Collection Escorte - Girl. Carole (2/3)
- Michel glisse ta main libre sous la table, javance mon bassin, caresse-moi la chatte.
- Tu es culottée Carole, mais jaime ce jeu.
Lorsque jai appelé madame Colette et quelle ma parlé de toi, javais peur de rencontrer une professionnelle un peu froide.
Froide, jignore si je le suis, lexpérience que je vis pour ma dernière soirée à Paris, avant de rejoindre ma ville natale non loin dOrléans et où Luc mon fiancé mattend mexcite au plus au point.
- Pourquoi dis-tu ça, tu as déjà eu une expérience malheureuse avec une fille comme moi ?
Allez, passe ta main, la situation mexcite.
- Moi aussi, jai rarement bandé aussi fort.
Fille comme moi, jai du mal à dire pute !
Cest pourquoi jévite ce mot, pourtant en prenant lenveloppe, je sais quà ce moment jen suis une.
Quest-ce que je fais ?
Je memmerdais lamentablement dans cette dernière soirée avant mon retour ayant bien ingurgité les valeurs de la société que je vais intégrer dès lundi prochain.
Le week-end qui nous sépare de ce premier jour va me permettre de dire à mon fiancé la jeune femme frustrée que je suis.
Surtout maintenant que jai un emploi, je vais bien être obligée demménager chez lui.
Un travail, cétait la condition à commencer notre vie à deux.
Vais-je être de parole ou vais-je lui dire bail, bail et au suivant ?
Michel fait ce que je lui demande, je sens son doigt venir sur mon string.
Je sens que je suis ruisselante.
Avec mon gode je mouille, mais avec ces doigts qui me caressent, je suis à deux doigts de défaillir.
Je sens que celui qui est devenu mon client, simplement part un prénom identique à celui que je porte, se glisser sous le tissu.
- Merci, ta chatte est chaude.
Merde, cétait un string et la ficelle a cassé.
Le serveur arrive avec nos plats, Michel sort sa main précipitamment avec au bout mon morceau de tissu rose.
Naturellement il le porte à son nez comme sil sagissait de son mouchoir.
Le serveur pose nos assiettes et repart en nous souhaitant bon appétit.
Je prends ma serviette blanche pour pouffer de rire.
- Je suis bon, pour te payer ce mouchoir rose, 500 , ça suffira !
Jai senti, tu portes des jarretelles, une femme aussi féminine, tu vas satisfaire un de mes fantasmes.
Tu as compris que jétais marié, ma femme refuse de mettre celui que je lui avais offert pour nos 40 ans.
500 , cette petite culotte sort de la grande surface que je vais intégrer dès mon retour.
500 , ce doit être le prix dun string sortant dune boutique de lingerie des Champs Élysées à deux pas de lhôtel où nous nous trouvons.
Je dois déjà lui rendre son enveloppe, surtout que le repas est bon, Michel est charmant et que ce moment sera gravé à jamais dans mon cerveau.
Il se peut que lorsque je serai vieille, je dise à mes petits-s devenus grands que leur grand-mère a été dans la situation dêtre une pute.
- Et si nous rejoignons ta chambre, je pense que tu en as réservé une !
- Comme prévu avec madame Colette, 5 000 pour la nuit et la chambre à ma charge.
Quelle tête je fais quand la note arrive, dans mon sac, il y a 5 000 pour que je satisfasse cet homme dune quarantaine dannées.
Combien le responsable du supermarché ma proposé pour travailler chez lui ?
À oui, 2 000 puis 2 500 après ma période dessai.
En une soirée et une nuit, Carole, aurait touché deux fois un mois de mon futur salaire, si elle était venue !
Certes, elle doit coucher avec des hommes, mais moi aussi je couche avec Luc sans réel plaisir, alors que dans ce restaurant jai déjà vécu une expérience formidable.
Voyons comment la soirée va se continuer.
- Pourquoi pouffes-tu Carole ?
- Je repense à ma culotte que tu frottais sur ton nez, jignore si tu as vu, elle est rose, le serveur a dû avoir une drôle dimpression.
- Il a dû me prendre pour un PD.
- Et moi, un travelo habillé en fille.
- Pourtant, le clito que jai touché lorsque ton mouchoir a cassé, cétait une toute petite verge comparée à celle qui veut séchapper de mon pantalon.
Viens, jai hâte.
Suis-moi, jai la chambre 84.
Il vient maider à me lever et nous sortons.
Une nouvelle fois, je pouffe, quel numéro ma clef magnétique porte dans mon sac à côté de lenveloppe des billets !
À oui, jai donné au barman le numéro, 82, le destin, outre de mavoir fait entrer dans ce bar et de mappeler Carole veut que jaille baiser dans la chambre voisine de la mienne.
Numéro paire à droite et impaire à gauche.
Si Carole était venue, je serais en train de menfiler mon gode en les entendant se donner du plaisir.
Lorsque nous sortons du restaurant, la porte de la salle de réception de ma société vient de souvrir.
