Radia Découvre Le Sexe, La Religion Gâche La Première Mais Elle Se Ratt

Pendant ma convalescence j’ai été contacté par Radia, une jeune marocaine de 21 ans à la suite de mon histoire « Les vacances 1 ». Elle me dit avoir était très excité par mon récit et s’être imaginée à la place de Martine pendant qu’elle se masturbait. De là a commencé un échange de mail entre nous où elle m’a un peu raconté sa vie.

Elle se décrit comme une belle brune d’1m71 et 65kg. D’après les quelques photos que j’ai vu d’elle, son cul a l’air bien rebondi et ferme. Elle a une poitrine assez ferme et fait un beau 90C mais elle n’est pas trop sensible de cette région ce qui est dommage vu la belle paire de sein qu’elle a!

Comme Albert et Michel, elle m’a demandé de mettre par écrit sa vie qu’elle considère très atypique. Je vais essayer de rentrer dans la peau de Radia (d’habitude ce n’est pas comme ça que je rentre dans une fille) et vous raconter son histoire en utilisant le « je ».

Bonjour, je m’appelle Radia B. mais dans quelques jours je vais changer de non de famille. Mon père est quelqu’un de très religieux est respecté, il donne des cours aux jeunes de notre mosquée et passe son temps à étudier et prier. Même si je ne suis pas dans la même mouvance que lui, il me fait porter le voile très jeune et j’ai quitté l’école dès le début de ma puberté pour me consacrer à devenir une épouse vertueuse.

Ma mère est décédée quand j’étais petite, j’ai quand même des souvenirs avec elle mais c’est plus ma belle mère qui s’est occupée de mon éducation. Elle a seulement quelques années de plus que moi ce qui fait que nous nous entendons plutôt bien. C’est elle qui ma permis de perfectionner mon français.

Ma seule façon de m’évader de ce monde auquel je ne m’identifie pas trop c’est la lecture. Un jour mon père m’a offert un livre d’espionnage, genre James Bond, sauf ce qu’il savait pas c’est qu’il y avait 2 passages plutôt chaud. Quand le héros couche avec sa tendre les détails sont tellement crus et excitants que je sens mon entrejambe chauffer.



Le soir seule dans mon lit je ne peux m’empêcher de relire le passage, ma main descend dans ma culotte et je constate que mes quelques poils pubiens sont trempées. Je continue à examiner mon sexe avec ma main jusqu’à ce qu’une sensation m’irradie le ventre et le reste du corps. J’ai eu ma première masturbation et mon premier orgasme grâce à mon père! Vu sa religiosité c’est plutôt ironique.

Depuis ces bouquins sont devenus ma lecture favorite surtout quand je me retrouve le soir dans mon lit et que je peux tranquillement retirer ma culotte. Ca aurait pu s’arrêter là mais quelques temps plus tard une cousine à moi vient passer quelques jours de vacances chez nous. Elle est plus âgée que moi et a le droit de faire des études à la fac. Mon père ne voit pas son éducation d’un bon oeil mais nous laisse dormir dans la même chambre.

Un jour, alors que ma cousine travaille dans la chambre, j’ouvre la porte. J’entends d’abord des bruits étranges, je rentre voir ce qu’il se passe mais je cogne une chaise. Dès qu’elle remarque ma présence, elle referme immédiatement son ordinateur. Trop curieuse je lui demande ce qu’elle fait mais ma cousine devient toute rouge.

J’insiste pendant un bon moment et elle m‘avoue enfin qu’elle était entrain de regarder un film porno sur internet. Comme je n’en ai jamais vu bien que j’ai déjà 17 ans, je réussi à la convaincre d’ouvrir son ordinateur et de le regarder ensemble. Je suis subjuguée parce ce que je vois, ses images me font mouiller et me donne envie de rentrer ma main dans ma culotte. Comme je ne suis pas seule je me retiens.

Par contre, une fois le film fini, je file sous la douche j’ai toujours en tête l’énorme sexe de cet homme. Je dirige le jet d’eau vers mon entrejambe et je m’imagine à la place de la femme à sucer avant de me faire prendre sauvagement. Je fais rouler mon petit clito sous mes doigts jusqu’à atteindre l’orgasme. Je crois que c’est à ce moment là que j’ai décidé de devenir une salope.


Par contre je vais devoir patienter parce que je suis obligée de rester vierge jusqu’à mon mariage si je ne veux pas être répudier. J’espère d’abord tomber sur un mari qui sera un excellent amant mais j’espère aussi pouvoir papillonné pour satisfaire mes besoins que je sens important.

