Test Amant
Préface :
Je ne suis pas une salope ni une pute, bien moins en tout cas que toutes ces frustrées de la raie qui aimeraient maffubler de ces courtoises expressions. Elles qui sadonnent à des rapports bien plus bestiaux, dans un lit, cachées dans une chambre bien close, sous un christ pendu au-dessus, avec une culotte sale sur la tête (du christ), derrière des volets clos, ou ailleurs dailleurs, avec un mari ou compagnon qui nest plus lamant dantan, avant davoir rencontré la mante. Il tente malgré tout de donner à son exigeante rombière une jouissance en des plaisirs qui nont plus rien de primaires.
Chapitre 1 : Je me présente.
Je mappelle mon trésor pour celui que jaime et qui maime, enfin, je le crois. Jai à peine quarante ans, je suis mariée, heureuse en amour (sentiments) et maman de deux petites filles. Je suis formatrice pour un grand groupe de supermarché. Je suis donc souvent loin des miens et visite régulièrement les hôtels de tout lhexagone.
Ce qui, à loccasion, loin des regards indiscrets et des langues bien pendues, me laisse du temps pour le plaisir dassouvir mes plaisirs des plaisirs.
Je suis une épicurienne du ressenti, du contact, du plaisir délicat, du toucher, de la caresse des doigts, de la langue, du regard, à la recherche du plaisir profond des sens qui restera perpétuel dans mon souvenir.
Là, nest point un vice si ce nest dans les pensées des cul-bénis qui, quelquefois, font bien pire sans se lavouer. Beaucoup ne pourront comprendre, il faut un minimum de pratique et d'ouverture d'esprit (pas seulement que d'esprit d'ailleurs). Il faut être curieux et sensible, il faut savoir partager, penser à l'autre et oublier son orgueil et les rapports dominés dominants. C'est quelque part une culture particulière, mais si enrichissante...à côté des plaisirs matériels, à côté de la jouissance néfaste du gros con qui conduit sa belle voiture.
Si ce métier me permet ces aventures loin de ceux que jaime, avec un homme ou avec une femme, cela restera seulement dans la mémoire dune chambre qui ne racontera rien à personne. Un épisode qui n'aura jamais existé, seulement pour deux personnes qui s'en souviendront pourtant longtemps. Nulle trace dans le temps, un secret qui n'en est pas un parce qu'aucune des deux personnes ne parlera de ce si bon moment...
Dans cet autre monde, on ne fait que passer, on nexiste pas.
Ce ne sont pas des relations bestiales, comme dans ces films à branlette, bien au contraire, cest plutôt dans la finesse, dans la subtilité, cela demande un partage du plaisir, donner et recevoir.
Je respecte mes proches pour autant et je suis loin dun Jekyll ou dun Clyde. Je prends peu de plaisir avec mon régulier, bien des femmes sen suffisent. Je ne feins rien pour autant, je ne triche pas, mais jai besoin dautres plaisirs. Mon mari est une personne merveilleuse, tant comme mari que comme papa, mais il se vide bien trop vite de ses bonnes intentions.
Et quelque part, cest bien ainsi, je me vois mal mappliquer avec lui à ces attentions secrètes, comment me considérait-il ? Comme diraient les langues de vipère, une vicieuse, une immorale
je suis quand même la mère de ses s et je préfère passer à ses yeux comme une femme pas très exigeante côté plumard.
Je suis donc ainsi comme presque toutes les femmes, normales et souriantes, pas très avenantes pour autant, une femme toute simple et fidèle. Ce nest pas une hypocrite façade.
Je suis aussi bien ainsi.
Mais voilà donc aussi comme je suis autrement. Ne me jugez point pour autant, vous ne me connaissez pas, peut-être même que je nexiste pas, que je suis sur ce papier seulement pour vous montrer comme vous êtes des petits qui se contentent de peu. Mes plaisirs ne sont point démodés et encore, je vous le dis moins fallacieux que celui des rombières fardées qui ne vont même plus à léglise.
Il ne faut pas croire que nous sommes redevenus animal parce quon recherche du plaisir dans le rapport physique avec lautre. Cest en fait bien linverse, ceux qui ne recherchent que jouissances primitives, sont bien des animaux refoulés, des bêtes en rut.
Taisons donc lhypocrisie ! Nous savons comme nous sommes faits et comme nous nous comportons. Alors, si lhabit cache ce pourquoi nous sommes ici, allons donc plus vite près de ce que nous recherchons, nus.
Chapitre 2 : la rencontre.
Je suis près de Strasbourg pour trois jours de formations et après une journée bien chargée, je rentre à lhôtel. Avant de monter à ma chambre, j'aime prendre du temps au salon pour couper un peu avec ce monde professionnel et la solitude de la chambre, aussi pour voir ce qui pourrait errer, comme moi, en recherche de ces plaisirs rares... Je minstalle au salon pour siroter une bière bien fraîche et lire le journal du soir, isolée, dans un coin, comme une vieille chatte malicieuse, voyant tous sans trop se faire voir. Il y a un peu de monde, quelques discussions, quelques hommes seuls occupés à consulter leur téléphone portable. Ceux-ci ne sont pas des bons coups en général.
Nous ne sommes pas là pour une histoire damour ni pour évacuer nos besoins physiologiques, nous avons nos moitiés à la maison et cela est bien ainsi. Nous sommes là pour la subtilité des sens pour ressentir les plaisirs du contact des caresses, des baisers, des léchouilles, des
et des
que nos moitiés ne comprennent pas et quelque part qu'on ne souhaite pas pratiquer avec eux, de peur de laisser une image corrompue de lamour, de passer pour autre chose que ce que lon doit paraître. Une maman na pas le droit daller aux bouts de ses envies, ça, cest réservé aux salopes, aux cochonnes, aux putes, aux femmes de petites vertus. Mais quest-ce que les vertueuses peuvent connaître de ces plaisirs, rien que de parler de sodomie, elles soffusquent, dégueulent leur croyance dessus.
Mes plaisirs ne sont point démodés et encore, je vous le dis moins fallacieux que celui des rombières fardées qui ne vont même plus à léglise se faire pardonner. Dieu mourrait de honte à entendre ce que celle-ci diraient.
