Domination De Couple - Épisode 4 - Première Soumission
Domination de couple - Épisode 4 - Première soumission
Pendant la semaine qui suivi notre weekend de folie, le sujet ne fut pas ou peu abordé. Bon, disons notre samedi de folie, le dimanche ayant été passé à rien foutre avec une satisfaction non dissimulée. La semaine de boulot repris, nous discutions de tous et de rien le soir, sans oser aborder léléphant au milieu de la pièce.
Après une semaine de ce jeu, nous fûmes finalement obligés davoir LA conversation. En rentrant du boulot le jeudi, je trouvais Pauline en train de prendre le soleil doctobre sur la terrasse.
- « Salut toi, bonne journée ?
- Ouai plutôt pas mauvaise, un peu chiante mais pas pire
toi ?
- Pareil, jai pas eu le temps de me poser mais cétait assez intéressant. Tu veux quon reste tranquille et quon se fasse livrer ?
- Déjà prévu mon chou, les sushis arrivent dans 30min ! »
Elle me connaissait décidément par cur. Elle reprit :
- « Je me suis dit que ce serait mieux de rester tranquille ce soir
On a peut-être un apéro demain soir. Si ça te tente.
- Moi tu sais, je suis jamais contre. Cest quoi le projet, chez quelquun ou dans un bar en ville ?
- Chez quelquun
chez Léa.
- Ah »
Je nétais pas sûr de la réaction à avoir. Elle sen occupa pour moi.
- « Tu en es ou toi ? »
Une question pas très claire mais lourde de sous-entendu.
- « Moi, je veux que tu sois à laise. Est-ce que le weekend dernier ma plu ? carrément. A fond. Vraiment. Est-ce que je suis à laise avec lidée de recommencer ? ça dépend de toi. Si je ne suis pas sûr à 100% que tu en as envie autant que moi, que tu fais ça bien pour toi et pas juste pour me faire plaisir ou par peur de me perdre, alors je veux arrêter là. Mais si cest ton cas. Si tu as apprécié. Si tu as envie, vraiment envie, de recommencer. Alors oui, jai bien envie de voir ou ça nous mène.
Elle resta silencieuse un moment, avant de prendre la parole.
- « Pour linstant, oui je suis à laise. Oui jai vraiment aimé, oui jai envie de recommencer. Jai un peu peur de la relation que tu pourrais développer avec Léa
mais pour linstant je suis à laise et jai envie de continuer »
Un petit silence, avant quelle conclût :
- « Ok, apéro demain alors ! »
Et on nen parla plus de la soirée, sushis, film, cocooning entre larves.
Le lendemain, je ne tenais pas en place pendant ma journée de boulot. Je regardais lhorloge en permanence, à compter les minutes jusquà la libération. Comme par hasard, javais pleins de trucs à faire aujourdhui.
A 19h, je finissais enfin une journée qui avait semblée interminable du début à la fin. Je sorti mon portable et lu un texto de Pauline : « jai fini tôt, je vais chez Léa. On se retrouve là-bas ;) »
Je récupérerais donc ma voiture sur le parking et traçais vers le centre-ville.
Jarrivais chez Léa en début de soirée. Quand je sonne, cest Pauline qui mouvre et me laisse entrer.
Jétais déjà venu plusieurs fois chez elle, de lépoque ou Pierre y vivait aussi. Elle avait tout réaménagé, repeins les murs, bouger les meubles.
Elle me fit donc visiter, puis nous nous sommes installés dans le canapé. Léa a apporté ces Gins Tonics, des chips, du fromage, de la charcuterie
un vrai apéro de princes. On écoute de la musique, on discute de la semaine.
Jaurais pensé que lambiance serait lourde dattente et de sous-entendus mais pas du tout, nous passions un bon moment sans vraiment se mettre la pression sur la suite éventuelle.
Jusquà un moment de silence ou Pauline mis les deux pieds dans le plat avec enthousiasme :
- « Bon, cest quoi le programme ?
- Haha tu ne perds pas le nord » lui répond Pauline. « Je sais pas moi
Vous en êtes ou vous ? Sur le moment ça vous avais plus mais je sais pas trop ou vous en êtes maintenant.
