La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1246)
chienne Vénus au Château (suite de l'épisode précédent N°1245) -
Puis il me ramena dans mon Enclos ou je mendormis paisiblement en boule
Je me sentais heureuse et à ma place
Plusieurs semaines passèrent et Maitre, avec laide de Walter et Marie, continuait le dressage de la chienne et femme de lEmir, non sans difficultés au vu du caractère rebelle quelle avait. Il ne lui fallut que très peu de temps pour comprendre que comparé à son époux lEmir, Monsieur le Marquis était intransigeant, inflexible dans tout ce quIl ordonnait et faisait. Et que les simagrées quelle pouvait faire ne changeraient en rien à la chose et quil fallait quelle se plie à Son autorité... Quant à moi, je jonglais difficilement entre mes responsabilités de chef dentreprise, ma place auprès du Noble et lEmir à qui je tenais. Je pense que Maitre lavait remarqué car il mavait convoqué, un beau matin, dans Son bureau.
- Entre, Ma chienne, jai à te parler ! Jai remarqué que depuis ton retour, tu as du mal à tout gérer. Je sais que ta relation amoureuse avec lEmir te prend du temps mais cela commence à être un poids dans ta relation de Domination/soumission avec Moi. Il va te falloir choisir. Je nai pas lhabitude de faire cela mais tu vas devoir faire un choix car tu ne peux te soumettre à Moi à une aussi grande distance géographique avec les Emirats si tu y retournes et si tes pensées sont là-bas. Et cette réalité nest pas de Ma Volonté. A toi de voir ce qui est le plus important pour toi.
A Ses mots, je commençais à pleurer discrètement. Javais du mal à digérer cette décision de Maître dêtre imposée à faire un choix entre Lui et lEmir. Jétais sonnée et dégoutée, me refusant de comprendre que le Châtelain avait complètement raison. Il avait remarqué que je ne pouvais pas faire ce choix et que je me complaisais dans cette situation entre lamour de lEmir et ma soumission avec le Marquis dEvans. Cest pour cela quil dû prendre la décision de mimposer de faire ce choix.
- Ma belle, je vais te laisser réfléchir le temps quil te faudra pour prendre ta décision. Et durant le temps de ta réflexion, personne ne tutilisera, ni Moi, ni un autre. Tu vivras, le temps quil te faudra, pour faire ton choix dans un de Mes nombreux appartements que je possède au village. Et tu nauras aucun contact avec Ma personne. Cest pour ton bien que Je fais cela. Jai toute confiance en toi mais Je me dois de te faire prendre cette décision pour ton propre intérêt. Soit tu restes à Mes pieds, soit je te rends ta liberté et libre à toi de vivre ta vie avec lEmir, ce que je peux tout à faire comprendre, sans aucun souci. Le Château nest et ne sera jamais une prison. Tes affaires sont déjà dans lappartement. Tache de bien réfléchir... Et je respecterai ton choix quel quil soit.
Sur Ses mots, Maitre me fit accompagner jusqu'à la voiture qui mamena jusquau village à 3 kilomètres, loin de Lui. Une fois à lintérieur, je meffondrais en larmes, voire de colère, dégoutée et triste. Les premiers jours furent difficiles, jespérais voir le Noble au travail mais non aucun message, rien, aucun signe de vie de Sa part. Il me fallut une grosse semaine pour commencer à prendre conscience que je préférais ma place aux pieds de Maitre à toute relation amoureuse avec lEmir car mon plaisir, ma place, ma vie était véritablement dans ma soumission. Javais, durant ce temps, porter ma riche réflexion à ce que je voulais faire de ma vie et en y réfléchissant intensément, je fis ce constat que de mêtre emportée par des sentiments amoureux envers lEmir nétait pas ce que je suis profondément, cest-à-dire une soumise et même plus que cela, une esclave Kajira. Cette évidence qui résonnait en moi me fit comprendre que je ne pouvais pas me soumettre à nimporte qui, car pour certain la relation D/s était un divertissement, un jeu, alors que pour moi non, ce nest à lévidence surtout pas un jeu, cest vivre ce que Dame Nature a fait de moi...
Je me soumets au Maitre car cest Sa puissance de Sa Dominance qui me fait plier.
Deux jours plus tard, alors que jétais occupée à finaliser plusieurs devis, je navais pas fait attention au bruit alentour et cest quand je relevai la tête que je vis le Châtelain adossé contre lencadrement de la porte. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Sans un mot, il posa Ses yeux Dominants sur moi et je sentis instantanément mon intimité commencer à couler de plaisir. Il claqua des doigts, toujours sans rien dire et je vins minstaller à genoux à Ses pieds en baissant la tête. Maitre me caressa doucement le visage pour ensuite me tendre Ses doigts afin que je les embrasse. Puis dun deuxième claquement de doigts, je compris quil fallait que je me déshabille et une fois fait, de me réinstaller à ma place. Ensuite le Noble commença par tripoter, malaxer mes seins de Ses doigts en pinçant mes tétons, les tordant, ce qui fut un pur délice pour moi. Puis, toujours sans le moindre mot, Monsieur le Marquis empoigna mes cheveux pour me tirer jusquà la table de la salle à manger afin de mimposer à my allonger sur le dos.
