Cocu Pendant La Lune De Miel
Je me suis réveillé avec la gueule de bois. J'étais enlacé collé-serré dans les bras de ma jeune mariée. Nous étions nus tous les deux. C'était le premier matin de notre lune de miel dans un hôtel Suite & Spa en Jamaïque.
J'ai fait un effort pour ouvrir les yeux et regarder autour de nous. La robe de mariée de Carole était pliée sur le fauteuil et des cadavres de bouteilles de champagne traînaient sur la table basse.
J'avais mal au crâne, la bouche pâteuse, une vague envie de vomir, je n'avais pas encore dessoulé de la nuit précédente.
Je caressais du bout des doigts la peau douce de ma tendre moitié, depuis ses hanches pleines et son ventre moelleux, jusqu'à ses seins bien fermes. Sa peau soyeuse, tachée de sperme séché et d'ecchymoses diverses, contenait les preuves de nos frasques de la nuit précédente. Mon cerveau embrumé par l'alcool essayait de reconsti le fil de la soirée. La mémoire me revenait progressivement.
Mon sexe est redevenu raide quand j'ai commencé à remplir les blancs.
Nous étions sortis pour boire, nous amuser et danser. Je ne danse jamais quand je suis sobre. Carole non plus.
Nous avions commencé à boire dans l'avion. C'était un vol direct, en première classe, parce que c'était notre lune de miel.
Nous étions déjà un peu pompette en arrivant à l'hôtel.
Nous avons rapidement enfilé nos maillots de bain pour aller nous installer au bar de la piscine.
Nous nous sommes habillés décontractés pour le dîner. Short et polo. Nous avons continué à boire pendant le repas.
La boîte de nuit jouxtait l'hôtel. Nous avons fait la connaissance d'un couple d'homosexuels. Robert et Byron.
Pour eux aussi, c'était leur lune de miel. Ils s'étaient mariés à Cape Code et étaient arrivés en Jamaïque la veille.
Robert était un jeune homme blanc, très mince, sociable, extraverti mais légèrement efféminé.
Byron était un colosse noir avec une voix de basse profonde, et avec une personnalité calme et tranquille.
Carole a papoté avec Robert comme avec une vieille copine.
Byron et moi avons parlé basket-ball. Nous avons fait des pronostics sur la saison à venir.
Nous avons bavardé, blagué et dansé jusqu'à la fermeture. Nous avions ralenti notre consommation mais quand le club a fermé pour la nuit, notre démarche était hésitante et notre élocution pâteuse. Il était 2h du matin et j'avais hâte d'avoir du sexe avec ma jeune épouse. J'ai été surpris quand Carole a invité Robert et Byron dans notre chambre pour continuer la fête.
À ma grande consternation, ils ont accepté et dix minutes plus tard, nous fêtions nos mariages respectifs dans notre chambre.
"Fais-moi voir ta robe!" demanda Robert et Carole la sortit rapidement du placard.
"Oh mon dieu, elle est magnifique!" s'exclama Robert en caressant le tissu soyeux. Il s'extasiait sur le tissu, la forme et pour juger du mouvement, il lui demanda: "Enfile-la!"
Stupéfait, je regardais ma femme se déshabiller entièrement, ne gardant que sa petite culotte, pour enfiler sa robe de mariée.
Carole avait probablement oublié notre présence, discutant chiffon avec Robert comme avec une copine, sans se soucier de pudeur.
"J'adore, ma chérie!" dit Robert, "Tu es magnifique! Tourne un peu, que je vois!"
Carole a commencé à virevolter et à danser autour de la pièce tandis que Robert fredonnait un air entraînant.
Byron et moi étions d'accord. Le spectacle était magnifique.
"Ta culotte n'est pas de la bonne couleur! Elle fait tache! Enlève la!" dit Byron espiègle, quand Carole vint effec une danse du ventre devant notre nouvel ami. Elle se retourna, remonta la robe au-dessus de sa taille et tortillant son cul devant le visage souriant de Byron, lui annonça: "Enlève-là toi-même!"
