J'Ai Pervertie Ma Collègue - L'Évolution 5
**Merci pour vos encouragements. Dautres se plaignent de non réponse de ma part, mais pour cela jai besoin de votre mail, alors avant de grogner, pensez à laisser un mail.**
Fannie arrive seule chez moi pour prendre connaissance de la suite la concernant. Très détaché, je lui fais part de la nouvelle règle.
-compte tenu de ton attitude, les règles changent. Je vais te fermer ton intimité pour une durée illimitée, pas de rapport avant 1, 2 3 mois ou voir plus. Tu vas te raser entièrement le sexe, je ne veux plus un poil à cet endroit. Ton cul sera plugger par un rosebud 24/24. Jai transféré le contrat de Line vers un autre dominateur, je ne peux pas être à te mater et instruire lesclave. Elle a validé ce transfert. Jai dû rater quelques choses te concernant, tu vas donc être éduqué à la dure, je te préviens.
Fannie, le regard fixant le sol ne dit rien, elle accepte la punition. Je pose la chaîne qui ferme son sexe à toute introduction et verrouille avec le cadenas. Je tire les poils du pubis.
-ca je nen veux plus, ce soir tu rases.
Elle mouvre son cul en écartant les fesses, jenduit le rosebud de gel et pénètre sa rondelle.
-tu gardes ça en continu, tu lenlèves pour faire tes besoins et sous la douche, ensuite retour dans ton fondement. Pour le reste tu verras.
-ouui Fred, jai compris, je ferai ce que tu as dit.
-alors tu files chez toi ce soir et tu reviens demain la touffe tondu à blanc, tu resteras ici durant cette période.
Au bureau, je viens dêtre informé quun poste darchiviste a été créé et que je serais le responsable. La personne a déjà été recrutée et est en poste depuis une semaine. Donc je moccupe de cette personne en plus de toutes les tâches déjà sous ma responsabilité, enfin bref, nous sommes tous dans ces conditions de travail compliqués. Jai un peu délaissé cette personne. Je fais sa connaissance deux semaines après sa prise de poste. Cest une femme de 25 ans, petite, brune, mince, joli visage, elle se prénom Maeva, dorigine portugaise.
-alors Maeva, ça se passe bien ?
-oui monsieur, je me débrouille.
-le problème est que jai des plaintes vous concernant, il parait que vous ne faites pas votre job.
-ah bon ! ah mais si monsieur, je fais ce que vous mavez dit, je vous assure, je ne comprends pas.
-bon, bon soyez plus vigilante.
-oui, merci monsieur.
Après cet entretien quelque chose me dit que je ne sens pas cette personne. mais bon, tant que je nai pas dautre retour négatif je laisse couler. Le lendemain je reçois un appel de Maele, et oui elle est de retour, même si javais quelques infos par Fannie.
-salut Fred
-salut Maele, de retour ?
-oui oui, alors tu as repris ma Fannie chérie en main, je peux te dire que même si elle la mauvaise, elle est très heureuse de savoir quelle est redevenu ta soumise ultime. Quant à moi je divorce, jai trouvé Loic qui est très coquin, bon pas autant que toi, mais cest déjà bien.
-tu devrais me le présenter, je lui donnerais des tuyaux
-cest prévu Fred, cest prévu. Je tappelle parce tu as une jeune fille sous ta responsabilité, aux archives
-oui effectivement, mais comment tu sais ça ?
-ah ah !! Fred, Maeva est ma petite sur et elle ma dit que tu lavais un peu réprimandé sur son travail.
-ta sur ? que le monde est petit
-elle a eu de la chance pour ce poste et jaimerais bien que tu prennes soin delle.
-je vais pas jouer la nounou
-non Fred, pas la nounou, juste quelle est fragile, elle se fait plaqué dès quils ont eu ce quils veulent, elle est un peu largué, alors prends la en charge. Jaimerais que tu lui fasses découvrir le monde que tu connais, tu sais ce que tu as commencé à me faire découvrir, je nai pas besoin de te faire un dessin.
-mais Maele, je ne la connais pas et puis elle na peut-être pas envie de ça, tu es trop forte sur ce coup-là.