- On est là non ? » là, cétait moi qui intervenait.
- « Oui cest pas faux
Toi Pauline quest-ce que tu veux ? Tu as envie dapprendre comment r ton homme ? » appuyé par un petit clin dil complice qui fit rougir lintéressée.
Couleur écarlate quelle navait pas lair prête à perdre dailleurs.
- « Non
disons que ça ma vraiment intrigué de voir comme ça lui plaisait et
disons que jaimerais bien essayer quoi. »
Là, javais mes oreilles grandes ouvertes.
- « Tu veux tester une nouvelle configuration de jeu mon chou ? » lui proposa Léa. « Que je moccupe de toi ? ou que Fab soccupe de toi et que je supervise ? quon soccupe tous les deux de toi ? Quil soccupe de nous deux ? »
Moi, javais la tête qui tournait devant tant de possibilités. Pauline avait lair de prendre peur aussi.
- « Euh je sais pas moi !! Javais pas envisagé tout ça, cest peut-être pas une bonne idée, je devrai peut-être
- Relax ma chérie », la coupa-t-elle avant de se lever pour venir se coller contre elle, de passer un bras autour de ses épaules et de poser lautre main sur sa cuisse. « Je te taquine cest tout. On peut commencer tout doucement. Moi et lui, on te guide, on joue, on te teste et dès quon te sent un peu limite on voit si tu veux continuer. On peut construire ça ensemble tu sais
»
Pauline semblait rassurée. Léa continua :
- « Tu sais on est allé très vite avec ton Fab parce quil avait lair très à laise avec le contexte, quil fantasme là-dessus depuis longtemps et que ses limites, il les intuitait déjà. Pour toi on va y aller tout doucement »
Elle me fit un petit clin dil. Pauline semblait maintenant très motivée.
- « OK ça me va !
- On va commencer par fixer quelques règles si tu veux bien. Règle n°1 : tu as un devoir dalerte. Quelque chose te plais pas ? tu le dis immédiatement. Tu veux quon arrête ? même chose. SI tu es bâillonnée cest un coup de tête à gauche, à droite, puis à gauche à nouveau.
Pauline avait lair dune élève 1ère de la classe, elle semblait chercher un carnet pour prendre des notes.
- « Cest très simple en fait. Peut-être qua travers ces jeux, tu découvriras que tu aimes faire semblant davoir mal ou supplier darrêter. Mais on ne commence pas avec ça. Aujourdhui on construit la vision de ce qui te plais ensemble. On ne te poussera pas plus loin que ce que tu acceptes pendant le jeu, on sera très attentif à tes réactions et on adaptera au fur à mesure. OK ?
-
- OK ! Règle n°2 : si jamais on franchit une ligne qui te plais pas, on réalise que cest trop bizarre entre nous, la règle de la dernière fois sapplique : on arrête tout, on boit jusquà oublier la soirée et on ne gache pas notre relation pour ça. OK ?
- Toujours ok !
- Très bien. 3ème règle : larticulation entre Fab et moi est la partie la plus sensible. Fab, je ne pense pas que tu considères que ce qui se passe entre elle et moi est gênant du point de vue de votre relation. Si cest le cas, tu le dis de suite et on adapte. OK ?
-
- OK. Pauline, je veux que ce soit clair pour toi : lélément central de nos jeux cest toi. Jai déjà tripoté ton homme dans ce contexte, mais je nai aucune envie de mimmiscer entre vous deux. Il ne se passera rien dans ton dos quand tu auras les yeux bandés, on jouera par toi interposée. Peut-être quun jour ça évoluera mais cest pas lobjectif et cest à votre rythme et vos demandes
OK pour vous deux ?
- OK !
- Dernière règle : on est là pour prendre du plaisir donc vous avez intérêt à mouiller/bander mes cochons ;) »
On se regarde tous les 3 dans les yeux
Oui il semblerait que la relation est plutôt claire.
- « Cool
cool cool cool. Bon jai beaucoup parlé moi
Pauline, tu irais mettre la tenue qui est dans ma chambre sur le lit ? »
Elle avait tout prévu, comme dhabitude
- « Oui » dit-elle simplement en rougissant avant de me jeter un petit regard en coin.