Le regard de Byron le trahit et je le soupçonnais de n'être pas complètement gay. Byron glissa ses pouces sous l'élastique de la ceinture et lentement, très lentement, fit glisser la culotte vaporeuse le long des jambes fuselées pendant que Carole ondulait des hanches.
Carole se retourna pour faire face à Byron. Lui montra sa chatte épilée avant de se laisser tomber à genoux entre ses cuisses écartées. Ma femme ivre et sexy a mimé une fellation dans l'entrejambe de Byron. Elle était à quelques centimètres de sa bite et releva la tête pour juger de l'effet dans ses yeux marron foncé.
Byron adressa un sourire d'encouragement à ma femme agenouillée entre ses jambes et Carole accepta son invitation silencieuse. Elle glissa lentement ses doigts sous son short tandis que son mari Robert et moi regardions. Ses doigts atteignirent son aine et la stupéfaction se répandit dans les yeux et sur le joli visage de ma femme alors qu'elle palpait le sexe proéminent de Byron.
"Je sais chérie!" rigola Robert en voyant la réaction de ma femme au contact de la bite géante de son mari. "Il a le plus gros chibre que je connaisse!"
Carole se figea. Sa main palpait machinalement l'énorme bite de Byron tandis que son cerveau embrumé d' alcool réfléchissait à la situation. Elle se leva lentement, et toujours entre les jambes de Byron, se mit à virevolter. Ses hanches qui tournoyaient ont fait voler sa robe, donnant à Byron une vue imprenable sur sa petite chatte soigneusement rasée.
Byron tendit la main et caressa la chatte juteuse de ma femme.
Carole, les jambes écartées, les yeux fermés, la tête en arrière, gémissait doucement. Son gémissement était pour l'encourager et il le savait. Il frotta son clitoris avec son pouce tandis qu'il enfonçait deux gros doigts noirs en elle. Elle a répondu en avançant son bassin.
Byron connaissait l'anatomie du sexe d'une femme et, insistant sur son point G, a fait jouir ma femme en quelques minutes,. Son corps tremblait et vibrait tandis que sa chatte se resserrait autour de ses doigts.
Quand Byron a retiré ses doigts de son sexe, Carole a laissé retomber sa robe et s'éloigna en dansant tandis que Robert s'agenouillait entre les jambes de Byron.
Robert dégrafa rapidement son short pour libérer le sexe de mammouth de Byron.
"J'ai besoin de ta bite dans ma chatte!" dit Carole en soulevant sa robe et en frottant son cul contre moi.
J'ai rapidement ôté mon short et guidé ma femme pour qu'elle vienne s'empaler par derrière. Carole s'est assise sur moi et ma bite s'est enfoncée sans effort dans sa chatte trempée. Depuis que je la connaissais, je ne l'avais jamais sentie aussi juteuse.
Nous n'avions jamais parlé d'échangisme, de sexe en groupe, de voyeurisme ou dexhibitionnisme, mais notre excitation prouvait que nous étions prêts à tout essayer.
Carole rebondissait sur mes cuisses à un rythme effréné en regardant Robert administrer à son mari une fellation de champion. Sans être homophobe, la pensée de deux hommes ensembles ne m'excitait guère. Mais je regardais Robert sucer la bite géante de son mari, et je le trouvais incroyablement érotique.
La pièce était remplie d'un étrange mélange de sons primitifs. Les gémissements étouffés de ma femme répondaient aux claquements des chairs qui se heurtaient. Les bruits de succion de Robert mêlés aux râles gutturaux du plaisir de Byron ont créés une symphonie de plaisir sexuel.
Carole est devenue très humide en jouissant sur moi. Son corps tremblait tandis que sa chatte se faisait liquide autour de ma bite raide, ses yeux rivés sur la grosse bite de Byron. Elle s'est levée, abandonnant ma bite dure et insatisfaite. Sa robe de mariée est retombée, cachant ses fesses, et elle s'est agenouillée à côté de Robert.
