Baisée Par Mon Vieux Voisin -3-

Je suis par terre, essoufflée et couverte du sperme de René.. Aujourd'hui encore, il m'a baisé comme une chienne. À côté de moi il continue de me tripoter et titille mon clitoris... Il semble perdu dans ses pensés quand soudain il demande "Dis moi vide couille... Depuis quand sais tu que tu aimes les vieilles bites ? ".. Je tressaille tandis que son doigt s'enfonce en moi, ce vieux pervers aime donner du plaisir à sa jeune soumise de vingt-deux ans... "À cause de papy" je réponds alors "Ce n'est pas mon vrai grand-père mais le petit ami de ma grand-mère.. J'ai toujours fantasmé sur lui..." René semble surpris, il ne s'était pas attendu à ça. Il me dit alors "Et tu n'as jamais rien tenté ? Une belle salope comme toi il aurait craqué" Je gemis tandis qu'il enfonce maintenant son penis, l'histoire de mon papy semble l'exciter. "Une fois quand j'avais dix-neuf ans on était tous les deux dans le Jacuzzi et je me suis collée à lui... À ce moment là j'ai vraiment hésité avant de me debiner... HuuuUUUMM...Renééé..." Mon voisin a commencé ses va et viens, rapides, secs. Il me plaque contre le sol et me poutre la chatte, je gemis son prénom et notre conversation ne peut plus continuer tant notre baise est intense. Je tremble de plaisir et finit par hurler mon orgasme tandis qu'il éjacule encore une fois en moi... Il semble enfin avoir eu sa dose pour aujourd'hui.. "Et maintenant ? Tu fantasmes toujours sur lui ?" reprends il alors, comme si de rien n'était... Essoufflée j'acquiesce "... Oui... Aux réunions de famille toutes les excuses sont bonnes pour le coller.." Avec un petit rire René me dit alors "Alors invite le demain, tu vas enfin devenir la salope de ton papy"

Le lendemain tout est prévu par René. Il a laissé exprès ma porte ouverte et a commencé à me baiser comme une chienne à l'heure où j'ai invité papy. Alors évidemment, papy arrive dans l'appartement tandis que je gemis comme une pute alors que René me prends en levrette sur le canapé en me répétant des "Tu aimes ça mon vide couille hein ?" "Petit coeur c'est toi ?" Nous sommes tout de même surpris par l'arrivée de Papy qui nous regarde avec l'air choqué.