Il ne faut pas croire que ce soit si facile de trouver ces plaisirs subtils, bien souvent ces rencontres sous la couette se résument à des désillusions profondes, quelque part, c'est la règle du jeu. Nombre d'hommes surtout et de femmes aussi, se confondent en précipitation. La volonté est bien souvent dépassée par les besoins physiologiques de l'être, éjaculation précoce comme un gamin à sa première relation qui coupe l'envie d'aller plus loin. De même pour des femmes à la fontaine en fuite. Mais il y a aussi, de temps en temps, quand on ne l'espère presque plus, des partages d'instants sublimes en plaisirs partagés avec un inconnu, ou une inconnue dans un moment de la vie qu'on ne pourra jamais oublier. On oublie le visage, mais pas les ressentis patients et attendus quelquefois bien longtemps, ils sont imprimés dans une mémoire exigeante. Qu'il est bon de se remémorer ces subtils instants, dans un silence que nul autre n'entend.
Vous voulez savoir ce que sont ces moments inconnus de vous ou presque. C'est une préparation physique, psychologique et mentale. S'apprendre les zones érogènes et apprendre à les éveiller, s'apprendre à maîtriser le ressenti, jusqu'à ne passer les limites du non-retour, apprendre à ressentir le ressenti de l'autre pour le garder aux plus près de son non-retour. Le Kâmasûtra devient une vieillerie pour vieux japonais impuissants. Les baisages normaux aux pensées religieuses voudraient faire croire que seule la pénétration emmène à un plaisir, mais quelle vulgarité ! Il faut bien distinguer ce dont le corps a besoin et ce dont l'esprit a envie, la jouissance n'est qu'un besoin et un soulagement physiologique qui calme le désir du corps, mais pas celui de l'esprit des plaisirs.
On laisse au hasard, pas tout à fait quand même, le loisir d'une rencontre et la préparer pour trouver un partenaire de jeu. La subtilité demande la discrétion, il faut de la chance pour que deux esprits aussi ouverts se rencontrent sans vraiment se chercher. Une certaine chance qui s'entretient en plaisirs de souvenirs solitaires qui cultivent le besoin, l'imagination le fantasme pour que l'instant soit sublime dans les secrets du temps. La rencontre est organisée ou pas, mais quand elle l'est, c'est seulement pour s'assurer que les deux êtres marchent bien sur la même couture, nul besoin de voir le visage de l'autre, nul besoin de canon de beauté, ce monde est si réservé qu'on y rencontre malgré tout que des personnes rencontrables. Les propos échangés permettent à l'imagination de dessiner ces instants, là aussi l'expérience restreint le champ de celle-ci, elle doit être raisonnable. Donc c'est bien souvent et presque exclusivement loin de chez soi, dans un hôtel, un salon, un restaurant, un bar de nuit, quand la journée de boulot est finie, dans la détente d'une soirée sans arrière-pensées encore. On regarde, on scrute, on comprend ou pas, on sourit ou on l'esquisse puis des regards plus insistants, des sourires plus expressifs, avec une femme, c'est souvent plus facile, elles sont bien plus sincères. Avec les hommes, à force de ramasser des désillusions, on apprend à reconnaître les gus, les éjaculateurs précoces, les psychorigides bien rangés dans un costume sans pli, une chemise plus blanche qu'un dentifrice, à peine froissée, une cravate sérieuse, bien droite au double nud, sans reproche... justement sans reproche... mais dans l'apparence. Celui-ci sera pareil au plumard triste comme un vieux renard qui a débusqué une poulette. Il vaut mieux l'oublier, il a les moyens de s'offrir une professionnelle. Il ne veut pas partager, il veut se faire sucer jusqu'au bout en tenant bien la tête pour éjaculer dans la bouche et inscrire ainsi la suprématie du mâle, sa femme doit avoir les lèvres gercées. D'autres ne sont pas mieux, les mille gueules, les souverains, les orgueilleux... et quelquefois, on engage quelques mots avec un silencieux qui n'aime point perdre son temps pour de futiles propos ni moins encore à des rapports bâclés, mais ce n'est pas toujours écrit sur son front. Puis après un verre, il faut se dire ce que lon attend de lautre, nul besoin de mots, quelques échanges des regards suffisent à se faire comprendre. On ne cherche pas lamour, encore moins dautres sentiments, seulement un grand et bon moment de plénitude des sens et du plaisir.
Chapitre 3 : la rencontre.
Parmi les présents, un homme accoudé au comptoir aiguise mon attention, lui aussi scrute l'entour, peut-être bien un connaisseur. Cest bien rare pourtant de rencontrer ce que je cherche, les rencontres de la vie sont ainsi, parfois bien curieuse, il ne faut pas chercher à comprendre.
Il semble que celui-ci puisse convenir à ma voix.
Certes, ce nest pas un Apollon, il est plutôt grassouillet sans trop non plus, grisonnant et un engin semblant discret dans le pantalon, pas en évidence en tout cas.
Il a bien une bonne dizaine dannées de plus que moi, mais au moins, il me semble quil doit satisfaire linstant des plaisirs recherchés, sans aucun doute assez expérimenté. Il nest pas si facile de trouver un homme ou une femme ou même les deux, habitués aux subtilités des plaisirs de chaire. Mais, celui-ci, dans une apparence taciturne, dégage dans le regard cette attirance. Ce nest pas à chaque fois certain, mais il faut bien chercher pour trouver. Les tabous sont sur la table, vous pouvez dores et déjà stopper votre lecture avant de me traiter de salope, de pute ou tout autres sobriquets dont vous ne connaissez même pas le sens.
Il quitte le comptoir, pour me rejoindre sans rien feindre, certains de son propos et m'invite à prendre un verre à ma table, dans une pénombre rassurante. Nous n'avons pas besoin de beaucoup de mots pour nous comprendre, le regard de chacun exprime le besoin. Il ne sert à rien de perdre du temps non plus, alors, on se donne rendez-vous dans sa chambre.
Au préalable, je passe par la mienne pour une douche pas trop savonnée, mais surtout bien rincée dans tous les endroits du corps pour évacuer les émulsions égarées qui ne sont pas agréables en bouche. Un lavement vaginal et... anal, aussi, tout le corps doit être prêt sans aucune retenue. Il faut être bien parée, pas de parfum ni autre truc qui peut révéler à un nez averti une quelconque bévue, bien se brosser les dents à leau froide, uniquement et bien se rincer plusieurs fois la bouche, pas dodeur de dentifrice ni de goût ce nest pas agréable. Puis, je le retrouve, lui aussi sest absenté. Nous finissons notre verre et montons à sa chambre par lescalier de secours. Jamais, dans la mienne, je déteste être dérangée par le téléphone, jai déjà appelé mon mari et embrassé les s, sans plus de propos que celui de leur souhaiter une bonne nuit. Ne pensez pas que ce soit hypocrite, pas du tout, mes pensées sont sincères.