Comme c’est le cas dans le monde religieux, ce n’est pas moi qui choisit mon mari mais mon père. Je l’ai rencontré pour la première fois le jour de nos fiançailles. C’est un assez bel homme, qui a un très bon poste dans un ministère. Par contre il a 47 ans, il pourrait être mon père! Mais le pire c’est sa mère qui se met à m’appeler « ma fille » et qui me parle déjà de petits s.

Le soir après la fête j’essaye d’imaginer mon mari nu, j’espère que son sexe est aussi beau que celui de l’homme dans le film que j’ai vu avec ma cousine. Je ne peux m’empêcher de me caresser le clito en pensant à ma lune de miel que j’espère torride et longue.

Jusqu’au mariage je ne revois plus mon futur mari par contre je sors encore plus avec la deuxième femme de mon père pour acheter tout ce dont j’ai besoin pour mon trousseau. Ma future belle mère m’amène aussi faire du shopping mais uniquement pour acheter des sous vêtements et des déshabillés.

Avec elle ce n’est pas du tout la même chose elle n’arrête pas d’insister pour que je sois belle et séduisante afin que son fils lui fasse plein de petits fils. Mais le pire c’est qu’à chaque fois que j’essaye quelque chose, elle ouvre le rideau et m’observe sous toutes les coutures. Elle me fait tourner, inspecter ma poitrine, mes fesses… elle me fait même écarter les jambes. J’ai honte mais je ne peux rien dire.

Les préparatifs sont enfin finis, le mariage se passe bien. Nous recevons beaucoup de cadeaux, il y a une ambiance très festive. Tout ça c’est bien beau mais j’ai envie de mieux connaitre celui avec qui je vais partager le reste de ma vie. J’ai envie de sentir son sexe dans ma main, dans ma bouche et dans mon corps et encore plein d’autres choses.


Une fois le mariage finit, il me ramène dans ma nouvelle maison, c’est une belle villa. A l’intérieur, je pensais que nous allions enfin être seuls mais sa famille et la mienne nous attendent. Alors qu’ils s’installent dans le grand salon pour boire un thé avec des gâteaux, la femme de mon père me monte dans la chambre à coucher.

Elle me dit de me détendre que tout va bien se passer, qu’il faut que je sois décontracter et je n’aurai pas mal… alors qu’elle m’aide à me déshabiller entièrement. Pendant que j’enlève mes sous vêtements elle place un drap blanc sur le lit et me dit de m’allonger dessus. Elle sort de la chambre et quelques instants plus tard mon mari arrive.

Sans dire un mot, il se déshabille lentement, je découvre enfin son corps. Bien qu’il a l’âge d’être mon père, son corps est bien fait. Il a un petit ventre mais ses jambes sont fines. Quand il enlève son pantalon, je le découvre en slip et j’ai l’impression qu’il a un gros sexe. Il vient s’assoir sur le lit à côté de moi.

Toujours sans parler, il écarte mes jambes, j’attends la suite avec impatience. J’ai hâte de mettre en pratique tout ce que j’ai lu ou vu dans les films. Il commence à me caresser les lèvres intimes, je me détends et je sens que je m’ouvre rapidement. Alors que j’espère qu’il va remonter sur mon clito ou faire rentrer son index en moi, mais il le retire totalement. Mon mari se lève et retire son slip noir, son sexe est tendu, il est plus petite que celui que j’ai vu dans la vidéo mais a un énorme gland violacé et des couilles qui semblent très remplis tellement qu’elles pendent.

Il s’allonge sur moi, sans même encore me caresser ou même m’embrasser, il empoigne sa bite. Mon mari promène son gros gland autour de mon sexe à la recherche de l’entrée. Je sens le plaisir monter en moi mais quand il s’enfonce d’un coup sec en moi, une énorme douleur me prend le bas ventre. J’ai l’impression qu’il va me déchirer le vagin vu comme sa queue tire mes chairs.


Il reste un moment immobile mais pas assez à mon gout, il commence à ressortir. Je sens que les parois de mon sexe plaque son mat qui me déchire. Juste avant de ressortir il s’enfonce en moi une nouvelle fois et j’ai la sensation que mon mari est encore plus brutal. Je ne prends pas du tout de plaisir, au contraire j’ai mal et l’impression d’être qu’un vide couille et non une femme désirée.