- Voila Ma façon de te dire bonjour
Jai bien réceptionné ton mail et jai voulu te laisser encore deux jours de réflexion
Ma belle petite chienne, tu as su te tenir et retenir ta jouissance. Tu vas rentrer avec Moi et retourner à ta place, dans ton Enclos. Pour lEmir, jai su que tu las contacté et je peux tassurer que Mon ami est venu récupérer sa femme hier et quil est reparti ce matin. Je te rassure, cette situation na en rien entaché mes excellentes relations que jentretiens avec lui
Je sais, Ma chienne, Ma belle petite salope que ça aurait été dur pour toi de ne pas vivre pleinement ce que tu es à Mes pieds. Cest pour cela que je viens te chercher maintenant
Vient, il est temps de rentrer.
Je suivis Maitre avec un tel bonheur que je ne peux le décrire tellement la sérénité menvahissait de redevenir celle que je suis
et nous sommes donc rentrés au Château
Les jours ont passés sans se ressembler. Il faut dire que depuis le mariage médiatisé de LEmir, javais beaucoup de travail et il me fallut demander par moment, conseil auprès de Marie, la cuisinière du Châtelain pour élaborer les meilleurs mets selon les différents événements.
- Toi, la chienne, vient me voir
Bien, jai envie de toi sur ma chatte, tu as le droit dutiliser ta langue et tes mains mais dépêche-toi à me faire jouir et boit ce que je vais toffrir lors de ma jouissance
Je me mis alors sous la robe de Marie qui ne portait jamais de culotte et commençais doucement à la lécher, lui sucer son clitoris, laspirer, le mordiller. Jaccentuais mes coups de langue sur son clito et insérais en même temps trois doigts dans sa chatte trempée par la stimulation de mon traitement. Je branlais son clito de ma langue et la doigtais de mes doigts puis je changeais de position pour la branler vigoureusement et coller ma bouche sur lentrée de sa chatte car je savais, depuis quelle mutilisait pour jouir, que La cuisinière du Maitre était une femme fontaine par des stimulations clitoridiennes. Et en effet, elle explosa dans un long râle jouissif et inonda ma bouche de sa délicieuse cyprine abondante, tout en plaquant de ses mains fermes ma tête contre son bas-ventre.
- Bonne chienne, tu as su me donner du plaisir et me vider de ma mouille
(puis elle appela un soumis qui était depuis déjà un long moment en position agenouillée en attente dans un coin de la cuisine.)
Toi, le chien, vient ici. Je veux que tu lui baises la chatte et que tu lencules dans une saillie bestiale
chienne Vénus, à quatre pattes et laisse-toi saillir par ce chien
. Quant à toi le chien, je veux que tu te retiennes de te vider dans la chienne préférée du Maitre, alors fait attention à toi car si tu te vides de ton jus de chien, tu seras sévèrement puni
Et toi chienne Vénus, fait-toi saillir comme la bonne chienne en chaleurs que tu es, une grosse salope, bonne à baiser et à être utilisée...
Sur ses mots Marie la cuisinière branlait de sa vigoureuse main le membre du soumis. Quand celui-ci était bien dressé, bien tendu, le soumis-chien enfonça son énorme queue dans ma chatte et me baisa selon les directives de Madame Marie. Il me baisa sauvagement comme un vulgaire animal de ses coups de queue profonds et forts. Alternant ses coups de bite dans ma chatte et dans mon cul, nhésitant pas à menculer et me limer la chatte dans une saillie bestiale, virile comme le voulait Marie la cuisinière
Plusieurs esclaves présents en cuisine nous regardaient en train de me faire saillir. Mais dun coup, je me suis mise à sentir comme un liquide chaud via des contractions dans ma chatte, le soumis mâle était en train de jouir alors quil en navait pas droit. Il jouissait en silence pour minimiser son orgasme, pensant quil passerait peut-être inaperçu
Mais Marie ne fut pas dupe et elle comprit instantanément ce qui sétait passé en observant le visage du chien qui se contractait pour ne pas laisser échapper des râles de jouissance
- Sort de la chienne du Maitre. Sale chien, tu sais que Maitre tient énormément à cette chienne. Comment as-tu osé gicler dans la chatte de cette chienne et surtout sans mon autorisation
(Sadressant à un autre soumis en attente)
Toi, amène-là à linfirmerie pour la nettoyer de tout ce foutre que ce chien na pas su garder en lui !
Quant à toi, le chien, je vais immédiatement en informé Walter et Monsieur le Marquis et on verra ce quIl fera de toi, ce qui nempêchera pas que tu seras aussi sévèrement puni par moi...
Je me sentais mal pour lui. Une fois nettoyée, on me mena me reposer dans mon enclos...
(A suivre
)
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