Heureusement, Babette et Adrien le numéro 2 sont devant nous amoureusement enlacés sans me voir.
La Bretagne va aller sencanailler, à Quimper un Breton va porter des cormes, au début à la présentation elle nous a dit, Babette, mariée deux s.
Dun coup, ça me revient, Babette est ma voisine au 80, elle va baiser, mais surement pas pour le tas de pognons que je porte sous mon bras dans mon petit baise-en-ville.
Le restaurant a un couloir menant aux chambres sans passer par la réception.
Je laisse le couple adultérin prendre de lavance en me baissant comme si javais un problème à une de mes chaussures.
Je me vois mal prendre lascenseur avec eux.
Nous montons dans le suivant.
- Jai une chance inouïe, que tu es belle.
Michel me plaque le long de la paroi et pour la première fois nous nous embrassons.
Il faut que jarrête de le comparer à Luc, mais mon fiancé, cest mon premier et unique depuis notre rencontre alors bien sûr cette nouvelle situation minterpelle.
Sa main repart en exploration, je sens ma cyprine couler le long de mon bas.
Chambre 76, 78, il y a du bruit, ils sont bien là, mais nous passons sans que je mattarde.
Babette vie peut être une situation identique à la mienne et veut se donner du bon temps pendant son séjour à Paris.
Ça doit être dur de vivre une vie entière vers le même homme et de torcher ses gosses.
Cest ce qui mattend si je minstalle avec Luc, il a déjà parlé ds ?
Suis-je prête, jen doute ?
Chambre 80, je voudrais bien connaître la salope qui est dans cette chambre, mais nous arrivons dans lantre de nos plaisirs tarifés.
La porte ouverte, il me plaque le long du mur en refermant la porte du pied.
Ce sont mes seins qui dans un premier temps sont la source de ses intentions.
Il défait la veste de mon tailleur qui tombe au sol, les boutons de ma blouse, me montre leurs inutilités à les protéger surtout que lun deux nous quitte rejoignant ma veste.
Sa bouche prend le premier, sa pointe étant tendue comme jamais.
Cest la première fois quil est agressé pour son plus grand plaisir par une bouche dhomme.
Avec Luc, au plus loin de mon souvenir, il ma toujours fait lamour dans notre lit, la lumière éteinte, sans plus de préliminaires.
Il bande, plutôt le matin, il bascule sur moi, seul moment où mes jolies mappemondes sont écrasées et me pénètre sans soccuper si jai du plaisir.
Ça marrive, mais rarement, les rares fois ou il tient plus de cinq minutes, on peut comprendre que je veuille le quitter.
Cest moi qui ouvre son pantalon, on va dire que je me rabâche.
Mais avec Luc, comme nous faisons lacte exclusivement dans notre lit, cest un geste inconnu que je pratique avec celui qui dépasse être mon client.
Dommage quil soit marié, il aurait fait le mari idéal que mon fiancé pense être.
De plus, je le vois mal annoncer à sa femme, « chérie, je te quitte pour épouser une pute ».
Il faut quà tout moment il pense quil a une pouffe dans ses bras.
Lorsque je dis que jai des fantasmes, hier encore, lorsque je suçais mon gode après quil mait apporté mon plaisir, je révaîs que je suçais la verge de mon homme.
On va mobjecter que jaurais pu prendre des initiatives et de mattaquer à sa bite.
Cest une vierge farouche que jai eu dans mes bras quand une nuit, jai profité de ce quil soit sur le dos pour le prendre en bouche.
On aurait dit quun scorpion lavait piqué, il a allumé la lumière me traitant de salope.
Cest ce jour que jaurais dû le quitter et lon comprend que jaime jouer avec celle de Michel quil moffre.
Il avance son bassin comme je lavais fait avec le mien pour quil puisse me caresser sous la table.
Ma jupe sest remontée quand je me suis agenouillée, il est vrai que les jarretelles tendues sont prêtes à lâcher dans la position où je suis.
Ce doit être bandant pour un homme.
- Suce-moi à fond, tu baises comme une salope, et jaime que tu sois une salope.
On est en osmose dépassant le cadre, du payant à la payer.
Nos couples vont à vaux leau et nous essayons de dépasser nos problèmes en nous donnant du plaisir, même tarifé pour lui.
Ce quil ignore, cest que je suis en train de réaliser une grande partie de mes rêves les plus fous.
Sucer une bite, me faire prendre en levrette même si cest sur le lit.
Lui sucer de nouveau la bite, sans le faire éjaculer de son trou du cul jusquà ses couilles et finissant en gorge profonde.
Aller dans la salle de bains, en prendre un en commun en nous amusant quand le masturbant sous leau, je réussis à faire sortir son gland de la mousse pour le remettre entre mes seins.
Retourné sur le lit, après que nous nous soyons essuyés mutuellement et baisés une dernière fois quand il me prend par larrière, mais simplement dans ma chatte.
Je vais mexcuser, jai une petite panne de paupière et je pense que je vais dormir quelques minutes...
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