Imagine
Tu es avec ta femme dans une boîte de danses latinos. La clientèle est composée essentiellement de noirs friqués et de jeunes femmes, blanches ou asiatiques. Elle expose son corps parfaitement galbé dans une robe moulante. Ses seins débordent du bustier, et ses fesses rondes et fermes sont moulées par le tissu. La robe trop courte et fendue dévoile ses cuisses fuselées et galbées. La chaînette à sa cheville est ornée d'une médaille de la reine de pique, signe de son allégeance au sexe noir. Pour compléter le tableau, elle est juchée sur des talons hauts et elle est maquillée comme une voiture volée.
Pendant qu'elle se trémousse au bord de la piste de danse, tu te diriges vers le bar commander deux verres en jetant un coup d'il circulaire, en te demandant quel genre de type ta femme va embarquer ce soir. Lorsque tu arrives à te faire servir les deux boissons, tu te retournes et là, ton cur se met à battre la chamade et ton cerveau se grippe momentanément lorsque tu vois l'énorme noir body-buildé qui vient de brancher ta femme. Elle se trémousse devant lui, sûre de son sex-appeal, souriante et détendue. Et le mec la baratine tranquille, détendu, souriant, sûr de sa force.
Tu retournes lentement près d'eux, et ta femme murmure un truc à l'oreille du type quand tu t'approches. Le mec se retourne, te dévisage, te jauge des pieds à la tête et se marre. Pendant qu'ils se marrent sans que tu saches pourquoi, tu brûles d'embarras. Tu donnes un verre à ta femme et tu te tournes vers le colosse noir pour te présenter. Sans un mot, dédaignant ta poignée de main, il att ton verre, puis place son autre main sur ta poitrine, te chassant de son périmètre. Le message est clair, casse-toi et laisse-moi seul avec ta pouffe. Humilié, ta bite se tend mais ne parvient pas à soulever la cage de chasteté qui l'emprisonne, et dont la clé est suspendue à une chaînette délicate autour de la taille de ta femme.
Tu fais demi-tour et tu t'éloignes en entendant le ricanement narquois de ta femme devant ta manifestation de faiblesse.
De retour à la maison, ta femme te laisse seul avec son étalon noir pour enfiler quelque chose de plus sexy. Dans le salon, il s'approche de toi, souriant et détendu. Il t'examine de ses petits yeux porcins, te jauge et t'étudie. Perplexe, il n'a pas rencontré souvent des lopettes comme toi. Il se tient debout devant toi, te dominant de toute sa taille, sa musculature saillante t'impose le respect. Il passe la main dans tes cheveux, te caresse la joue. Sa caresse est douce. Charmé, tu fermes les yeux. Soudain, il saisit une poignée de cheveux qu'il tord sans effort. La douleur t'a fait tomber à genoux. Lorsqu'il déboucle sa ceinture et que son pantalon tombe sur ses chevilles, le message est clair.
Ton cerveau se bloque à nouveau en voyant le renflement massif de son boxer. Le parfum de ses couilles envahi tes narines, tu peux sentir la pression de sa main qui approche ton visage de son sexe. Il t'ordonne dôter son slip avec tes dents et tu lui obéis. Tandis que tu tires précautionneusement le tissu vers le bas, tu sens ton nez frotter le long de la tige épaisse et nerveuse. Elle jaillit enfin et te frappe au visage. Il agrippe à nouveau ta tignasse et te guide vers son sexe. Docile et soumis, tu ouvres ta bouche, sans un mot et tu commences à le sucer.
Tu es là, à genoux, les bras ballants, essayant de sucer une monstrueuse bite noire, ouvrant ta bouche au maximum, te donnant du mal pour avaler son gland violacé. À ce moment, ta femme entre dans la pièce, seulement vêtue d'une nuisette transparente et de ses talons aiguilles. Elle éclate de rire en voyant le tableau, joyeuse de voir son mari définitivement dompté. Tes joues brûlent de honte et tu ne peux retenir un sanglot tandis que ta femme te ridiculise et se fout de ta gueule.
Il retire sa queue et te repousse, tu tombes sur le dos. Il enlace ta femme et la pelote sur tout le corps en l'embrassant. Puis, il t'att par la tignasse et t'entraîne jusqu'à ta chambre, t'obligeant à les suivre à quatre pattes, comme un toutou. Il t'ordonne de te déshabiller entièrement et de t'agenouiller à côté du lit pendant qu'il honore ta femme blanche sexy. Elle se met à quatre pattes sur le lit et te tend la main que tu saisis. Il se positionne derrière elle pour frotter son énorme bite noire contre sa petite chatte rasée. Elle te sourit, amusée par la transformation en petite lopette pathétique que tu es devenu en quelques mois. Soudain, elle pousse un cri rauque lorsque l'énorme mandrin la pénètre.
Tu es agenouillé à côté du lit et tu contemples le visage de ta femme pendant qu'elle se fait baiser par une énorme bite noire. C'est un privilège rare, d'habitude ils préfèrent te savoir dans la pièce voisine, écoutant ses gémissements et ses cris. Tu lui tiens la main pendant qu'elle se fait pilonner la chatte pendant plus d'une heure. Tu admires amoureusement son visage, bouche grande ouverte, yeux révulsés, geignante et gémissante sous les coups de boutoir qui défoncent sa petite chatte blanche si étroite. Elle se fait pilonner et tu restes agenouillé devant elle, incapable de la protéger.
Tu restes juste là, et une cascade d'émotions te traverse en la regardant. Tu te souviens de la première fois, en vacances dans les Antilles. Tu l'avais emmenée dans cette boîte pour la dessaler.
Elle en a besoin, même si maintenant il lui claque les fesses avec sa main puissante. Elle jouit d'être traitée comme une pute, une moins que rien, une salope. Tu devrais arrêter ça, mais tu es complètement vaincu. Ta femme ne t'appartient plus. Ce soir, elle est sa femelle. Elle lui appartient. Tu regardes le sol et tu pleures en lécoutant exprimer bruyamment sa jouissance pendant quil se vide les couilles dans son vagin fertile.
Perdu dans tes pensées moroses, agenouillé à côté du lit, ta minuscule bite verrouillée dans sa cage pendant que ta femme et son amant s'embrassent et se caressent. Tu sursautes quand ta femme t'ordonne de lui nettoyer sa chatte, ce méchant sourire plaqué sur son visage. Tu obéis instantanément, léchant et gobant les jus mélangés qui s'échappent de sa chatte martyrisée.
Imagine. Imagine que ce soit ta réalité. Et pense que pour certains couples blancs c'est déjà la réalité. Maintenant, réfléchis avec quelle facilité tu te laisserais dominer et tu accepterais ton nouveau rôle dans ton couple. Lopette.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!