On approche de la chambre, pas un mot, quimporte, le regard pétille de ce quil lattend, nul besoin de mot dailleurs. Les yeux parlent plus discrètement quune bouche trop bavarde. Il semble sincère, le mien doit être lisible de même.
La porte de la chambre fermée, aucune gêne ni pour l'un ni pour l'autre. Cela semble presque normal... pour deux personnes qui ne se connaissaient pas il y a encore quelques minutes. Nous échangeons un sourire... de connivence... bien certain chacun du pourquoi nous sommes là. Un petit regard sur la chambre, assez quelconque (mais cest sa chambre). Je commence à me déshabiller, pas de chichis, lui fait de même, nos regards se croisent de nouveau, un peu de curiosité tout de même, mais pas malsaine du tout, pas vicieuse non plus, c'est bien pour les frustrés ces comportements. Nous nous devinons avant d'être complètement nus. Je n'ai pas grand-chose sur moi, lui non plus, cela rend plus facile la nudité.
La nudité n'est point un problème quand on fait abstraction de lapparence, il nest pas laid pour autant avec un petit bourrelet dEpicurie... On ne fait pas cela non plus avec un monstre, mais je ne suis pas très exigeante. Limportant est ce qui se passe et ces plaisirs qui nont rien de démodés. Moi non plus, je ne suis pas un canon de beauté, deux grossesses laissent des traces et deux césariennes des cicatrices. Je ne suis pas bien grosse pour une taille moyenne. Pour un bon 69 il est mieux et plus confortable que lhomme soit plus grand. Entre femmes, cest mieux davoir des tailles semblables. Pour ces plaisirs du corps, limportant est les régions sensibles et cest toujours vers elles que va mon premier regard. Si le ou la partenaire est bien présentable cela est mieux tout de même, mais lapparence reste lapparence, limportant est l'expérience, le savoir donner du plaisir.
Je remarque que ses ongles sont soignés, coupés court, très courts et limés pour qu'ils soient doux au toucher et surtout quils soient insensibles sur les zones sensibles, comme les miens. Les miens portent de la couleur aujourd'hui un rouge éclatant. Il faut sacrifier au plaisir la longueur de ses ongles. On voit ainsi que les femmes aux ongles bien longs ne sont pas adeptes des plaisirs ainsi partagés. Des ongles courts et bien apprêtés, il ne faut pas se méprendre avec ceux courts, mais déchirés dune femme stressée. Voilà un homme précautionneux bien attentionné, cela présage de moments radieux.
Chapitre 4 : on se découvre.
Il ny aura pas de je taime, nous ne sommes pas là pour cela. Il ny aura pas de long baiser langoureux échangé sur nos lèvres non plus, limportant nest pas là. Nos lèvres auront dautres endroits où ségarer, pour procurer bien du plaisir. Nus, on découvre les corps quon tentait de deviner, lentement sans sourciller, nous sommes a priori assez normaux, je le vois, comme je le devinais, Siffredi peut dormir tranquille. Malgré tout, ce nest pas désagréable à regarder. Il ne bande pas encore, il nest pas bousculé par des premiers émois, cest rassurant. Son sexe ne doit pas être bien gros, mais il présage de bons moments. Je ne cherche pas la défonce, non mais de la délicatesse. Il sapproche et finit de glisser ma culotte sur les pieds, traînant ses doigts bien doux sur la peau rafraichie qui déjà, frémit. Il arbore le sourire délicat dune personne sûre delle, il nexulte pas, pas du tout, il sait leffet quil procure. Il sapproche plus près, me tourne le dos au lit et les mains sur mes épaules me guident pour me coucher sur le lit. Il me regarde sans trop insistance, mais me fait comprendre de me déplacer dans le sens du lit, sur le côté, puis il sallonge face à moi, sans chercher un baiser de bouche, sans un mot, face à face, les chaires de nos cuisses seffleurent, séchangent déjà des petites chaleurs. Nous sommes lun vers lautre, les yeux se parlent, il me caresse avec douceur le côté gauche de la cuisse, jusquà un peu plus haut et avec une plus grande délicatesse glisse ses doigts habiles sur les fesses. Je fais de même, il nest pas très poilu, mais nest pas imberbe non plus. Je sens son vit enfler doucement sans quil ne devienne trop ferme, pour autant, je le regarde prendre de lorgueil, il est comme je limaginais, assez fin, mais assez long. Il insiste plus fermement sur les fesses, sapprochant de lentre-fesses. Je comprends quil souhaite mener le bal. Je mime ce quil me fait, cest un bisexuel déclaré
ses fesses sont moites, reste de rinçage dune douche.
Dis lami ! Puis-je te raser le bas, je naime pas trop les poils et puis ce nest pas désagréable nest-ce pas ! Tu retrouveras des douceurs insoupçonnées. Tu pourras aussi me parfaire le pubis
jadore quun homme me rase le bas.