-Fred, tinquiète pas, si je te parle de ça, cest que je sais que tu peux y aller, je sais que je peux te faire confiance Fred, allez prend là en charge.
-bon, vu ton insistance je vais voir, en souvenir des bons moments.
-merci à toi Fred et dresses bien ma Fannie, elle attend beaucoup. Bises
Bon, voilà encore du taff.
Quelques jours plus tard, je vais voir Maeva aux archives, pour obtenir un dossier. En entrant, pas un bruit, javance délicatement au fond du local, là où est situé le bureau. Maeva est assise et regarde un film sur lordinateur, les écouteurs dans les oreilles. Je découvre quelle regarde un film porno. Je lui tape sur lépaule, stupeur lorsquelle me voit.
-alors Maeva, vous faite quoi devant ce film ? Il aurait fallu penser à fermer la porte du local.
Elle devient rouge pivoine, ne sachant quoi dire.
-oui que voulez-vous me dire ?
-heu !!! Et bien
enfin, je suis désolé monsieur, cest pas ce que vous croyez
-bien sûr que non, vous matez un film de cul, juste pour vous occuper. Cest un motif de licenciement.
-oh non, je sais jai fait une bêtise, mais bon voilà, je ne le ferai plus, je vous assure.
-je passe vous voir ce soir chez vous, nous en reparlerons
-pardons, mais ce nest pas possible, je ne vois pas pourquoi vous viendriez chez moi.
-mais Maeva, simplement pour discuter et te prendre en main, je crois que ta sur ta parlé.
Long silence.
-ah cest vous
-cest moi quoi ?
-Maele ma dit que je devais vous trouver et que vous sauriez me prendre en main, mais je nétais pas trop partante, les mecs sont tous des salauds.
-tu ne mas pas cherché
-si si mais je ne pensais pas que cétait vous monsieur.
-bon stop a la parlotte, ce soir 18h00 chez toi, compris.
-si vous pensez que cest nécessaire.
-à ce soir.
Le soir je me présente chez elle. Elle mouvre et je découvre un studio mal rangé et pas ment nickel.
-tu vis dans ce bordel, ce taudis
-heu !!! Oui, enfin jai pas eu le temps de ranger et nettoyer.
-bien sûr, les mêmes réponses quau bureau. Bon je vais être direct. Je dois te prendre en main et tu ais ok avec ça ?
-je sais pas vraiment, je suis pas sûr de vouloir faire ça, en fait jai
-tu veux ou tu ne veux pas ? Tu veux alors tu te fous nue que je vois ce que tu as à me proposer, tu ne veux pas, je repars et les choses reprenne leur cours normal.
-jai déjà ma soumise à gérer, alors je veux bien rendre service à Maele, mais encore faut-il que tu le souhaites.
-vous voulez bien me parler de cette femme monsieur, ça maidera peut-être à décider.
-non, cela ne tappartient pas. Donc je repars
Je me dirige vers la sortie, Maeva me ratt et pose sa main sur mon épaule.
-non rester, je vais me découvrir à vous, parce que ma sur me la conseillé.
Maeva retire ses vêtements, puis ses dessous. Je découvre une femme maigre, des seins petits, voire inexistant, des fesse sans intérêt et un pubis très poilu.
-hum ! Tu ne corresponds pas vraiment à mes critères, tu es aussi poilu entre les cuisses ?
Elle répond du bout des lèvres « oui »
-eh bien une vrai portugaise alors et je suis censé faire quoi avec toi franchement. Bon allonge toi que jinspecte lintimité.
Maeva sallonge lentement. Je lui ouvre les cuisses et découvre effectivement un sexe poilu, cachant ses lèvres intimes. Je mapproche et une odeur se dégage.
-tu as tellement mouillé devant ton film de cul que tas la chatte qui sent la salope en chaleur, retourne toi, fait voir ton cul.
Je laide à se retourner et lui demande décarter les fesses.
-bon là ce nest pas mieux, voire pire. Non seulement ta mouille a coulée, mais en plus ton cul nest pas propre. Tu es vraiment une crade Maeva, alors on va gérer ça croit-moi.
Je la fais assoir dans son canapé, je sors ma queue et lui présente.
-fais voir comment tu suces un mec.