- « Ah, et fait un crochet par la cuisine pour nous préparer 3 Gin Tonics au passage ma chérie ! »
Et sur ce, elle partit dans le couloir.
Lorsquelle fut hors de vue et surtout hors de voix, Léa se tourna vers moi et mévalua.
- « Cest pas mal de venir directement du boulot, le costard te donne un bon look de dominant !
- Euh
merci ?
- Va falloir être plus sûr de toi que ça si tu veux être convaincant. Je vais me changer bouge pas. »
Elle se rendit dans un coin du salon, ouvrit un placard et je découvris sa caverne dAli Baba : Sur lintérieur de la porte était fixé des martinets, des cravaches, des menottes et bâillons en tout genre. Le placard en lui-même était une penderie de tenue de dominantes et de soumises. Dans le fond, je distinguais des tiroirs remplis de sex-toys en tout genre.
Elle choisit un corset bleu nuit, une jupe en vinyle noire, des escarpins bleus et des petits gants sexy. Elle se déshabilla sans complexe devant moi et enfila le tout avant de me rejoindre sur le canapé. Après avoir sélectionné 2 cravaches bien entendu.
Pauline revint de la cuisine avec un plateau sur lequel était posé nos 3 verres et un pichet de Gin tonic. Elle était éblouissante : Léa lui avait choisi une tenue de soubrette complète, jusquà la coiffe, complétée dun collier de cuir sobre et de menottes en cuir molletonnées au poignet et cheville. Elle portait les même escarpins bleu nuit que sa maitresse.
Elle rougit en nous voyant tous les deux dans le canapé, fixa la tenue de Léa pendant 2 secondes avant de baisser les yeux. Elle sapprêtait à se rassoir sur le canapé après avoir posé le plateau sur la table que la voix de Léa la fit sursauter :
- « Non ma chérie, jaimerais que tu te mettes à genou devant ton homme. Très bien. Les mains croisées dans le dos. Voilà, les fesses posées sur les pieds, les cuisses écartées au maximum. Parfait
Tu es vraiment hyper sexy comme ça. A partir de maintenant, cest ça ta position dattente de soumise.
- Daccord
» Elle semblait tellement fragile
Elle était magnifique.
- « Cest bien ma chérie, tu ten sors très bien. Jaimerais que pendant la durée du jeu, tu mappelles maitresses
ça te conviendrais ?
- Euh
Oui maitresse.
- Parfait. Fab, une préférence ?
- Pas particulièrement
On peut essayer Monsieur pour ce soir, et voir si ça nous convient.
- Oui monsieur. »
Léa lui caressa les cheveux pour la féliciter, puis se mit à lignorer en nous servant des cocktails. On reprit notre conversation davant son arrivée en ignorant notre soumise, ce qui eut lair de bien la perturber. Après, quelques minutes de ce traitement, tout en buvant son verre, Léa sorti une télécommande de sa poche et appuya sur un bouton. Immédiatement, Pauline se cambra et poussa un long soupir. Je la regardais, regardait Léa et compris :
- « Alors comme ça tu ne mattends pas avant de jouer avec ?
- Tu es un grand garçon, tu peux ten servir comme tu veux ! Je te lai même mise à disposition tient. »
Cest vrai ça, cétait devant moi quelle était à genoux. Elle était rouge comme une pivoine dailleurs. Mais lallumage de son jouet semblait lui faire le plus grand bien.
- « Tu as parfaitement raison », je lui dis avant douvrir ma braguette et de sortir ma queue tendue depuis 5min.
Pauline semble choquée, me regarde avec de grands yeux ronds. Je lui caresse les cheveux à mon tour, avant de lui dire :
- « Allez mon ange, à toi de jouer », appuyé dun petit clin dil.
Elle sourit et commença à me lécher le sexe de la base à la tête. Léa la regardait faire, un air lubrique sur le visage. Elle se leva, se glissa derrière notre soumise et commença à lui caresser les seins à travers le tissu de sa tenue. Celle-ci englouti ma bite pour couvrir un long gémissement. Léa lui saisit les mains, les releva dans son dos et les fixa à une petite chaine qui pendait de son collier. Cela eu pour effet de la cambrer vers lavant, faisant ressortir à moitié ses tétons de sa tenue.
