Us4 Emerancy Devient Compagne
Emérancy compagne du moment
Je mappelle Jack, jai 48 ans et je vis depuis 1 an avec Emérancy, de deux ans ma cadette. Nous habitons une petite ville de la Province de Greenville, et menons une vie parfaitement simple, qui nous a toujours semblée harmonieuse, rythmée par le travail, dans cette entreprise Française où nous travaillons tous les deux. Lusine a acceptée lidée de vivre en cohabitation à plusieurs. Nous sommes 4 dans une grande maison, cela coute moins cher que 4 studios
Sexuellement parlant, on sentend très bien, tout est permis, et sans jalousie cest déjà très bien. Nous faisons assez souvent lamour, à des moments et dans des endroits inattendus. Bien sûr, je pourrais me plaindre, car pour le moment, Emérancy ne veut pas satisfaire à tous mes fantasmes, mais je pense que cest « normal ». Elle naime pas la sodomie et refuse obstinément davaler. Avec le temps, jai pris conscience que ce genre de choses, si elles devaient arriver un jour, ne seraient pas « programmées », quelles se produiraient, presque naturellement, à un moment où les circonstances sy prêteraient. Ce que jaime en elle cest quelle accepte ma secrétaire, et jai le secret espoir quun jour je pourrais faire une rencontre à 3.
Mais lhistoire qui suit
montre combien parfois jaime les Maîtresses
Un samedi après-midi, alors que nous navions rien de prévu et que jétais écroulé devant la télévision, Emérancy sapproche de moi avec un sourire infiniment vicieux que je ne lui ai jamais vu.
Tu as quelque chose de prévu, cet après-midi, mon amour ? Me susurre-t-elle.
Non, rien de spécial, réponds-je, lui souriant aussi en retour.
Elle marrache la télécommande des mains et éteint le poste, puis vient sagenouiller à califourchon sur mes cuisses. Elle membrasse longuement, langoureusement. Je réponds à ses baisers par des caresses sensuelles sur ses hanches et ses fesses. Je sens déjà mon sexe se durcir.
Non ! Cest moi qui commande et tu vas devoir obéir ! On a suivi des cours sur la domination, et jai envie de mettre en pratique !!!! Me fait-elle, presque hargneusement.
Je la regarde, surpris de la voir ainsi.
Tu peux encore refuser, poursuit-elle plus doucement. Mais si tu acceptes, tu devras faire tout ce que je te demanderai. Alors ?
Et quest-ce que tu as en tête ?
Ça tu ne le sauras quaprès
Jhésite un court instant, mais ses quelques paroles ont finalement achevé de mexciter.
Jaccepte, ma puce. Que dois-je faire ?
Souriant, elle se relève et me saisit par la main.
Viens, suis-moi.
Je me lève et accompagne donc Emérancy jusquà notre chambre, où elle a posé sur le lit quatre paires de menottes, le genre quon trouve en sex-shops.
Je ne savais même pas quon avait des trucs comme ça
Tu les as achetés par courrier adressé à la boite ? Observé-je en la regardant. Je ne suis pas trop fan de ces machins-là, tu sais.
Tu peux encore refuser, me rétorque-t-elle encore une fois en se frottant doucement contre mon entrejambe.
Mais non, je nai pas envie de refuser. Je lui souris.
Et alors ? Où veux-tu mattacher ?
Et tandis que je lève les yeux en cherchant où elle pourra le faire, japerçois une grosse chaîne pendant le long dun des murs, où elle semble solidement arrimée au tuyau du chauffage.
Mais quest-ce que cest q
commencé-je, inquiet. Qui a fait ce montage, Bernard ?
Dabord, tu vas te déshabiller, me coupe sèchement Emérancy.
Jhésite un instant, puis, lexcitation prenant le dessus, mexécute, rapidement. Elle me regarde faire puis branle rapidement mon sexe légèrement gonflé. Je lui repose ma question. Elle ne répond rien et se contente douvrir une des menottes quelle passe autour de mon poignet droit.
Je nai plus que mon bras gauche de libre mais nai déjà plus quune marge de manuvre réduite. Alors elle referme la dernière menotte sur mon poignet gauche et la tire pour aller laccrocher à la chaîne qui pend du mur.