Mon propos le surprend un peu, mais avec un sourire à décrocher une lune, il acquiesce sans aucun problème. Je cueille ma petite sacoche sur la table, elle me suit partout celle-là. Je sors un mini rasoir, un truc de femme, un peu de gel et je glisse sous ses fesses une serviette de toilette. Il en profite pour sortir de son côté, des préservatifs, du lubrifiant et un mini toy. Lanimal libère largement ses hauts de cuisse comme une femme qui va mettre bas. Je chausse mes lunettes presque neuves et je mapplique à enduire le pubis, les burettes et jusquau bord des lèvres anales dune crème à raser hydratante. Je masse avec le bout des doigts soulevant le phallus qui prend plus dorgueil. À ce quil se laisse faire, sans aucune retenue, cela lui plaît bien évidemment. Jentreprends au bout de quelques minutes le rasage, manuel, avec grande attention. Avec minutie, je déshabille la peau des poils, je prends mon temps, lendroit est délicat et fragile, il ny faut pas provoquer la moindre inflammation ou petite coupure. Jai lhabitude, il y a bien longtemps que mon mari se laisse faire, puis chaque homme et femme que je rencontre dans un lit, jessuie le rasoir sur la serviette puis je continue jusquà rendre glabre tout son bas, ses burnes, son pubis et ses fesses du pied de son sexe jusquau bord de lanus, il faudra quil se justifie auprès de sa régulière davoir une peau si douce de bébé à cet endroit. Je lessuie avec une lingette avec précaution, je sens bien la peau devenue douce, bien douce, lui aussi doit le ressentir bien mieux encore. Je lui fais comprendre quil sagenouille pour parfaire les testicules lentour des lèvres annales sans quil résiste. Jen profite pour y laisser traîner mes doigts pour des caresses sobres et délicates de douceur mattardant sur ces zones glabres au plus près du pénis et des lèvres anales, sans pour autant les caresser encore. Je sens bien la peau de ces endroits est devenue bien plus douce, plus fraîche aussi, comme une peau neuve, délicate, presque fragile. Le bougre doit bien le percevoir, il se laisse plus encore aller, sans quune de ses mains pour autant ne quitte la caresseuse. Puis, je lui tends le rasoir dans ses mains, un sourire prémonitoire se dessine sur son visage, je mallonge près de lui, sur le dos. Jécarte bien les jambes et je prête mon pubis à toutes les lumières et surtout à son regard pour quil finisse le rasage que javais bien commencé le matin pourtant au-devant dun tain bien trop curieux. Je trouvais le rasage convenable, mais lexpérience me dit quil ny a point de perfection à sépiler soi-même même si on y prend un grand soin. Rien de mieux quune troisième main et un autre regard détaché et surtout bien plus près de lendroit pour quil soit plus nu et plus doux, plus jeune aussi, je pense
Je sens la fraîcheur du lubrifiant sur la peau dépilée, cela procure des frissons pas désagréables, dautant que ses doigts se promènent sur lendroit prenant quelques plaisirs à caresser les grandes lèvres. Il prend toutes les précautions du monde que la fragilité exige, protégeant au mieux le bord intérieur des lèvres. Le cochon en profite, je sens son regard se gaver, ses doigts frémir, le téton se durcit le clitoris gonfle. Il prend tant de temps que je me laisse aller à mon ressentiment, cest vraiment agréable de se sentir ainsi caressée, mais ces plaisirs, il faut les partager. Je resserre un peu les cuisses pour lui faire comprendre, il stoppe le rasoir pas ses doigts. Il lève la tête et nos regards se croisent sans se parler vraiment, les bouches ne se sont pas encore goûtées. Est-ce bien le moment nécessaire et est-ce nécessaire ? Ici ne naîtront pas de sentiments qui voudront aimer et vivre avec un autre si exigeant. Ses fesses sont à portée de mes mains, je pose une main dessus. Il ne les serre pas, bien au contraire, je peux glisser la main entre elles, par derrière, sans aucune résistance, il laisse laccès à ses lèvres anales, je les caresse avec un doigt préalablement lubrifié du gel quil a laissé sur les deux tables de chevets. Il a sans doute pratiqué aussi un lavement pour ne pas résister ainsi, il ne va pas le regretter. Il se tourne et sallonge sur le ventre pour me laisser faire. Nous voilà quelque peu rassurés, les frontières du plaisir des sens nauront pas de limites, mais cette liberté ne veut pas dire pour autant perversité, il ny aura pas de barrière, cest déjà bien. Il se laisse faire le bougre, il apprécie ce massage annal, jy prends un grand soin, mon regard sattarde sur lendroit. Il a un beau petit trou du cul, bien rond, bien plissé, des fesses bien lisses et nues, je mégare sur ces lèvres, y approche ma langue pour lui pratiquer un anulingus déloyal. Japprécie lendroit et ma langue aussi. Mes doigts y reviennent un peu plus pressants, massant les bords. Il jubile, me faisant comprendre que je pouvais glisser mes doigts plus loin. Cela démarre fort, pourvu que cela dure et quil me rende la pareille. Les muscles sont relâchés, je nai pas de mal à le pénétrer et pratiquer un va-et-vient, il apprécie cette petite masturbation délicate, je ne cherche pas plus loin pour linstant, je reste sur le bord des lèvres. Je sens bien que cela lui plaît comme cela me plaira aussi, il pratiquera, cest certain une semblable approche.
Il est complètement passif pour linstant, il profite bien de se laisser bercer par le temps et surtout par la délicatesse de mes doigts, dans un langoureux moment. Ses muscles sont détendus, je sens bien que le bout de mes doigts lemmène dans un espace de ressenti, bien conscient. Jy reste un petit moment, pendant ce temps dans une langueur soporifique, japprécie lui bien plus, je comprends à regarder son anus, comme sera le mien quand il me pratiquera ainsi. Jai besoin des images, de les garder secrètement, cela amplifie le senti et fige ainsi ce bout de temps. Il comprend que la nuit ne se passera ainsi, je nen demandais pas tant, je nétais pas inquiète quil ne sactive, chaque plaisir a son temps. Il me caresse la main, pour la rassurer, il se met sur le côté un instant seulement pour croiser mon regard, le sien est empli détoiles. Il se retourne délicatement sur le dos il me laisse le dominer, je ne cherche pas pour autant à me comporter ainsi, il veut seulement me faire comprendre quil ne se comportera pas comme un mâle vulgaire, un bourrin dominateur qui ne cherche quà cracher son orgueil au fond dun charnière tolérante. Je me retrouve donc sur lui, avec plus dinitiative, plus active, ma poitrine est sur la sienne un peu trop velue. Nos souffles se croisent sans que les lèvres ne saventurent sur les autres encore. Ma main glisse entre nos corps et ségare plus bas, jy rencontre ses testicules, bien gonflées, il doit être en retard daffection, jespère bien quil prendra son temps.
Je lembrasse furtivement, un court baiser qui néchange rien mais qui pigmente le respect pour lautre. Je sens en lui se dessiner une malice, sans doute pas trop pressé, de presser le temps.
Chapitre 5 : tête bêche.
Toujours sur le dos, il me laisse encore linitiative, orienter le débat sans ébat encore. Je glisse ma main sur son vit bien raide maintenant, pas un gros engin, mais bien foutu quand même, bien droit et avec un beau gland bien décolleté, le prépuce est intact. Quelque part, cela me semble normal, les religions invalidantes ne doivent pas permettre ces plaisirs ueux. Je quitte son regard pour bien veiller sur ma main qui caresse ladultère pour un plaisant instant. Jaime bien ce moment où le vit ne lui appartient presque plus et quil est ma chose pour moi, pour que je le câline et plus, quil glisse à ma volonté dans mes doigts. Je ne serre pas trop fort pour ne pas le contraindre au décalottage, tout doit se faire en douceur. Je sens sa main droite se glisser entre mes cuisses, je lui offre complètement lendroit, juste pour quelques doigts qui sattardent sur mes lèvres assoiffées avec la délicatesse dun artiste-peintre. Que sa peau est douce ! Certain que lanimal nexerce pas un métier manuel et puis sur cette peau éclaircie, la sensibilité est accrue, jen baisse les paupières de plaisirs, me concentre sur le ressenti, je fonds comme un glaçon au soleil. Je pose délicatement mes lèvres sur son gland. Mon regard perd la vision, je ne vois plus rien que le bas du ventre
et les testicules qui grossissent vus si près et le haut des cuisses. Jentrouvre la bouche pour quil sente le bout de ma langue, qui se lâche un peu, léchant le bout du membre comme une boule glacée à la fraise. Je me retourne pour être tète bèche, sans le débrancher pour autant. On se met sur le côté et jentreprends une petite fellation toute en délicatesse, je navale rien, je joue seulement avec le gland du revers au bout
pour commencer. Il faut en garder sous la langue, jaime en plus que ces plaisirs aillent crescendo. Lui, me caresse dune main les testicules bien enflés et de lautre le pourtour anal massant de nouveau ses lèvres lubrifiées.