Pauline sactivait pendant que Léa lui pinçait les tétons et accélérait le rythme des vibrations. Elle montait et descendait sur mon sexe, me léchait les bourses, me titillait le gland du bout de la langue avant dessayer de senfoncer le plus loin possible. Tout ça en poussant des gémissements et en haletant
je nallais pas tenir longtemps à ce jeu-là.
Léa arrêta de jouer avec son objet sexuel, sinstalla à côté de moi dans le canapé avant de faire claquer un ordre :
- « Tout pour lui ? je crois que cest moi tour maintenant
»
Et elle releva sa jupe pour révéler une petite chatte intégralement épilée.
Pauline me jeta un regard et jeu limpression que nous avions une conversation télépathique :
* Jy vais ? jai encore jamais essayer, je sais pas si ça va me plaire
*
*Mon ange, cest ton jeu cest toi qui voit ! *
*
Oui jai envie dessayer ! *
Bon concrètement elle mavait juste jeté un regard auquel javais répondu par un haussement dépaule. Mais cest comme ça que je choisis de linterpréter.
Elle se déplaça comme elle pouvait de quelques dizaines de cm sur la gauche, vint poser son visage sur lintérieur de la cuisse écartée de sa maitresse et commença à la gouter du bout de la langue.
Sauf mensonge de sa part, sétait la première fois quelle goutait une chatte. Je ne sais pas si cétait le contexte ou laction en elle-même, mais en tout cas elle avait lair de sy plaire. Luf en train de sagiter au fond de son vagin devait aussi jouer pour beaucoup.
Pour ma part, je me caressais la bite doucement en les regardants faire. Léa se mit rapidement à gémir, lui donnait quelques directives, la guidait en la tenant par les cheveux
tout en gémissant doucement à intervalles réguliers.
Elle tendit le bras sur la table et récupéra la petite boite quelle y avait amené plus tôt elle en sorti un plug nervuré quelle glissa dans la bouche de Pauline. Celle-ci se laissa faire, mais je vis à son regard quelle avait très peur de lobjet.
Heureusement, celui-ci ne lui était pas destiné puisquune fois lubrifié par la salive de notre soumise, Léa linséra doucement dans son cul en regardant Pauline, le visage allongé sur sa cuisse qui faisait glisser le bout de sa langue tout doucement sur le clitoris de sa maitresse.
Cette scène était une des plus érotique auquel javais pu assister jusque-là.
Lorsque son cul dépassa la zone du plug la plus large, le reste fut absorbé et disparu dans son cul dans un long gémissement de contentement de Léa.
Pauline avait lair extrêmement intriguée.
- « Et moi maîtresse ? jai été sage pourtant
»
Léa la regarda avec étonnement et éclata de rire.
- « Fab, tu toccuperais du cul de notre petite gourmande ? »
Cest avec plaisir que je pris la boite aux trésors de notre hôte et sélectionna un plug simple de petite taille, mais vibrant. Je me glissais derrière Pauline qui avait ajusté sa position pour être à 4 pattes
Enfin à 2 pattes, puisque ses 2 mains attachées dans le dos ne pouvaient pas la maintenir au sol. Elle avait donc le haut du corps enfoncé entre les cuisses de Léa, pour son plus grand plaisir.
Je commençais par lécher doucement la rondelle de ma soumise pour la rassurer sur la démarche. Elle eut lair de bien apprécier ce traitement. Puis, après lubrification intensive du jouet, je commençais à lintroduire tout doucement. Elle me semblait terriblement crispée, signe quelle nétait quand même pas du tout rassurée par lintrusion. Je jouais avec elle, avançait et reculait lobjet, le tournait, bref je lhabituais à sentir sa rondelle challengée par un corps extérieur. Quand je la senti bien prête, je laissais le jouet se faire aspirer par son cul dans un long soupir de contentement.
Léa nétait pas indifférente à ses soupirs poussés dans son intimité et semblait nêtre pas loin de basculer. Pour Pauline difficile dêtre sûr puisque ses gémissements étaient étouffés par son bâillon naturel, mais je doutais quelle soit bien loin de lorgasme.