Je la laisse faire, encore amusé, puis me débats quelque peu pour tester la solidité de son procédé. Mais il ny a pas à dire : ça résiste. Ça résiste même trop. Un doute menvahit
Mais elle ne me laisse pas le temps de minquiéter ou dimaginer quoi que ce soit et déclenche immédiatement les hostilités : en me regardant, elle se déshabille lentement, sensuellement, en se déhanchant exagérément. Après avoir retiré son tee-shirt et son soutien-gorge, elle se cambre au maximum en retirant doucement son jean, et sapproche tout près de moi. Ses seins lourds et nus sont tout près de mon visage. Je fais un mouvement brusque pour essayer den approcher mes mains, mais, maintenu par les menottes, je ne parviens à les bouger que de quelques centimètres. En voyant que son dispositif est redoutablement efficace, elle ne peut sempêcher de sourire. Puis elle se met à se caresser lascivement en achevant de se dévêtir. Elle sapproche encore et vient frôler mon corps, collant presque dabord ses seins à mon torse, puis effleurant mon sexe tendu de ses fesses quelle samuse à osciller juste sous mon nez. Je bande à tout rompre et nai quune envie : quelle soccupe de moi plus sérieusement. Mais à présent nue, elle séloigne jusquà sa table de nuit doù elle sort, sous mes yeux sidérés, un long et épais godemiché rose pâle, comme lintérieur de son sexe qui tranche avec la noirceur des alentours. Oui, je ne vous ai pas dit, mais elle est noire, une noire ébène
.
Jadore me caresser avec ça
Et elle passe le gode le long de mon visage, frôlant mes joues. Il est vraiment très gros, je suis impressionné. Elle fait virevolter le gland imposant sur mes lèvres ; mais comme je recule la tête, elle se met à le sucer doucement juste sous mon nez. Ses lèvres glissent lentement autour tandis quelle ferme les yeux et soupire.
Je tente de remuer mon bassin pour me masturber comme je le peux sur son ventre, mais, sapercevant de ma manuvre, elle sécarte vivement de moi et maffirme encore :
Cest moi qui déciderai quand tu pourras avoir du plaisir !
Je plisse les yeux et lève les sourcils dans un soupir de pitié, mais elle sourit odieusement et reprend sa fellation sur le jouet quelle tient toujours. De sa main libre, elle caresse ardemment sa poitrine gonflée, excitant soigneusement ses tétons. À plusieurs reprises, je me crispe et mon sexe soubresaute devant moi, sous ses yeux toujours plus ardents. Je tente encore une fois de me libérer, mais rien ne cède. En me regardant, amusée, elle passe alors lentement le gode tout le long de son corps et dirige son autre main jusquentre ses jambes quelle écarte quelque peu. Je devine son majeur tournoyer doucement en haut de sa raie et descendre régulièrement simmiscer dans son sexe que jimagine trempé.
Elle me lance un regard de braise et mène son jouet jusquentre ses cuisses ouvertes.
Ma verge est tendue et gonflée comme jamais, pointée vers Emérancy qui prend un infini plaisir à faire durer longuement cet instant dextase. Je me rends compte que je transpire et tente de pencher la tête pour venir léponger contre mon épaule. Mais même cela mest difficile. Emérancy rouvre enfin les yeux et se laisse tomber en arrière sur le lit, cuisses toujours ouvertes. Et elle se met à se masturber avec vigueur, faisant mouvoir en elle le sexe factice dans damples et rapides va-et-vient, qui lui arrachent chacun un gémissement de bonheur. Elle sarrête au bout dune ou deux minutes pour regarder dans quel état je suis. Et quand elle constate mon état dexcitation et de frustration, elle reprend encore plus intensément sa masturbation. Elle se baise littéralement avec le gode quelle dirige dune main, tandis que de lautre elle fait tournoyer à toute allure son clitoris.
Je me débats encore ; pourtant je sais maintenant que je ne parviendrai pas à me libérer, mais cest plus fort que moi. Comme un réflexe.
Elle accélère encore ses mouvements et elle hurle à présent. Elle peine à maintenir ses yeux ouverts fixés sur moi. Je gémis, denvie et dimpuissance, de rage
Et soudain elle pousse un long cri ; son corps se crispe à plusieurs reprises tandis quelle agite encore deux ou trois fois ses mains entre ses jambes, violemment. Et puis elle se fige dans une sorte dexpression de douleur, quelques secondes, pendant lesquelles son cri sachève.
