l’ai moi aussi trompé et avec sa soeur (voir les histoires de Mélanie) mais j’ai quand même la présence d’esprit de leur dire:
« Elle a quand même dit oui! Tu ne l’as pas violé! »
Tous les deux restent mués. Je dois briser ce silence mais je ne sais pas quoi dire du coup je lance sans même savoir pourquoi (du moins consciemment):
« Je veux vous voir baiser devant moi sinon on divorce! »

Ca n’a pas aidé à relancer la discussion mais d’imaginer Laurence dans les bras d’un autre surtout aussi bien membré que Philippe me fait bander. Pour être sur d’assister au spectacle j’att ma valise de voyage professionnel et je commence à la remplir. Immédiatement Laurence se jette à mes pieds et me supplie d’arrêter.

Je la fixe du regard et lui dit:
« Si tu ne veux pas que demain je déclenche une procédure de divorce tu sais ce que tu dois faire! »
Je la dégage violemment de mes jambes pour attr un jean et un pantalon que je rentre dans ma valise.

Philippe qui était resté silencieux depuis mon annonce aide Laurence à se relever et à se calmer. Il la serre dans ses bras, il dégage les cheveux devant le visage de ma femme et lui:
« C’est soit ça, soit le divorce et tu m‘as assez répéter que tu ne voulais pas divorcer! »
Dès qu’il finit de parler il pose ses lèvres sur celles de ma femme. Quand il se recule c’est elle qu’il l’attire à lui et l’embrasse fougueusement. Ca se tend fort dans mon boxer.

Je m’assoies sur le lit pendant que je vois ma femme déboutonner la chemise de Philippe. Elle la fait tomber par terre et lui caresse le dos alors que lui à ses mains sur les fesses de mon épouse. Je devrais être fou de jalousie mais je suis fou d’excitation. Pendant qu’elle commence à ouvrir sa ceinture, notre invité lui dégrafe le soutien gorge et l’envoie à terre.

Ma femme à du mal à retirer la ceinture de Philippe, une fois qu’elle a réussi elle essaye d’ouvrir le premier bouton mais n’y arrive pas. Je lui conseil de s’agenouiller pour le faire, elle me lance un regard me suppliant de tout arrêter. Je lui sourit et rajoute:
« Allez! »
Elle s’agenouille devant lui qui l’aide à faire tomber son pantalon.

Ils sont tous les deux en slip, celui de Philippe est vraiment très rempli. Sans que je dise quoi que se soit elle commence à le caresser à travers le tissu. La bosse se met à encore plus gonfler est très rapidement un bout en sort. Toujours sur son initiative elle baisse le slip qui la sépare du membre que je suis sûr elle désir.

Je suis encore plus impressionné par sa longueur. Sa queue lui arrive à mi cuisse, pour la soulever mon épouse est obligée de la prendre à deux mains. Ses veines sont plus que saillantes par contre son gland, toujours enfermé dans le prépuce, semble ridicule à côté de son majestueux mat. Elle commence à faire coulisser ses mains sur cette énorme sexe.

Elle se met à laper le gland et la bite de Philippe gonfle encore, en plus il n’était pas en érection complète! Alors que maintenant elle maintient toute la colonne de chair par le gland qu’elle serre entre ses lèvres, elle fait courir ses doigts sur toute la bite de notre invité mais aussi ses couilles. Je n’en peux plus même si je parait petit à côté de lui je sors ma queue et me branle devant ce spectacle.

Philippe tourne la tête vers moi et quand il remarque que j’apprécie vraiment le show il donne un coup de rein et enfonce un peu plus sa bite dans la bouche de ma femme. Je vois que les lèvres de Laurence tirent mais elle continue à faire rentrer cet énorme membre dans sa bouche. Elle commence à faire remonter ses lèvres le long de la tige qui est maintenant recouverte de salive.

Quand elle la recrache elle la réceptionne dans ses mains et lui mordille le gland en me fixant du regard. Elle sait que j’adore quand elle me fait ça et je suis sûr qu’elle est entrain de me provoquer. Pour toute réponse je me lève du lit pour lui montrer que je me branle et que j’adore ce que je vois.

En me voyant ainsi elle remplie de nouveau sa bouche distendue. Elle la fait monter et descendre à rythme de plus en plus rapide, en même temps elle lui caresse les couilles. Evidement régulièrement elle jette des regards sur moi et ne peux que constater que j’apprécie toujours autant le spectacle.

Pour en remettre une dose je lui lance même:
« C’est bien mon amour, continue à bien le lubrifier. Vas y mords le. Donne lui du plaisir »
Philippe qui ne comprend pas notre petit jeu surenchéri en disant:
« Tu es une sacrément bonne suceuse. Ton mari a de la chance mais… »
Il appuies sur la tête de ma femme et s’enfonce dans sa bouche quand il bute contre sa gorge il continue:
« Je suis sûr que tu peux en avaler plus! »
Il appuie un peu plus et effectivement s’enfonce d’encore au moins 3 centimètres entre les lèvres de mon épouse.