Ne souhaitant pas avoir un train de retard, je décidais de me rapprocher moi aussi du plaisir. Je tirais donc sur la ficelle qui pendait du vagin qui était sous mes yeux, ce qui fut suivi dun grognement de reproche de Pauline. Je lignorais et rentrait dun coup dans son vagin qui glissait comme jamais. Elle poussa un cri de plaisir que Léa se fit un plaisir d en écrasant la tête de sa soumise entre ses cuisses. Celle-ci devait avoir du mal à respirer mais saffairait comme jamais.
De mon côté, je la besognais sans aucune retenue. Sa tête senfonçait à intervalle régulier sous la jupe de notre maitresse, qui ne retenais plus ses longs gémissements de plaisir. Pauline gardait sa langue dardée pour mieux pénétrer le vagin qui soffrait à elle.
Sentant mon plaisir monté, je décidais de donner le coup de grâce. Jallumais les vibrations du plug de Pauline, vibrations que je ressentis instantanément contre ma bite à travers la paroi vaginale. Pauline criait :
- « Oh mon dieu
je vais jouir !
- Non », lui ordonna Léa avec un air autoritaire sur le visage, « tu ne jouis pas sans autorisations »
- Oh sil vous plaît maîtresse, monsieur, est-ce que je peux joumfff
»
Léa venait de lui écraser son visage dans sa chatte.
- « Jai pas entendu, tu disais ?
- Mfffffff
»
Ce gémissement étouffé me fit sourire
il ny a pas si longtemps cétait moi qui était enfoncé entre ces cuisses sans pouvoir parler.
Léa et moi échangeâmes un regard. Nous étions tous les deux au bord de lorgasme et on le savait. Il était temps de finir. Je mis les vibrations au maximum, accéléra mon rythme autant que possible et me mis à lui claquer les fesses sans relâches. Léa de son côté sorti le visage de Pauline de son intimité et le pris entre ses deux mains pour quelle la regarde dans les yeux.
Celle-ci gémissait, criait, semblait au bord des larmes, et suppliait en continu :
- « Pitié, pitié je veux jouir, jen ai besoin, je vous en supplie laissez-moi jouir »
etc
Léa la regarda avec un regard froid et dit simplement :
- « Tu as notre autorisation pour jouir »
Puis elle enfonça à nouveau le visage de pauline entre ses cuisses en la tenant dune main ferme enroulé dans ses cheveux.
Je ne vais pas pousser la romance jusquà prétendre que nous avons tous les 3 jouis au même instant
mais putain on devait pas être bien loin ! Léa gémissait sans discontinuité, en étouffant sa victime dans sa chatte. Jentendis Pauline pousser un long cri étouffé. Elle se mit à trembler. Pour ma part, javais ma bite au fond de son intimité qui vibrait au rythme du plug. Je vis des étoiles et poussa un long grognement.
Pendant une seconde, le temps semblait suspendu.
La seconde suivante, Léa relâcha Pauline qui aspira de grandes goulées dair. Je mempressais de sortir doucement mon sexe et darrêter les vibrations du plug, qui faisaient trembler notre victime. Celle-ci était complètement perdue. Elle pleurait, puis soupirait, puis gémissait, était prise de phase de tremblement, se mordait la lèvre, puis recommençait.
Je la détachai, ajusta sa tenue, la pris dans mes bras et lallongea sur le canapé. Elle se calmait progressivement. Léa se leva, ajusta sa tenue, servit un verre deau quelle tenait près de notre soumise en caressant affectivement ses cheveux.
Après quelques minutes à tenir sa main et la rassurer, elle avait repris du poil de la bête.
Domination de couple - Épisode 4 - Première soumission
- « Cétait
oh mon dieu. Je sais pas quoi dire
Putain !!!
- Tu as aimé ? » cétait Léa qui parlait, qui prenait la température.
- « Si jai aimé ? Putain jai jamais eu dorgasme aussi puissant ! Cétait tellement érotique
jétais tellement
et vous étiez si
Putain !!! »
On se regarda tous les trois avec un sourire entendu. Pauline reprit :
- « Je comprends mieux maintenant. Et merde, jen veux encore !
- Cest tout à fait envisageable ça
»
À suivre...
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