Je sens bien une certaine nonchalance à massumer, le plaisant passe à plus dindolence. Il faut gérer ce que lon donne te le ce quon reçoit, ce nest pas si facile de trouver un certain équilibre, cest presque indécent. Dans mon imaginaire, je perçois bien son membre dans ma bouche gourmande et érotique rêverie qui sublime linstant. Je passe ma jambe gauche au-dessus de son visage pour que mon pubis soffre et à son regard et à ses lèvres, sa langue et ses doigts, il a de quoi faire.
Tandis que je glisse ma langue le long de sa hampe généreusement, du gland jusquaux testicules, que jengloutis une par une et suce avec une grande délicatesse les prenant pleine bouche. La peau rasée est dune douceur, il doit ressentir une fraicheur par la salive, je reste sur lendroit, la langue est gourmande, jaime bien, les femmes y ont un indéniable pouvoir de confiance
la suceuse ou le suceur pourrait mordre ou croquer. Je lui titille les lèvres anales avec deux doigts bien gras qui glissent doucettement dans lentrée de lanus. Je sens bien les lèvres plissées mais ordonnées, bien plus que celles de sa bouche, lui entreprend une léchouille soignée du péri clitoridien. Le rasage plus près de la peau libère des sensations plus intenses de plaisir, je sens le derme de lendroit fébrile et excité, le ressenti est décuplé. Le stimulus de la zone érogène irrigue le cerveau plus encore dinattendus spasmes. Je remonte de nouveau sur le sexe pour lengloutir entièrement dans la bouche jusquaux amygdales. Puis je le lèche, le suce et je laspire, je resserre bien les joues pour le protéger des dents, je marrête sur la collerette du gland, lengin est bien plus raide que quelques minutes plutôt, comme un saucisson bien sec tant il est dans état dexcitation maximum. Je masturbe son vit avec la bouche, marrêtant avec délicatesse sous le gland pour lécher avec ma langue tout le bout. La salive coule de ma bouche sur son pubis. Il reprend un peu dinitiative pour ne pas sombrer. Il sapplique alors à effleurer mon pubis baladant le bout de ses doigts près des grandes lèvres puis des plus petites, sattardant un moment sur lendroit entre caresses et effleurements. Sur le clitoris de même, il le prend avec deux doigts pour le sublimer, cela menvahit de frissons. Je sens les poils des bras se dresser et la peau frissonner. Il nest vraiment pas maladroit, il a de lexpérience, acquise avec bien dautres que moi. Je lui fais ressentir ce plaisir qui m'envahit, ma bouche quitte son gland pour ses doigts que je lèche avec avidité, je caresse ses testicules du bout des phalanges elles sont bien lisses, je le ressens bien plus avec mes doigts quavec ma bouche. Du bout des doigts, je remonte doucement sur sa verge jusqu'au bas du gland que jexcite sans façon de nouveau, jen fais le tour doucement dans un effleurement subtil, je descends, puis je remonte sur la tête, remerciant la nature dêtre si généreuse. Il est ferme comme un manche de marteau. Lui me glisse lindex dans les babines doucement, lendroit est très humide, il trouve rapidement sur le devant avec la zone la plus agréable, ce qui serait le point G, ce qui est le point le plus sensible. Il prend beaucoup de temps à masser et caresser lendroit avec le bout de son doigt, lautre main glisse un de ses doigts autour de mon anus, bien plus lisse que le sien, il me colle une bonne dose de lubrifiant et samuse à masser lentrée des plaisirs soi-disant interdits. Cela me fait un effet monstre, je sens monter en moi, une plénitude qui me fait oublier le reste. Jessaie de lui faire ressentir, ce que moi, je ressens, même si nos corps sont différents, il y a une multitude de zones sensibles et communes. Il nest point urgent quil se livre complètement encore, moi non plus dailleurs, il y a encore beaucoup à se découvrir. Il me lèche avidement le pubis, les orphelines et les entours du clitoris, il sy arrête et sen occupe comme une confiserie fine, avec attention le suce, le lèche, létire doucement, il prend du volume, rien à voir avec un phallus, mais quand même, je le sens bien se gonfler mon petit cornichon. Ensuite, il égare sa langue jusquau bord de lanus, jaime bien quon me lèche ainsi aussi goulûment quil le fait avec entreprise sans pour autant vouloir prendre possession de lendroit, jai maintenant deux doigts qui lui trifouille les parois anales, il apprécie bien, je le comprends, jaime aussi ces pratiques. Je sens un premier jus sur mes lèvres le premier de son vit, le lubrifiant le liquide pré éjaculatoire, ce nest pas excellant, mais pas désagréable non plus, cest bon signe, il va tenir un bout de temps avant de lâcher ses semences. Ce nest pas sa priorité assurément, comme je le cherche aussi, il essaie de faire durer le temps.
Je reviens vers ses testicules pour jouer avec encore. Elles sont toujours bien fraîches, les spermatos sont au frigo. Lui continue de promener sa langue vers lanus. Et je reste sur le phallus pour lui dresser son orgueil. Puis, je glisse ma bouche vers ses arrières, lui quitte les miens. Je lui lèche les lèvres, cest plaisant, il doit bien le ressentir. Il ne se contracte point, bien au contraire les muscles de lendroit se relâchent donnant à la langue plus de profondeur, une main masturbe le jonc avec douceur lautre caresse les fesses comme pour amadouer la bête, quelques petits boutons, nont pas encore vu le soleil. Jen profite pour que ma langue centre son arrogance sur ce petit trou bien accueillant enserré par des lèvres ridées, il appréciait bien la léchouille. Il écartait largement les cuisses, pour que je glisse plus loin, plus près de lendroit où la morale des croyants soffusque. Pourtant, les curés violeurs ds ne sen privent pas tant. Je prends bien du plaisir maintenant à regarder mes doigts le pénétrer. Ici on est loin des préjugés de ces gens déglise, nous sommes dans le bien-être du corps et de lâme. Jétale de nouveau une noix de lubrifiant sur lendroit, je masse lentrée de lanus et le pénètre de deux doigts, aucune résistance bien au contraire, un relâchement qui appelle plus dallant, je le suce de nouveau en même temps.