Pour la pipe, Maeva est plutôt pas mal, elle sait jouer avec sa langue, ce qui est agréable. Je ne trouve rien à redire sur sa façon de sucer une queue. Après de longue pénétration buccale, qui font baver Maeva, je décide dexploiter son intimité. Elle sallonge, je lui écarte les cuisses. Ma queue munit dune capote se présente dans cette forêt vierge de poils. Je la pénètre sans grande précaution, par chance elle est mouillée mais serrée. Je commence mes vas et vient dans cette intimité inconnu. Maeva ne sexprime pas. Sa tête va et vient de droite à gauche, mais rien de plus, pas de paroles, rien, nada. Je nai pas lhabitude de ce genre de femme, la femme silencieuse qui ne partage pas son plaisir. Mais prend-elle du plaisir ? Je me pose la question, cependant elle lubrifie, signifiant quand même quelle nest pas insensible dans lacte. Je me bouge dans ce sexe, cherchant mon plaisir, au moins le mien. A un moment, une de ses mains att sa touffe de poils et tire dessus, moi continuant à labourer cette chatte. Ne sentant rien de particulier chez elle, je décide de changer dorifice. Je la retourne, relève ses fesses et me présente à sa rondelle. Maeva me tend un tube de lubrifiant. Jenduis ma queue et commence la pénétration. Qui dit gel, dit habitué à la sodomie. Le conduit souvre sous mes coups de queue, Maeva toujours silencieuse. Je la pénètre profondément, alternant sortie et entrée. Je constate alors que le conduit nest pas particulièrement propre, ce dont je me doutais, vu l état de la raie culière, mais peu importe, je la sodomise encore et encore. Je vois sa main de nouveau attr ses poils. Mon plaisir commence à être au maximum. Je me retire de se cul, enlève la capote et lui fait tirer la langue. Je me branle et décharge sur la langue de Maeva qui avale mon jus. Jempoigne sa longue chevelure et essuie ma queue avec.
-tu nes pas très expressive, on sait même pas si tu as pris plaisir ou pas
Petite mine, me regardant avec ses yeux verts.
-oui cétait très bon monsieur, je dois avouer que jai jouis deux fois, ma sur avait raison vous êtes, vous avez de lexpérience.
-tu jouis en silence alors, cest chiant
-je suis discrète oui, cest vrai
-et ton cul merdeux comme ça, ça ne te dérange pas ? ou tu aimes ça, avec les odeurs peut-être ?
-Jai honte, mais oui jaime comme ça.
-ohh ! Pas de soucis, jai ma soumise qui est punie pour un certain temps pas de sexe pour elle, alors cela tombe bien que tu me serves de vidangeuse, et si tu aimes les odeurs ok, je ne me laverais pas pour la prochaine fois, crois-moi. Pour le reste je men fou. Aller offre moi un bon café.
Nous discutons durant plus de 30 minutes. A un moment elle sapproche un peu plus de moi, je la prends par le bras.
-ma queue à encore envie, suce là.
Elle me regarde, surprise, prend un temps de réflexion et se baisse pour gober ma bite, qui rapidement reprend sa forme, prête à ramoner de nouveau. Dailleurs je ne perds pas de temps avec la pipe, je plaque Maeva face sur un meuble et pénètre son intimité. Je décide de la prendre sans protection et je démarre une intense pénétration. Je nai toujours aucun son de sa part. Je profite pour fesser ces fesses plutôt sèches, un grand dommage pour moi. Elle ne réagit que très peu à ça. Ses seins, nen parlons pas, petits seins, petite tétine, sans grand intérêt. Je me retire de sa chatte et la prend par le cul. Même si ce nest pas super propre, je la ramone profondément, cherchant à jouir seul, pour moi et pas pour elle. Je vois sa main disparaitre entre ses cuisses. Je suppose quelle att sa touffe de poils, ce qui bizarrement a pour effet sur moi de faire monter rapidement le plaisir. Je crache mon jus dans son fondement. Une fois retiré, je me dirige vers la bouche. Maeva me retient, saccroupie et gobe ma queue pour la nettoyer.
En rentrant chez moi, ou Fannie mattendait, je lui raconte lintégralité du moment, histoire de lexciter, juste de bien lexciter. Elle boit mes paroles et constate que cette femme nest pas un danger pour elle.
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