Libraire
Cela fait des semaines que je cherche ce livre...et suis lassé de faire le tour des librairies de ma petite ville... Jen essaie une dernière, après j'abandonne et tant pis je l'achèterai sur le net !
J'entre donc dans cette boutique, en me faufilant entre les clients qui stationnent dans lentrée, devant la caisse. Léchoppe n'a rien dune petite librairie de quartier même si son agencement n'est pas très récent. Des étagères courrent sur la périphérie, quelques présentoirs ici et là, un peu de tout, mais à première vue pas grand-chose quand même...je sens que ça n'est pas encore pour cette fois.
Je fais un premier tour afin de me familiariser avec les différents rayons. Au fond du magasin, les accessoires, ça tombe bien il me faut aussi un classeur. J'attends patiemment mon tour auprès de la seule vendeuse qui semble disponible...Cest une femme qui a dépassé la quarantaine, vêtue dun tailleur de ville et de bottes. Elle na rien de limage quon se fait dune libraire, parfois un peu bohême, et affiche une certaine élégance...Elle fait preuve dun certain sang-froid face au client avec lequel elle sentretient longuement. D'un coup dil je la rassure et lui signifie que j'ai tout mon temps.
Je tourne les talons, non sans regarder ma vendeuse, et poursuit ainsi ma visite du magasin. Quelques instants plus tard, je vois le client repartir et une cliente se précipiter pour me prendre mon tour. Je soupire, pas tant agacé qu'on m'ait pris ma place, mais parce que je risque de ne pouvoir à nouveau m'adresser à cette femme qui avait suscité mon regard et aiguisé ma curiosité....
Déambulant dans les rayons, je trouve enfin mon bonheur. Hic, il y a deux livres qui traitent du même sujet...lequel choisir...? Voilà donc l'opportunité, tant attendue, daller revoir ma vendeuse, seule habilitée à mon sens à me renseigner
La cherchant des yeux, je l'aperçois toujours occupée avec la dame. Ayant décidé de ne madresser quà elle, je patienterai le temps qu'il faudra ! Juse de ce de temps dattente alors pour lobserver, des pieds à la tête, lui trouvant beaucoup de charme, et une aisance naturelle.
Je suis alors épris de pensées érotiques, mimaginant elle et moi, seuls dans un rayon, après la fermeture. Je la vois adossée à une de ces étagères, lembrassant langoureusement dans le cou. Japplique mes mains sur ses hanches et descends jusquà magenouiller devant elle. Je commence à embrasser ses cuisses, glissant mes mains sous sa jupe et pars lentement à la recherche de son intimité. Elle enserre ma tête dans ses mains et lapplique contre son bas-ventre... Ma bouche se glisse entre ses cuisses et je commence à apprécier la tiédeur de lendroit. Je fais glisser sa culotte, et mempare à pleine bouche de son minou, fraîchement épilé semble-t-il. Ses lèvres shumidifient un peu plus à chaque instant et je me délecte de son parfum. Chacun de mes coups de langues lui ôte un soupir de plaisir. Son parfum intime abonde ; et je ne me retiens plus de prendre toute sa vulve en bouche. Je lève les yeux, et vois les siens mi-clos, elle alterne les soupirs et les profondes respirations, elle est belle dans son plaisir
Elle se retourne alors et se penche, moffrant ainsi sa croupe. Mes mains caressent ses fesses et ma langue ségare
Elle montre un temps dhésitation puis se laisse faire
Ma langue cerne son petit anneau, et son corps réagit par de petites convulsions, de plus en plus vives. Elle hésite encore à sabandonner complètement
je feins dignorer ce fait
ma langue vient humidifier son anus, et jessaie dy glisser un doigt
je sens bien à ce moment quelle nest pas habituée... Je memploi de nouveau alors auprès de son minou humide et la masturbe généreusement pour lamener plus loin dans son plaisir... Elle lâche des petits cris de plaisir et ondule son bassin, mimant le coït, guidant ainsi mes doigts jusquà en jouir.
Sentant le moment opportun, je me relève, et présente mon sexe, gonflé comme jamais, à lentrée de son paradis. Avant que jintervienne, elle sempale sur moi doucement et nous sentons bien tous les deux le parcours de mon pénis en elle
Sensuivent de longs va-et-vient, dont nous apprécions lamplitude
puis le mouvement saccélère. Je ne sais combien de temps je vais pouvoir retenir ma jouissance
La voilà prête à se lancer à la découverte de son plaisir, à accepter lorgasme qui sannonce
Elle saisit fermement ma main et la place entre ses fesses
je commence alors à titiller son petit anneau avec mon pouce, je la sens qui résiste encore, puis, se relâchant soudain, je le vois senfoncer en elle, dans un soupir de soulagement. Elle se tortille pour mieux laider tandis que jentame un va-et-vient dans ses deux orifices.