Il comprend bien le plaisir que jai à le regarder ainsi, comme lui prend du plaisir à voir mes orifices. Il montre ses faiblesses féminines de lhomme, physiquement au moins, ce que tout autre orgueilleux traiterait de pédale. Mais le plaisir est bien plus important que ce quen pensent dautres, qui, de toutes les façons ne savent pas ce qui se passe là. Il moublie un peu en cet instant, je ne peux plus mes mains et ma bouche sont bien occupées, je sens les siens faire de même, mapprochant de lanus jusquà le visiter courtoisement. Quil est doux son trou du cul comme le vagin dune jouvencelle, étroit mais pas serré. Jentreprends un tout petit va et vient, il fait de même, il glisse son pouce dans mon vagin, me voilà comblée de trois doigts qui sagitent doucereusement, bien lubrifiés, je ressens une excitation plus personnelle, la pression sanguine augmente un peu, tout se durcit et gonfle un peu, des vapeurs bienfaisantes menvahissent, cela doit être de même pour lui, nous faisons durer le plaisir un bout de temps encore
Je sens bien ces deux doigts sur les deux parois amplifiant le plaisir du ressenti, je sens tout mon corps soffrir, des bouffées de chaleur sur la peau sévanouissent, le visage rosit comme certains fruits quand ils deviennent murs. Quil est bon ce temps quand il nest plus de certitudes, quand un certain plaisir se fait ressentir quand par tous les pores de la peau le désir sévapore. Les yeux ne voient plus rien, louïe est tue, les sens sont aux sens, acquis, il ny a rien dautre qui compte, seulement cette plénitude qui libère les corps des exigences. Sommes-nous encore une femme et un homme ? Seulement dans lapparence, nos esprits sont bien plus libérés à ressentir plutôt quà exprimer. Deux êtres, cest certain, plus très conscients de lêtre, mêlés dans une même extase, jouant avec les zones sensibles disponibles de lautre. Mes s et mon mari sont bien loin en ce moment les préoccupations ont disparu, linstant est unique et prolifique. Rien ne sert en tout cas à se justifier. Je reviens voir phallus, un peu en manque de forme, pour lui redonner une certaine dignité, cela doit être de même pour moi, mais cela ne se voit beaucoup moins. Je lui masse ces rides anales sans la présomption de vouloir les effacer, mais elles sont bien mignonnes en ce moment, elles seront requises pour bien moins plaisant en dautres moments. La fellation et mon petit doigt lui redonnent une fierté, il se tient encore.
Deux petites claques sur ces fesses pour lui faire comprendre que je veux me libérer de lendroit, nous nous retrouvons de face à lendroit, nous échangeons un sourire narquois, je le laisse sur le dos et mallonge sur lui, entre ses grandes jambes ouvertes, les miennes au mieux. Je frotte son vit sur mon clitoris et sur les lèvres, lentement, jai besoin de retrouver la mesure. Je prends bien mon temps pour redonner de lenvie au pubis, sans trop insister, il faut que sa verge ne soit pas contrainte au risque de perturber le prépuce et pour laisser une caresse légère des deux sexes. Je persiste sans quil nait pas à saffairer. Il apprécie délicatement la démarche. Je glisse ma fente vers son phallus ragaillardi et le coule en moi, elle nest pas trop raide, souple au plaisir. Je mactive doucement, tout dabord pas trop loin juste sur les bords du vagin. Je le regarde, il me comprend, toujours pas un mot. Ici nest pas besoin de vocabulaire, ni de mots, ni de lettres, pour se comprendre, il faut appréhender lautre. Je glisse mon corps entier, me cambrant pour mieux sentir son membre. Longuement, je me balance ainsi sans trop damplitude, lui maccompagne pour amplifier un peu la pénétration. Il ne cherche pas pour autant à passer au baisage vulgaire et bestial. Les allers-retours sont un peu plus amples, mais toujours sur un rythme assez lent, histoire de ne pas trop faire remonter trop vite la pression. Je massois sur lui toujours prise sur son sexe, il me caresse les seins, le téton est de nouveau agressif, il samuse à le titiller, le suce avec plus de douceur quun chérubin. Je continue mon petit manège, doucement et avec un peu plus denvergure. Des vapeurs de nouveau angoissent le destin, mon regard sévade vers des non-certitudes, vers un exquis moment personnel, il faut que je ralentisse le mouvement pour revenir vers lui, je ne le sens pas sévanouir vers léjaculation, non, il est bien, je lui polis le mignon et il reste coi, dans un bien-être suave. Je me retire à peine et glisse mon rectum sur le pilou, il y reste suffisamment de lubrifiant. Je naime pas les grosses bites pour une sodomie, la sienne est bien, un peu plus de trois centimètres, cest suffisant pour un plaisir anal, je guide toujours la démarche, jenfonce légèrement son membre sur les lèvres sans quil soit avalé par le repli du gland et très doucement, je balance légèrement mon bassin pour provoquer de petits déplacements, cela me fait du bien, beaucoup de bien. Je lui glisse un baiser furtif, un merci en sorte. Jaime bien dominer ce plaisir pour aussi guider mon ressenti, ce nest pas égoïste non, je guide mon sexe où il veut, quand il veut, à la cadence quil veut, au moins je maîtrise mes émotions et les siennes aussi, cela le dérange peut-être. Plus tard, je lui laisserai mener la cadence. Je ferme les yeux pour mieux me concentrer sur le ressenti, cest planant, cest lextase sans plus, bien mieux que de lecstasy, non pas besoin dexcipient. Je me laisserai aller à ce manège des minutes durant, mais cest un peu ego, il faut aussi quil y trouve du plaisir, là, il risque linflammation. Alors, je resserrai les muscles de lanus pour refouler la verge bien collante de lubrifiant, non pas de préservatif, pas de frein à la sensibilité des peaux. Puis, je le laisse un peu plus mener la cadence pour que lui aussi, sente monter la pression.