René frémit et je le sens éjaculer en moi malgré le silence ambiant, papy le remarque également avec effarement. René se retire alors, la bite pendante et dit "Excusez moi, je ne faisais que me vider, je repasserai plus tard" et il fait mine de partir même si je sais qu'il a prévu de mater et qu'il restera derrière la porte. J'ai une expression honteuse "Je ne voulais pas que tu vois ça Papy.. Mais il est venu et... Tu dois être déçu" "Non... Non voyons tu as vingt-deux ans petit coeur.. Tu fais ce que tu veux mais tout de même, il doit avoir mon âge, tu pourrais trouver plus jeune..." me dit-il en s'asseyant à côté de moi, un main sur ma cuisse comme pour m'apporter son soutien.
"Je ne peux pas papy... J'aime les vieilles bites.. C'est les vieux hommes qui m'excitent..." je me mord les lèvres et dis "tu ne le diras à personne pas vrai ?" je me colle à lui et pose ma main sur la sienne. Je le sens frémir "Motus et bouche cousue petit Coeur.." Je souris, fais mine d'être rassurée puis caresse la main de papy avant de l'entraîner jusqu'à mon pubis nu pour demander "Tu n'as pas envie d'essayer papy ? ... Tu as une vieille bite toi aussi.. Et elle m'excite aussi..." Il semble hésiter puis je sens sa main me caresser et je tressaille d'excitation "Tu aimes tant les vieilles bites que tu veux celle de papy, petit coeur ?" demande-t-il. "J'ai toujours voulu être ta chienne papy.. Ta petite chienne à toi..." Il soupire et ses caresses se font moins hesitantes, il commence à fouiller ma chatte avec ses doigts, titille mon clitoris... Je gemis et sens une vague d'excitation hors norme monter en moi à l'idée de me faire prendre par l'homme que j'ai toujours désiré plus que les autres. "Oui moi aussi j'ai toujours voulu te traiter comme ma salope, déjà cette fois dans le jacuzzi j'avais failli te sauter dessus..." Je lâche un soupir, heureuse de savoir que papy aussi fantasmait sur moi... Je suis tellement excitée que je mouille comme une fontaine et papy retire ses doigts trempés de ma chatte avec un air amusé "Tu t'impatiente petit coeur ?" Consciente de la tournure que prennent les événements, je deboutonne le pantalon de papy et il me regarde faire avec gourmandise. Puis ses mains me caressent les hanches déjà nue de ma séance de baise avec René et il me met à quatre pattes sur le canapé, comme René un peu plus tôt. Là je gemis, ou plutôt supplie "Vas y papy... Sans preliminaires.. Comme une chienne... Baise moi" je veux tellement sa bite en moi... Elle est si belle, si grosse, je l'avais déjà vu dans ce fameux jacuzzi, si seulement je n'avais pas eu peur de mes propres desirs ce jour là. Papy ne se fait pas prier. Je sens son penis tout en moi et il commence ses va et viens puissants. Il est plus musclé que René et je sens litteralement sa longue bite s'écraser avec force contre le col de mon utérus. Je gemis fort et tout de suite, le plaisir est immediat. Ses va et viens me secouent et me font perdre l'équilibre, le haut de mon corps s'ecrase lamentablement sur le canapé tandis que Papy me laboure la chatte en rythme et que ma joue frotte contre le tissus du canapé.. Je hurle, fort, très fort, c'est si bon... Siiii booon "PaaaAAAAAppppYyyy... OuiiiiIiIIIIII AaaaAAAAAaaah". J'enchaine les orgasmes et n'ai l'impression de n'être plus qu'une chatte à baiser quand finalement, Papy s'arrête, essoufflé... Il me prend alors dans ses bras et je me rend compte que nous degoulinons tous les deux de sueur... Il me caresse le cul, me lèche les seins et me chuchote "Tu es super petit coeur... On aurait envie de te baiser comme ça tous les jours..."
Je lève les yeux vers Papy... Je dois admettre qu'il est bien meilleur que René.. Sans compter que j'ai toujours eu envie de lui et que cela a fait exploser ma libido... "Papy... Et si je devenais ta chienne à toi ? Tu pourrais quitter mamie ? Me baiser comme ça tous les jours... Je serais ta salope..." Nous sursautons alors tous les deux quand nous entendons quelqu'un se racler la gorge. René est là, la bite sortie et dégoulinante de sperme. Il est entré pendant que nous baisions et aucun de nous ne l'a remarqué tant c'était bon et que rien d'autre n'avait d'importance. Il s'est visiblement bien branlé, mes cris ont du l'exciter ce vieux pervers. "Je vous l'ai prêté mais c'est déjà mon vide couille. Trouvez vous une autre soumise" dit-il alors sur un ton possessif que je ne lui connaissais pas... Mais il se trompe, je ne suis déjà plus à lui, je ne pourrais jamais effacer la baise de papy de ma tête... Papy semble surpris avant d'éclater de rire "C'est ma salope maintenant, je reprends ce qui aurait toujours dû m'apartenir. Si vous ne vouliez pas la perdre, il aurait fallut ne pas la prêter. Surveillez mieux vos affaire la prochaine fois, elle va vider d'autres couilles maintenant et être ma chienne qu'elle aurait du être depuis longtemps"... Étonnée je vois le visage de René se décomposer tandis que Papy me soulève et m'empale sur sa grosse bite. Je gemis et il m'etale sur le canapé avant de reprendre son labourage... René est encore là mais il s'en fiche, papy marque son territoire. Je gemis fort de nouveau et m'accroche à papy autant que possible tant ses coups de reins me font trembler... Je ne le vois pas mais à côté René se branle et papy lui lance un coussin dessus, l'obligeant à partir.. Le vide couille a changé de propriétaire...

Je suis depuis devenue la soumise de papy qui est venu vivre avec moi et a quitté ma grand-mère. Ce n'est donc plus mon "papy" mais mon amant. Il me baise comme sa chienne tous les soirs mais est tendre le reste du temps, ce que j'apprends à apprécier. On ne peut pas être une soumise en permanence et papy me valorise. Je suis épanouie. Je ne baise plus avec René, sauf quand papy veut faire un plan à trois mais je ne lui appartient plus et il a eu beaucoup de mal à me laisser partir. Je sais qu'il se branle tous les soirs en nous écoutant et doit encore aujourd'hui regretter son excès de confiance.. Tant pis pour lui, c'est ce qu'on gagne à laisser traîner ses jouets

Fin