"Veux-tu prendre le relais?" lui demanda Robert en offrant la queue de son mari à ma femme.
"Ooh! Oui!" soupira Carole en attrapant la base de la grosse queue noire de Byron.
Ses petites mains d'albâtre paraissaient minuscules sur son poteau de baise en marbre noir.
J'ai ressenti une pointe de jalousie, abandonné par ma femme en plein coït, mais aussitôt remplacée par une vague d'excitation en voyant Carole essayer de gober l'énorme gland sur la bite de Byron.
Robert déambulait nu à travers la pièce. Son corps mince, épilé, était tonique et bronzé, ce qui lui donnait l'air d'une femme à la poitrine plate. Sa queue complètement érigée, semblait minuscule en comparaison au membre massif de son mari.
"Elle t'a laissé tomber! Laisse-moi te soulager!" dit gentiment Robert en s'agenouillant entre mes jambes. Il s'est emparé de ma bite poisseuse des jus de ma femme.
Carole surveillait du coin de lil ma lutte indécise, partagé entre le désir de me soulager et l'appréhension d'être servi par un mec.
Robert n'a pas attendu que je proteste. Caressant ma bite trempée, il a commencé à lécher le gland, du frein jusqu'au méat. Sa langue agile et talentueuse était un vrai bonheur pour mon membre frustré. Je fermais les yeux tandis qu'il avalait mon membre turgescent, caressant avec ses douces lèvres la tige, gobant la totalité de ma verge jusqu'à ce que son nez heurte mon pubis. Je n'avais jamais imaginé qu'un homme puisse sucer ma bite. Mais Robert était une sorte d'artiste dans son genre. Sa bouche d'avaleur de sabre était chaude et humide et ses mains étonnamment douces caressaient mes couilles et chatouillaient mon trou du cul avec une précision parfaite.
J'ai passé le point de non retour pendant que Robert suçait ma bite.
"Putain! Je vais jouir!" j'ai crié pour prévenir Robert.
Mais il ne s'est pas retiré, avalant la crème chaude que je tirais dans la gorge gourmande de Robert.
J'ai ré-ouvert les yeux. Carole était à quatre pattes sur le lit. Elle nous regardait, Robert et moi. Sa robe de mariée était enroulée autour de sa taille. Ses seins étaient sortis et pendaient sous elle. Byron, agenouillé derrière elle, poussait son énorme bite noire dans sa petite chatte offerte.
"Vas-y! Baise-moi!" haleta ma femme en sentant le monstre s'enfoncer en écartant ses chairs.
Robert sassit tout contre moi sur le canapé pour regarder son mari baiser ma femme.
Carole haletait, gémissait, jurait tandis que Byron la baisait fort et vite. Elle jouissait en le suppliant de ne jamais s'arrêter.
Robert a guidé ma main vers sa petite bite bien dure. C'était étrange de le toucher mais il m'avait donné la meilleure fellation de ma vie alors je l'ai caressé.
Byron a continué à baiser ma femme longtemps jusqu'à ce que la sueur recouvre leurs deux corps. J'ai perdu le compte de combien de fois elle a hurlé qu'elle jouissait quand il la baisait.
Robert m'a attiré entre ses jambes. Je savais ce qu'il voulait. J'avais une sorte de dégoût mais, étonnamment, j'étais aussi excité.
Je me suis agenouillé, nu entre ses jambes et j'ai léché sa petite bite dure. Je n'avais jamais soupçonné pouvoir le faire mais cet homme venait de me donner une fellation incroyable et j'étais à genoux entre ses jambes, léchant sa queue.
"Suce-le!" m'encouragea Carole haletante tandis que Byron la prenait en levrette. Il l'avait faite pivoter sur le lit pour qu'elle ne perde pas une miette du spectacle, son mari suçant son mari!
J'ai lentement gobé son gland. Il rentre facilement dans ma bouche. Je continue plus profond. Ce n'est pas désagréable. Je suce et aspire sa queue. Dans ma gorge, son gland déclenche un réflexe de répulsion. Je ressort, reprends mon souffle, et j'y retourne, les yeux pleins de larmes.