Mon mari fait encore deux vas et viens rapide en moi et sans même éjaculer, il sort. Il file dans la salle de bain et je commence à pleurer, j’entends l’eau couler. Je m’assois et je remarque que j’ai pas mal de sang entre les jambes. Mon mari ressort en peignoir puis quitte la chambre. A peine quelques instants après ma belle mère rentre à nouveau.

Elle me sourit, m’embrasse le front et m’accompagne jusque dans la salle de bain. Elle me donne de quoi me rincer l’entrejambe et m’aide à mettre une chemise de nuit et me ramène au lit. Elle ramasse le drap taché de sang et va l’exhiber au reste de la famille comme preuve de ma virginité au moment du mariage. Même si mon père est religieux et que j’ai été élevé la dedans je me sens humiliée.

Je finis par m’endormir assez rapidement et je suis réveillé quand je sens mon mari me caresser le visage. Il m’embrasse le front et me dit qu’il m’a fait couler un bain. Il reste à côté de moi quand je plonge dans l’eau tiède. Sans dire un mot il prend une éponge et commence à me savonner délicatement, les bras et le dos, je me décontracte.

Quand il s’occupe de mes jambes je me sens même de plus en plus excitée. J’écarte les cuisses pour lui laisser un meilleur passage, mon mari en profite pour lâcher l’éponge et me caresser directement avec sa main. Je sens une chaleur me prendre au ventre, ses doigts se baladant avec talent entre mon clito, mes lèvres intimes et même l’intérieur de ma grotte. Il fait sa encore mieux que moi toute seule dans mon lit ou sous la douche.

Je sens le plaisir monter en moi, j’ai l’impression que mes jambes tremblent. Je sens des picotements démarrer de mes pieds et remonter tout doucement vers mon sexe et fini par un feu d’artifice dans mon ventre alors que les doigts de mon homme continue de me caresser mais de plus en plus lentement.

Sa main est toujours sur mon entrejambe, il se penche vers moi et m’embrasse pour la première fois sur la bouche. Une fois que j’ai repris mes esprits, il m’aide à me rincer et à me sécher. Après m’être senti comme une prostitué dont on peut profiter de son corps à la guise du client je me sens rassurée et encore plus quand il passe ses bras autour de mon corps et me serre fort contre lui.

J’ai enfin le sentiment d’être considéré comme une jeune épouse et peut être même qu’il me désire vraiment. Nous allons au lit, il se colle derrière moi et presse son corps contre le mien. Je me sens apaisée et je m‘endors rapidement dans les bras de mon tout nouveau époux. Je passe une nuit paisible et réparatrice.

Je sens le jour dans la pièce, j’ouvre les yeux et je vois mon mari, uniquement en slip blanc, assis sur un fauteuil, il me regarde. Il me sourit, je fais pareil et il me demande:
« Bonjour, tu as bien dormi. »
Je lui réponds que oui et je me rends compte que son regard est posé sur mon entrejambe et que ma chemise de nuit est remontée.

Je regarde son slip et je vois non seulement qu’il est bien gonflé mais en plus je découvre une petite tache sur le tissu blanc. Je me détends alors que je me dis que je vais enfin faire l’amour comme il le faut. Mais mon mari me dit que mon petit déjeuner est prêt. Je ne sais pas comment lui faire comprendre que c’est lui que j’ai envie de manger.

Je ne sais pas trop quoi faire ou quoi dire alors je me trémousse sur le lit pour lui dévoiler encore plus mon corps nu. Je fixe du regard son slip et je vois son sexe encore plus gonflé à tel point que son gros gland violacé dépasse. Il comprend que je regarde son sexe et me dit:
« C’est beau à regarder, hein? »
Je ne m’attendais pas à ça et me met à rougir.

Il le remarque et me précise que je n’ai pas à avoir honte et que son corps ton entier m’appartient. Je lui murmure que c’est moi qui lui appartient et non le contraire, comme ma belle mère m’a prévenu qu’il est pieux je préfère rester dans la tradition. Je suis étonné qu’il me dise:
« Non! Nous sommes égaux, tu m’appartiens mais je t’appartiens aussi! »

Il se rapproche du lit, colle son visage au mien et pose ses lèvres contre les miennes. Notre baiser est doux et j’ouvre la bouche pour laisser rentrer sa langue et la faire danser avec la mienne. Je suis ivre de bonheur à tel point que j’ai l’impression que la chambre tourne autour de nous. Je ferme les yeux et me laisse porter au rythme de mon coeur qui bat la chamade.