Je suis au bord de lexplosion. Jai limpression quil suffirait quon me touche la verge pour que jéjacule.
Emérancy se détend soudain en poussant un long et profond soupir. Elle retire le gode dentre ses jambes et sallonge, les bras en croix sur le lit, ses yeux mi-clos posés sur moi. Elle me sourit. Je meurs denvie delle ; je ne parviens plus à me maîtriser.
Je ten supplie, Emérancy, murmuré-je. Viens, laisse-moi moccuper de toi
Tu as aimé me voir jouir ? me demande-t-elle innocemment en retour, sans même se redresser.
Jai adoré te voir jouir ! Rugis-je presque. Et je vais te faire jouir encore ! Viens
Tu es excité ?
Je réponds malgré moi par une sorte de grognement qui doit en dire long sur mon état. Elle se relève enfin et sapproche de moi, son gode toujours à la main. Je tente de mapprocher delle encore, de venir toucher son visage de mes lèvres. Mais elle reste juste à la bonne distance et me encore :
Ttttttt, je nen ai pas fini avec toi
Elle lève son gode luisant jusque devant nos deux visages.
Tu as vu ? me demande-t-elle ingénument.
Mes yeux doivent tourner en tous sens et mon expression passer du désir furieux à la hargne. Et avant que je ne réponde quoi que ce soit, elle le lèche doucement sur toute sa longueur. Je tente encore de venir frotter mon sexe contre elle, mais je nai que trop peu de liberté de mouvement pour même leffleurer. Et elle approche lentement le gland suintant de mon visage. Les yeux sans doute fous, jouvre fiévreusement les lèvres et laisse Emérancy menfoncer tout doucement son gode immense, odorant de son plaisir récent. Elle me baise un instant la bouche, puis, escaladant le lit et passant entre les menottes maintenant tendus mon bras et ma jambe gauches, vient se placer juste derrière moi, collée à moi. Je sens ses gros seins sappuyer contre mon dos. De sa main droite, elle me renfonce le gode entre les dents. Je le pompe de nouveau.
Allez, suce, suce-moi ! murmure-t-elle. Allez ! Bien profond ! Mieux que ça !
Elle passe sa main libre autour de ma hanche gauche et vient caresser doucement mes testicules gonflés. Mais elle prend bien soin de ne pas toucher ma verge. Je me déhanche encore pour la diriger sur sa main, mais elle lécarte alors et appuie davantage sur le gode. Je penche la tête en arrière mais ne parviens pas à men libérer. Et à nouveau, elle me baise la bouche, rapidement, brutalement, mais suffisamment peu profondément pour que je nétouffe pas.
Et sa main gauche descend maintenant entre nos deux corps, caresse un instant mes fesses. Dun doigt, elle cherche mon anus et tente bientôt de sy enfoncer. Je me déhanche encore mais ne me débats plus. Je suis au comble de lexcitation, mon sexe est tendu à bloc. Jamais je naurais imaginé quEmérancy puisse se comporter ainsi. Jai envie de continuer ce jeu, jai envie de mabandonner définitivement à elle. Quelle fasse ce quelle veut de moi.
Elle doit le sentir car elle chuchote :
Je crois que tu es à point, jai très envie de te remplir, tu sais ?
Dans un réflexe, je serre les fesses autour de son doigt quelle est parvenue à entrer ; ma verge est tellement gonflée quelle noscille quà peine lorsque je me crispe et me détends successivement à plusieurs reprises au rythme de ses doigtés. Elle sécarte quelque peu de moi et je sens soudain un liquide tiède couler en bas de mon dos. Je parviens à remuer et à tourner suffisamment la tête pour constater quelle est en train de me cracher dessus ! Et sa salive coule lentement sur mes reins. Elle presse une fois encore plus fort sur le gode pour mobliger à ne plus chercher à voir derrière moi. Elle crache à nouveau, sur ma fesse gauche, cette fois-ci. Elle retire son doigt de mon anus et lutilise pour récupérer toute sa bave quelle étale consciencieusement sur lentrée de mon rectum.