Carole m'encourage: "Vas-y! Prends tout!"
Je force le passage en déglutissant, Robert appuie ses deux mains sur ma nuque, ça y est, j'ai le nez écrasé contre son pubis.
Robert me maintient en place, me retenant la tête contre son aine, puis me relâche. Je suis à bout de souffle.
Je continue à le pomper comme il l'a fait pour moi, suçant, léchant tout en lui caressant les couilles.
La respiration de Robert est haletante et je sens ses couilles se durcir. Je comprends qu'il va jouir mais je ne sais pas quoi faire.
Avant que puisse prendre une décision, Robert se contracte et décharge dans ma bouche.
J'ai avalé tout le sperme de Robert, c'était chaud, salé et gluant. J'ai tout avalé et j'ai continué à sucer sa bite pour qu'elle soit propre.
Pendant ce temps, ma femme jouissait bruyamment pendant que Byron inondait sa chatte de sperme.
"Tu vas avoir un bébé noir!" dit Byron dans un profond baryton.
Carole sauta du lit et me poussa par terre. Accroupie sur mon visage, elle m'offrit sa chatte dégoulinante de sperme.
"Tiens! En voilà un peu plus!" dit-elle en riant. J'ai léché le sperme de Byron qui coulait de la chatte béante de ma femme.
Carole s'est relevée et c'est Byron qui s'est présenté devant moi. Son énorme bite pendait en se ramollissant.
"Et moi, tu veux bien me nettoyer?" Dit Byron en agitant son sexe ébène.
Je me suis agenouillé et j'ai léché son long membre noir. Impossible pour moi de le prendre en bouche. Trop gros.
J'ai masturbé, léché, bisouillé et tiré sa viande noire jusqu'à ce qu'il redevienne dur.
"Cette fois, c'est pour Robert," dit-il en me poussant de côté.
Robert s'accroupit pour offrir son cul à son mari noir.
Carole et moi étions allongées sur le lit et regardions Byron lubrifier sa queue en crachant dessus et l'enfiler dans l'anus de Robert.
"J'aimerais le voir te baiser dans le cul" roucoula Carole en m'embrassant. Ma bite se contracta à sa suggestion.
"Tu aimerais ça, n'est-ce pas bébé?" Elle tripotait mon sexe durcissant.
"Oui, je crois" répondis-je timidement. J'apprenais des choses sur moi-même que je n'avais jamais supposé et j'étais prêt à en apprendre davantage.
Carole me caressa la queue jusqu'à ce que je sois raide. Elle m'a enjambé et s'est empalée sur ma bite. Je la regardais bouger avec grâce sur moi. Elle portait encore sa robe de mariée roulée autour de sa taille, et ses seins colorés par le sperme de Byron dansaient la sarabande.
Nous avons baisé longtemps, jusqu'à ce que Byron et moi éjaculions dans nos épouses respectives.
Carole s'est allongée sur le lit pendant que nos invités rassemblaient leurs affaires.
Je déshabillais ma femme et pliais sa robe de mariée sur le fauteuil pendant que nos invités s'habillaient.
Nous nous sommes embrassés sur la bouche. Ma langue est restée dans ma bouche pendant le baiser mais c'était curieusement excitant tout de même.
Byron et Robert nous ont quitté vers 4 heures du matin.
"C'était une baise incroyable, bébé" dit doucement Carole, allongée nue dans le noir.
"Tu as aimé la grosse bite de Byron, n'est-ce pas?" J'ai interrogé.
"C'était vraiment fort, mais ce que j'ai préféré, c'est de te regarder sucer sa grosse bite. Je ne savais pas que tu baises avec les mecs"
"Moi non plus, c'est la première fois!" dis-je.
"La prochaine fois que je veux voir Byron te baiser le cul, mon chéri." affirma Carole.
"La prochaine fois?" j'ai demandé
"Ouais la prochaine fois. J'ai leur numéro."
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