Je sens sa langue quitter ma bouche et ses lèvres descendent le long de mon cou jusqu’à ma poitrine. Je garde les yeux fermés et profite de ses mains qui malaxent mes seins, sa langue se pose sur mon téton gauche et commence à le sucer. C’est la première fois qu’une bouche s’occupe de mes seins, j’aime bien mais je ne sens pas mon corps frémir, c’est plutôt son désir pour moi qui m’excite.

Il remonte doucement le centre de son corps vers mon visage et quand il est à ma hauteur il abandonne ma poitrine. Il me présente son sexe tendu devant mon visage, Hier je n’avais pas réalisé que son sexe est aussi long (un des jours suivant je me suis amusée à mesurer, il fait 17 cm). Je le prend en main et commence à le caresser.

Je ne sais pas trop comment m’y prendre, j’essaye de me rappeler ce que j’ai vu et lu alors j’empoigne sa tige et je fais monter et descendre ma main sur toute la longueur. Il me présente son gland pour que je le suce, je commence par le léchouiller. Il gémit tout doucement et essaye de s’enfoncer de plus en plus en moi.

Je sens ma bouche se remplir de plus en plus, il me demande de faire tourner ma langue autour de son sexe, j’essaye mais j’ai du mal. Il att une de mes mains et la pose sur ses couilles, je les lui masse. J’essaye de faire ressortir sa queue d’entre mes lèvres mais lui veut l’enfoncer de plus en plus.

Quand il comprend que j’ai du mal à le sucer surtout dans cette position, il libère ma bouche et n’insiste pas, il m’embrasse et me dit:
« C’est pas grave on réessayera une autre fois. »
Il s’installe entre mes cuisses qu’il ouvre au maximum et introduit directement un doigt dans ma chatte qui est bien ouverte tellement que je suis excité. Au bout de quelques minutes, il le retire, me l’exhibe alors qu’il est brillant de mon excitation et me dit:
« Je suis content que tu aimes! »
Je ne sais pas ce qu’il me prend mais je rigole et lui répond:
« Tu es le premier à être content pour moi pour de telles choses! »

Je me sens assez décontracter pour poser pour la première fois mes mains sur lui et caresser son torse. Il se rapproche de moi et pose son gland violacé à l’entrée de ma grotte et l’enfonce mais très délicatement cette fois. Il s’immobilise un moment et quand il commence à bouger il est tout aussi délicat.

Ses vas et viens sont d’abord très courts et doux, mais il augmente doucement la cadence et l’ampleur. Il glisse sans problème en moi vu comme je suis excité à tel point que je l’encourage à y aller plus fort. Je passe mes bras autour de son cou et je me soulève doucement pour encore plus le sentir en moi et profiter de sa queue que je compresse avec les parois de mon sexe.

Il me rallonge et se retire de ma chatte, mon mari att mes jambes et les pose sur ses épaules et me possède à nouveau. Ses allers retours en moi sont de plus en plus sauvage, je sens le plaisir monter en moi. C’est de plus en plus fort surtout qu’en même temps qu’il me ramone un de ses doigts me titille le clito. Je contracte tous mes muscles vaginaux pour lui donner aussi le plus de plaisir possible.

Je le sens me pénétrer encore plus profondément, je n’arrive presque plus à me contrôler. J’ai l’impression que mon corps convulse sous ses coups de reins, je ne réalise même pas mais je me sens crier de plus en plus fort. Ca encourage mon mari à être encore plus bestiale avec moi. Je contracte mon sexe et je sens sa bite gonfler en moi.

Lui aussi semble convulser mais uniquement de la queue et quand je sens un jet me taper les parois intérieur je ne contrôle plus rien. Mon ventre et mon entrejambe explose de plaisir au fur et à mesure que son sperme me rempli. Je ne me contrôle même plus et en criant mon plaisir je plante mes ongles en lui ce qui le fait gémir aussi et frétiller encore une fois du sexe.

Il se retire délicatement de moi et vient s’allonger à côté de moi, ses mains se baladent sur mon corps et je fais pareil. Alors que je viens de prendre le plus grand plaisir sexuel de ma courte vie, ses doigts m’excitent tellement que j’ai encore envie de lui mais il me dit qu’il ne peut pas recommencer tout de suite et qu’il a faim. Je vais me calmer sous la douche et je descends le rejoindre en me disant que je vais pouvoir être heureuse avec lui…

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