Je sais à présent quelle veut lâcher toutes ses émotions et la laisse prendre les rennes de notre étreinte maximum... Elle se dégage alors de mon pénis, se retourne et aspire littéralement mon sexe. Pendant quelques secondes, je crains que ses allers-retours incessants sur ma verge ne me fassent jouir à coup sûr ! Afin de retarder ce moment, jenserre la base de mon pénis, ce quelle dut prendre comme une provocation. Elle sécarte alors de moi pour se retourner et vient directement présenter son petit trou sur mon gland
lorsque je le vois qui disparait doucement entre ses fesses rebondies, je ne peux retenir un râle de plaisir. Elle me jette alors un regard bien troublant mais intense, serait-ce la première fois quelle sautorise le plaisir anal ? Je poursuis lentement, sachant cela parfois douloureux
Je tiens à lui offrir lorgasme quelle mérite et non gâcher notre étreinte par un acte malvenu. La progression lente de mon sexe en elle mapporte un plaisir divin, elle se mordillant les lèvres, se retenant de crier
de douleur ou de plaisir
.. ?
Je reprends mes esprits sur cette pensée, et limage de son sourire
.
Tant bien que mal je me dirige vers la caisse, finalement décidé à ne plus laisser libre cours à mon imagination et à entériner mon achat car j'ai du mal à supporter le poids de ce fantasme ! Alors que j'attends, résigné, mon tour, elle revient vers la caisse, et me gratifie d'un étrange sourire... Je la regarde s'éloigner à nouveau, les battements de mon cur sont ponctués par le bruit de ses talons, et mes yeux rivés sur sa silhouette. Décidément, je nai aucune volonté aujourd'hui !!
Tandis que l'autre caissière s'est lancée dans une grande conversation avec les clients qui me précèdent, je lutte pour ne plus retourner la tête vers celle qui a définitivement envahit mon esprit, mais je ne peux résister bien longtemps. A l'instant précis où mes yeux se portent malgré tout sur elle, elle est toujours en discussion avec sa cliente
et me regarde ! Elle attendait de capter mon attention
cest chose faite, mais dans quel but ? Je me sens pris au piège, car je sais quelle sait, elle m'a démasqué...
Elle détourne alors son regard, et j'allais en faire autant puisque je pensais le jeu à présent terminé, lorsque je la vois s'accroupir, mettant presque un genou à terre, face à sa cliente. Quelle posture étrange
! Sa jupe se relève alors, pas assez à mon goût, et je souris de me surprendre aussi pervers, une fois de plus. J'ai du penser trop fort car de sa main gauche, elle découvre le haut de sa cuisse, et me révèle ainsi le haut...de son bas. Sans m'adresser le moindre regard, elle joue avec lourlet de sa jupe. Je ne sais à présent si ce sont mes yeux qui guident ses doigts, ou le contraire. Je suis hypnotisé par sa dentelle, le galbe de sa cuisse
que javais virtuellement caressé quelques secondes auparavant !!
Elle se relève prestement et revient vers la caisse. Tandis qu'elle se rapproche, je me retourne afin déchapper à son regard qui sabattra tôt ou tard sur moi. Je comprends alors que c'est elle qui vient encaisser mes articles.
Je dépose mes articles, mes yeux croisent les siens, mes pensées sont troubles, pendant les quelques secondes dun silence trop pesant. Pour sextraire de cette situation, nous débattons ensembles des différents articles que jachète et des besoins qui ont motivés ces achats. Alors quelle mexplique les différences entre les deux ouvrages qui mintéressent, mes yeux, malgré moi, partent à la recherche dune nouvelle partie de son corps que je pourrais découvrir, après tout , je nai pas imaginé sa poitrine
curieux, non ? Présentant mon envie, dun naturel sans faille, elle ouvre sa veste et pose une main sur sa hanche en laissant sa main se balader
puis enfile sa main entre les boutons de son chemisier. Je ne parviendrais cependant pas à entrevoir sa poitrine. Je veux mon regard insistant, comme pour en demander encore plus, mais il nous est trop difficile de continuer à ignorer ce manège érotique, trop de personnes sont maintenant rassemblées autour de nous. Dun ultime échange, nous mettons fin à ce jeu pervers et fantasmatique, et nous souhaitons mutuellement de bonnes fêtes de fin dannées
Dans un ultime acte de bravoure, nous parviendrons quand même à ce que nos chairs seffleurent de nos mains, lorsquelle me remettra mon sac
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