Et linstant daprès, cest deux, puis trois doigts quelle enfonce presque facilement en moi. Je me tortille, me déhanche autant que possible. Et je gémis, je couine misérablement sous laction de ses phalanges.
Elle retire sa main, crache encore, étale encore sa salive. On dirait même quelle la pousse à lintérieur de moi.
Et puis, enfin, elle enlève de ma bouche lénorme gland en plastique.
Putain, Emérancy ! Jen reviens pas comment tes salope ! Beuglé-je entre deux soupirs quelle marrache en me doigtant lanus.
Et encore
tas rien vu ! Souffle-t-elle.
Je tente de tourner la tête pour la regarder, mais je ne peux que la deviner du coin de lil.
Je ten supplie, Emérancy, fais-moi jouir ! Suce-moi ! Ou branle-moi ! Fais ce que tu veux, mais fais-moi jouir !
Non non non ! fait-elle, un sourire dans la voix. Je vais dabord te sodomiser
et si jaime ça, on verra
Je pousse une sorte de grognement en réponse au moment où je sens quelle appuie fermement le gode contre mon anus. Elle referme sa main gauche sur mes testicules gonflés quelle maintient serrés, comme pour mempêcher tout mouvement. Je ne résiste pas et laisse faire Emérancy, poussant même, écartant les fesses et ouvrant mon anus au maximum pour faciliter le passage de cet énorme engin. Et je couine et soupire violemment par saccades quand elle parvient finalement à me pénétrer, tout doucement, poussant son gode massif en moi de quelques centimètres.
Puis elle se met à le remuer doucement, à lagiter davant en arrière, de bas en haut, à le faire aller et venir dans mon anus. Et elle garde sa main fermée sur mes bourses comprimées. Mes mouvements sont limités, saccadés. Jahane à chacun de ses gestes. Je sens son souffle chaud dans mon cou. Je nen peux plus. Jai envie de hurler. De rage, de plaisir et dimpuissance. Et enfin, soudain, sans lâcher son arme qui dépasse de mes fesses, elle repasse devant moi et sagenouille à mes pieds. Je fais des efforts désordonnés pour tenter denfoncer mon pieu tendu dans sa bouche, mais elle évite soigneusement toutes mes tentatives. Et elle continue de me sodomiser avec malice.
Je ten supplie, Emérancy
me plains-je.
Elle ouvre grand la bouche à quelques centimètres de mon gland prêt à exploser. Je me dandine encore en bramant. Elle accélère le rythme du gode qui me défonce toujours. Je suis crispé de partout, cherchant par tous les moyens à minimiser ma frustration. Et elle avance finalement quelque peu sa tête et referme enfin, enfin, ses lèvres sur mon sexe en feu. Je me déhanche le plus possible pour faire glisser ma verge dans sa bouche.
Et trois ou quatre allers-retours suffisent. Dans un grand hurlement libérateur, poussé au paroxysme de lexcitation par toute sa mise en scène, et par son gode maléfique, je me vide par saccades ; le sperme jaillit dans la bouche dEmérancy, qui prend soin de ne pas en perdre une goutte et darde dans mes yeux fous les siens, espiègles.
Mon cur bat la chamade et je transpire à grosses gouttes. Je commence à avoir mal aux poignets et aux chevilles. Je reprends doucement mon souffle.
Jexpulse lentement le gode quEmérancy a enfin lâché et qui tombe et roule à terre derrière moi. Elle se relève, gardant soigneusement la bouche fermée. Et une fois debout devant moi, à ma hauteur, quand je suis enfin quelque peu apaisé, elle déglutit ostensiblement. Je pousse encore une sorte de soupir ou de râle de contentement et dincrédulité. Emérancy se baisse pour ramasser le gode.
Tu es incroyable ! Lâché-je enfin.
Elle ne répond rien. Jattends quelle me libère. Mais elle séloigne vers la salle de bains jouxtant la chambre, où je lentends ensuite apparemment laver lobjet.
Euh
Emérancy ? Tu veux bien venir me détacher ?
Sa voix narquoise me répond depuis la pièce voisine :
Tu plaisantes ? Je suis loin den avoir terminé avec toi
. Par Tigre Blanc
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