Je replonge sur son pubis et jentreprends de nouveau une toilette du petit jésus, après lavoir bien essuyé avec une lingette, il avait encore un peu le goût du lubrifiant heureusement quil était à la fraise, sa taille modérée fait quil était bien agréable à réconforter. Lui aussi retrouve mon entrecuisse, il titille lentrée de mon vagin avec une langue bien adroite et pointue, pénétrant un petit peu lendroit avec délicatesse. Puis celle-ci glisse sur les lèvres anales quil avait essuyées aussi pour les lécher avec beaucoup de délicatesse. Elle tente de pénétrer lanus, je laisse lendroit se détendre pour que la langue glisse un peu plus loin, elle est bien agile. Il reste dessus longuement, cest un plaisir intense, je me laisse aller dautant que les doigts dune de ses mains glissent sous son cou pour titiller mon haricot, il leffleure plutôt quil le caresse, jai tendance à suivre sa langue, je me laisse trop au plaisir, je sens des bouffées doucettement menvahir. Il ne faut point que je me laisse trop aller au ressenti, au risque de sombrer dans une jouissance qui, quelque part, fait fondre lenvie de donner du plaisir à lautre avec attention. Il s'occupe lors de caresses clitoridiennes aussi avec une certaine dextérité, promenant ses doigts entre les lèvres avec une tendresse et une finesse appropriée.
Chapitre 6 : vibration.
Il me glisse dans la main, sans un mot, le petit vibro que jai emmené. Il la recouvert dun préservatif et sérieusement enduit de lubrifiant. Je quitte son membre pour bien regarder son petit trou du cul. Avec le petit jouet, je lui masse les lèvres qui se libèrent et puis, je le glisse doucement dans lanus, juste à lentrée au début, le faisant tourner dedans puis quelques petits va-et-vient du vibreur. Jadore regarder ces moments de pénétration, cest un moment de possession de lautre. Jen n point pour autant, je ne suis pas une femme qui cherche le pouvoir sur les autres, mais pour autant, voir la ou le partenaire se laisser ainsi aller est source dun plaisir. Je laisse le vibro jusquà ce que la collerette soit maîtrisée par les muscles des lèvres pour quil ne puisse ressortir. Je reprends sa verge en bouche. Je ressens en lui un grand plaisir avec lengin, de petits gémissements accompagnent le va-et-vient de ma bouche, il se laisse aller le pépère, il va sombrer
il me caressa la joue pour que je ralentisse ou arrête la fellation. Il reprend de lactivité pour éviter une éjaculation encore trop rapide à son goût, au mien aussi dailleurs et de nouveau avec ses doigts, il engage une double pénétration, il sactive plus vite que la première fois. Il veut évacuer le risque et reprendre aussi la main si je peux le dire ainsi. Leffet se fait vite ressentir, cest moi maintenant qui sombre dans la passivité du ressenti. Je suis bien, joublie le toy en lui et laisse son sexe à une petite branlette doucereuse.
Là, cest lui qui me tapote mes fesses, il est temps denlever le petit jouet, cela tombe bien, je veux bien profiter, je change le préservatif, le couvre de gel et lui fait comprendre de me le glisser dans lanus, il a la même approche que moi pour lui, à croire quil a bien apprécié la démarche. Cela fait du bien une vibration aléatoire, je me pose sur le dos et lui fait comprendre de venir sur moi, au passage, il me suce le bout des seins bien plus tendrement quun nouveau-né. En même temps, il glisse deux doigts dans la fente tout contre le toy, quel plaisir, tout en tendresse. Lui aussi me bise simplement, puis, il laisse tomber ses yeux dans les miens, nous ne nous connaissons pas
cest bien plus pour nous rassurer que nous sommes bien les partenaires du soir, il se glisse entre mes cuisses et titille le pubis avec son sexe qui a, de nouveau, retrouvé de la vigueur. Il y passe du temps, puis, une petite pénétration, juste sur les bords du vagin et des petits va-et-vient, il prend son temps. Que cest bien agréable, ce mec est dune douceur, dune délicatesse bien rare, loin des bourrins qui ne pensent quà éjaculer. Le toy me procure aussi du bien-être. Il me sourit, les bras tendus pour ne pas peser sur mon corps, pour que je prenne le maximum de plaisir, il peut continuer ainsi des heures, je me laisse aller à ces plaisirs. Il se redresse pour mieux me voir sans doute
il doit aussi ressentir les vibrations du toy, cela ne doit pas lui être désagréable. Les minutes passées encore ainsi, aucun de nous deux nest pressé que cela se termine et tant que lun ne sombre pas dans une jouissance qui pourrait être finale, autant le laisser aux plaisirs des sens. Lendroit commence à sentir les odeurs mélangées des humeurs relâchées des corps, dune certaine transpiration, du gel et des préservatifs. Cest une odeur que jexalte, même quand je retournerai dans ma chambre.
Je lui passe la main sur la cuisse, il comprend vite et se retire en douceur, il jette un regard sur le chantier, tout doit y être englué, chiffonné et rosi, petites inflammations, cela doit être visqueux, mais quimporte, il tente de remettre un peu dordre avec ses doigts.
Je le tire vers moi et lui fait comprendre de se mettre sur le dos, près de moi, nous sommes côte à côte, nous ressentons bien la chaleur de la peau de lautre, mais sans plus, nous sommes loin des chaleurs exponentielles qui séchangent au contact quand les sentiments prennent le pas sur le plaisir. Nous restons donc bien dans le plaisir, chacun maîtrise son émoi, mais il ne faut pas pour autant laisser le feu sacré séteindre, alors on se retourne face à face sans plus de contact, je lui pratique une petite branlette pour redonner au vit de la fermeté. Lui, abandonne les doigts de sa main droite sur ma chagatte, prenant soin de ne pas brusquer lendroit un peu beaucoup en désordre.
On va continuer par une missionnaire, laisser le tète bêche que je préfère pour autant, mais il faut aussi redonner une position moins inconfortable, puis laisser enfin nos regards se croiser et communiquer
Je me mets sur le dos, il comprend vite, je remonte ma tête au plus haut sur loreiller, pour voir un maximum son corps, jécarte les cuisses comme on ouvre grand ses bras pour accueillir une personne proche. Je lui passe au-dessus de la jambe, il pose ses deux bras sur mes côtés, puis se laisse aller vers le bas, sa verge a retrouvé un peu de sa splendeur, pas trop raide pour autant. Doucement, je sens son gland sapprocher de mon abricot, quil effleure avec délicatesse, le frottant, le frôlant plutôt, nos regards néchangent pas de promesses, seulement une satisfaction dêtre là à se faire ressentir. Puis, doucettement, il entrouvre les Bartholins, puis samuse à, je rentre, je ne rentre pas, leffet est engageant, il ne demande rien de plus, se complaisant ainsi. Il reste tendu sur ses bras libérant lespace entre nous, pas de contrainte physique qui contrarierait le ressenti. Je plane dans un espace que jaimerais perpétuel, je maîtrise cette excitation sensuelle pour quelle ne devienne trop exigeante. Il voit bien mes paupières qui clignotent puis sombrent dans un plaisant instant. Il engage un peu plus loin son membre toujours dans un va-et-vient monocorde qui protège de lexponentielle jouissance.