Il la libère rapidement pour ne pas qu’elle s’étouffe et par réflexe elle le recrache entièrement. La bite de Philippe est recouverte de salive alors que Laurence reprend sa respiration. Je m’approche d’eux tout doucement et je glisse une main entre les cuisses de mon épouse. Quand mes doigts se posent sur sa culotte je sens qu’elle est trempée.

Je glisse ma main entre le tissu et la peau, je commence à la branler nerveusement en lui ordonnant:
« Bouffe lui les couilles »
Dès qu’elle s’exécute je pose deux doigts bien lubrifiés par ses grandes lèvres sur son clito. Elle a du mal à en prendre une entièrement en bouche tellement que ses testicules sont gros. Alors elle les lèche, suce, aspire et mordille pendant que ses mains coulissent le long de sa queue dressée.

Je continue à lui donner du plaisir alors qu’elle en donne à notre invité pendant quelques minutes quant je commence à faire rentrer deux doigts dans sa chatte. Je m’arrête au milieu et je lui ordonne de le faire jouir. Elle se redresse pour se remettre à le sucer. La grotte de ma femme est tellement ouverte que je rentre même un troisième doigt.

Laurence fait coulisser le haut de la tige dans sa bouche, je vois sa tête tourner pour donner encore plus de sensations à Philippe. Avec toute la salive qui dégouline elle branle la partie de la queue qu’elle n’arrive pas à rentrer dans sa bouche. Alors que mon index, mon majeur et mon annulaire droits rentrent et sortent à un rythme fou de sa chatte en feu. Evidement ma main gauche en profite pour me branler.

Philippe est rapidement au bord de l’orgasme, j’abandonne mon sexe, je retire ma main droite de ma femme et je la remplace par la gauche avec seulement 2 doigts. Avec ma main très humide je masse la rondelle de Laurence. Elle est tellement excitée qu’elle cède rapidement. Je ralentis le rythme dans sa moule et je commence à faire rentrer mon majeur entre ses fesses.

Au même moment elle s’excite encore plus sur la queue de son fournisseur. Je fais maintenant rentrer un deuxième doigt dans son cul. Elle augmente la pression avec ses mains et sa bouche puisque Philippe se met à râler de plaisir. Une fois que mes deux doigts sont en elle je les fais immédiatement coulisser au même rythme que ceux qui son dans son sexe.

Notre invité att la tête de Laurence et s’enfonce bien dans sa bouche, il se déverse tellement en elle que du sperme coule sur le tapis de notre chambre. Je m’acharne encore plus sur les trous de ma femme alors qu’il continue à gicler. Je sens tous les muscles de l’entrejambe de mon épouse se contracter autour de mes 4 doigts qui sont en elle.

Ma femme et son amant jouisse à l’unisson, pendant qu’elle nettoie le mat de Phillipe je ralentis la cadence de mes mains et je retire d’abord les doigts qui sont dans sa chatte puis ceux dans son cul. Alors qu’elle a toujours le gland entre ses lèvres je la soulève par la taille pour que son corps soit en angle droit.

J’écarte ses jambes et je rentre dans son sexe d’un coup sec. Je fais quelques allers retours mais je suis excité comme un fou. J’ai du mal à me retenir alors je sors ma bite dégoulinante de la cyprine de ma salope de femme. Avec une main j’écarte ses fesses, je balade mon gland gluant sur sa rondelle et je m’enfonce d’un coup.

J’ai juste le temps de faire calquer mes couilles 3 fois contre elle que je lâche un premier jet au fond de ses entrailles. Je continue à la ramoner pour sortir les giclées suivantes. Même quand je n’éjacule plus je continue mes mouvements puis je décule lentement en pressant mon sexe pour sortir les dernières gouttes en elle.

Quand je suis sorti elle abandonne la bite de Philippe qui est complètement molle mais pas beaucoup plus petite que la mienne en érection. J’enfonce deux doigts entre les fesses de ma femme qui sont toujours écartées. Je les tournes pour récupérer mon sperme. Je les sors délicatement et je lui fourre dans la bouche en lui disant:
« Pour que tu n’oublies pas mon goût »

Je ne sais pas si elle simule mais elle les lèche en gémissants. Une fois que mes doigts sont propres et que nous nous relevons je leur dis à tous les deux:
« Par contre on est pas encore quitte. »
Je tourne la tête vers ma femme alors que nous sommes tous les droits nus et rajoute:
« Le contrat c’est que je dois le voir te baiser et pour l’instant j’ai juste vu ma salope de femme le sucer et en prendre un plaisir fou »…