Il se cambre un peu plus pour se relâcher, jécarte encore plus les cuisses dans un mouvement davalement pour tenter de glisser le vit plus loin encore, le mouvement est presque synchro avec
ou pas. Jaimerais que cela dure longtemps encore, mais jai de plus en plus de mal à maîtriser mon émoi. Je lui fais comprendre quil peut plus simpliquer. Il me regarde et sourit, il comprend vite le bonhomme, il amplifie le mouvement, son sexe va titiller le col de lutérus, jusquà presque le pénétrer et se retire presque complètement pour que le gland retrouve Bartholin. Ce mouvement langoureux mentraîne dans une suffisance et mégare dans celle-ci. Lui aussi semble éprouver les mêmes troubles, ses paupières aussi, trahissent lémoi. Et sans que rien namplifie le ressenti, je sens monter doucettement la jouissance puis lorgasme que je ne peux plus maîtriser. Je nécris plus que par les souvenirs des sens, mes sens sont aux abois, mon corps sébroue, mon âme se noie, la conscience ségare, je tais mes cris et mon moi séchappe de mon corps. Je suis vide, transpire comme après un très gros effort, je sens sécouler en moi le sperme abondant de mon partenaire qui jouit, en contrôlant son lui pour ne rien montrer. Il continue encore quelques mouvements et se retire, je sens bien le sperme qui nous lie quelques secondes encore, et puis tout me semble bien humide. Il se retire complètement et se met sur le dos pour souffler un peu et presque en même temps nous nous retrouvons sur le côté lun face à lautre, à se regarder sans mot, à se dire comme cétait bien plaisant, bien plus même, il ny a pas de mot pour décrire ce ressenti. Je lembrasse plus tendrement, nous échangeons un court baiser de tendresse et restons un long moment ainsi, sans se conter fleurette, rien ne justifie plus un mot le temps se suffit, dommage que tout soit fini. Les organismes ont été au bout de leur suffisance, il nest pas besoin de remettre le couvert, il y a tant démotions ressenties quil faut les digérer.
Je lui fiche une petite claque sur sa cuisse et me lève.
Je retourne dans ma chambre !
Il ne bouge pas, il reste dans son lit à savourer les moments passés, je nexiste déjà presque plus pour lui. Je ne suis plus que du plaisir, que des émotions. Il se lève quand même, me claque un petit bisou sur mes lèvres absentes, sans plus me retenir
mon orgueil dêtre humain est frustré, mais cest bien ce que je voulais. Je passe la porte sans me retourner
cest fini
joublie ici un bout de ma vie que nul se rappellera sauf lui, un petit secret qui le restera, jentends la porte se refermer, je me retourne tout de même. Plus rien, jai retrouvé ma famille, mon mari et mes s
pas tout à fait encore. Je descends dun étage et retrouve mon lit que je découvre sauf le drap du dessus qui recouvrira mon corps redevenu complètement nu. Pas de douche, ce soir je veux encore et sentir les flagrances de cette aventure et sa semence quil a oubliée en moi. Jaime ainsi me remémorer ces instants extraordinaires passés, sans vraiment chercher le sommeil, bien au contraire, humant les fragrances des instants passés, une main se glisse entre mes cuisses me rassurant que tout sest bien passé. Non, je nai pas rêvé, jai vécu un grand moment de plaisir avec cet inconnu dont le visage sefface bien plus vite que la douceur de ses doigts et le profil de son vit, on dit quon a toujours un meilleur profil, le sien était dans sa culotte. Je noubliais rien de ces plaisirs chaque minute était et restera imprimé longtemps encore dans ma mémoire, je ne dis pas dailleurs quen des moments de solitude, ces souvenirs éveilleront ma libido, mes doigts et un vibro masseur. Le temps navait plus dimportance, il sécoulait à son rythme. Moi, je regardais le plafond où je voyais nos ébats, longtemps, longtemps encore
avant quun sommeil réparateur vienne protéger ce si récent passé.
La nuit fut ce quelle devait être, un grand moment, le matin après une douche qui effaçait tout ou presque tout, il fallait redevenir la femme du mari et la maman de mes s. Au petit-déjeuner, je croisais discrètement le regard de linconnu dhier soir, il madressait un petit geste imperceptible de la main, un geste plus que galant dun homme prévoyant. Ce matin, il portait au cou, un col blanc de religieux, comme quoi
les secrets ne sont pas quau confessionnal.
Un petit coup de fil à la maison pour sassurer que tout se passait bien, aussi bien quhier soir. Puis, je redevenais moi, lautre moi, que je ne détestais pas
surtout pas, comme lautre moi ne me détestait pas non plus. Allez ! Hop au boulot !
Chapitre 7 : conclusion.
Et si mon compagnon, en fait, vivait les mêmes expériences
et que je ne le sache pas
et bien ce serait bien pour lui
il na pas beaucoup loccasion de quitter la maison pour autant
mais, quelquefois, on peut trouver ce plaisir près de chez soi
moi je ne veux pas être avec lui comme hier au soir, je ne veux quil ait limage dune femme peu vertueuse
hypocrite raison
Je ne suis pas une vide couille et encore moins une poupée à peine gonflée, je suis une amante qu'un homme respecte à mes souhaits comme moi je le respecte aux siens.
Je ne suis pas une féministe, encore moins une féministe frustrée qui crie trop fort ce quelle ne sait pas trouver. Les hommes ne sont pas la cause entière des problèmes de celles-ci, bien souvent les féministes créent elles-mêmes leurs problèmes et leur vision du machisme des mâles. Cela vient souvent de leur faiblesse à se comporter, à regarder, à entendre, à sentir et à comprendre. Si elles étaient moins tordues, elles comprendraient que le plaisir, cest de le partager jusquau bout... elles ne fréquentent sans doute pas ces hommes, si rares, cest vrai. On ne peut pas demander au play-boy dêtre un bon amant. Il faut bien que la rutilante voiture cache des faiblesses.
Je ne suis pas une misandre ni une misogyne, je trouve chez les autres hommes et femmes ce dont mes sens ont besoin, un point cest tout, et si cela vous dérange tant pis pour vous. Quand vous lirez ce propos, jaurai sans doute vécu dautres aventures comme celle-ci, quoiquelles ne sont jamais semblables, quoiquelles sont rares aussi quand vous, vous vous contenterez toujours du plaisir animal, bestial, minimum pour vivre une sorte de
RMI du plaisir
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